janic a écrit :Ce n’était donc pas une question sanitaire, mais juste de business du labo
Une question d’économie pour l'assurance maladie et avantage pour les patients: 1 seule injection, 1 seul déplacement chez le docteur, au lieu de trois.
Argument bidon, s’il en est !
a) l’assurance maladie ne concerne pas tous les salariés pauvres en Amérique, où est produit ce ROR et qui n’est donc pas pris en charge par un système social. Ca c’est un discours actuel comme nous le sert la ministre et ses services provaxx….en France.
b) en Amérique les vaccins en question ne sont pas obligatoires et l’Angleterre n’est qu’un petit marché pour GSK, même s’il n’y a pas de petits profits, et où le ROR n’y est toujours pas obligatoire.
c) le vaccin contre la rubéole ne concerne que les filles, pas les garçons d’où les choix que doivent avoir les médecins et parents de se faire injecter ce produit inutile pour eux.
d) ce vaccin trivalent posant des problèmes possibles et alors que les trois vaccins étaient encore disponibles (que GSK a vite retiré du marché,) la responsabilité de choix est et reste le seul facteur à prendre en considération.
janic a écrit :Et donc l’histoire montre que W avait raison. L’équipe de Vaxxed a déjà réuni près de 6.000 témoignages des effets du ROR.
Pas que du ROR mais tout vaccin confondu (A défaut de lire mes sources, lis au moins les tiennes antivax: suretevaccin.com, initiativectoyenne.be etc..). Bref, ... De toute façon, ces 6000 témoignages n'ont aucune valeur: Sur les millions de personnes vaccinées chaque année, combien auront vu apparaître une maladie quelconque dans les semaines qui auront suivi l'injection? Statistiquement un bon paquet
pas seulement. La pharmaco vigilance déplore que seulement 10% des effets secondaires soient signalés. Donc théoriquement ce bon paquet peut être multiplié par 10.
mais cela reste une corrélation, seule une étude comparative contrôlée peut commencer à en prouver la causalité.
quand on se donne un coup de marteau sur le doigt aucune étude comparative ne pourra prouver la causalité puisqu'elle ne peut constater que des effets. et les gens ne sont pas assez fous, (quoique!)pour se laisser donner des coups de marteau sur les doigts pour faire une étude comparative.
Si tu me conseilles de consulter mes sources,(dont aucune n’est antivaxx , ce n’est qu’un fantasme de provaxx) tu devrais faire de même plutôt que de te réfugier dans les fakenews des tiennes.
Donc, Non, les cas de ROR sont bien spécifiques et ne peuvent être mélangés puisque W est favorable aux vaccins séparés, quels qu’ils soient, et cela ne concerne donc que ceux consécutifs au ROR.
Au delà, les sites indiqués font campagnes
pour que toutes les victimes de vaccins, quels qu’ils soient soient enfin reconnues et aidées plutôt que d’évoquer l’argument bidon de simples coïncidences pour ne pas sortir d’argent ce qui serait reconnaître la dangerosité de ces produits.
Par contre, et c’est le seul argument que les provaxx utilisent à raison,
c’est le faible nombre de victimes des vaccins ! (Heureusement pour les populations d’ailleurs)mais aussi le faible nombre de victimes tout court
sans vaccins comme le démontrent les statistiques officielles. Ainsi il n’y a qu’une victime mortelle par an , en France, de la rougeole, maladie bénigne dans la plupart des cas et ne nécessitant pas de vaccination massive chez les enfants. Ce n’est donc bien qu’une question de business, une fois de plus.
De plus les bébés garçons ne sont pas concernés par la rubéole, donc là aussi inutilement, sauf pour faire du business supplémentaire car même si c’est la SS qui paye (c'est-à-dire nous) ce sont les labos qui se remplissent les poches sur notre dos. Donc si ces effets secondaires étaient enfin reconnus,
chiffrés, avec des vaccins monovalents ciblés, (argument de Joyeux par exemple)et mis en comparaison avec les pseudo économies engendrées, cela se ferait au détriment d’une vaccination triple (et plus maintenant) quant aux oreillons
https://www.mesvaccins.net/web/diseases/9-oreillonsqui n’est pas un site antivaxx !
Les fréquentes complications neurologiques liées aux oreillons, MEME SI ELLES SONT EXCEPTIONNELLEMENT GRAVES, et la combinaison du vaccin avec les vaccins rougeoleux et rubéoleux justifient la vaccination systématique mise en oeuvre DANS L’ENSEMBLE DES PAYS INDUSTRIALISES. Donc pas les autres ?
Des cas groupés d'oreillons surviennent régulièrement dans le monde et récemment en France. La protection conférée par le vaccin rougeole-oreillons-rubéole (ROR) semble moins efficace contre les oreillons que contre la rougeole et la rubéole. Récemment, des cas d'oreillons ont été rapportés en France et dans d'autres pays chez des personnes ayant reçu deux doses du vaccin ROR.janic a écrit :Tiens donc, tu finis par le reconnaitre enfin !
Je ne vois pas ce que tu veux dire. Peux-tu me citer un moment où je ne l'ai pas reconnu?
C’est pourtant clair !
Normal, ce point ne concerne que Wakefield et n'est donc pas évoqué dans le procès en appel de Smith.C’est ce que je répète depuis le début : ce procès est celui de Smith, pas de W et,
sur le plan judiciaire, on ne peut mettre en accusation un individu sans entendre son témoignage. Donc restes-en au cas de Smith uniquement !
janic a écrit :W a refusé la modification de son article uniquement.
Concernant la publication, il n'a pas refusé la modification: Il a dit à ses collègues qu'il le ferait suite à leur remarques justifiées mais il ne l'a pas fait: Il a menti et à laissé des informations trompeuses, c'est différent.
Même en refusant cette modification après avoir dit qu’il le ferait, ce n’est toujours pas une faute sur le plan judiciaire, tout le monde a le droit de changer d’avis ,après réflexion, concernant ce qui doit être ou pas mentionné sur un compte rendu d’expertise. Ce procès en appel, en est un exemple en considérant que le premier juge s’est trompé dans son jugement et que le second juge rectifie celui-ci avec ses propres conclusions. Ce n’est plus un individu qui est remis en cause, mais une institution et pour autant le premier juge n’est pas mis en accusation pour mensonge et tromperie, il faut arrêter de fantasmer en permanence pour rien.
janic a écrit :Et actuellement de plus en plus de chercheurs d’université intrigués par cette polémique qui perdure, se sont penchés sur ce problème
Source?
Lis et vois autre chose que tes sectes habituelles !
janic a écrit :ces « chercheurs » plus ou moins payés, subventionnés par les labos, qui n’ont démontré qu’avec le peu d’éléments à leur disposition et fournis par les labos en question.
Depuis la publication de l'étude de Wakefield, il y en a eu 17 autres; La 1ere en 1999 sur environ 500 enfants dans le Royal Free and University College Medical School (pas par des labos), la dernière sur environ 500000 enfants (pas par des labos non plus).
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10376617INTERPRÉTATION:
Nos analyses ne supportent pas une association de cause à effet entre le vaccin ROR et l'autisme. Si une telle association se produit, il est si rare qu’elle ne puisse pas être identifiée dans ce grand échantillon régional. Exactement ce que tu indiques au dessus, les cas sont rares, pas inexistants et comme par hasard, ce ne sont pas des études fermées leurs ses seuls critères qui sont indiqués, mais les plaintes des mères dans tous les territoires anglais ou américains, et ailleurs grâce au web d'ailleurs!
https://www.who.int/vaccine_safety/comm ... autism/fr/
Trois études de laboratoire ont également été examinées. Il en a été conclu que la persistance présumée du virus vaccinal rougeoleux dans le tube digestif des enfants atteints d'autisme et de maladie inflammatoire intestinale exige une analyse plus poussée dans le cadre d'études indépendantes avant que l'on puisse considérer comme confirmés les résultats de laboratoire des études publiées, qui présentent de sérieuses insuffisances.A ma connaissance, seulement 3 sur ces 17 ont été réalisées par des labos et elles concluent la même chose que les 15 autres: Pas de risque d'autisme lié au ror.
Cela s’appelle une conclusion hâtive, dans la mesure où est prétendu que celles des chercheurs qui remettent en question ces études, ne sont pas fiables.
Les études les plus prudentes
indépendantes plus poussées; ce qui correspond tout à fait à ce que souhaitait et souhaite encore W. L’histoire nous montre, malheureusement, que (indépendamment que des études soient financées par BP) certaines conclusions (comme le souligne le Pr Even et d’autres que bien des études sont peu fiables, voire bâclées, dans d’énormes proportions.(médicaments comme vaccins, pire pour ces derniers)
janic a écrit :Smith n’était pas chercheur, mais « chef d’équipe » encadrant ces 10 chercheurs, lesquels se sont désolidarisés sous pression
Smith encadrait une équipe de cliniciens au sein de l’hôpital mais il n'encadrait pas les 12 co-signataires que sont des pédiatres, psychiatre, neurologues, radiologiste, etc (Peut être en encadrait-il certain, possible ou pas?
Entre 21 Juillet 1996 et 16 Février 1997 onze enfants ont été admis dans le service Malcolm au Royal Free Hospital d'enquête du professeur Smith Walker- et son équipe. C’est évident ! Donc retour à la case départ ; qui constitue cette équipe ? Normalement l’Hôpital ! Comment sont constituées des équipes habituellement ? Comme n’importe quel chantier médical ou pas ; on nomme un responsable qui en aucun cas ne peut être l’expert désigné pour suivre une étude ou des travaux. Donc où sont les documents officiels de l’hôpital qui en décident ?
Wakefield le pouvait également, cf la liste des co-auteurs sur le site du lancet).
En tant qu’expert il a accès à toutes les phases de l’étude, sinon comment pourrait-il, ensuite établir un rapport ? Donc il a (comme n’importe quel expert embauché pour ça) pour mission d’exprimer son avis sur les travaux de toute l’équipe citée, c’est évident, ce n’est pas sur son travail , à lui, inexistant d’ailleurs,puisque n’étant qu’un observateur, qu’il peut établir un quelconque rapport, mais uniquement sur les travaux d’autrui,
dans le cadre de ce qui le lie à l’hôpital. Mais en dehors de l’hôpital il est libre, dégagé de celui-ci et n’a donc aucun compte à rendre à un quelconque comité d'éthique. Ne mélange pas tout, juste pour donner raison à tes sectes habituelles.
Ce qui est sûr,
c'est que dans le cadre de cette étude, c'est Wakefield qui était au manette,
Fantasme supplémentaire ! qu’est-ce que cela veut dire : "aux manettes »
c'est lui qui en a rédigé la genèse seul et la publication finale en tant que "chercheur scientifique principal";
Bizarre on ne trouve nulle part cette formule de « chercheur scientifique principal », mais en tant qu’expert, évidemment , il y était employé pour ça!
C’est comme la pub bordeau chesnel nous n’avons pas les mêmes valeurs…en terme d’interprétation
Smith ne faisait pas de recherche, seulement les examens cliniques, pas les examens de laboratoire. Il s'en est défendu en appel et a eu gain de cause.
https://www.thelancet.com/journals/lanc ... 40-6736(97)11096-0/fulltext#%20
Ca, c’est évident, mais en même temps relie les termes mêmes du jugement sur la nuance entre recherche et examens cliniques et qui parle de l'équipe de recherche de Smith
Les professeurs Walker-Smith, Murch et Wakefield ont été nommés consultants responsables. Dr Harvey, neurologue consultant et Dr Berelowitz, pédopsychiatre consultant, ont été nommés chefs de départements collaborateurs.janic a écrit :Il ne s’agissait pas de passages erronés, mais seulement différents des autres signataires et dont il assume entièrement la responsabilité.
Faux, rien à voir avec un point de vue, il s'agissait de déclaration trompeuse, mentionnée comme telle à plusieurs reprises dans le procès en appel de Smith:
"Cette affirmation était fausse et n'aurait pas dû figurer dans le document."
"ce n'était pas une faute pour lui [Smith], Dr. Murch ou Dr. Thomson, d'inviter un collègue chercheur, Dr. Wakefield, à corriger une déclaration trompeuse dans le projet et à le laisser à lui faire cela."Relis le chapitre 156 et le chapitre 34 qui y sont associés par le juge, cela concerne uniquement la mention du comité d’éthique approuvant ou non la procédure et
que le juge ne qualifie pas de faute professionnelle grave lui. Mais que ce soit une faute comme tout le monde en fait, même les plus qualifiés, c’est dans la nature humaine et donc, en principe W n’aurait pas du mentionner une approbation du comité d’éthique et même, peut être la retirer. Ce n’est toujours pas une faute professionnelle grave comme le souligne le juge.
et comme pour la pub encore ! j’ai les mêmes à la maison ! Le juge souligne en quoi cette déclaration pouvait être trompeuse, c'est-à-dire la considération que le ROR pouvait avoir un lien avec l’autisme. C’est ce que l’on appelle une différence d’opinion quant aux conclusions que chacun peut en tirer, quoique là encore W
ne dit pas c’est, mais peut avoir. Le seul point de délicat concerne la mention de l’approbation du comité d’éthique que le jugement lui-même ne considère pas comme impératif
1. Projet 172-96 a été approuvé pour l' enregistrement par le Dr Pegg, Président du Comité d' éthique, le 13 e Septembre 1996. Le 15 eEn octobre 1996, le Dr Pegg écrivit au professeur Walker-Smith pour lui dire que le projet 172-96 serait examiné à la prochaine réunion du comité d'éthique. Il a formulé ses réserves et invité des commentaires. Il a classé certaines des enquêtes dans la catégorie "à haut risque" dans la classification adoptée par la British Pediatric Association dans les lignes directrices publiées en août 1992, selon laquelle il serait contraire à l'éthique de soumettre les enfants à un risque plus que minime lorsque la procédure n'offre un avantage léger ou très incertain pour eux. En conséquence, il a demandé confirmation "que l'enfant subirait ce régime même s'il n'était pas en procès". Il a également posé une question sur le formulaire de consentement que les parents seraient tenus de signer avant que les enquêtes requises par l'étude ne soient effectuées sur leur enfant.e Novembre 1996, la partie pertinente qui stipule:
"… Il s'agit clairement d'un régime intensif comportant des procédures qui pourraient être considérées comme" à risque élevé ", bien qu'elles soient particulièrement utilisées pour les enquêtes sur les enfants atteints d'une maladie intestinale inflammatoire chronique. Ces enfants souffrent d'une maladie au" pronostic sans espoir "en ce qui concerne Ils n'ont souvent pas eu le niveau d'investigation que nous considérions comme adéquat pour un enfant présentant un état aussi dévastateur. En ce qui concerne leurs symptômes gastro-intestinaux qui seront présents chez tous les enfants sur lesquels nous avons enquêté, ceux-ci ont souvent Jusqu'à présent, nous avons examiné cinq de ces enfants sur la base de leurs besoins cliniques et nous avons tous constaté des signes d'inflammation chronique de l'intestin.Un enfant a déjà eu une réponse significative à l'alimentation entérale. Certes, il y a un avantage mesurable pour l'enfant:
i) établir un diagnostic et exclure les causes métaboliques et autres.
ii) commencer un régime thérapeutique.
L’ensemble de cette étude est axé sur les parents / patients, car chaque cas référé a été initié par le médecin généraliste par les parents de l’enfant.
Je peux confirmer que les enfants auraient ces enquêtes même s’il n’y avait pas de procès. Je dois préciser que nous ne rechercherions pas les enfants sans symptômes gastro-intestinaux. "
Le 13 Novembre 1996, le Comité d' éthique a discuté du projet 172-96. Le procès-verbal indique qu'il n'a pas été approuvé: "des améliorations sont nécessaires sur la fiche de renseignements du patient et des précisions sur le fait qu'il s'agisse d'une étude ou d'une investigation normale du patient". Pour compliquer les choses, le secrétaire du Comité d' éthique a écrit au Dr Wakefield le 14 Novembre 1996 à lui dire que le projet 172-96 a été approuvé lors de la réunion. Cela ne se produisait pas avant la prochaine réunion, tenue le 18 e Décembre 1996, au cours de laquelle il a été approuvé, « sous réserve de modification du formulaire de consentement du patient et le retrait du test de Schilling ». Le 7 eJanvier 1997 Le Dr Pegg écrit au professeur Walker-Smith pour l'informer de cette approbation, sous réserve de trois conditions: seuls les patients recrutés après la date de la réunion de décembre seraient considérés comme faisant partie de l'essai; le test de Schilling devait être retiré du protocole; et le formulaire de consentement devait être modifié de manière à expliquer les complications possibles de la ponction lombaire. Il a également demandé que le formulaire de consentement du patient et la fiche de renseignements soient accompagnés des notes cliniques. Professeur Walker-Smith a reconnu la lettre de M. Pegg le 9 e Janvier 1997. A la même date, il a envoyé son équipe clinique et le Dr Wakefield une copie des recommandations du Comité d' éthique « pour notre étude » et a déclaré : « nous avons besoin de mettre en œuvre ce maintenant ". Le 3 èmeEn février 1997, le Dr Wakefield écrivit au docteur Pegg pour lui dire que "l’étude pilote" avait démontré que les études par IRM et EEG étaient toutes normales, de sorte qu’il n’était pas nécessaire de les poursuivre, sauf indication contraire. Il a demandé un amendement pour autoriser le jeûne du jour au lendemain et une analyse d'un échantillon d'urine pour étudier la perméabilité intestinale. Le même jour, M. Wakefield a écrit au professeur Walker-Smith pour expliquer pourquoi il jugeait juste de participer à ce qu'il a décrit comme "l'aspect juridique de ces affaires", à savoir le litige alors proposé par Dawbarns, aux termes duquel le Legal Aid Board avait versé 25 000 livres sterling en décembre 1996 pour couvrir les frais de "l'enquête sur le ROR". Professeur Walker-Smith a répondu le 20 Février 1997:
"Ma position en ce qui concerne la rougeole, le ROR et la maladie de Crohn est que le lien avec le ROR n’a pas encore été prouvé. Il est clair que l’implication légale de presque tous les parents aura un effet sur l’étude, dans la mesure où ils ont un intérêt personnel. tout simplement ne pas comparaître devant le tribunal sur cette question.
La participation juridique m'aurait moins préoccupé si nos travaux étaient complets et si nous avions une vision ferme. Jamais auparavant dans ma carrière je n'ai été confronté à des parents parties à des travaux de recherche en cours. Je pense que cela rend notre travail difficile, en particulier la publication et la présentation.
Je suis très excité par ce travail et cela en vaut la peine. Simon Murch et moi-même nous sommes rencontrés aujourd'hui et avons rédigé un projet de sélection des patients pour votre commentaire, s'il vous plaît. "
Ce document énonçait les critères primaires et secondaires de "sélection des patients pour l'étude de l'entérocolite et de l'autisme régressif". Il est daté de février 1997.Comme on le voit il s’agit d’un imbroglio ce qui explique la durée du procès et des débats qui ne peuvent se résumer à quelques phrases coupées de leur contexte.
janic a écrit :Oh que non , pas moi! W dit que 90% du procès innocentant Smith, le concerne aussi. Reste les 10% a étudier de près dans un autre procès de W cette fois ci, pas les 90% en question.
Ce chiffre est faux mais Wakefield n'est plus à un mensonges près:
https://initiativerationnelle.wordpress ... wakefield/
Comme ce site spécialisé en fakenews qui n’est pas à un mensonge près, alors !
Mais W a raison si l’on lit le procès qui disqualifie le GMC contre Smith pour les mêmes raisons que pour W, s
’il avait été aussi en jugement et les 10% en question sont soulevés par le juge, sans jugement pour autant puisque ce n’est pas l’objet de celui-ci.
Le reste c’est du discours de bistrot !
janic a écrit :Un juge ne peut juger justement dans un procès en cours, d’un éventuel témoin que pourrait être W non mis en accusation par ce juge!
Le juge ne cite pas Wakefield en tant que témoin mais coupable, ce qu'il est toujours jusqu'à preuve du contraire.
Un juge ne peut et n’a aucun droit de désigner un individu
coupable dans un procès où il n’est pas mis en jugement, c’est contraire à la loi et à l’éthique, renseignes-toi au lieu de fantasmer,. Mais il peut estimer une responsabilisé quelconque dans un processus, ce qui n’est pas un jugement pénal, ni civil, ce n’est qu’un avis, une opinion.
janic a écrit :je n’ai pas lu quelque part que l’hôpital y ait mis son véto.
Lis le jugement en appel de Smith: Il est fait mention, preuve à l'appui, que Wakefield a du demandé une autorisation pour le "facteur de transfert"
.
Alors relis le chapitre 138 qui n’exprime pas la situation comme toi !
Et le 170
1. 170
Les conclusions du jury défavorables au professeur Walker-Smith sur la question du facteur de transfert étaient pervers. Mlle Glynn, reconnaissant avec sagesse que le raisonnement du comité n’a pas été correctement étayée par ses conclusions, a soutenu, à juste titre, que ces accusations étaient subsidiaires et ne devaient pas constituer le véritable centre du présent appel. Je suis d'accord, mais les conclusions du groupe d’experts appellent une analyse, car il a ensuite conclu que, à cet égard, comme à d’autres, la conduite de M. Walker-Smith constituait une faute professionnelle grave. Il n'y avait aucune base pour cette conclusion. Et le 168
3.
Les conclusions du comité défavorables au professeur Walker-Smith sont incohérentes et injustifiées. Sa conclusion au paragraphe 26a, selon laquelle il n'avait pas commencé l'enfant 10 sur Facteur de transfert en décembre 1997, aurait dû mettre fin à ces accusations. S'il n'a pas "démarré" l'enfant 10 avec le facteur de transfert, il est impossible de comprendre comment il aurait pu "faire en sorte que l'enfant 10 soit administré avec un facteur de transfert". Le panel n'a fait aucune constatation quant à savoir qui ou qui avait commencé l'enfant 10 avec le facteur de transfert. Il a rejeté une accusation similaire contre le Dr Wakefield.janic a écrit :Lis les documents (que recensent les organismes parallèles qui les mentionnent) ce qui ne fait pas partie de tes lectures habituelles inévitablement.
Lesquels? Toujours pas de source, pas de chiffre....
Cherches un peu, tu ne trouveras évidemment pas ça chez tes sectes habituelles, mais si ça ne t’intéresse pas !!!!
janic a écrit :Les cas Joyeux et Montagnier, les époux Lépine, Belpomme
A ma connaissance, aucun de ceux là n'est concerné par une "radiation pour prétexte fallacieux" pour l'instant. Si tu as des sources, prouvant le contraire, je suis preneur.
Pour quelles raisons Joyeux fut-il radié ? Quand aux Lépine, pas besoin de radiation, il suffit de les empêcher d’exercer leur profession selon leurs compétences professionnelles acquises tout au long de leur carrière. Il n’est pas toujours nécessaire de radier, il suffit de mettre des barrières aussi efficaces. Même chose pour Belpomme ou Montagnier il suffit de les ridiculiser pour leurs discours sur l’électro-sensibilité, la bouffe industrielle et ses méfaits sur la santé induisant des cancers, etc… tous les moyens sont bons et généralement efficaces pour tenter de faire taire les avis dissidents,
pourvu que le business puisse continuer de rapporter.janic a écrit :auxquels s’ajoutent les 5.000 médecins homéopathes, en général, ça commence à faire du monde.
Ils ont été injustement radiés ceux là aussi?
Pas encore pour la plupart ! Mais c’est dans les cartons et les aficionados de BP ne s’en cachent même plus comme d’empêcher son enseignement dans les universités françaises qui touchent des subsides de BP pour survivre. Les H ne sont pas des imbéciles, pas plus que les A de BP, et depuis le temps ils savent que l’Ordre des médecins attend une simple erreur (noyée dans les multiples erreurs de l’A) pour leur tomber dessus comme la vérole sur le bas clergé et ils ne leurs en laissent pas le loisir. Donc BP se rabat sur les remboursements d’abord ,pour dissuader les malades d’y avoir recours ,espérant ainsi disqualifier la profession en les accusant de ne donner que des placebos. C’est adroit, mais c’est con ! Interdire en France n’empêchera pas son expansion dans le monde entier qui n’est pas à la botte de BP.
De toute façon, est ce que le fait qu'une personne (ou quelques unes) ait gagné un procès en appel prouve que tous ceux qui n'ont pas fait appel sont innocents?
Absolument pas ! Ni l'inverse! La notion de culpabilité ,et surtout en science, relève de la plus haute subjectivité puisque les dogmes d’aujourd’hui seront remis en question demain avec l’évolution des technologies.
Après il ne reste plus, comme celui-ci, qu’à se raccrocher à des subtilités sémantiques et administratives pour y parvenir, dans un sens ou dans l’autre d’ailleurs.
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré