Ce n’est pas exactement faux, c’est plutôt un mensonge par omission. Tout d’abord, les données de cette courbe ci -dessus sont correctes.
Ouf, enfin !
Elles indiquent bien le nombre de personnes décédées de la rougeole au fil du temps et la date d’introduction du vaccin est la bonne.
Re ouf enfin !
Mais il y a un hic. Pour mémoire, le vaccin sert à ne pas attraper une maladie.
En théorie seulement ! Lorsque Pasteur invente son vaccin, il ne s’agit pas de préventif, mais de curatif (il changera maintes fois son fusil d’épaule sur ce point) Par contre celui de Jenner était effectivement de type préventif et cela a si mal marché que l’Angleterre pays de Jenner a supprimé l’obligation de vaccination de ses armées par le vaccin contre la variole après la catastrophe ayant décimé ses soldats vaccinés à 100%.
«1°- Cet exemple est intéressant, d’une part parce qu’il est pris dans un pays où l’endémie variolique était importante avant la vaccination, c’est celui des Philippines, d’autre part parce que la vaccination y a été pratiquée de façon particulièrement massive.
En 1905, lors de la prise de possession des îles par les Américains, la mortalité par variole était d’environ 10%. Devant cette énorme proportion, une campagne de vaccination systématique a été immédiatement entreprise.
En 1905-1906, alors que celle-ci était largement développée, se déclare une première épidémie : la mortalité s’élève à 25%...
Quoiqu’il en soit les Américains ordonnèrent sans hésiter une intensification de la vaccination.
De 1918 à 1920, alors que 95% de la population était vaccinée, en dépit de 15 millions de vaccinations pratiquées pendant les 13 années précédentes, se déclara la plus effroyable épidémie qu’on ait connue. La moyenne des cas de mortalité atteignit plus de 54%. Sur une population de moins de 11 millions d’habitants, il y eut 112.549 cas de variole et 60.855 décès. Ces chiffres suffiraient à eux seuls pour justifier un certain scepticisme quant à l’efficacité de la vaccination.
Mais l’on constate que c‘est à Manille, dont les habitants étaient tous vaccinés et revaccinés qu’a été enregistré le pourcentage de décès le plus élevé (65,3%), le doute peut s’installer solidement dans l’esprit.
Ce doute ne peut-il se transformer en certitude lorsqu’on sait que dans l’île de Mindanao, où les indigènes avaient refusé la vaccination en raison de leurs convictions religieuses, on a constaté la mortalité la plus basse, avec seulement 14,4% de décès ; c'est-à-dire que dans cette partie des îles, la seule où l’on n'ait pas vacciné, il ne s’est pas produit d’épidémie : la mortalité est pratiquement restée la même qu’avant.
2°-L ‘opinion du Professeur Alfred Russel Waliace.
Dans le chapitre XVIII de son livre « The Wonderful Century » (Ce siècle étonnant), l’éminent savant étudie l’incidence de la vaccination antivariolique sur la fréquence des cas de variole. Il était naturel pour un esprit scientifique rigoureux de procéder par comparaison.
Dans la ville de Leicester, 95% des bébés étaient vaccinés jusqu’au jour où éclata l’épidémie de 1871-1872. Le nombre de cas déclarés et le nombre de décès montrèrent à l’évidence l’inutilité de la vaccination (première démonstration). Les autorités abandonnèrent celle-ci et prirent des mesures d’hygiène. La variole disparut de Leicester plus rapidement que dans les autres villes industrielles même vaccinées (deuxième démonstration)
A.R.Waliace établit un parallèle entre cette ville, non vaccinée, et l’Armée et la Marine considérées comme « complètement vaccinées ».
Pour 1873-1874 : Armée 37 p/m ; Marine 36,8 p/m ; Leicester 14,4 décès par million de la petite vérole.
« …. Dans les années 1878-1890 incluses, les habitants non vaccinés de Leicester ont eu si peu de cas mortels de cette petite vérole que l’officier de l’Etat civil, en représente la moyenne par la décimale 0,01 pour mille habitants, chiffre égal à 10 pour un million, tandis que pour les douze années 1878-1889, il y eut moins d’un décès par année.
Les vaccinations n’ont pas fait régresser les épidémies de F et S DELARUE.
Et si on ne peut pas attraper une maladie, et bien à priori, on ne peut pas en mourir non plus.
Sauf que le taux de mortalité est descendue bien avant la vaccination ce qui exclue celle-ci des cas dits préventifs.
On comprend vite ici que l’influence du vaccin sur la mortalité due à une maladie n’est qu’une raison parmi d’autres qui explique la baisse de la mortalité.
Ca c’est évident. Daniel Floret, monsieur l’expert en vaccinologie du HAS reconnait que le principal facteur de diminution des pathologie est du à l’assainissement des eaux de consommation, d’une meilleur hygiène en général,
bien avant les vaccinations.
Le vaccin permet en effet de réduire le nombre de cas graves qui mèneront à un décès.
Il peut, théoriquement, réduire lors de son introduction, pas quand il n’existe pas encore. mais il y a un fossé entre permet et a permis. Des preuves!
Mais alors comment peut-on mesurer l’effet d’un vaccin ? Pour cela, il faut tout d’abord définir la différence entre mortalité et morbidité.
La mortalité, c’est facile, il s’agit du nombre de personnes qui décèdent d’une maladie pendant une période donnée. Pour la morbidité, voici ce que nous dit le Larousse : << Nombre d'individus atteints par une maladie dans une population donnée et pendant une période déterminée >>. La morbidité nous renseigne donc sur le nombre de cas recensés d’une maladie au sein d’une population.
Ce point à déjà été vu et revu. La morbidité, en ce qui concerne les maladies infantiles, était de 100% puisque l’expression populaire était «
qu’il fallait faire sortir ces maladies bénignes dans l’enfance » puisque seuls les adultes n’ayant pas fait ces maladies pouvaient être durement atteints, de façon très grave.
Prenons l’exemple de la rougeole qui nous intéresse ici, en y ajoutant la date d’introduction de la vaccination. Le graph présenté est celui des Etats-Unis :
Bizarre, encore une fois, d’aller prendre des statistiques à l’autre bout du monde, lorsque l’on dispose des mêmes pour l’Europe et qui ne présentent pas le même aspect.(statistiques présentées plusieurs fois de suite)
Les dents de scie au début du siècle montrent les épidémies successives de rougeole. La rougeole est une maladie endémique. C’est-à-dire qu’elle sévit en permanence. Une épidémie de rougeole se produit, la population est alors immunisée, puis de nouveaux enfants naissent, et la maladie flambe de nouveau. Et le cycle se renouvelle encore et encore.
Ce n’est pas tout à fait cela
Ces mêmes courbes statistiques montrent des pics saisonniers avec une forte élévation en hiver et une chute brutale en été, comme la grippe. Donc il ne s’agit pas seulement de l’aspect endémique possible
C’est le cas chez nous avec la varicelle où chaque année, le nombre de cas est sensiblement égal au nombre de naissances. Nous voyons alors au moment de l’introduction des vaccins, que ce cycle endémique est enrayé, et le nombre de cas chute de façon très significative..
sauf que la varicelle est une maladie bénigne de l'enfance aussi.et que,comme fréquemment, ces pics correspondent à des influences externes comme les saisons.
Mais alors comment peut-on expliquer que la mortalité baisse au fil du temps et bien avant l’introduction des vaccins ? Et bien tout simplement par l’amélioration des soins et les progrès de la médecine. La connaissance des maladies et de leurs effets n’a fait que progresser au fil du temps, et une fois que la maladie est déclarée, on sait de mieux en mieux comment la traiter et on en meurt de moins en moins. On pourrait presque se demander quel est l’intérêt de vacciner si les maladies sont de mieux en mieux soignées et qu’on en meurt de moins en moins souvent
Tu vois que tu peux raisonner sainement !
Effectivement dans la baisse des pathologies ou en tout cas de leur gravité; on trouve ce que tu indiques. Mais ça pèche par un aspect non pris en compte, à savoir le rôle et l’efficacité du système immunitaire. Dans toutes les revues médicales anciennes ou pas, les médecins ont signalé que dans une même famille, surtout les familles nombreuses, certains membres tombaient malades, mais pas autres. I Mystère en partie éclairci par la connaissance du système immunitaire et surtout du système HLA, vaccinés ou pas[*].
Mais réduire une maladie à un choix binaire ‘vivant’ ou ‘mort’, c’est laisser de côté les coûts financier et humain en médicaments, hospitalisation et toute une série de complications qui peuvent gâcher une vie.
C’est exact ! Mais le coût humain et financier fonctionne dans les deux sens, à savoir quel est celui des victimes des vaccins ? Le prix d'un enfant mort après vaccin, ou handicapé à vie à la charge de ses parents, pas sur les bénéfices pharamineux des labos!
Par exemple:
- L’encéphalite. La plus fréquente reste l’encéphalite. Il s’agit d’une inflammation touchant l’ensemble du cerveau et du cervelet. En dépit des traitements, la maladie provoque dans 30% des cas des lésions neurologiques irréversibles.
Encéphalites qui peuvent
aussi être consécutives aux vaccins, la littérature est abondante sur ce point,
y compris les indications des effets secondaires possibles qu’indiquent les labos sur leurs produits.
- L’atteinte virale. Celle-ci est aussi responsable de pneumonies sévères tant chez les enfants que chez les adultes. Elle peut en outre affecter d’autres organes comme le foie et déclencher ainsi une hépatite.
- D’autres maladies, plus rares mais toutes aussi graves, lui sont encore associées.
que peuvent déclencher aussi les vaccins Et en particulier les maladies auto immunes consécutives aux vaccins eux-mêmes.
Ca c'est de la réfutation! Si on applique la même méthode pour tes 2 principales sources que sont initiativecitoyenne.be et Thierry Casasnovas (quoique ce dernier est déjà surveillé par la Miviludes), tu n'as plus d'arguments
Les seuls vrais arguments à retenir sont ceux des chiffres officiels!
Je ne passe que sur les commentaires, les statistiques indiquées sont officielles, elles, pour les Etats Unis, qui sont donc à comparer avec les statistiques européennes qui
NOUS concernent en premier lieu.
Par ailleurs, je ne considère pas Casasnovas comme une référence en matière de vaccinations, mais en matière d’hygiénisme, même si son travail sur les références scientifiques non favorables aux vaccins (l’autre coté de la pièce) est un bel effort que d’autres ont déjà fait depuis longtemps avant lui.(les scientifiques indiqués au dessus et ses 1.700 références.
Même chose
pour les commentaires d’Intitiativecitoyenne qui n’ont pas plus à être pris en compte, mais seuls les documents présentés que chacun peut analyser, comparer avec d’autres documents, pour ou contre, pour se faire sa propre opinion.
Mais là ce n’est qu’une démarche « intellectuelle »: ce qui compte c’est ce qui se passe sur le terrain, dans la vraie vie, non pas sur des suppositions que c’est mieux ou moins bien que, mais dans la chair des nombreuses victimes des vaccins et donc reconnus comme tels par une partie de scientifiques non soumis au dictat de BP.
Pour la miviludes, ses indications de « sectes » fluctuent au gré du vent qui souffle avec celles qui apparaissent sur leur liste, qui en disparaissent selon des critères inexistants, ce qui leur a déjà été reproché par les autorités mêmes qui s’en servent par ailleurs.
http://www.alterinfo.net/Historiquement ... 90496.htmlEn conclusion, partielle au moins, il ne s’agit pas de science véritablement concernant les vaccinations , mais de croyances sur des mythes pasteuriens
qui n’ont jamais été prouvés scientifiquement.
[*] c'est un des aspects de l'absurdité des vaccins universels, alors que chaque système immunitaire est spécifique. C'est comme si les chausseurs ne fabriquaient qu'une seule pointure de chaussures pour tous les pieds de par le monde et qui donc n'iraient bien qu'à ceux ayant cette pointure là! Absurde!
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré