Adrien (ex-nico239) a écrit :Dans certains cas de niveau de % de létalité d'une maladie certains traitements ont déjà été administrés en urgence, sans preuve antérieure de leur supériorité et sans groupe placébo.
Ici la doctrine officielle a été de ne pas appliquer cette méthode.
Donc de ne pas faire confiance à Raoult
Et de ne pas généraliser son process qui est bien plus global que la seule HCQ.
Mais cela ses détracteurs le passent systématiquement sous silence.
Donc au final de ne pas prendre en charge les vieux et de les laisser mourir
Tout cela car le taux de létalité n'était pas si élevé que cela.
Si le taux de létalité avait été de 50% croyez moi on s'en serait foutu comme de l'an 40 des double aveugle et placebo.
Ou alors on aurait mis Rosendaal dans le groupe placebo
c'est logique, avec un taux de létalité élevée, il est bien plus facile de mettre en évidence un rapport bénéfice /risque favorable, si les risques sont peu élevés.
Alors que si la létalité est faible, alors le bénéfice attendu est aussi difficile à mettre en évidence, et donc le rapport bénéfice/ risque aussi.
La décision de ne pas recommander un traitement sans données fiables est donc tout à fait logique.
C'était juste un choix de tenter de soigner avec un protocole global empirique ou laisser mourir.
non, le risque était tout aussi grand de faire mourir des gens qui ne seraient pas morts sans le traitement. C'est ça justement l'analyse du rapport bénéfice/risque.
Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet. (Georges COURTELINE)
Mééé nie nui allé a des fetes avec 200 personnes et n'iai meme pas été maladee moiiiiiii (Guignol des bois)