As-tu des enfants ou eu des enfants ??? Mais pas besoin de me répondre.
Le monde est plein de dangers. Et ils y seront exposés.
Certes ! C’est notre cas à tous ! L’objectif n’est pas de prétendre les éviter tous, mais d’éviter ceux que l’on connait et c’est déjà pas si mal.
Je soulevais juste le problème de la responsabilité par l’exemple vis-à-vis de nos proches et surtout nos enfants. Certes on peut les laisser jouer avec les allumettes, jouer au jeu du foulard étrangleur, jouer aussi avec le fusil de papa chasseur et autres facteurs à risque ; ou bien être dans la prévention en mettant sous clé les produits toxiques, en mettant hors de portée les outils coupants, comme les allumettes, en évitant les queues de casseroles qui débordent de la table de cuisson et la consommation de certains produits comme le tabac, l’alcool, les drogues légales ou pas, qui en font partie
(« On estime actuellement que les accidents domestiques sont à l'origine de 18 000 à 20 000 décès par an. Ils constituent une importante cause de mortalité chez les jeunes
enfants. » http://www.fnors.org/Fnors/Ors/Travaux/So/804.pdf
Les brûlures chez le jeune enfant
• 31 % des victimes brûlées ont moins de 5 ans.
• 12 000 enfants sont atteints de brûlures dont 3 700 hospitalisés.
• Les accidents domestiques représentent 70% des brûlures chez les enfants. )
Je n'ai aucun mal à prendre un "bon" verre de vin (le "bon" s'entendait au sens premier ; comme cela m'arrive rarement, je prends quelque chose qui me goûte, et "bio") en présence de mes enfants. Mais je n'ai jamais fumé.
Je n’ai pas évoqué « en présence de » mais de leur propre consommation d’après l’exemple montré par nous « en présence de ». Où cela commence donc, à quel âge, en quelle quantité? Pour utiliser le parallèle alimentaire c’est comme manger de la viande (on revient au sujet) en présence de ses enfants, d'une part, et leur interdire d’en manger, par exemple, sous prétexte qu’ils seraient trop jeunes pour cela!
Je ne cherche pas à culpabiliser, mais seulement inciter à réfléchir au sujet !
Là encore, faudrait développer. J'esquisse : je ne pense pas qu'éduquer ce ne soit que "ne pas exposer", ni même "être parfait"... Le monde aura vite fait de ramener les jeunes à l'existance de tous les dangers.
Je suis bien d’accord avec ça ! On est aussi passés d’un manque d’hygiène qui a favorisé nombre d’épidémies, à l’excès de produits anti bactériens, anti parasites, antiviraux jusqu’à rendre ces produits inefficaces. Cela n’en empêche pas pour autant de recommander une hygiène même minimale.
Mais je suis un Homo sapiens socialus, j'éprouve un certain plaisir, sans doute acquis (bien que presque toute sles civilsations connaissent l'alcool sous une forme ou une autre, comme elles connaissent un dieu ; étrange, non ?).
Presque toutes effectivement, mais les conditions et circonstances n’avaient rien à voir avec l’utilisation actuelle. En effet, que ce soit du raisin, des pommes, ou tout autre végétal, leur conservation (pour passer les périodes sans) peut être le séchage, le salage, le sucrage, ou l’extraction et le stockage pour le long terme.
Or seul le stockage sous forme de jus sucrés produit de la fermentation alcoolique et pose le choix de ne pas consommer ces jus ou d’en assumer les inconvénients que seule la science moderne a permis d’analyser (ses composants) ? Sauf que cette fermentation alcoolique a eut des effets pervers comme la perte des inhibitions, détruire les organes filtres et perte du discernement entre le bien et le mal à cause de la dépendance qu’elle a fini par engendrer. Certes il y a une différence entre le consommateur occasionnel d’alcool, de tabac ; d’autres drogues et le dépendant (lequel, selon des témoignages, peut facilement changer de camp).
Je l’avais bien compris dans ce sens aussi. Je ne suis pas plus parfait que n’importe qui d’autre et j’ai la chance, ou fait le choix, d’éviter, d’éliminer certains facteurs à cause de leur inutilité, au-delà d’un risque possible, ça laisse de l’espace pour être disponible pour d’autres choix.Que je partage avec des amis qui éprouvent le même. Alors l'affectif, le "ressenti" prend, consciemment (je le fais en connaissance de cause ; personne ne m'oblige), le pas sur le "raisonnable"... J'appelle ça, en raccourci que la majorité a dû comprendre je pense, "ne pas m'interdire...".
Mais, par expérience, je puis assurer que les vrais amis comprennent un choix qui ne s’accorde pas avec le leur. En tant que VG, la plupart de mes relations ne le sont pas, je partage avec eux des moments de convivialité sans pour autant avoir recours à ces drogues légales ou non, bien conscient que la société a adopté des modes de faire depuis des générations et que même avec un désir sincère de changement, cela ne se fait (et ne se fera pas) facilement.
Ainsi, parce que c’est d’actualité, JP Coffe poussait des coups de gueule sur les aliments qui sont de la merde : combien en ont pris conscience et la majorité pas, par indifférence la plupart du temps.
Sen no sen, qui est VG de naissance (voir post voisin sur le sujet) n'a pas à s'interdire ou s'autoriser de consommer tel ou tel produit puisqu'il n'en consomme pas habituellement (comme mes enfants et petits enfants d'ailleurs) alors que "ton" cas est différent de par ta culture, tes habitudes.
PS :60 millions de consommateurs jette un cri d’alarme sur les poissons et les poisons qu’ils contiennent : plomb, mercure, alors que cela fait des décennies que cela est connu, mais avec la même indifférence car chacun croit ne pas être concerné comme pour les pesticides et autres produits « phytosanitaires » des grands industriels de la chimie. Nous sommes et ne sommes que des humains avec leurs faiblesses et contradictions, évidemment !