Alcyon a écrit :Remundo a écrit :Alcyon a écrit :Ah les méta-analyses sont le summum de niveau de preuve (quand elles sont sérieuses). Le simple fait de dire "j'en veux pas" signifie "je me fous de la science".
c'est tout à fait faux.
Elles mélangent des travaux qui ne sont pas fait avec les mêmes conditions. Il y a beaucoup de "petites variations" d'une cohorte à l'autre. Leur traitement mathématico-statistique relève souvent d'un petit bouillon et selon qu'on change "l'algorithme", on peut avoir des conclusions inverses.
Elles donnent donc des idées, mais pas de certitudes.
Merci d'avoir montré que ton opinion n'a aucune valeur scientifique et que tu n'y pipes rien. Franchement merci, affirmer ça sérieusement, il faut vraiment avoir du culot et ne douter de rien. Mais surtout, avoir un niveau 0 en sciences et être atteint de l'effet Dunning-Kruger.
Pour répondre à Alcyon, non pas sur les insultes, mais sur le sujet,
voici ce que Wikipedia explique et que j'avais résumé dans le post contesté par notre phénix intellectuel, maître de l'insulte culturelle, qui renaît de ses cendres
Une méta-analyse est une méthode scientifique systématique combinant les résultats d'une série d'études indépendantes sur un problème donné, selon un protocole reproductible. La méta-analyse permet une analyse plus précise des données par l'augmentation du nombre de cas étudiés et de tirer une conclusion globale.
La méta-analyse fait partie des méthodes d'analyse dite secondaires en ce sens qu'elles s'appuient sur la ré-exploitation de données existantes. Pour certains, les enjeux sont de produire des connaissances nouvelles en prenant appui sur des connaissances existantes réduisant le temps et le coût de la recherche1 ; pour d'autres, les enjeux portent plus sur une réinterprétation voire un contrôle des connaissances existantes2.
en aucun cas elles ne sont, je cite "un summum de niveau de preuve" ; c'est même un art très difficile et scabreux de combiner des analyses provenant d'études différentes.