GuyGadebois a écrit : la phrase ne prend-elle pas "un certain sens"?
A mon avis aucun.....La phrase, c'était "Alors que ça ne concerne que l'Europe d'après guerre... et que partout ailleurs on fait ou aurait pu faire autrement."
GuyGadebois a écrit : la phrase ne prend-elle pas "un certain sens"?
sicetaitsimple a écrit :GuyGadebois a écrit : la phrase ne prend-elle pas "un certain sens"?
A mon avis aucun.....La phrase, c'était "Alors que ça ne concerne que l'Europe d'après guerre... et que partout ailleurs on fait ou aurait pu faire autrement."
De toute évidence, il n’y aurait jamais eu d’« affaire glyphosate » si ce produit n’avait pas été développe par Monsanto. Sans ce péché originel, le glyphosate serait resté un herbicide comme tant d’autres, ne suscitant aucune inquiétude particulière. Il y a donc bien dans ce dossier une forme de « délit de sale gueule » ! Exactement comme dans le film Douze hommes en colère, où le jeune Américain se voit accusé d’avoir tué son père en raison de sa propre histoire, une enfance difficile dans un quartier de mauvaise réputation. C’est d’ailleurs sur la base des antécédents de Monsanto que le combat contre le glyphosate fut lancé.
Cela s’est fait d’autant plus facilement que l’histoire de Monsanto est loin d’être sans reproche. Cible emblématique des mouvements environnementalistes, la firme américaine symbolise au mieux toutes les dérives de l’agrobusiness, et au pire cette Amérique arrogante du fric et du pouvoir. Selon ses détracteurs, Monsanto n’aurait pour objectif que de rapporter un maximum de bénéfices à ses actionnaires, sans se soucier de nous empoisonner en disséminant massivement des produits chimiques et des OGM. Pour certains, la firme viserait même à prendre le contrôle de notre alimentation. Ainsi, Monsanto ne serait rien de moins que la « pire firme au monde », comme le martèle Nicolas Hulot. En 2008 déjà, l’écologiste le plus populaire de France estimait qu’il fallait tout faire pour empêcher Monsanto « de détenir l’avenir de l’humanité dans ses éprouvettes et d’imposer un nouvel ordre agricole mondial ». Dans les nombreuses manifestations qui ont eu lieu ces dernières années, la virulence des panneaux et banderoles témoigne de cette animosité singulière que la firme suscite : « Monsanto = génocide du vivant », « Monsanto : entreprise criminelle », « Monsanto nous empoisonne », « Vade retro, Monsanto », etc. https://www.atlantico.fr/decryptage/358 ... e-wekstein
Oui dans le sens ou les dirigeants, comme Bolsonaro, qui n'en tiennent pas compte, mènent leur pays au désastre.Ahmed a écrit :la science est nécessairement liée au pouvoir
ouarf! encore un utopiste. Quels que soient les gouvernants, tous sont dépendants de leur économie, et particulièrement industrielle. Or l'argent mène le monde alors que ces dirigeants changent au gré du vent, mais les systèmes en place restent, eux!Oui dans le sens ou les dirigeants, comme Bolsonaro, qui n'en tiennent pas compte, mènent leur pays au désastre
izentrop a écrit :Pour une énième fois, si les écolos radicaux pouvaient réfléchir deux secondes, mais bon ! ... Le dogme est trop bien ancré.
Je continuerais malgré tout à faire la promotions des gens qui savent de quoi ils parlent, car ils détiennent la connaissance agronomique et scientifique.<<<< Quel plaisantin...*De toute évidence, il n’y aurait jamais eu d’« affaire glyphosate » si ce produit n’avait pas été développe par Monsanto <<< La première phrase de cet article (à la noix) démontre le parti-pris de son auteur et biaise d'entrée tout ce qui suit. En effet RIEN n'indique la véracité de cette hypothèse assénée comme une vérité incontournable. C'est dire le sérieux du représentant Izyen des "des gens qui savent de quoi ils parlent" (sic)
izentrop a écrit :Oui dans le sens ou les dirigeants, comme Bolsonaro, qui n'en tiennent pas compte, mènent leur pays au désastre.Ahmed a écrit :la science est nécessairement liée au pouvoir
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