Pas plus futés en Suisse qu'en France :
"• Les études observationnelles, quasi-randomisés, et des petits essais cliniques randomisés publiés
sont de faible niveau de preuve et montrent des résultats contrastés. ...
• La sécurité de l’ivermectine est bien établie dans les maladies parasitaires. Elle ne l’est toutefois pas
dans les infections virales...
• L’ivermectine n'est actuellement approuvée dans le traitement d’aucune infection virale, y compris
l'infection à SRAS-CoV-2. La question de la dose efficace en clinique dans l’infection à SARS-CoV-2
n’est pas résolue [...]. Plus d’une soixantaine d’essais cliniques sont en cours pour le préciser."
https://www.hug.ch/sites/interhug/files ... vid-19.pdfJe traduis :
"il n'y a pas encore assez de morts du COVID pour prendre le risque de l'ivermectine.
L'ivermectine, patients, vous n'en aurez pas, risquez le COVID plutôt qu'un médicament sans risque connus depuis des lustres.
Tergiversons, tergiversons, tergiversons".