Des médecins ont porté plainte contre ce tweet et les entraves à la prescription d’ivermectine, qui aurait pu sauver des vies. Ce procès historique a été intenté contre la FDA par trois médecins, Mary Talley Bowden, Paul Marik et Robert Apter, et est passé en Cour d’appel le 8 août 2023. Une partie de ce procès contre la FDA était spécifique aux allégations frauduleuses et illicites faites par l’agence à l’encontre de l’Ivermectine.
La défense des avocats de la FDA est époustouflante, la FDA se débine en prétendant qu’elle n’a jamais interdit la prescription d’ivermectine, et que les médecins étaient libres de prescrire. Effectivement recommandation n’a pas force de loi, mais elle a exercé une pression considérable sur l’ensemble du corps médical et des pharmaciens pour qu’ils ne prescrivent ce médicament sous aucun prétexte. Cela a entraîné toute une chaîne d’actions anti ivermectine et de poursuites contre les prescripteurs.
Nous avons un peu la même situation en France, avec l’ANSM qui affirme que l’ivermectine ne fait strictement rien, tant en curatif qu’en prophylaxie, même quand 100% des 18 publications mondiales en prophylaxie prouvent le contraire. Les CPAM, les ARS, l’Ordre s’appuient sur ces affirmations très discutables, aidées par une partie de la communauté scientifique qui a réalisé des études douteuses : hors indication (traitements non précoces), et avec des populations jeunes, sans risque, qui guérissent sans traitement pour constater le peu de différences, contrairement à des études sur de vrais patients à risques comme celles de Pierre Loué ou de Charlotte Bernigaud. Le tout publié dans des revues “à comité de lecture”, financées par l’industrie pharmaceutique, qui se sont empressées de les publier dans le cadre d’un effort coordonné visant à discréditer l’ivermectine. L’ANSM s’est protégée en écrivant contrairement à la FDA : « vous pouvez prescrire », ce qu’ignore ceux qui poursuivent avec acharnement les prescripteurs, encore mi-2023.
Non seulement la FDA dit maintenant « ce n’est pas moi, c’est eux qui n’ont pas voulu prescrire », mais son avocate affirme qu’elle ne peut être tenue pour responsable de ses recommandations, jouissant d’une “immunité souveraine” et ne peut être tenue pour responsable de déclarations si elles sont mal interprétées, mais aussi si elles sont trompeuses !
Dans les interventions (que l’on peut trouver ici) devant la Cour d’Ashley Cheung Honold, avocate de la FDA , dans l’extrait 4 on apprend que même si les déclarations de la FDA sur l’ivermectine étaient partiellement trompeuses, l’agence n’est pas responsable de la perte du non emploi par les médecins.
Dans l’extrait 5 on apprend que la FDA a à sa tête des responsables politiques, tenus de rendre des comptes, et donc qu’elle peut prendre des décisions politiques et non scientifiques, et que ce n’est pas le rôle des tribunaux de vérifier les déclarations scientifiques de la FDA !
Dans l’extrait 3, quand la juge demande si les opinions peuvent êtres scientifiques ou pas du tout, la réponse est : “Il n’y a rien dans les multiples sources d’autorité que j’ai citées qui exige que la FDA passe par une quelconque procédure formelle”. Nous avons eu la même attitude avec l’ANSM, quand elle était censée donner un avis sur une autorisation. Nous avons demandé comme la loi l’exige le compte rendu des réunions ayant conduit à un refus, on nous a répondu qu’il n’y avait pas eu de réunion. On ne sait pas qui a décidé, ni en fonction de quels critères. Il s’agit donc simplement de l’opinion de l’ANSM, sans savoir de qui, médecin ou politique. La transparence voulue par la loi à la création de l’ANSM, suite au scandale du Médiator, n’a pas été respectée. Et pour cause, il ne fallait pas que l’on puis discuter de leurs arguments, sans doute parce qu’ils sont… discutables.
Après s’être félicité de l’efficacité de la campagne de dénigrement, devant le risque de condamnation pour perte de chance des malades, dire « vous auriez pu prescrire et ne pas nous écouter, s’il y a des conséquences vous êtes responsables, pas nous », est inacceptable quand des millions de morts étaient en jeu. Ces propos, qui sont un aveu, devraient conduire à la dissolution de ces organismes qui ont fait le contraire de ce pourquoi ils ont été créés : protéger les populations. L’AFSSAPS a été dissoute pour les mêmes raisons, la création de l’ANSM n’a rien changé, face à la puissance financière de l’industrie pharmaceutique, dont la survie et le bien-être passe avant celui des patients.
https://www.theburningplatform.com/2023 ... bombshell/
https://www.lucianne.com/2023/08/12/doc ... 13054.html
https://newsnadzis.pl/fda-drops-ivermectin-bombshell/