izentrop a écrit :Tas raison c'est comme l'agriculture de "régénération", faut pas chercher, c'est comme ça, la la la.sicetaitsimple a écrit :Je laisse tomber, c'est pas grave et on ne va pas se fâcher pour ça....La cohorte de l'IHU est par définition à 100% hospitalisée ( même si c'est pour environ 2/3 si mes souvenirs sont bons en ambulatoire).VetusLignum a écrit :Mais non, je compare la létalité sur les cas positifs (symptomatiques) en Irlande, par rapport aux cas positifs symptomatiques sous HCQ+AZI à l’IHU.
Donc on en compare les résultats si on doit les comparer à une cohorte hospitalisée du même age moyen.
Adrien, à force de contradictions, tu devrais savoir que les résultats des études observationnelles ne valent riens si ils n'ont pas étés confirmés par des études cliniques randomisées et avant de crier victoire, lire la discussion de l'étude qui renseigne sur les limites de l'étude en question.
Ta dernière citation par exempleA jeter aux orties.... Les futurs essais contrôlés randomisés pourraient fournir un meilleur aperçu de ces différences. La quatrième limitation concernait les tests ARN du SARS-CoV-2. De nombreux facteurs, tels que le prélèvement d'échantillons et la limite de détection des tests de PCR à ARN du SARS-CoV-2, peuvent entraîner des résultats faussement négatifs et donc potentiellement affecter les taux d'infection globaux. Enfin, la taille de l'échantillon des patients atteints de maladie rhumatismale et de COVID-19 était relativement petite. Nous n'avons pas appliqué d'approches de pondération par score de propension en raison de la petite taille de l'échantillon. De futures investigations dans des études plus importantes sont nécessaires pour recueillir plus de preuves. En résumé, nos données suggèrent que les patients atteints de maladie rhumatismale pourraient être plus sensibles au COVID-19 que la population générale....
Ce que tu dis n’a strictement aucun intérêt, plus les études sortent, plus elles démontrent l’efficacité du traitement. Car c’est un traitement simple avec peu de molécules et ça fait une grosse différence.
Par ailleurs tu ne tiens absolument aucun compte du climat trompeur de la validation des molécules actuelles dans le contexte de très trės gros intérêts financiers des pharmas pour des molécules TROP NOMBREUSES ET COMPLEXES qui n’ont pas révélé d’efficacité ã un stade précoce sur des patients âgés et atteints de comorbidité pour une raison très simple, c’est que l’organisme humain ne peut assimiler plus de 3 ou 4 molécules à la fois dans le cadre d’un traitement (dans de rares cas un peu plus) alors tu ne peux pas ajouter autant de molécules que tu voudrais pour traiter des pathologies complexes comme le covid-19 ajoutées ã celles déjà existantes et traitant d’autres pathologies graves (cardiaques, diabète! asthme, etc) simultanément! Car la biodisponibilité des molécules est un véritable dilemme chez les cliniciens, ça ne marche pas. Ils le font parce qu’ils n’ont pas d’autre moyen/choix, mais les études ne produiront jamais les résultats requis. (c’est ce qu’il se dit en coulisse)