Merci de m’avoir repris. Mais à ta place, je ne serais pas aussi catégorique.
Je peux me tromper mais il me semble que c’est une façon habile de se diriger vers le classement de la vitamine D dans la liste des perturbateurs endocriniens (PE) ou quelque chose, en la faisant interdire par la bande, alors que précisément, dans les carences en vit. “D” les soupçons de certains chercheurs (que je connais) se portent... sur... les perturbateurs endocriniens! Mais rien d’officiel.
Ceci ajouté au fait que des hautes doses ne se justifient pas, c’est le même coup que pour interdire l’HCQ, on présente quelque chose d’inapproprié comme un danger en tant qu’alibi pour le supprimer, alors que pour maintenir les gens en bonne santé, on cherche plutôt des petites doses, une à deux gouttes par jour (2x 500Ui/jour)
Au vu de l’énorme doute, la démarche correcte serait de lancer une grande étude internationale pour comprendre les CAUSES de cette carence endémique de vitamine D dans les populations, ce qui supprimerait la nécessité d’une supplementation dans l’immense majorité des cas: et pas cette démarche allant à fin contraire qui consisterait à la disqualifier...
J’ajoute que cette proposition intervient dans un contexte hautement suspect, qui consiste à empêcher délibérément les gens de se soigner. Et ceci devrait faire l’objet d’une plainte pénale pénale.