Glyphosate : un herbicide écologique efficace, non cancérigène, non perturbateur endocrinien

[izentrop]

L'arrêt du glyphosate va augmenter considérablement l'impact carbone de l'agriculture.
https://www.publicsenat.fr/emission/doc ... moi-186316

[GuyGadeboisLeRetour]

Commentaire de l'auteure:
"Personne ne veut de résidus de glyphosate dans son assiette. Mais j'habite au cœur de la Beauce et mes voisins agriculteurs ne veulent pas s'en passer: interdire le glyphosate les obligerait à le remplacer par d'autres herbicides, à consommer plus de carburant pour labourer, à voir leurs champs envahis de mauvaises herbes et leurs rendements s'effondrer. Sans compter qu'ils ne sont pas vraiment convaincus que le glyphosate soit dangereux pour la santé. Comme je les ai côtoyés pendant deux ans, ils m'ont presque convaincue. Presque.".

[izentrop]

Oui, ça n'est pas Marie Monique Robin, mais c'est clair que le documentaire est partial. En aucun cas, elle ne remet en cause ses préjugés.
Elle dit «seul l'OMS va a l'encontre des instances internationales, » alors que c'est faux

[Christophe]

Cool ça change du covid

Je sonnerai la cloche quand il faudra !

[izentrop]

L'incohérence maladive des écolos jusqu'au boutistes, refusant l'évidence prouvée par l'immense majorité des agences scientifiques mondiales, sauf "une", soutenue par le lobby du bio.

Le glyphosate a longtemps été un herbicide* considéré comme sans risque inacceptable pour la santé. En 2015, son classement « probablement cancérogène » par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC, en anglais International Agency for Research on Cancer-IARC) a changé la donne et, en 2017, l’Union européenne n’a renouvelé son autorisation que pour cinq ans – la France voulant même « sortir du glyphosate » en trois ans. Les agences officielles d’évaluation des risques ont pourtant contredit l’avis du CIRC et, comme tente de le montrer notre étude, cette divergence ne se comprend pas de manière satisfaisante sur un plan scientifique. En revanche apparaissent clairement un manque de neutralité idéologique du CIRC et des liens d’intérêts avec des avocats qui exploitent la loi sur la responsabilité délictuelle aux États-Unis, sur la base de l’avis du CIRC sur le glyphosate.

En Europe, la thèse d’une contamination universelle de la population par cet herbicide a été propagée suite à des analyses d’urines de volontaires. La non-fiabilité des tests utilisés dans ces campagnes à caractère militant sera établie. De manière générale, l’influence de structures militantes d’apparence scientifique ainsi que les mises en cause des agences officielles posent problème en termes de gestion des risques par les pouvoirs publics et de perception publique. D’autant plus que des journalistes sont acteurs de la querelle, notamment autour de l’appréciation des preuves scientifiques pour les uns, et de l’influence supposée de Monsanto sur les chercheurs ou sur l’expertise scientifique du risque pour les autres.
https://www.fondapol.org/etude/glyphosa ... et-livraie

[GuyGadeboisLeRetour]

Aucune limite à la corruption de ton esprit en ruine, Izy ?

[Obamot]

soutenue par le lobby du bio

Ça ne veut rien dire ça Et d’où crois-tu qu’est venue la nécessité de se regrouper en lobby si ce n’est pour les exploitants “BIO” de mieux se défendre contre l’orgie des pesticides?

[janic]

d'autant que big agrochimie, semble avoir oublié leurs campagnes de dénigrement des agriculteurs du bio , sans lobbys , eux. Il est donc normal que cela leur revienne en pleine poire parce qu'ils n'ont pas réussi à les écraser avec leur milliards et leurs Izy pleins partout pour défendre une bataille perdue d'avance maintenant , car de plus en plus d'agriculteur changent de coté et surtout, surtout, le grand public, hier manipulé, se réveille de sa léthargie et ne croit plus aux beaux mensonges de la pétrochimie.

[Exnihiloest]

L'incohérence maladive des écolos jusqu'au boutistes, refusant l'évidence prouvée par l'immense majorité des agences scientifiques mondiales, sauf "une", soutenue par le lobby du bio.

Le glyphosate a longtemps été un herbicide* considéré comme sans risque inacceptable pour la santé. En 2015, son classement « probablement cancérogène » par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC, en anglais International Agency for Research on Cancer-IARC) a changé la donne et, en 2017, l’Union européenne n’a renouvelé son autorisation que pour cinq ans – la France voulant même « sortir du glyphosate » en trois ans. Les agences officielles d’évaluation des risques ont pourtant contredit l’avis du CIRC et, comme tente de le montrer notre étude, cette divergence ne se comprend pas de manière satisfaisante sur un plan scientifique. En revanche apparaissent clairement un manque de neutralité idéologique du CIRC et des liens d’intérêts avec des avocats qui exploitent la loi sur la responsabilité délictuelle aux États-Unis, sur la base de l’avis du CIRC sur le glyphosate.

En Europe, la thèse d’une contamination universelle de la population par cet herbicide a été propagée suite à des analyses d’urines de volontaires. La non-fiabilité des tests utilisés dans ces campagnes à caractère militant sera établie. De manière générale, l’influence de structures militantes d’apparence scientifique ainsi que les mises en cause des agences officielles posent problème en termes de gestion des risques par les pouvoirs publics et de perception publique. D’autant plus que des journalistes sont acteurs de la querelle, notamment autour de l’appréciation des preuves scientifiques pour les uns, et de l’influence supposée de Monsanto sur les chercheurs ou sur l’expertise scientifique du risque pour les autres.
https://www.fondapol.org/etude/glyphosa ... et-livraie

L'étude en rapport avec le CIRC était complètement bidonné mais ils ont réussi à faire croire qu'il y aurait un risque de cancer. Heureusement ils ne sont pas si bêtes dans tous les pays, même si les croisés écolos sur le pied de guerre sont à l'oeuvre partout.

Cet agriculteur australien nous explique par exemple comment à 37 ans d'intervalle, il s'est adapté au changement climatique et a réussi aujourd'hui sa culture, alors que les conditions de précipitations étaient les mêmes. Il nous dit :
"Pas de labour, glyphosate, contrôle de l'herbe permettant un semis précoce, rotation, développement de variétés tolérantes à la sécheresse, acceptation du besoin de durabilité et d'amélioration continue"


Evidemment que le glyphosate est très utile, et c'est un produit écologique, qui se dégrade en moyenne en un mois et demi dans le sol, et en moins d'une semaine dans l'eau.

Et dire que des timorés ont peur d'en avoir dans leur assiette, alors que les analyses montrent régulièrement que les taux de produits phytosanitaires dans les aliments sont inférieurs aux normes, que des produits bio non seulement en contiennent aussi mais font aussi l'objet de fraude, et qu'aucune étude scientifique n'a pu montrer la moindre évidence qu'on aurait un avantage pour la santé à manger des fruits et légumes bio plutôt que conventionnels !

[izentrop]

Cet agriculteur australien nous explique par exemple comment à 37 ans d'intervalle, il s'est adapté au changement climatique et a réussi aujourd'hui sa culture, alors que les conditions de précipitations étaient les mêmes. Il nous dit :
"Pas de labour, glyphosate, contrôle de l'herbe permettant un semis précoce, rotation, développement de variétés tolérantes à la sécheresse, acceptation du besoin de durabilité et d'amélioration continue"

Traduit en français https://seppi.over-blog.com/2019/11/aus ... hotos.html

Encore une preuve qui démontre que c'est non seulement un outil de conservation des sols, mais aussi de restauration et d'aide au stockage de carbone dans les sols, en permettant l'agriculture sans labour.