Tu l’as dit... Les trolls de ton niveau font de la désinformation...
Heureusement qu’il y a le travail admirable d’Adrien, Remundo, VetusLignum et quelques autres...
izentrop a écrit :Comme pour l'HCQ, ne répétons pas le même scénario
Le problème à régler avec l’ivermectine, c’est de déterminer à quelle dose minimale elle “aurait’ un effet. Alors que pour l’hydroxychloroquine, la dose est connue.
Autant il n’y a pas de recul sur les nouvelles molécules, autant il faudrait arrêter cette discrimination stérile de l’hydroxychloroquine. Et la raison est simple à comprendre, le score a battre c’est 0,5% de létalité... Puisque ce sont les chiffres...
Et cette molécule (HCQ) c’est la plus étudiée et celle dont un pourcentage non négligeable d’études — et surtout les études observationnelles — donnent des signes plus qu’encourageants sur son emploi, la seule actuelle, c’est cette molécule, et question des meilleures probabilités de guérison VS risque près de “zéro”, faudrait me citer n’importe quelle alternative: j’en vois pas d’autre... . Et du fait qu’à la place y a rien d’autre, faut pas chipoter les mecs... ah si, on a juste amélioré la prise en charge et le confort des patients (“juste” mais primordial...) vu l’effets d’anticoagulants, etc...
L’hydroxychloroquine ne peut faire de mal, tout au contraire, puisqu’elle va basifier le milieu cellulaire, ce qui va améliorer l’assimilation d’autres molécules au même niveau (et ça se joue au dixième de pH...) :
même si elle n’avait qu’un effet placebo, ce serait bon à prendre, mais ce sera forcément bien plus (car il y a un effet ã hauteur de l’attente de la molécule, je sais, c’est “mal”)
l’azithromycine est connue pour ses effets sur les infections, et on peut aider ã se préparer ã démultiplier les effets d’un tel traitement
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