Le bio et le labour ancestral tuent les lombrics
Daniel Leconte rappelle aussi que « le sulfate de cuivre autorisé en bio est lombricide »
comme en conventionnel.
mais que le glyphosate est « inoffensif pour les lombrics »
Certaines formes de vie sont sensibles à certains produits et d’autres insensibles ! Donc la question ne se limite pas aux lombrics, mais à toutes les autres formes de vie avoisinantes jusqu'au consommateur humain.
: par conséquent, l’Etat devra prendre dans les prochaines années « une décision écologique en préservant les lombrics (dans ce cas, il faut une dérogation pour le glyphosate)
Le masque est levé ! Il bosse pour qui ? Mons....to?
ou une décision sociétale pour se plier aux exigences de la population et des médias, sachant qu’on détruit les vers de terre et la fertilité du sol en ayant recours au labour ancestral. »
https://mots-agronomie.inra.fr/index.ph ... t_fonctionles problèmes des vers de terre ne sont pas liés aux labours superficiels, mais aux labours profonds ; ce qui peut se comparer avec une égratignure de la peau, et une plaie profonde où les réparations des dégâts occasionnés ne se font pas de la même façon, ni sur le même temps.
Quant à ancestral, sauf à considérer qu’il ne s’agit que de ses parents, la labour profond est essentiellement lié à la mécanisation à moteur disposant de plus d’énergie qu’un cheval de labour. donc nos vrais aïeux remonte à quelque temps déjà!
Un bon paquet de confusions comme d ‘habitude !
https://www.inrae.fr/sites/default/file ... cais-2.pdfC'est pourquoi, suite à une suggestion du Comité Interne Agriculture Biologique (CIAB) de l'INRA, l’Institut Technique de l’Agriculture Biologique (ITAB) et le Métaprogramme "Gestion durable de la santé des cultures" (SMaCH) de l’INRA ont conjointement commandé une expertise scientifique collective (ESCo) visant à réaliser une synthèse pluridisciplinaire et critique des connaissances scientifiques et techniques disponibles sur ce sujet. L'ESCo a ainsi exploré : les différentes solutions techniques possibles (variétés résistantes aux maladies, substances d'origine naturelle à effet biocide et/ou stimulant les défenses naturelles des plantes, agents microbiologiques de lutte, conduites des peuplements cultivés à visée prophylactique) ; l’intégration de ces solutions individuelles au sein de systèmes de production/protection intégrée ; les freins et les conditions nécessaires à leur adoption et à leur diffusion. Ce travail d’analyse approfondie des acquis scientifiques et techniques montre que de nombreuses méthodes présentent une certaine efficacité contre les pathogènes ciblés par les traitements à base de cuivre, mais aussi que, pour permettre une forte réduction ou l'abandon du recours au cuivre, ces différentes méthodes devront être combinées au sein de systèmes qui restent insuffisamment explorés. Ces résultats intéressent particulièrement l'agriculture biologique, plus affectée par les restrictions d'utilisation du cuivre et qui recherche donc plus activement des solutions alternatives, mais également les autres formes d'agriculture qui tentent de réduire leur consommation de pesticides.En particulier la biodynamie la plus avancée en ce domaine.
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré