janic a écrit :Mais là, pas de bol, pas de vaccins, pas de médocs, et les enfants s’en tirent mieux qu’avec.
Non, Les enfants ne s'en tirent pas mieux sans médoc plutôt qu' avec. Les enfants sont juste beaucoup moins touchés et/ou beaucoup moins sévèrement (Ils cherchent pourquoi). Mais ceux qui le sont, sont soignés, si nécessaire, comme les autres avec médocs, réanimation, etc...
"Wong et al propose dans la revue Pediatrics une description clinique de 2143 cas pédiatriques (dont 731 cas confirmés). 94 enfants étaient asymptomatiques (prélèvements systématiques du fait d'un contage). Dans 94% des cas la maladie était peu sévère (de asymptomatique à modérée). Parmi les 112 cas sévères (détresse respiratoire avec saturation en oxygène <92%), 60% avaient moins de 5 ans et 30% moins de 1 an et parmi les 13 cas critiques (SDRA et/ou défaillances d'organe) 7 avait moins de 1 an. Un enfant de 14 ans est décédé. Il n'y a pas de données sur les comorbidités éventuelles des enfants. "
https://pediatrics.aappublications.org/ ... 2.full.pdf
Sauf que tu n’as pas souligné ça justement
Il n'y a pas de données sur les comorbidités éventuelles des enfants. "
Si 95% ( ?)avaient des comorbidités( diabète, obésité, heredité familiale, etc…) cela ne ferait alors qu’un nombre infime de vrais enfants malades possibles car on ne peut comparer des individus déjà en pathologie avec des individus sains . Donc sans données précises, ça ne veut rien dire de caractéristique
comme nombre d'autres maladies d'enfance. Mais lorsque le corps médical faisait cette réflexion c'était toujours par comparaison avec d'autres, bien plus mortifères donc l'histoire médicale est pleine..janic a écrit :Or il n’y a pas de miracle car le même phénomène existait lors des rougeoles, où les enfants naturellement atteints développaient très rapidement leur immunité d’où la considération que c’était une maladie bénigne à l’époque.
A l'époque, la rougeole était une tueuse d'enfant:
"Cette maladie caractérisée par l'éruption de taches rouges sur la peau était, avant l'arrivée des vaccins dans les années 1970, une redoutable tueuse d'enfants (7 à 8 millions de morts estimés par an dans le monde)."
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/l ... nde_133015
Sauf que la France en 70 et le monde ne pouvaient se comparer avec des taux d''hygiène et de médecine aux antipodes.
et que science et avenir ne semble pas avoir consulté les statistiques officielles. Lesquelles montrent une baisse vertigineuse des morts en France et nos pays proches AVANT les vaccinations. Tout ça a déjà été vu et revu.
"La maladie tueuse de l’enfant est devenue presque une endémie dans plusieurs provinces de la République démocratique du Congo (RDC). Selon un communiqué de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), depuis le début de l'année en cours, plus de deux cent cinquante mille cas suspects et plus de cinq mille décès, principalement parmi les enfants de moins de 5 ans, ont été enregistrés."Elle fait encore des ravages aujourd'hui:
http://www.adiac-congo.com/content/camp ... s-denfants
Comme en France lorsque des règles d’hygiène et de nutrition suffisante n’existaient que peu, principalement dans les villes importantes surtout.
Nous ne sommes pas au Congo avec des enfants en dénutrition, facilement infectés et non protégés de diverses blessures de ce milieu.
janic a écrit :Mais le phénomène s’est aggravé dès l’introduction des vaccins qui ont déplacé cette pathologie de l’enfance vers les bébés et les adultes.
Ca ce n’est pas une réalité biologique, mais de la communication/publicitaire pour vendre un produit.C'est faux, c'est même l'inverse:
"Pourquoi est-ce faux?
-Parce que si l’on compare différents pays, on constate que plus la couverture vaccinale est bonne, plus la rougeole touche les enfants les plus jeunes en moyenne.-(sic)C’est normal, puisque si tout le monde se vaccine les seuls exposés sont les enfants en bas âge (moins de 1 an en France, moins de 6 ans en Suède).
-Parce que si l’on compare le même pays à des époques différentes (France 2018 et France 2011), on constate exactement la même chose."
https://atlas.ecdc.europa.eu/public/ind ... UrFrV-rHsk
Lorsque l’on veut pouvoir tirer des statistiques valables, il faut comparer des cas comparables. Or lorsque l’on impose à toute une population, sans comparaison possible avec une situation sans, on en tire des conclusions faussées puisqu’il s’agit justement d’un biais dans des études non comparatives.
Donc où sont ces modèles réellement comparatifs ? Nulle part !