sur arte, : la science et le nazisme. Sciences nazies : la race, le sol, le sang
https://www.arte.tv/fr/videos/080962-00 ... t-le-sang/un horrible réquisitoire qui perdure sous d’autres formes. Encore une fois le dicton selon lequel il n’y a rien de nouveau sous le soleil se confirme !
Et cela concerne bien sûr les expériences sur les prisonniers qui, d’une certaine manière, se prolonge avec les mêmes comportements actuels. En effet qu’est-ce qui caractérisaient celle-ci ? Des essais scientifiquement suivis par des médecins chercheurs, les plus qualifiés de cette époque, faits sur des individus NON CONSENTANTS, dans l’incapacité de se défendre, de refuser d’être des cobayes. Or ce sont toujours les sujets les plus fragiles qui servent à ces projets «
pour le bien de l’humanité ». Ce reportage insiste bien sur l’aspect de la science
au service d’une idéologie et l’on voit que, actuellement, malgré le code de Nuremberg (le plus jamais ça !), la convention d’Oviedo, la législation sur le consentement éclairé, etc… des hommes, des femmes, sous couvert de ce « bien pour l’humanité » continuent à pratiquer ce nazisme médical, mais amplifié à l’échelle de la planète entière et cette idéologie perdure dans cette prétention à détenir la vérité scientifique aussi avec l’aide, la complicité éclairée ou simplement passive, des différentes disciplines thérapeutiques dont la pire étant la vaccination des masses
SOUS CONTRAINTE, SUR DES BEBES ET DES ENFANTS SANS DEFENSE AU PRIX DE LEUR SANTE ET DE LEUR VIE.
Certains se diront que LA science n’est pas que négative quant elle se met au service du bien être des humains et c’est vrai, sur le principe, et qui se vérifie lorsque quelques hommes, femmes, enfants sont sauvés de la mort par celle-ci, mais qui, au regard de l’humanité entière, ne concerne que quelques privilégiés dans les nations nanties(et pas tous d’ailleurs) faisant illusion sur la réalité qui se cache derrière, façon La Fontaine,
«car ils ne mourraient pas tous, mais tous étaient atteints » Et ce film montre justement qu’à tous les niveaux de l’Etat, des responsables, d’une partie de la population, pour des raisons idéologiques, financières, carriéristes ou simplement conformistes, tous soutenaient cette hégémonie sur ces populations les plus fragiles, les femmes, les enfants surtout.
Aujourd’hui qu’y a-t-il de différent lorsque pour obtenir l’AMM d’un médicament, il faut essayer ce nouveau produit sur des animaux et
ensuite sur des humains « volontaires » c'est-à-dire rétribués pour servir de cobayes (souvent des jeunes gens dont cet argent va leur permettre de survivre, de payer leurs études au prix du risque de perdre leur santé, voire de leur vie.) mais surtout dans l’indifférence des populations qui y voient une sorte de sacrifice volontaire pour LEUR assurer que ce ne seront pas eux, elles, les futures victimes des virus, microbes et autres infections de notre environnement « inévitable ». Sacrifiés dont ils ne connaitront ni le nom, ni le visage et qu’ils préfèrent ignorer d’ailleurs.
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré