L'Allemagne utilise-t-elle (déjà) du Plaquenil (Chloroquine) contre le Covid-19?

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
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GuyGadebois
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Re: L'Allemagne utilise-t-elle (déjà) du Plaquenil (Chloroquine) contre le Covid-19?




par GuyGadebois » 20/03/20, 18:29

thibr a écrit :ces réflexions, dignes des professeurs du comité scientifique :mrgreen: défendant leur égo, sont complétements hors sujet :cheesy:
et cela ne nous donne pas la réponse à la question que fait l'Allemagne :wink:

sante-pollution-prevention/l-allemagne-utilise-t-elle-deja-du-plaquenil-chloroquine-contre-le-covid-19-t16352-120.html#p385465
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Christophe
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Re: L'Allemagne utilise-t-elle (déjà) du Plaquenil (Chloroquine) contre le Covid-19?




par Christophe » 20/03/20, 18:36

Quelques infos sur le fameux "comité corona"...j'imagine qu'on parle du même que celui évoqué plus haut?

https://www.telerama.fr/monde/coronavir ... 618099.php

Coronavirus : qui sont les deux chercheurs en sciences sociales qui éclairent le gouvernement ?

On le sait peu, mais le comité scientifique qui conseille le gouvernement sur la gestion de l’épidémie de coronavirus compte, parmi ses dix membres, une anthropologue et un sociologue. Et leurs spécialités de recherche en disent long sur les préoccupations du sommet de l’État.

Qui a dit que les sciences sociales ne servaient à rien ? La seule composition du conseil scientifique mis en place mercredi 11 mars par le ministre de la Santé Olivier Véran, à la demande du président Emmanuel Macron, démontre à elle seule le contraire.

Parmi les dix experts de l’instance présidée par Jean-François Delfraissy, président du Comité consultatif national d’éthique (CCNE), l’anthropologue Laëtitia Atlani-Duault et le sociologue Daniel Benamouzig côtoient huit collègues des « sciences dures » – parmi lesquels un médecin généraliste, une réanimatrice et cinq spécialistes. Tous sont chargés d’offrir « un éclairage scientifique et réactif sur des questions précises et concrètes » de l’exécutif, comme l’organisation des élections municipales ou le niveau nécessaire de confinement.

Réponses humanitaires

Les membres de ce conseil scientifique ad hoc sont bien entendu tenus à la confidentialité. Mais une lecture détaillée de leur parcours laisse entendre les priorités du gouvernement dans la gestion de l’épidémie. Laëtitia Atlani-Duault, directrice scientifique à la Fondation Maison des sciences de l’homme (FMSH) et directrice de recherche au Centre population et développement (Ceped, université Paris-Descartes), est spécialiste de « la fabrique et la gouvernance des réponses humanitaires et sanitaires apportées aux crises ». L’essentiel de ses ouvrages est d’ailleurs consacré au sujet humanitaire, comme Au bonheur des autres. Anthropologie de l’aide humanitaire (Armand Colin, 2005). Mais l’expertise de cette ancienne conseillère du secrétariat général de l’ONU pour les affaires humanitaires (2012-2015) intéresse aussi le gouvernement pour ses recherches sur le rôle des médias sociaux en période d’épidémie.

Laëtitia Atlani-Duault.


En la matière, cette professeure affiliée à l’université Columbia a notamment cosigné trois articles dans des revues scientifiques. Elle a ainsi analysé, à partir de l’épidémie de grippe H1N1 en 2009, comment les messages gouvernementaux ont influencé la perception du risque et les comportements d’immunisation de la population, en comparant la situation entre le Québec et la France (dans la revue Public Understanding of Science, 2015). Elle a aussi étudié la façon dont des boucs émissaires avaient été désignés sur les réseaux sociaux à partir de la production écrite et audiovisuelle des médias durant cette épidémie (Culture, Medicine and Psychiatry, 2015). Et l’universitaire de 47 ans – qui vit avec « deux ados confinés », nous confie-t-elle – a récemment approfondi le sujet en observant qui fut mis en cause sur Facebook et Twitter, durant l’épidémie d’Ebola (Culture, Medicine and Psychiatry, 2019). Grâce à son expertise, le gouvernement voudrait-il limiter les risques d'être à son tour pointé du doigt dans sa gestion de l’épidémie ?

Gouverner en temps de crise
Quant à Daniel Benamouzig, directeur de recherche au Centre de sociologie des organisations (unité mixte entre le CNRS et Sciences-Po), il est un habitué des instances de consultation de l’État. Il est membre de la Commission évaluation économique et de santé publique (Ceesp, qui fournit des avis médico-économiques sur les nouveaux médicaments), intervient auprès du Conseil d’analyse stratégique (CAS, chapeauté par Matignon) et a présidé de 2008 à 2013 le groupe santé du think tank proche du Parti socialiste, Terra Nova. Ses axes de recherches sont à cheval entre économie (il est notamment auteur de La Santé au miroir de l’économie. Une histoire de l’économie de la santé en France, chez PUF en 2005) et sociologie. Sa thèse « Essor et développement de l’économie de la santé », soutenue en 2000, a été dirigée par le célèbre sociologue Raymond Boudon (décédé en 2013).

Daniel Benamouzig.


Cet universitaire de 51 ans, père de deux enfants, est un spécialiste – entre autres – de la gouvernance institutionnelle. Et étant donné l’immense pression que subit notre système de soins, en particulier à l’hôpital, son expertise devrait aider à gouverner en temps de crise. À travers des articles universitaires, il s’est par exemple intéressé à la trajectoire bureaucratique visant à déterminer le prix des médicaments (dans la Revue française des affaires sociales, en 2018) ou encore aux réorganisations administratives des agences sanitaires, dans un livre collectif sur le sujet en 2009.

Anthropologie du coronavirus
Plus qu’une aide aux décisions du gouvernement, la riposte scientifique compte aussi s’appuyer sur les sciences sociales. Le réseau REACTing, acronyme de « REsearch and ACTion targeting emerging infectious diseases » (« Recherche et action ciblant les maladies infectieuses émergentes ») a sélectionné vingt projets de recherche la semaine dernière. Parmi eux, quatre relèvent des sciences humaines et sociales. Ce consortium formé en 2014 qui regroupe les principaux acteurs de la recherche en France (dont l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, Inserm) va notamment financer des projets proposés par Daniel Benamouzig et Laëtitia Atlani-Duault.

Le premier va chercher à analyser les effets de la mise en circulation des données scientifiques sur la population, quand la seconde cherchera comment éclairer la communication des institutions en cas d’émergence d’une épidémie, à partir de la réaction des réseaux sociaux au coronavirus. Les deux autres projets retenus consistent en une anthropologie du confinement des Français rapatriés de Chine et en une analyse des perceptions et comportements des professionnels de santé et de la population à l’occasion du Covid-19. Espérons que le gouvernement, une fois la crise passée, se souvienne de ces contributions quand il lui faudra statuer sur le budget de la recherche publique…
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bardal
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Re: L'Allemagne utilise-t-elle (déjà) du Plaquenil (Chloroquine) contre le Covid-19?




par bardal » 20/03/20, 18:47

Ce qui est surtout étonnant, dans cette affaire de chloroquine, c'est le blocage systématique que fait l'establishment médical parisien contre toute essai clinique de ce médicament, peu coûteux et très bien connu, alors qu'aucune alternative validée n'existe.

Tous les arguments sont utilisés pour décrédibiliser les résultats (certes partiels et restant à confirmer de façon plus systématique) obtenus par Raoult:

- ce médicament n'est pas validé scientifiquement ni officiellement pour cette indication de lutte contre le Covid-19 . Evidemment, puisque c'est une expérimentation clinique! La conclusion évidente de ce constat -tout aussi évident- devrait être: dépêchons nous de développer ces expérimentations, d'autant plus que nous n'avons pas d'alternative validée.

- ce médicament peut être dangereux en cas de surdosage. Etonnant ! D'abord, il n'est pas question de surdosage, c'est même exactement l'inverse avec les doses employées à Marseille (600 mg par jour); ensuite, ces dangers ne se révèlent que dans les situations de traitement longue durée (plusieurs mois, voire plusieurs années pour certaines affections telles le lupus ou les polyarthrites rhumatoïdes), ce qui n'est pas le cas dans le cas du covid-19 (quelques semaines tout au plus). Par contre, ne rien faire que du symptomatique conduit très souvent à une issue fatale, ce qui est somme toute le danger suprême.

- il ne faut pas favoriser l'automédication. Sans aucun doute, ni avec la chloroquine ni avec d'autres médicaments; mais le confinement à domicile, inévitable quand l'épidémie battra son plein, est sans doute une des pires formes d'automédication… Et raison de plus pour fournir, après études cliniques, un "mode d'emploi" élaboré (indications, contre-indications, effets secondaires, posologie, suivi armé, pharmacodynamique, arrêt du traitement…) à tous les médecins et structures ayant à s'occuper de cela.

- Raoult n'a évalué que certains aspects des bénéfices apportés (les éléments cliniques et la charge virale), pas tous. Sans doute, l'expérimentation est très récente, mais les résultats sont suffisamment positifs pour continuer et développer les études. Avons nous d'autres choix?

La validation d'un médicament comporte à la fois une évaluation des bénéfices (versus les solutions existantes) et une évaluation des risques. Dans le cas de la chloroquine, la deuxième évaluation est déjà faite, longuement et anciennement validée. Reste à parfaire l'évaluation des bénéfices, ce qui n'est pas le plus long, surtout quand on n'a aucune alternative…

En fait, et de loin, très très loin, ce blocage inexplicable ressemble surtout à des batailles d'ego entre mandarins de haut niveau; exactement ce dont nous n'avons pas besoin en ce moment. Dépêchons nous, vite. Il n'y a pas grand-chose à perdre.
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Re: L'Allemagne utilise-t-elle (déjà) du Plaquenil (Chloroquine) contre le Covid-19?




par sicetaitsimple » 20/03/20, 18:52

GuyGadebois a écrit :
Christophe a écrit :Je pense que le Dr RAOULT, vu son look et sa manière de parler (revoir l'intro de sa vidéo), est un médecin à part, un excentrique, pas loin du mouton noir de la profession!


J'allais le dire: On va quand même pas confier nos vies à un hippy !


Surtout pas à un hippie climato-sceptique! Et si chacun, en dehors de ce qu'il a le droit de penser, s'abstenait de prendre la parole dans des domaines qu'il ne maîtrise pas quand il s'agit de sujets à caractère "scientifique au sens large"

En 2013, Didier Raoult publie un article où il fait part de son scepticisme face aux modèles mathématiques de prédiction du climat90. Il dit notamment que les modèles mathématiques sont la version moderne de la divination. Dans un article du 1er novembre 201491, il note ironiquement, à propos de la « pause » constatée dans le réchauffement climatique depuis la fin des années 1990, que « la nature a oublié d’obéir aux prédictions ». Dans la même publication, au sujet d'un article paru peu avant dans la revue Nature et selon lequel la température globale de la Terre ne serait plus le bon indicateur du réchauffement climatique, il fait ce commentaire : « Il vaut mieux casser le thermomètre qui vous contredit ! »En juin 2014, dans Le Point, il estime que « Après une poussée thermique notable dans les années 1990, la Terre a globalement arrêté de se réchauffer depuis 1998. » Puis il conclut que « le réchauffement climatique est incertain et la responsabilité de l’homme discutable ».
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Re: L'Allemagne utilise-t-elle (déjà) du Plaquenil (Chloroquine) contre le Covid-19?




par Christophe » 20/03/20, 18:54

Merci Bardal je ne l'aurais pas mieux pensé / dit!

Et visiblement je l'ai mal dit car plein de gens ici n'ont pas compris...

Question égo, je rappelle un passage de cet article: https://www.econologie.com/coronavirus- ... rier-2020/

L’efficacité in vivo a elle été confirmée par une expérience à Marseille en début de semaine. Les journalistes et infectiologues qui doutent de son efficacité n’ont certainement pas lu l’étude publiée dans Nature Mais l’égo, la jalousie et médisance de certains semblent prendre le dessus sur la raison et l’intérêt commun!
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Re: L'Allemagne utilise-t-elle (déjà) du Plaquenil (Chloroquine) contre le Covid-19?




par Did67 » 20/03/20, 18:55

Christophe a écrit :
Did67 a écrit :
Christophe a écrit :Il n'aurait pas fait cette étude in vivo donc en prenant un risque (modéré mais risque tout de même), on en serait où actuellement?


1) Tu peux m'expliquer quel risque il prend, in vivo !


C'est une blague??? Didier tu m'inquiète là! Tu parles de prendre les résultats in vitro de chinois avec des pincette depuis plus de 2 jours et de faire les choses prudemment, dans les règles, avec les protocoles long et couteux...

Le risque était double pour lui: pour ses patients ET pour sa carrière, voir un risque en responsabilité civil / pénale!



OUI, TU AS RAISON !!!

Confusion mentale, chez moi. Sénilité ???? J'ai écrit "in vivo" et j'ai pensé "in vitro" ! Tout simplement. Quel con (je parle de moi, donc j'ai le droit d'être insultant).

Là, comme je dis en référence au Canard Enchainé : "Pan sur le bec !"
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Re: L'Allemagne utilise-t-elle (déjà) du Plaquenil (Chloroquine) contre le Covid-19?




par VetusLignum » 20/03/20, 18:56

bardal a écrit :Ce qui est surtout étonnant, dans cette affaire de chloroquine, c'est le blocage systématique que fait l'establishment médical parisien contre toute essai clinique de ce médicament, peu coûteux et très bien connu, alors qu'aucune alternative validée n'existe.

Tous les arguments sont utilisés pour décrédibiliser les résultats (certes partiels et restant à confirmer de façon plus systématique) obtenus par Raoult:

- ce médicament n'est pas validé scientifiquement ni officiellement pour cette indication de lutte contre le Covid-19 . Evidemment, puisque c'est une expérimentation clinique! La conclusion évidente de ce constat -tout aussi évident- devrait être: dépêchons nous de développer ces expérimentations, d'autant plus que nous n'avons pas d'alternative validée.

- ce médicament peut être dangereux en cas de surdosage. Etonnant ! D'abord, il n'est pas question de surdosage, c'est même exactement l'inverse avec les doses employées à Marseille (600 mg par jour); ensuite, ces dangers ne se révèlent que dans les situations de traitement longue durée (plusieurs mois, voire plusieurs années pour certaines affections telles le lupus ou les polyarthrites rhumatoïdes), ce qui n'est pas le cas dans le cas du covid-19 (quelques semaines tout au plus). Par contre, ne rien faire que du symptomatique conduit très souvent à une issue fatale, ce qui est somme toute le danger suprême.

- il ne faut pas favoriser l'automédication. Sans aucun doute, ni avec la chloroquine ni avec d'autres médicaments; mais le confinement à domicile, inévitable quand l'épidémie battra son plein, est sans doute une des pires formes d'automédication… Et raison de plus pour fournir, après études cliniques, un "mode d'emploi" élaboré (indications, contre-indications, effets secondaires, posologie, suivi armé, pharmacodynamique, arrêt du traitement…) à tous les médecins et structures ayant à s'occuper de cela.

- Raoult n'a évalué que certains aspects des bénéfices apportés (les éléments cliniques et la charge virale), pas tous. Sans doute, l'expérimentation est très récente, mais les résultats sont suffisamment positifs pour continuer et développer les études. Avons nous d'autres choix?

La validation d'un médicament comporte à la fois une évaluation des bénéfices (versus les solutions existantes) et une évaluation des risques. Dans le cas de la chloroquine, la deuxième évaluation est déjà faite, longuement et anciennement validée. Reste à parfaire l'évaluation des bénéfices, ce qui n'est pas le plus long, surtout quand on n'a aucune alternative…

En fait, et de loin, très très loin, ce blocage inexplicable ressemble surtout à des batailles d'ego entre mandarins de haut niveau; exactement ce dont nous n'avons pas besoin en ce moment. Dépêchons nous, vite. Il n'y a pas grand-chose à perdre.

Ajoutons à cela qu'ils continuent à nous parler continuellement de vaccins, comme si aucune solution curative à court terme ne pouvait être envisagée.
Pour ceux qui aiment imaginer des complots, y a de quoi faire.
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Re: L'Allemagne utilise-t-elle (déjà) du Plaquenil (Chloroquine) contre le Covid-19?




par Christophe » 20/03/20, 18:56

sicetaitsimple a écrit :Surtout pas à un hippie climato-sceptique! Et si chacun, en dehors de ce qu'il a le droit de penser, s'abstenait de prendre la parole dans des domaines qu'il ne maîtrise pas quand il s'agit de sujets à caractère "scientifique au sens large"


Personne n'est parfait... :cheesy:

Visiblement tu googlises les personnes avec qui tu n'es pas d'accord pour leur trouver leur moindre défaut et faille toi...tu sais que c'est de l'ordre du psychiatrique là? :shock:

Et quand on fait un copié/collé, on cite la source. Merci!
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Re: L'Allemagne utilise-t-elle (déjà) du Plaquenil (Chloroquine) contre le Covid-19?




par sicetaitsimple » 20/03/20, 19:03

Christophe a écrit :Et quand on fait un copié/collé, on cite la source. Merci!


Oubli, très rare dans mon cas, désolé: Wikipédia
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Re: L'Allemagne utilise-t-elle (déjà) du Plaquenil (Chloroquine) contre le Covid-19?




par GuyGadebois » 20/03/20, 19:04

sicetaitsimple a écrit :
Christophe a écrit :Et quand on fait un copié/collé, on cite la source. Merci!


Oubli, très rare dans mon cas, désolé: Wikipédia

C'est pas parce Raoult est climato-sceptique qu'il est nul dans son domaine de prédilection. Ta remarque vient comme un cheveux sur la soupe.
Pour illustrer mon propos, je détournerai une petite remarque de l'éminent Antoine Delafoy:
"Monsieur Raoult, vous faites sans doute autorité en matière de virus, de microbes et boîtes de Petri, mais vos opinions sur le réchauffement planétaire et sur le climat en général, je vous conseille de ne les utiliser qu'en suppositoire. Voilà ! Et encore, pour enfants..."
Dernière édition par GuyGadebois le 20/03/20, 19:10, édité 2 fois.
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