Cette hypothèse est fort probable. Cependant, d'une part, l'éventail de choix que tu cites est également soutenu par la médecine conventionnelle. D'autre part, cet argument ne valide en rien l'efficacité propre de l'homéopathie.Terremoto a écrit :Ayant un souci plus critique et personnalisé pour leur santé, influant sans doute souvent sur un éventail de choix plus large que celui des thérapies (exercice, alimentation, sommeil et autres modes de vie), il y a de bonnes chances que les adeptes des médecines douces bénéficient ainsi d'une plus grande longévité,
Homéopathie: Efficacité remise en cause aux États-Unis
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Re: Homéopathie: Efficacité remise en cause aux États-Unis
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Re: Homéopathie: Efficacité remise en cause aux États-Unis
Terremoto a écrit :Ayant un souci plus critique et personnalisé pour leur santé, influant sans doute souvent sur un éventail de choix plus large que celui des thérapies (exercice, alimentation, sommeil et autres modes de vie), il y a de bonnes chances que les adeptes des médecines douces bénéficient ainsi d'une plus grande longévité,
Cette hypothèse est fort probable. Cependant, d'une part, l'éventail de choix que tu cites est également soutenu par la médecine conventionnelle.
Il faudrait être de très mauvaise foi, pour nier ces paramètres. Mais cela n’aurait- de valeur scientifique que si cela entrait dans leur cursus universitaire. Or combien de temps (autre que quelques heures ou quelques jours,) y sont consacrés, où sont les cours sur la nutrition, sur ses actions préventives et curatives, sur l’incidence de ce qui a été mangé sur le sommeil, etc…) rien car cela n’est pas supposé exister (scientifiquement et soumis à comités d’experts ; à des essais cliniques) Donc ne valide en rien ce qui ressort du bon sens et dont l’efficacité ne se mesure que dans la vraie vie.
NB : un médecin psychiatre bien connu, David Servan Schreiber atteint d’un cancer au cerveau, a écrit un bouquin sur le rôle important que pouvait avoir une sélection alimentaire particulière sur cette pathologie et les moyens de lutte qu’ils représentaient. Quel tollé de contestation venant de cette médecine conventionnelle (ou plutôt d’individus pensant la défendre). Mais rien de tout cela dans l’enseignement universitaire!
Pour ceux qui aiment les anecdotes que je cite ; en résumé:
Une jeune femme, en dernière année de médecine devant passer son doctorat, et qui s’était provisoirement arrêtée pour accoucher et DE PLUS FORTEMENT OPPOSEE AUX MEDECINES DOUCES, m’avait mis au défit de résoudre un problème de santé récurent, une cystite, qu’aucun traitement qu’elle connaissait et ceux conseillés par ses patrons, n’avait pu régler. Je (mais un(e) autre que moi informé en médecine douce aurait pu le faire aussi ) lui ai donc indiqué telle plante tirée d’un ouvrage spécialisé et qui, au dire de cette jeune femme qui l’a prise, était « particulièrement dégueulasse » et qu’elle a donc cessé au bout de 3 jours. Depuis la cystite a disparu et jamais revenue. Mais ça ne s’est pas arrêté là. Son bébé, au biberon, avait un sommeil très agité, refusait son biberon et était très constipé, ce qui inquiétait sa maman évidemment. Un conseil sur le changement de produit à donner dans ses biberons et l’enfant a retrouvé son sommeil, avalait goulûment ses biberons et n’était plus constipé et rien de tout ça dans ses études.
Alors le coté psy, la confiance bienveillante de l’entourage, la toute puissance du médicament chimique… quelle rigolade !
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Re: Homéopathie: Efficacité remise en cause aux États-Unis
Cours de nutrition, études cliniques, quelques liens en vrac:janic a écrit :Il faudrait être de très mauvaise foi, pour nier ces paramètres. Mais cela n’aurait- de valeur scientifique que si cela entrait dans leur cursus universitaire. Or combien de temps (autre que quelques heures ou quelques jours,) y sont consacrés, où sont les cours sur la nutrition, sur ses actions préventives et curatives, sur l’incidence de ce qui a été mangé sur le sommeil, etc…) rien car cela n’est pas supposé exister (scientifiquement et soumis à comités d’experts ; à des essais cliniques)
https://www.researchgate.net/publicatio ... _cliniques
http://www.em-consulte.com/article/2389 ... hodologie-
http://www.cennutriment.fr/nos-services ... erimental/
http://www.merieuxnutrisciences.fr/fr/fra
http://campus.cerimes.fr/nutrition/poly-nutrition.pdf
http://www.medecine.parisdescartes.fr/?page_id=31580
http://www.fascicules.fr/polycopies-nutrition-36.html
http://www.medecine.univ-paris-diderot. ... rapeutique
http://www.inserm.fr/thematiques/physio ... n-et-sante
https://nutrition.pasteur-lille.fr/etud ... une-etude/
http://www.letudiant.fr/fiches/etudier- ... -0001.html
http://invs.santepubliquefrance.fr/Doss ... tion-sante
https://www.etude-nutrinet-sante.fr/link/zone/29
etc...
bruyère? canneberge? busserole?janic a écrit :Je (...) lui ai donc indiqué telle plante tirée d’un ouvrage spécialisé
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Re: Homéopathie: Efficacité remise en cause aux États-Unis
janic a écrit :
Il faudrait être de très mauvaise foi, pour nier ces paramètres. Mais cela n’aurait- de valeur scientifique que si cela entrait dans leur cursus universitaire. Or combien de temps (autre que quelques heures ou quelques jours,) y sont consacrés, où sont les cours sur la nutrition, sur ses actions préventives et curatives, sur l’incidence de ce qui a été mangé sur le sommeil, etc…) rien car cela n’est pas supposé exister (scientifiquement et soumis à comités d’experts ; à des essais cliniques)
Cours de nutrition, études cliniques, quelques liens en vrac:
https://www.researchgate.net/publicatio ... _cliniques
http://www.em-consulte.com/article/2389 ... hodologie-
http://www.cennutriment.fr/nos-services ... erimental/
http://www.merieuxnutrisciences.fr/fr/fra
http://campus.cerimes.fr/nutrition/poly-nutrition.pdf
http://www.medecine.parisdescartes.fr/?page_id=31580
http://www.fascicules.fr/polycopies-nutrition-36.html
http://www.medecine.univ-paris-diderot. ... rapeutique
http://www.inserm.fr/thematiques/physio ... n-et-sante
https://nutrition.pasteur-lille.fr/etud ... une-etude/
http://www.letudiant.fr/fiches/etudier- ... -0001.html
http://invs.santepubliquefrance.fr/Doss ... tion-sante
https://www.etude-nutrinet-sante.fr/link/zone/29
etc...
Désolé mais à part un ou deux sites comme campus cerimes , la plupart des sites indiquent le mode des études cliniques (ce n’est pas un cours universitaire faisant partie du cursus général), ou font de la pub pour leur business. Ces formations en nutrition font partie de spécialisations comme l’homéopathie, (où créditer l’une revient à créditer l’autre). Mais la nutrition n’est pas enseignée EN FORMATION GENERALE et est donc quasi ignorée des praticiens qui sont la majorité de ceux qui sont consultés par les malades.
Mais je veux bien reprendre chaque site indiqué pour voir en quoi ils entrent dans la formation de médecine non spécialisée. Et ensuite (pour les rares retenus) ce qu’ils enseignent en réalité : comme suite à celui-ci par exemple :
http://invs.santepubliquefrance.fr/Doss ... tion-sante
Enquêtes et études
Publié le 28/03/2006 - Dernière mise à jour le 23/04/2015
ENNS : étude nationale nutrition santé
L’objectif principal de l’étude ENNS était de décrire les apports alimentaires, l’état nutritionnel et l’activité physique d’un échantillon national d’adultes (18-74 ans) et d’enfants (3-17 ans) vivant en France métropolitaine en 2006-2007.
Ses objectifs secondaires étaient de :
• décrire les prévalences de diabète, syndrome métabolique, hypertension artérielle, dyslipidémies, leurs facteurs de risque nutritionnels et leur prise en charge médicamenteuse et nutritionnelle chez les adultes ;
• décrire l’exposition de la population à certains métaux lourds (arsenic, cadmium, mercure, plomb) et pesticides, ainsi que leurs déterminants[*]
janic a écrit :Je (...) lui ai donc indiqué telle plante tirée d’un ouvrage spécialisé
bruyère? canneberge? busserole?
Tu vois quand tu veux, tu peux consulter des ouvrages non scientifiquement établis et en dehors des essais cliniques que tu considères comme seule référence admise.
Mais le but de cette citation n’est pas pour valoriser telle ou telle médecine, mais pour montrer combien ces domaines sont ignorés par nombre de praticiens (quand ils ne sont pas carrément niés), c’est donc plus l’attitude que les moyens qui sont mis en cause et tu en sais quelque chose !
NB : Là encore, la nutrition, telle qu’enseignée (après avoir été longtemps niée quant à son rôle préventif et curatif (on en est encore loin sur ce dernier point comme en cancérologie officielle) ne prend en considération que quelques aspects de type « médical » et beaucoup moins comme facteur préventif sinon ça ficherait par terre de nombreux dogmes nutritionnels et culturels et mettrait au chômage une bonne partie des professionnels de santé.
[*] l'ENNS avait envoyé aussi son questionnaire aux sites sur le VG. Quelques uns ont voulu y répondre et malheureusement aucune question ne concernait cette "particularité" et n'a pas été améliorée pour autant, laissant une partie de la population (certains disent plusieurs millions?) en dehors de cette enquête et qui pourtant a beaucoup à dire, à défaut d'être entendue.
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Re: Homéopathie: Efficacité remise en cause aux États-Unis
J’ai lu la curiosité de lire le PDF de poly nutrition.
C’est un curieux mélange de choses plutôt justes et d’autres qui tiennent surtout à se référencer à une vision théorique et abstraite comme si l’alimentation consistait en des éprouvettes et des balances.
Je passe sur nombre de points qui peuvent être contestés (comme les laits pour biberons avec du soja)[*] pour arriver à un sujet que je connais et surtout pratique au quotidien (ce qui n’est pas le cas de ces théoriciens) et je vais en souligner certains points :
III PROFILS ALIMENTAIRES D’ORDRE « CULTUREL »
Tous les profils et modes alimentaires sont culturels hérités des générations précédentes.
ET RISQUES DE CARENCES
De nombreux profils alimentaires existent et peuvent par leur caractère d’exclusion de certains groupes et/ou catégories d’aliments induire certaines carences. Nous limiterons toutefois notre propos au végétarisme et au végétalisme.
Alimentation végétarienne :
Elle exclut la chair animale et le poisson mais elle autorise le lait, le beurre, les fromages et les oeufs.
La littérature des années 1950 mettait en garde contre l’alimentation végétarienne sans restriction et il n’y était pas question de possibilité d’être équilibrée (on continue de trouver ce type d’argumentation chez les lobbies de la bidoche)
elle fait parfois l'objet d'une application restrictive et peut être génératrice de carences en certains acides aminés essentiels et en fer.
Cette notion de restrictive est floue et les carences en question ne sont pas étayées par des mesures précises. Ainsi les acides aminés essentiels se trouvent dans la variété des végétaux, mais pas tous réunis ensembles seulement (pas plus que dans la bidoche d’ailleurs) ce qui n’est pas une condition essentielle de carence.
Alimentation végétalienne :
Elle exclut tout aliment d'origine animale y compris le lait, le beurre et l'oeuf.
La valeur biologique des protéines végétales étant faible, les carences en Aa essentiels sont très fréquentes.
Voilà une absurdité supplémentaire! Tous les animaux végétariens ne seraient nutris que de protéines de faible valeur: alors comment se fait-il qu'ils soient parmi les animaux les plus robustes ou les plus rapides. Quant au "très fréquentes" cela demande, là aussi, des valeurs absentes ici (voir plus bas)
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/le ... ives_30129
en fait une assez bonne analyse dont :
En vogue, le régime végétalien peut s'avérer inapproprié s'il n'est pas bien mené
il provoque des carences en nutriments essentiels au bon fonctionnement du corps s'il n'est pas bien mené,
Nous avons constaté que certaines de ces substances nutritives, qui peuvent avoir des implications dans des troubles neurologiques, l'anémie, la force osseuse et d'autres préoccupations de santé, peuvent être déficientes dans des régimes végétaliens mal menés"
De nombreux végétaliens manquent de vitamines B12 et D, de fer et de calcium. En cause, le choix de produits alimentaires transformés et le manque de fruits, de légumes variés et de graines entières.
]"En revanche, et contrairement à ce que l’on pourrait penser, la plupart ne semble pas manquer de protéines ou d’acides aminés", ajoute la spécialiste
Ce qui confirme la méga étude menée par 10.000 diététiciens américains et canadiens sur les modes alimentaires végétariens et végétaliens.
Continuons sur les contre vérités du site analysé:
De même, les carences en vitamine B12 (de source exclusivement animale) et en fer, sont habituelles et souvent sévères.
Cette même étude américano canadienne relève que ces cas ne sont pas réellement constatés chez les VGL étudiés.
De plus, la littérature américaine, venant du gouvernement, recense les cas de manque de vit B12 de part le monde et sur de nombreuses années et les nombreux en question se révèlent rarissimes et ne touchent que quelques femmes enceintes et des vieillards non VG. qui pourtant mangent ces produits supposés leur apporter celle la.
Ce type d’alimentation est à fortement déconseiller.
Comme quoi, les avis sont partagés. Et ce sont des contrevérités qui seront enseignées aux étudiants qui vont en faire leur règle de fonctionnement professionnel.
La complémentation protéique chez le végétarien :
Elle consiste à améliorer l'équilibre imparfait des acides aminés d'une protéine ingérée par une autre protéine de composition complémentaire, les deux sources de protéines consommées en même temps permettant ainsi d'obtenir un plat de meilleure qualité nutritionnelle.
Contre vérité en question. Aucun système alimentaire n’apporte (sauf sur du papier dans des labos) l’ensemble des nutriments nécessaires au bon équilibre alimentaire et pas plus dans le cas des acides aminés (sauf à vouloir faire croire qu’un organisme vivant n’est plus capable de stocker, mettre en attente, les différents acides aminés nécessaires.)
Les céréales sont déficientes en lysine. Les légumineuses (soja et légumes secs) sont déficients en méthionine.
Le terme déficient est un abus de langage qui cherche a inquiéter le lecteur! C’est comme dire que tel fruit est déficient (on ne mangerait plus de fruits dans ces conditions ; or aucun produit alimentaire ne contient tous les nutriments dont un organisme a besoin. pas besoin d'avoir fait nutrition pour le comprendre) en tel nutriment que l’on va trouver chez son voisin et l’inverse. Alors qu'il ne s'agit que de composition différente spécifique à chaque produit, pas de déficience. C‘est à l’intérieur de l’organisme que celui-ci va sélectionner et utiliser tel nutriment, le reste finira dans les selles et personne, je dis bien personne ne peut déterminer quels sont ceux-ci , en quelle quantité, en quels mélanges ou assemblages le corps va s’en servir.
C’est complètement débile de tenir un pareil raisonnement.
Il faut donc conseiller des plats comprenant à la fois des céréales et des légumineuses (riz et soja ; maïs et haricots secs ; blé et pois chiche …).
Dans un organisme vivant deux et deux ne font pas 4. Quelques fois ils s’ajoutent d’autres fois se retranchent ou bien se multiplient comme se divisent .
L’utilisation de levure et de concentrés protéiques (ex : tofu ; tonyu) est également possible pour optimiser la couverture des besoins protéiques.
Les concentrations protéiques sont des absurdités en diététique. En effet s’il suffisait de mettre 100 l d’essence dans un réservoir qui n’en contient que 50,ça ne servirait à rien, le supplément finirait par terre ou dans l'habitacle et empoisonnerait son conducteur (dans les toilettes pour le protéines ou bien se stockerait là où l’organisme cherche à s’en débarrasser et cela donnerait les pathologies liées à ces excès non utilisés).
La nutrition ce n’est pas seulement des produits ajoutés à d’autres produits comme si un service achat commandait des matériaux qui ne pourraient être utilisés en fabrication ou bien inadaptés à celle-ci, ou encore générant de nombreux déchets, ce qui coûte cher en énergie et en fonds investis.
[*] comme celui donné par la maman citée à son bébé.
NB: cette notion de mal mené est importante et fait partie des réticences que peuvent avoir certains pour ce changement.
Pour avoir fréquenté des forums VG et VGL, j'y ai constaté que certains ne sont VGL que par sentimentalisme comme les végans, mais à part ça ne cherchent même pas à bien mener ce mode alimentaire. D'autres le deviennent pour des raisons écologiques pour préserver la planète des effets de l'élevage avec le défrichement de plus en plus nécessaire pour leur nourriture, au détriment de la nourriture plus directe pour l'humanité. Mais là aussi, pas de recherche pour bien mener, mais ce n'est pas une référence en soi sur le plan nutritionnel axé sur la recherche de santé des populations, ce que veut probablement dire cette étude citée par science et avenir.
C’est un curieux mélange de choses plutôt justes et d’autres qui tiennent surtout à se référencer à une vision théorique et abstraite comme si l’alimentation consistait en des éprouvettes et des balances.
Je passe sur nombre de points qui peuvent être contestés (comme les laits pour biberons avec du soja)[*] pour arriver à un sujet que je connais et surtout pratique au quotidien (ce qui n’est pas le cas de ces théoriciens) et je vais en souligner certains points :
III PROFILS ALIMENTAIRES D’ORDRE « CULTUREL »
Tous les profils et modes alimentaires sont culturels hérités des générations précédentes.
ET RISQUES DE CARENCES
De nombreux profils alimentaires existent et peuvent par leur caractère d’exclusion de certains groupes et/ou catégories d’aliments induire certaines carences. Nous limiterons toutefois notre propos au végétarisme et au végétalisme.
Alimentation végétarienne :
Elle exclut la chair animale et le poisson mais elle autorise le lait, le beurre, les fromages et les oeufs.
La littérature des années 1950 mettait en garde contre l’alimentation végétarienne sans restriction et il n’y était pas question de possibilité d’être équilibrée (on continue de trouver ce type d’argumentation chez les lobbies de la bidoche)
elle fait parfois l'objet d'une application restrictive et peut être génératrice de carences en certains acides aminés essentiels et en fer.
Cette notion de restrictive est floue et les carences en question ne sont pas étayées par des mesures précises. Ainsi les acides aminés essentiels se trouvent dans la variété des végétaux, mais pas tous réunis ensembles seulement (pas plus que dans la bidoche d’ailleurs) ce qui n’est pas une condition essentielle de carence.
Alimentation végétalienne :
Elle exclut tout aliment d'origine animale y compris le lait, le beurre et l'oeuf.
La valeur biologique des protéines végétales étant faible, les carences en Aa essentiels sont très fréquentes.
Voilà une absurdité supplémentaire! Tous les animaux végétariens ne seraient nutris que de protéines de faible valeur: alors comment se fait-il qu'ils soient parmi les animaux les plus robustes ou les plus rapides. Quant au "très fréquentes" cela demande, là aussi, des valeurs absentes ici (voir plus bas)
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/le ... ives_30129
en fait une assez bonne analyse dont :
En vogue, le régime végétalien peut s'avérer inapproprié s'il n'est pas bien mené
il provoque des carences en nutriments essentiels au bon fonctionnement du corps s'il n'est pas bien mené,
Nous avons constaté que certaines de ces substances nutritives, qui peuvent avoir des implications dans des troubles neurologiques, l'anémie, la force osseuse et d'autres préoccupations de santé, peuvent être déficientes dans des régimes végétaliens mal menés"
De nombreux végétaliens manquent de vitamines B12 et D, de fer et de calcium. En cause, le choix de produits alimentaires transformés et le manque de fruits, de légumes variés et de graines entières.
]"En revanche, et contrairement à ce que l’on pourrait penser, la plupart ne semble pas manquer de protéines ou d’acides aminés", ajoute la spécialiste
Ce qui confirme la méga étude menée par 10.000 diététiciens américains et canadiens sur les modes alimentaires végétariens et végétaliens.
Continuons sur les contre vérités du site analysé:
De même, les carences en vitamine B12 (de source exclusivement animale) et en fer, sont habituelles et souvent sévères.
Cette même étude américano canadienne relève que ces cas ne sont pas réellement constatés chez les VGL étudiés.
De plus, la littérature américaine, venant du gouvernement, recense les cas de manque de vit B12 de part le monde et sur de nombreuses années et les nombreux en question se révèlent rarissimes et ne touchent que quelques femmes enceintes et des vieillards non VG. qui pourtant mangent ces produits supposés leur apporter celle la.
Ce type d’alimentation est à fortement déconseiller.
Comme quoi, les avis sont partagés. Et ce sont des contrevérités qui seront enseignées aux étudiants qui vont en faire leur règle de fonctionnement professionnel.
La complémentation protéique chez le végétarien :
Elle consiste à améliorer l'équilibre imparfait des acides aminés d'une protéine ingérée par une autre protéine de composition complémentaire, les deux sources de protéines consommées en même temps permettant ainsi d'obtenir un plat de meilleure qualité nutritionnelle.
Contre vérité en question. Aucun système alimentaire n’apporte (sauf sur du papier dans des labos) l’ensemble des nutriments nécessaires au bon équilibre alimentaire et pas plus dans le cas des acides aminés (sauf à vouloir faire croire qu’un organisme vivant n’est plus capable de stocker, mettre en attente, les différents acides aminés nécessaires.)
Les céréales sont déficientes en lysine. Les légumineuses (soja et légumes secs) sont déficients en méthionine.
Le terme déficient est un abus de langage qui cherche a inquiéter le lecteur! C’est comme dire que tel fruit est déficient (on ne mangerait plus de fruits dans ces conditions ; or aucun produit alimentaire ne contient tous les nutriments dont un organisme a besoin. pas besoin d'avoir fait nutrition pour le comprendre) en tel nutriment que l’on va trouver chez son voisin et l’inverse. Alors qu'il ne s'agit que de composition différente spécifique à chaque produit, pas de déficience. C‘est à l’intérieur de l’organisme que celui-ci va sélectionner et utiliser tel nutriment, le reste finira dans les selles et personne, je dis bien personne ne peut déterminer quels sont ceux-ci , en quelle quantité, en quels mélanges ou assemblages le corps va s’en servir.
C’est complètement débile de tenir un pareil raisonnement.
Il faut donc conseiller des plats comprenant à la fois des céréales et des légumineuses (riz et soja ; maïs et haricots secs ; blé et pois chiche …).
Dans un organisme vivant deux et deux ne font pas 4. Quelques fois ils s’ajoutent d’autres fois se retranchent ou bien se multiplient comme se divisent .
L’utilisation de levure et de concentrés protéiques (ex : tofu ; tonyu) est également possible pour optimiser la couverture des besoins protéiques.
Les concentrations protéiques sont des absurdités en diététique. En effet s’il suffisait de mettre 100 l d’essence dans un réservoir qui n’en contient que 50,ça ne servirait à rien, le supplément finirait par terre ou dans l'habitacle et empoisonnerait son conducteur (dans les toilettes pour le protéines ou bien se stockerait là où l’organisme cherche à s’en débarrasser et cela donnerait les pathologies liées à ces excès non utilisés).
La nutrition ce n’est pas seulement des produits ajoutés à d’autres produits comme si un service achat commandait des matériaux qui ne pourraient être utilisés en fabrication ou bien inadaptés à celle-ci, ou encore générant de nombreux déchets, ce qui coûte cher en énergie et en fonds investis.
[*] comme celui donné par la maman citée à son bébé.
NB: cette notion de mal mené est importante et fait partie des réticences que peuvent avoir certains pour ce changement.
Pour avoir fréquenté des forums VG et VGL, j'y ai constaté que certains ne sont VGL que par sentimentalisme comme les végans, mais à part ça ne cherchent même pas à bien mener ce mode alimentaire. D'autres le deviennent pour des raisons écologiques pour préserver la planète des effets de l'élevage avec le défrichement de plus en plus nécessaire pour leur nourriture, au détriment de la nourriture plus directe pour l'humanité. Mais là aussi, pas de recherche pour bien mener, mais ce n'est pas une référence en soi sur le plan nutritionnel axé sur la recherche de santé des populations, ce que veut probablement dire cette étude citée par science et avenir.
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« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré
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Re: Homéopathie: Efficacité remise en cause aux États-Unis
J'ai mis des liens au hasard, il y en a des tas.janic a écrit :Désolé mais à part un ou deux sites comme campus cerimes , la plupart des sites indiquent le mode des études cliniques (ce n’est pas un cours universitaire faisant partie du cursus général), ou font de la pub pour leur business. Ces formations en nutrition font partie de spécialisations comme l’homéopathie, (où créditer l’une revient à créditer l’autre). Mais la nutrition n’est pas enseignée EN FORMATION GENERALE et est donc quasi ignorée des praticiens qui sont la majorité de ceux qui sont consultés par les malades.
Mais peu importe, spécialisation ou pas: Je voulais souligné que l'alimentation/le sommeil/l’hygiène de vie sont des paramètres qui sont pris en compte par la médecine conventionnelle. Ce n'est pas réservé à la médecine non-conventionnelle. Dans ces domaines cités, il y a de nombreuses formations et recherches, des études cliniques sont réalisées en permanence.
Je fais toujours ainsi. Le fait que je prenne position sur tel ou tel sujet ne veut pas dire que je n'en ai pas étudier les différents aspects. Au contraire, je ne prends rien pour du "tout cuit": Je consultes le(s) pour et le(s) contre, je recoupes les sources, je vérifies et seulement après je me fais une opinion. Bref, rien d'exceptionnel, je pense qu'on est nombreux dans ce cas.janic a écrit :Tu vois quand tu veux, tu peux consulter des ouvrages non scientifiquement établis
Bon nombre de domaine sont ignorés par les praticiens. Un praticien pratique la connaissance (et c'est déjà beaucoup), un chercheur crée cette connaissance, la fait évoluer. C'est pour ça que j'ai tendance à accorder plus de crédit à la médecine scientifique (médecin chercheur) qu'à la médecine pratique (médecin praticien).janic a écrit :mais pour montrer combien ces domaines sont ignorés par nombre de praticiens
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Re: Homéopathie: Efficacité remise en cause aux États-Unis
janic a écrit ésolé mais à part un ou deux sites comme campus cerimes , la plupart des sites indiquent le mode des études cliniques (ce n’est pas un cours universitaire faisant partie du cursus général), ou font de la pub pour leur business. Ces formations en nutrition font partie de spécialisations comme l’homéopathie, (où créditer l’une revient à créditer l’autre). Mais la nutrition n’est pas enseignée EN FORMATION GENERALE et est donc quasi ignorée des praticiens qui sont la majorité de ceux qui sont consultés par les malades.
J'ai mis des liens au hasard, il y en a des tas.
Tu en citerais 10 fois plus, cela ne changerait pas grand-chose, tant ils se reprennent les uns , les autres (en copier coller)
Mais peu importe, spécialisation ou pas: Je voulais souligné que l'alimentation/le sommeil/l’hygiène de vie sont des paramètres qui sont pris en compte par la médecine conventionnelle.
Je n’ai pas dit le contraire, je me cite :
Il faudrait être de très mauvaise foi, pour nier ces paramètres. Mais cela n’aurait- de valeur scientifique que si cela entrait dans leur cursus universitaire. Or combien de temps (autre que quelques heures ou quelques jours,) y sont consacrés, où sont les cours sur la nutrition, sur ses actions préventives et curatives, sur l’incidence de ce qui a été mangé sur le sommeil, etc…) rien car cela n’est pas supposé exister (scientifiquement et soumis à comités d’experts ; à des essais cliniques) Donc ne valide en rien ce qui ressort du bon sens et dont l’efficacité ne se mesure que dans la vraie vie.
Ce n'est pas réservé à la médecine non-conventionnelle. Dans ces domaines cités, il y a de nombreuses formations et recherches, des études cliniques sont réalisées en permanence.
Cites m’en une, complète et en français, pour voir.
janic a écrit :Tu vois quand tu veux, tu peux consulter des ouvrages non scientifiquement établis
Je fais toujours ainsi. Le fait que je prenne position sur tel ou tel sujet ne veut pas dire que je n'en ai pas étudier les différents aspects. Au contraire, je ne prends rien pour du "tout cuit": Je consultes le(s) pour et le(s) contre, je recoupes les sources, je vérifies et seulement après je me fais une opinion. Bref, rien d'exceptionnel, je pense qu'on est nombreux dans ce cas.
D’où cette question : as-tu étudié l’homéopathie, exprimée par de vrais homéopathes,et donc recoupé et vérifié leurs sources autrement qu’avec wikipedia ( si je me fies à ta façon d'interpréter ce qu'a dit H sur la médecine de son temps, ça ne sera pas évident!)
janic a écrit :mais pour montrer combien ces domaines sont ignorés par nombre de praticiens
Bon nombre de domaine sont ignorés par les praticiens. Un praticien pratique la connaissance (et c'est déjà beaucoup), un chercheur crée cette connaissance, la fait évoluer. C'est pour ça que j'ai tendance à accorder plus de crédit à la médecine scientifique (médecin chercheur) qu'à la médecine pratique (médecin praticien).
C‘est ce qui te différencie du grand public qui, lui, accorde son crédit à ce qui marche et met fin à sa souffrance et dont la source « scientifique », les essais cliniques (rassurants) du genre médiator ou Depakine lui importe peu, voir pas du tout quand au contraire ces produits font du mal.
Maintenant sans médecins praticiens (qui sont supposés prescrire les produits de ces chercheurs), ceux –ci n’auraient plus qu’à s’inscrire à l’ANPE et ne plus trouver de boulot. Alors que ces praticiens peuvent toujours s’orienter différemment et prescrire des produits non conventionnels comme l'H.
NB: un chercheur ne crée pas une connaissance, il en établi certains paramètres uniquement(pas tous sinon il n'y aurait pas de bavures) par l'observation de ce qui existe déja .
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« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré
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Re: Homéopathie: Efficacité remise en cause aux États-Unis
Donc on est d'accord sur ce pointjanic a écrit :Je n’ai pas dit le contraire,Mais peu importe, spécialisation ou pas: Je voulais souligné que l'alimentation/le sommeil/l’hygiène de vie sont des paramètres qui sont pris en compte par la médecine conventionnelle.
Quel culot! Tu avances quelque chose d'extraordinaire: un truc pour guérir le cancer: Pas de lien pas de source. Je t'avance quelque chose de banal: Des études cliniques sur le sommeil, l'alimentation, etc... mais il te faut des sources, "complète et en francais" !!! Et la police d'écriture aussi? Je comprends pas bien, si c'est pas en francais, tu réfutes?janic a écrit :Cites m’en une, complète et en français, pour voir.Dans ces domaines cités, il y a de nombreuses formations et recherches, des études cliniques sont réalisées en permanence.
https://www.google.fr/webhp?sourceid=ch ... imentation
https://www.google.fr/webhp?sourceid=ch ... ue+sommeil
Oui un peu, je t'en ai cité quelques liens d'ailleurs.janic a écrit :D’où cette question : as-tu étudié l’homéopathie, exprimée par de vrais homéopathes,et donc recoupé et vérifié leurs sources autrement qu’avec wikipedia
Je ne suis pas tout seul dans ce cas.janic a écrit :C‘est ce qui te différencie du grand public qui, lui, accorde son crédit à ce qui marche
Qu'importe, tu as bien compris ce que je voulais dire, tu pinailles encore sur les mots:janic a écrit :NB: un chercheur ne crée pas une connaissance, il en établi certains paramètres uniquement(pas tous sinon il n'y aurait pas de bavures) par l'observation de ce qui existe déja .
"Le manuel de Frascati, édité par l'OCDE, le définit ainsi : Spécialiste travaillant à la conception ou à la création de connaissances, de produits, de procédés, de méthodes et de systèmes nouveaux et à la gestion des projets concernés " https://fr.wikipedia.org/wiki/Chercheur
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Re: Homéopathie: Efficacité remise en cause aux États-Unis
janic a écrit :Mais peu importe, spécialisation ou pas: Je voulais souligné que l'alimentation/le sommeil/l’hygiène de vie sont des paramètres qui sont pris en compte par la médecine conventionnelle.
Je n’ai pas dit le contraire,
Donc on est d'accord sur ce point
tu progresses encore, c'est un bon signe!
janic a écrit :Dans ces domaines cités, il y a de nombreuses formations et recherches, des études cliniques sont réalisées en permanence.
Cites m’en une, complète et en français, pour voir.
Quel culot! Tu avances quelque chose d'extraordinaire: un truc pour guérir le cancer:
Ce n'est pas ce que j'ai dit: JE ne suis pas thérapeute et je n'ai donc pas le droit de dire celà. J'ai souligné simplement que la médecine officielle allopathique s'est arrogé le monopole des thérapeutiques concernant cette pathologie et "interdisant" de ce fait toute autre pratique médicale par les médecins non conventionnels, sous risque de se faire rayer de l'ordre des médecins et donc se retrouver au chômage.
Par contre, effectivement, il existe d'autres voies possibles, donc non officielles (et surtout pas "scientifiques , en double aveugle, avec essais cliniques" et autres billevesées) qu'empruntent des pro médecines douces ou des laissés pour compte et qui démontrent que ces voies sont possibles et existent bien, mais non reconnues par la médecine aux ordres des lobbies pharmaceutiques.
. Effectivement j'ai été précis et clair sur ce point, je ne TE donnerais pas de liens (pour autant qu'il en existe) ni de sources que de toutes façons tu nierais (à commencer par l'H) alors à quoi bon?de lien pas de source
Je t'avance quelque chose de banal: Des études cliniques sur le sommeil,
bien que parcouru rapidement, je n'y ai pas vu d'études cliniques, mais peu importe! Pas besoin d'études cliniques pour s'apercevoir que lorsqu'un individu manque de sommeil, des troubles apparaissent et disparaissent en retrouvant celui-ci et n'importe quel idiot (dont moi, n'ayant jamais lu d'étude clinique) s'en sera rendu compte.
Les études l'alimentation, etc...
Même chose! Pour la seule en PDF un peu développée et donc analysée.
C'est un tissus de contre vérités sur certains points et particulièrement sur la partie VG. Ceux qui ont écrit ce fatras d'inepties n'ont jamais pratiqué, de façon, évidente, ce qu'ils mettent en cause. Planqués derrière un bureau avec des pilles de documents partiaux, plus ou moins "téléphonés" par les lobbies de la bidoche. Si c'est ça les études en question, beurk!
Non seulement elles sont fausses, par bien des aspects, mais en plus inapplicables (pour ceux qui, voudraient mettre en pratique leurs" conseils") et cela donne des "nutritionnistes " du genre Cohen qui raconte n'importe quoi sur les sujets qu'il ignore complètement et même il y ajoute une hypocrisie médiatisable. Re beurk!
mais il te faut des sources, "complète et en francais" !!!
Eh oui! Je ne connais et ne lis que cette langue, mais je compense en m'efforçant d'en appréhender les différentes nuances qui en font sa richesse, tu as pu t'en rendre compte.
Et complète parce que des petits bouts, déjà analysés pour vulgarisation comme sur l'INVS et ayant souvent pour source l"INSERM, ça ne rend compte que les aspects que le vulgarisateur veut bien faire passer. (Je consulte essentiellement les sujets sur la vaccination et il faut faire de la spéléologie pour y mettre au grand jour ce qui est noyé au milieu de chiffres, de courbes, de statistiques et de points de vues à orientation bien claire: créditer le business des labos pharmaceutiques fabriquant les vaccins en question.).
Et la police d'écriture aussi? Je comprends pas bien, si c'est pas en francais, tu réfutes?
Je ne réfute pas puisque je ne maitrise pas de langue autre que ce français (déjà que même là ce n'est pas toujours évident!)
https://www.google.fr/webhp?sourceid=ch ... imentation
https://www.google.fr/webhp?sourceid=ch ... ue+sommeil
Les liens entre nutrition et santé plus que jamais d’actualité pour la recherche
De nombreuses équipes de recherche, notamment à l’Inserm, travaillent sur les liens entre nutrition et santé au travers d’études épidémiologiques, cliniques et biologiques. Les domaines étudiés sont notamment ceux de l’obésité et de la santé cardiovasculaire, du cancer, du système digestif, de la flore intestinale, du tissu adipeux mais également ceux de l’allergie ou de la toxicologie.
encore une fois tu renvoies soit vers des études statistiques, soit vers des sites qui, MAINTENANT ne peuvent plus nier le rôle des modes alimentaires (après les avoir longtemps niés, ridiculisés et combattus pendant des décennies) et qui arrivent, le bec enfariné, comme s'ils venaient de découvrir le graal.
janic a écrit ’où cette question : as-tu étudié l’homéopathie, exprimée par de vrais homéopathes,et donc recoupé et vérifié leurs sources autrement qu’avec wikipedia
Oui un peu, je t'en ai cité quelques liens d'ailleurs.
Pas vers de VRAIS homéopathes qui sont des unicistes exclusifs. pas des bricoleurs qui mélangnts chèvre et chou.
C'est la différence entre le peu et le beaucoup qui permet de mieux assurer la validité ou l'invalidité d'un sujet. C'est peut être ce "un peu" en question qui fait défaut dans ta démarche?
janic a écrit :C‘est ce qui te différencie du grand public qui, lui, accorde son crédit à ce qui marche
Je ne suis pas tout seul dans ce cas.
Je m'en doute. Mais pose des questions autour de toi auprès du grand public (46%) utilisant de l'H pour savoir si ce sont les résultats de terrain qui leurs paraissent importants ou des études de laboratoires ignorantes de ce sujet.
janic a écrit :NB: un chercheur ne crée pas une connaissance, il en établi certains paramètres uniquement(pas tous sinon il n'y aurait pas de bavures) par l'observation de ce qui existe déjà .
Qu'importe, tu as bien compris ce que je voulais dire, tu pinailles encore sur les mots:
"Le manuel de Frascati, édité par l'OCDE, le définit ainsi : Spécialiste travaillant à la conception ou à la création de connaissances, de produits, de procédés, de méthodes et de systèmes nouveaux et à la gestion des projets concernés " https://fr.wikipedia.org/wiki/Chercheur
Ta référence n'est pas adaptée au vocable de créer, c'est encore un abus de langage.
J'ai exercé une profession de bureau d'étude et de recherche (vocable justifié ou pas, toute recherche ne se fait pas dans des labos ou des universités) et sauf à des très, trés rares exceptions (Remondo pourra te donner son avis de professionnel aussi) il n'y a pas de véritable création, mais d'adaptation, de réunion de technologies déjà existantes, mais, liées à un moment particulier pour des besoins particuliers et qui donnent un Xiemme produit supplémentaire. La notion de créer est liée à l'inexistence préalable à toutes choses ce qui, hormis la création de l'univers, de la vie, qui relèvent du miracle divin, n'est pas le cas de notre monde et sa matérialité. Donc inventer est un vocable plus justifié que créer! et c'est l'inventeur que je suis qui en parle!
Un inventeur ou une inventrice est une personne qui invente, c'est-à-dire qui est la première à avoir l'idée d'un nouvel objet, produit, process, concept ou d'une nouvelle technique ; l'inventeur est à distinguer de l'innovateur et de l'entrepreneur. Dans le cas particulier de la découverte d'une chose enfouie dans le sol ou sous une étendue d'eau, l'inventeur de cette chose est la personne qui en a fait la découverte.
wikipedia comme d 'habitude.
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« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré
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Re: Homéopathie: Efficacité remise en cause aux États-Unis
Je ne suis pas sûr que tes remarques condescendantes répétées te serventjanic a écrit :tu progresses encore, c'est un bon signe!
Tu m'as dit qu'il y avait des "résultats de terrain appuyé sur des travaux de scientifiques et de médecins"janic a écrit :Ce n'est pas ce que j'ai dit:Quel culot! Tu avances quelque chose d'extraordinaire: un truc pour guérir le cancer:
janic a écrit :Il ne s'agit pas de truc, mais de résultats de terrain appuyé sur des travaux de scientifiques et de médecins occultés et dénigrés, effectivement, par les lobbies en place.Donc, selon toi, il existe un "truc" en application pour guérir le cancer mais la médecine l'ignore ou l'occulte !!!
Ben, afin de donner du crédit à ce que tu avances par exemple. Principe de base: Ce qui est déclaré sans preuve, peut être réfuté sans preuve.janic a écrit :Effectivement j'ai été précis et clair sur ce point, je ne TE donnerais pas de liens (pour autant qu'il en existe) ni de sources que de toutes façons tu nierais (à commencer par l'H) alors à quoi bon?
C'est dommage, les 2 plus grosse méta-analyses sur l'homéopathie sont en anglais.janic a écrit :Eh oui! Je ne connais et ne lis que cette langue,
Je connais les différentes tendances, uniciste, pluraliste, complexiste. Les unicites en sont les puristes car ils se réfèrent aux écrits originaux mais je n'y vois rien de plus concret ou crédible dans aucune des trois démarches. Pas plus de preuves, ni de fondement.janic a écrit :Pas vers de VRAIS homéopathes qui sont des unicistes exclusifs. pas des bricoleurs qui mélangnts chèvre et chou.
En France, l'engouement pour cette pratique est liée à la pub et au discours ambiant: "Big-Pharma", méchants laboratoire, médecines "douces". La plupart des gens qui utilisent l'homéopathie ne savent pas qu'il n'existe pas de preuve de son efficacité, ils ne savent pas ce qu'est l'effet placebo, un essai clinique, un biais d'analyse.janic a écrit :Je m'en doute. Mais pose des questions autour de toi auprès du grand public (46%) utilisant de l'H pour savoir si ce sont les résultats de terrain qui leurs paraissent importants ou des études de laboratoires ignorantes de ce sujet.
Non c'est la définition (Chercheur = Qui crée la connaissance, entre autres). Après tu as le droit d'interpréter le moindre terme si basique soit-il mais là encore, tu me brodes tout un laïus d'une page pour ne pas appeler un chat un chat et au final ça n'apporte rien au débat.janic a écrit :Ta référence n'est pas adaptée au vocable de créer, c'est encore un abus de langage.
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