Le Covid19 peut-il être aérien ? Via les particules aériennes ? Pollution, pollens, brouillard
Re: Le Covid19 peut-il être (semi) aérien via les particules (pollution, pollens, brouillard...) ?
Merci pour cette importante video.
En France, c'est le discours inverse de ces scientifiques japonais qui est répandu par les représentants de l'Etat . Il faudra qu'ils nous expliquent un jour dans quel but .
En France, c'est le discours inverse de ces scientifiques japonais qui est répandu par les représentants de l'Etat . Il faudra qu'ils nous expliquent un jour dans quel but .
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Re: Le Covid19 peut-il être (semi) aérien via les particules (pollution, pollens, brouillard...) ?
Oui Aleluia !!
Ils se réveillent ?!?
C'est con de le faire avec 4 semaines de retard...ils sont responsables de centaines de milliers, voir de millions d'infectés pour rien...Même si les chiffres officiels ne parleront peut -être pas d'autant de contaminés !
On en reparle dans 3 semaines ?
Ils se réveillent ?!?
C'est con de le faire avec 4 semaines de retard...ils sont responsables de centaines de milliers, voir de millions d'infectés pour rien...Même si les chiffres officiels ne parleront peut -être pas d'autant de contaminés !
On en reparle dans 3 semaines ?
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Re: Le Covid19 peut-il être (semi) aérien via les particules (pollution, pollens, brouillard...) ?
C’est moche...pour tous ceux qui n’ont jamais porté de masques en lieux publics depuis le 1er mars...j’en fais partie...comme 99.99% des gens
https://www.huffingtonpost.fr/entry/le- ... 6349a323da
https://www.huffingtonpost.fr/entry/le- ... 6349a323da
Le coronavirus pourrait voler jusqu'à 4 mètres autour d'un malade
L'étude ne montre cependant pas si le virus éjecté dans l’air se déplace jusqu'à 4 mètres en quantité suffisante pour rendre malade du Covid-19.
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Re: Le Covid19 peut-il être (semi) aérien via les particules (pollution, pollens, brouillard...) ?
https://www.laprovence.com/actu/en-dire ... nts-cet-et
et au luxembourg ils sont obligatoires...
Coronavirus - Allemagne : port du masques dans les transports et magasins, pas de grands rassemblements cet été
et au luxembourg ils sont obligatoires...
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Re: Le Covid19 peut-il être (semi) aérien via les particules (pollution, pollens, brouillard...) ?
pasc a écrit :Merci pour cette importante video.
En France, c'est le discours inverse de ces scientifiques japonais qui est répandu par les représentants de l'Etat . Il faudra qu'ils nous expliquent un jour dans quel but .
Tu m’étonnes !
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Re: Le Covid19 peut-il être (semi) aérien via les particules (pollution, pollens, brouillard...) ?
FranceTv fait le point sur la transmission du virus : https://www.francetvinfo.fr/sante/malad ... 39191.html
On notera que la réaction l’OMS est un peu tardive...et je pèse mes mots !
Coronavirus : ce que l'on sait et ce que l'on ignore encore sur la transmission du Covid-19
La possible transmission du Covid-19 par de fines particules en suspension dans l'air, évoquée publiquement par des scientifiques lundi, n'est pas le seul aspect sur lequel des zones d'ombre persistent.
"Il est temps de parler de la transmission aéroportée du Covid-19". Par leur lettre ouverte à l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), 239 scientifiques du monde entier ont rappelé, lundi 6 juillet, que la façon dont le nouveau coronavirus se transmet fait encore débat entre les scientifiques, et que de nombreuses zones d'ombre persistent, plus de six mois après son apparition en Chine.
Dans un entretien au Monde (article payant), jeudi, le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, rappelle à quel point la connaissance de ce virus est en perpétuelle évolution : "Il y a des choses qu’on ne connaissait pas en mars qu’on connaît maintenant mieux et qu’on connaîtra encore mieux en novembre." Franceinfo vous résume les principales connaissances et interrogations au sujet de la contamination au SARS-CoV2.
Ce que l'on sait
• On peut être contaminé par des gouttelettes. C'est le mode de transmission le plus connu, celui qui ne fait l'objet d'aucun doute ni débat : les grosses gouttelettes de salive projetées par les porteurs du virus, directement sur quelqu'un, mais aussi sur leurs propres mains ou les surfaces environnantes que d'autres touchent ensuite. Le fait que les gouttelettes entrent en contact avec la peau n'est pas en soi problématique. Toutefois, "le virus va se trouver sur les mains et, quand elles vont toucher la bouche où les yeux, il va infecter", rappelle à franceinfo Etienne Decroly, chercheur au CNRS et membre de la Société française de virologie. Les grosses gouttelettes sont l'environnement dans lequel le virus "est le plus stable" et survit le mieux, explique-t-il, notamment parce qu'elles sont "moins sensibles à la déshydratation". Une idée qui n'est nouvelle pour personne après des mois de pandémie, mais qui ne doit pas être oubliée, rappelait à franceinfo Xavier Lescure, médecin à l'hôpital Bichat à Paris : "La transmission par les mains est un vecteur clair, et donc il ne faut pas tout braquer sur le masque" en oubliant les autres gestes barrières.
• Le contact rapproché et prolongé avec un malade est la situation la plus dangereuse. Cette idée ne soulève pas non plus de débat. Un contact rapproché avec un malade place à portée des plus grosses gouttelettes, celles dans lesquelles le virus est le plus protégé mais dont le poids ne leur permet que de parcourir une distance limitée. Santé publique France considère comme des "contacts à risque" les face-à-face à moins d'un mètre, ou pendant plusieurs épisodes de toux ou d'éternuement, ainsi que le fait d'avoir partagé un espace clos pendant au moins 15 minutes. Cette notion sert notamment de base aux brigades chargées d'avertir les contacts des personnes testées positives, en France comme ailleurs.
• Il est possible d'être contagieux sans avoir de symptômes. C'est une des particularités de ce coronavirus : contrairement à d'autres, il est possible de le transmettre si on est asymptomatique (porteur sans développer aucun symptôme) ou présymptomatique (porteur avant que les symptômes n'apparaissent), ce qui complique la lutte contre sa propagation. Là encore, la question fait désormais consensus, mais le rôle des asymptomatiques a été nuancé.
Un point de vue partagé par l'épidémiologiste Pascal Crépey, qui cite à franceinfo une étude de scientifiques d'Oxford publiée par la revue Science (en anglais) estimant qu'au début de l'épidémie en Chine, les asymptomatiques n'étaient responsables que de 10% des contaminations. Dans une synthèse de plusieurs études, Santé publique France juge cette part difficile à évaluer, mais conclut que, dans un contexte de surveillance active du virus, t • Il est possible d'être contagieux sans avoir de symptômes. C'est une des particularités de ce coronavirus : contrairement à d'autres, il est possible de le transmettre si on est asymptomatique (porteur sans développer aucun symptôme) ou présymptomatique (porteur avant que les symptômes n'apparaissent), ce qui complique la lutte contre sa propagation. Là encore, la question fait désormais consensus, mais le rôle des asymptomatiques a été nuancé.
[Ils] présentent un niveau de virus bien moins important et jouent donc un rôle moins important qu'on ne l'a cru
Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique
à Libération
Un point de vue partagé par l'épidémiologiste Pascal Crépey, qui cite à franceinfo une étude de scientifiques d'Oxford publiée par la revue Science (en anglais) estimant qu'au début de l'épidémie en Chine, les asymptomatiques n'étaient responsables que de 10% des contaminations. Dans une synthèse de plusieurs études, Santé publique France juge cette part difficile à évaluer, mais conclut que, dans un contexte de surveillance active du virus, la moitié des contaminations sont l'œuvre de malades n'ayant pas encore déclaré de symptômes. Ce constat démontre l'importance du respect des consignes même par ceux qui ne se pensent pas contaminés. Ce constat démontre l'importance du respect des consignes même par ceux qui ne se pensent pas contaminés.
Le virus s'attrape surtout en intérieur. "Les espaces confinés dans lesquels la foule s'entasse" apparaissent aujourd'hui comme le "cœur (...) de la contamination", estime Jean-François Delfraissy dans Libération (article payant). Si elle ne recouvre pas l'ensemble des personnes touchées, la liste des clusters (lieux où au moins trois cas sont recensés en sept jours) publiée chaque semaine par Santé publique France en témoigne : la plupart d'entre eux se trouvent dans les établissements de santé (24,7%) ou d'hébergement comme les Ehpad (14,1%), dans les entreprises (16,8%) et lors de rassemblements familiaux (12,2%). "La Chine a montré que le principal lieu de contamination est le foyer familial" (sans forcément atteindra la taille qui en fait un cluster), explique à franceinfo l'infectiologue Anne-Claude Crémieux. La proximité et la durée d'exposition à un malade potentiel sont ici en cause.
A l'inverse, les transports sont peu touchés, avec seulement quatre clusters mis à jour en France. Par ailleurs, alors que l'ouverture des parcs et des plages a longtemps fait débat, l'épidémiologiste Pascal Crépey note qu'"on n'a, à [sa] connaissance, identifié aucun cluster de contamination en extérieur. Cela peut arriver, mais les espaces confinés sont un facteur de risque plus important". Dans Libération, Jean-François Delfraissy relève que "nous venons de passer le délai de quinze jours après la fête de la musique", où des images de foules compactes dans les rues avaient inquiété, sans qu'aucun rebond de l'épidémie n'ait été observé.
• Le port du masque et le lavage des mains sont utiles. Quelles que soient les incertitudes sur la transmission du virus, une chose est certaine et fait désormais consensus : vous êtes mieux protégé contre le virus en respectant les gestes barrières (se laver les mains et porter un masque).
Ce que l'on ignore encore
• Si le virus peut être présent dans de fines gouttelettes. C'est le débat du moment. Dans une lettre ouverte dévoilée lundi, 239 scientifiques ont demandé à l'OMS de reconnaître que le virus peut être transmis via de fines gouttelettes en suspension dans l'air. L'organisation n'envisage pas jusqu'ici ce scénario, pas plus que les autorités françaises : "Pas de transmission par l'air", peut-on encore lire jeudi sur le site du gouvernement.
Ces scientifiques n'affirment pas qu'un coup de vent pourrait représenter un facteur de contamination. Cependant, l'être humain, quand il tousse ou parle, émet "de grosses gouttelettes, mais aussi des particules plus fines" qui peuvent aussi porter le virus, explique à franceinfo Francis Allard, un des signataires de la lettre ouverte. Plus elles sont petites, plus celles-ci flottent dans l'air, potentiellement sur "des dizaines de mètres", précisent les scientifiques dans leur lettre. En extérieur, elles se dispersent vite, mais "dans des endroits fermés, si la ventilation est faible, elles peuvent rester longtemps", précise Francis Allard, ingénieur spécialiste de la qualité de l'air intérieur à l'université de La Rochelle. Une étude américaine en laboratoire publiée en avril dans The New England Journal of Medicine (en anglais) a estimé à trois heures la durée de vie du nouveau coronavirus à l'état de particules dans l'air. Il a également été retrouvé dans l'air de chambres d'hôpital en Chine, comme l'avait rapporté le New York Times (en anglais), en avril.
(...)
Face à une telle avalanche de facteurs, tous plausibles et qui peuvent se compléter, de nombreuses incertitudes demeurent. "Face à un nouveau virus, on ne doit pas vivre sur des certitudes", ajoute Anne-Claude Crémieux. Si l'observation permet de constater que les milieux clos et mal ventilés sont plus dangereux que l'extérieur, "la vérité est qu'on est incapable de dire ce qui se passe vraiment, et de mesurer exactement le risque", indique l'infectiologue.
On notera que la réaction l’OMS est un peu tardive...et je pèse mes mots !
Coronavirus : ce que l'on sait et ce que l'on ignore encore sur la transmission du Covid-19
La possible transmission du Covid-19 par de fines particules en suspension dans l'air, évoquée publiquement par des scientifiques lundi, n'est pas le seul aspect sur lequel des zones d'ombre persistent.
"Il est temps de parler de la transmission aéroportée du Covid-19". Par leur lettre ouverte à l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), 239 scientifiques du monde entier ont rappelé, lundi 6 juillet, que la façon dont le nouveau coronavirus se transmet fait encore débat entre les scientifiques, et que de nombreuses zones d'ombre persistent, plus de six mois après son apparition en Chine.
Dans un entretien au Monde (article payant), jeudi, le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, rappelle à quel point la connaissance de ce virus est en perpétuelle évolution : "Il y a des choses qu’on ne connaissait pas en mars qu’on connaît maintenant mieux et qu’on connaîtra encore mieux en novembre." Franceinfo vous résume les principales connaissances et interrogations au sujet de la contamination au SARS-CoV2.
Ce que l'on sait
• On peut être contaminé par des gouttelettes. C'est le mode de transmission le plus connu, celui qui ne fait l'objet d'aucun doute ni débat : les grosses gouttelettes de salive projetées par les porteurs du virus, directement sur quelqu'un, mais aussi sur leurs propres mains ou les surfaces environnantes que d'autres touchent ensuite. Le fait que les gouttelettes entrent en contact avec la peau n'est pas en soi problématique. Toutefois, "le virus va se trouver sur les mains et, quand elles vont toucher la bouche où les yeux, il va infecter", rappelle à franceinfo Etienne Decroly, chercheur au CNRS et membre de la Société française de virologie. Les grosses gouttelettes sont l'environnement dans lequel le virus "est le plus stable" et survit le mieux, explique-t-il, notamment parce qu'elles sont "moins sensibles à la déshydratation". Une idée qui n'est nouvelle pour personne après des mois de pandémie, mais qui ne doit pas être oubliée, rappelait à franceinfo Xavier Lescure, médecin à l'hôpital Bichat à Paris : "La transmission par les mains est un vecteur clair, et donc il ne faut pas tout braquer sur le masque" en oubliant les autres gestes barrières.
• Le contact rapproché et prolongé avec un malade est la situation la plus dangereuse. Cette idée ne soulève pas non plus de débat. Un contact rapproché avec un malade place à portée des plus grosses gouttelettes, celles dans lesquelles le virus est le plus protégé mais dont le poids ne leur permet que de parcourir une distance limitée. Santé publique France considère comme des "contacts à risque" les face-à-face à moins d'un mètre, ou pendant plusieurs épisodes de toux ou d'éternuement, ainsi que le fait d'avoir partagé un espace clos pendant au moins 15 minutes. Cette notion sert notamment de base aux brigades chargées d'avertir les contacts des personnes testées positives, en France comme ailleurs.
• Il est possible d'être contagieux sans avoir de symptômes. C'est une des particularités de ce coronavirus : contrairement à d'autres, il est possible de le transmettre si on est asymptomatique (porteur sans développer aucun symptôme) ou présymptomatique (porteur avant que les symptômes n'apparaissent), ce qui complique la lutte contre sa propagation. Là encore, la question fait désormais consensus, mais le rôle des asymptomatiques a été nuancé.
Un point de vue partagé par l'épidémiologiste Pascal Crépey, qui cite à franceinfo une étude de scientifiques d'Oxford publiée par la revue Science (en anglais) estimant qu'au début de l'épidémie en Chine, les asymptomatiques n'étaient responsables que de 10% des contaminations. Dans une synthèse de plusieurs études, Santé publique France juge cette part difficile à évaluer, mais conclut que, dans un contexte de surveillance active du virus, t • Il est possible d'être contagieux sans avoir de symptômes. C'est une des particularités de ce coronavirus : contrairement à d'autres, il est possible de le transmettre si on est asymptomatique (porteur sans développer aucun symptôme) ou présymptomatique (porteur avant que les symptômes n'apparaissent), ce qui complique la lutte contre sa propagation. Là encore, la question fait désormais consensus, mais le rôle des asymptomatiques a été nuancé.
[Ils] présentent un niveau de virus bien moins important et jouent donc un rôle moins important qu'on ne l'a cru
Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique
à Libération
Un point de vue partagé par l'épidémiologiste Pascal Crépey, qui cite à franceinfo une étude de scientifiques d'Oxford publiée par la revue Science (en anglais) estimant qu'au début de l'épidémie en Chine, les asymptomatiques n'étaient responsables que de 10% des contaminations. Dans une synthèse de plusieurs études, Santé publique France juge cette part difficile à évaluer, mais conclut que, dans un contexte de surveillance active du virus, la moitié des contaminations sont l'œuvre de malades n'ayant pas encore déclaré de symptômes. Ce constat démontre l'importance du respect des consignes même par ceux qui ne se pensent pas contaminés. Ce constat démontre l'importance du respect des consignes même par ceux qui ne se pensent pas contaminés.
Le virus s'attrape surtout en intérieur. "Les espaces confinés dans lesquels la foule s'entasse" apparaissent aujourd'hui comme le "cœur (...) de la contamination", estime Jean-François Delfraissy dans Libération (article payant). Si elle ne recouvre pas l'ensemble des personnes touchées, la liste des clusters (lieux où au moins trois cas sont recensés en sept jours) publiée chaque semaine par Santé publique France en témoigne : la plupart d'entre eux se trouvent dans les établissements de santé (24,7%) ou d'hébergement comme les Ehpad (14,1%), dans les entreprises (16,8%) et lors de rassemblements familiaux (12,2%). "La Chine a montré que le principal lieu de contamination est le foyer familial" (sans forcément atteindra la taille qui en fait un cluster), explique à franceinfo l'infectiologue Anne-Claude Crémieux. La proximité et la durée d'exposition à un malade potentiel sont ici en cause.
A l'inverse, les transports sont peu touchés, avec seulement quatre clusters mis à jour en France. Par ailleurs, alors que l'ouverture des parcs et des plages a longtemps fait débat, l'épidémiologiste Pascal Crépey note qu'"on n'a, à [sa] connaissance, identifié aucun cluster de contamination en extérieur. Cela peut arriver, mais les espaces confinés sont un facteur de risque plus important". Dans Libération, Jean-François Delfraissy relève que "nous venons de passer le délai de quinze jours après la fête de la musique", où des images de foules compactes dans les rues avaient inquiété, sans qu'aucun rebond de l'épidémie n'ait été observé.
• Le port du masque et le lavage des mains sont utiles. Quelles que soient les incertitudes sur la transmission du virus, une chose est certaine et fait désormais consensus : vous êtes mieux protégé contre le virus en respectant les gestes barrières (se laver les mains et porter un masque).
Ce que l'on ignore encore
• Si le virus peut être présent dans de fines gouttelettes. C'est le débat du moment. Dans une lettre ouverte dévoilée lundi, 239 scientifiques ont demandé à l'OMS de reconnaître que le virus peut être transmis via de fines gouttelettes en suspension dans l'air. L'organisation n'envisage pas jusqu'ici ce scénario, pas plus que les autorités françaises : "Pas de transmission par l'air", peut-on encore lire jeudi sur le site du gouvernement.
Ces scientifiques n'affirment pas qu'un coup de vent pourrait représenter un facteur de contamination. Cependant, l'être humain, quand il tousse ou parle, émet "de grosses gouttelettes, mais aussi des particules plus fines" qui peuvent aussi porter le virus, explique à franceinfo Francis Allard, un des signataires de la lettre ouverte. Plus elles sont petites, plus celles-ci flottent dans l'air, potentiellement sur "des dizaines de mètres", précisent les scientifiques dans leur lettre. En extérieur, elles se dispersent vite, mais "dans des endroits fermés, si la ventilation est faible, elles peuvent rester longtemps", précise Francis Allard, ingénieur spécialiste de la qualité de l'air intérieur à l'université de La Rochelle. Une étude américaine en laboratoire publiée en avril dans The New England Journal of Medicine (en anglais) a estimé à trois heures la durée de vie du nouveau coronavirus à l'état de particules dans l'air. Il a également été retrouvé dans l'air de chambres d'hôpital en Chine, comme l'avait rapporté le New York Times (en anglais), en avril.
(...)
Face à une telle avalanche de facteurs, tous plausibles et qui peuvent se compléter, de nombreuses incertitudes demeurent. "Face à un nouveau virus, on ne doit pas vivre sur des certitudes", ajoute Anne-Claude Crémieux. Si l'observation permet de constater que les milieux clos et mal ventilés sont plus dangereux que l'extérieur, "la vérité est qu'on est incapable de dire ce qui se passe vraiment, et de mesurer exactement le risque", indique l'infectiologue.
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Re: Le Covid19 peut-il être (semi) aérien via les particules (pollution, pollens, brouillard...) ?
Roooh mais quelle surprise !!
http://www.leparisien.fr/societe/corona ... 356689.php
http://www.leparisien.fr/societe/corona ... 356689.php
Coronavirus : premières preuves de son risque infectieux dans l’air expiré
Le coronavirus dans l’air expiré par les humains est sans doute infectieux, selon des chercheurs américains.
(...)
Une équipe de l'université du Nebraska a pour la première fois réussi à faire se répliquer des particules de SARS-CoV-2 prélevées dans l'air de chambres de malades du Covid-19, dopant l'hypothèse selon laquelle le virus est transmissible non pas seulement par les postillons et les grosses gouttelettes émises par la toux et les éternuements, mais aussi par les microscopiques gouttelettes que nous rejetons lorsque nous respirons et parlons, et qui sont si légères qu'elles restent en suspension longtemps, en l'absence de ventilation.
(...)
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Re: Le Covid19 peut-il être (semi) aérien via les particules (pollution, pollens, brouillard...) ?
Sans déconner ? Voici les instructions du gouvernement Belge du jour :
Cela fait des mois que je dis qu'il faut couper les climatisations et ventilations dans les lieux publics !!!
Concernant la clim ils sont, encore une fois, complètement à la ramasse puisque le Sars-Cov2 est THERMOLABILE et que les climatisations ne prélèvent pas l'air de l'extérieur mais les calories !
J'ai envie de taper là tellement je lis de bêtises !
Bande de conn*rds !!
Source: https://www.rtbf.be/info/dossier/epidem ... d=10555512
Concernant l’utilisation de ventilateur et de climatiseur, le Centre explique : "Quand il fait très chaud, on a envie d’utiliser les ventilateurs. On recommande de n’utiliser ses ventilateurs que dans le cadre privé de la maison et en compagnie, évidemment, de personnes non contaminées par le COVID car la ventilation peut projeter plus loin les gouttelettes", détaille Frédérique Jacobs. "Le système de climatisation n’est pas une source de contamination virale et pourrait, au contraire, diminuer les risques de contamination car l’air froid y est souvent renouvelé mais il faut alors s’assurer que le système insuffle un nouvel air frais et ne réutilise pas l’air de la pièce. Enfin, il faut que ces climatiseurs soient correctement entretenus."
Cela fait des mois que je dis qu'il faut couper les climatisations et ventilations dans les lieux publics !!!
Concernant la clim ils sont, encore une fois, complètement à la ramasse puisque le Sars-Cov2 est THERMOLABILE et que les climatisations ne prélèvent pas l'air de l'extérieur mais les calories !
J'ai envie de taper là tellement je lis de bêtises !
Bande de conn*rds !!
Source: https://www.rtbf.be/info/dossier/epidem ... d=10555512
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Re: Le Covid19 peut-il être (semi) aérien via les particules (pollution, pollens, brouillard...) ?
C'est bien ils sont pas en retard eux...
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Re: Le Covid19 peut-il être (semi) aérien via les particules (pollution, pollens, brouillard...) ?
En même temps, il ne s'agit pas de pollution, pollen ou brouillard, mais de micro gouttelettes pouvant se déplacer à plusieurs mètres et extrêmement peu probable en extérieurChristophe a écrit :C'est bien ils sont pas en retard eux...
Les contaminations en milieu extérieur sont a priori nettement plus rares qu’en intérieur, car la densité humaine y est généralement moins élevée. Les virus sont aussi confrontés aux éléments naturels : le vent ou la brise permettent de les disperser, et les rayons ultraviolets détruisent assez efficacement les particules virales.
Contactée par Le Monde, l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France affirme n’avoir repéré aucun cluster impliquant un environnement exclusivement extérieur. Même si un événement s’est déroulé en partie à l’air libre, l’ARS ne peut pas distinguer précisément le mode de contamination : gouttelettes en suspension dans l’air, contact direct et prolongé entre personnes, contamination en lieu clos, etc. Au niveau national, la plupart des foyers détectés se sont formés dans des endroits fermés.
De nombreux lieux publics extérieurs peuvent offrir des conditions de ventilation insuffisantes, connaître une forte densité humaine et une circulation lente, voire stagnante. Ce peut être le cas de rues commerçantes étroites et densément fréquentées en haute saison, de spectacles en plein air ou encore de rassemblements comme celui ayant réuni de nombreux supporteurs du Paris-Saint-Germain mardi 18 août sur les Champs-Elysées. Dans ce genre de configuration, où de nombreuses personnes parlent ou crient, la contamination est possible, même en extérieur.
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