simplet
Tu as étudié ça dans les "archives", ou c'est juste comme d'habitude ton cerveau qui s'est soudainement bloqué vers 1960/70.
Une source peut-être?
Non, je déconne, une source venant de Janic...
C'est ça tu déconnes, mais qui pourrait s'en etonner?
Va dans les archives historiques mon coco ! Sors un peu, il y a un autre monde que tes marchands de poisons
nullard
Mais il y en a d'autres, des intérêts. Au 19ème siècle, la bouffe représentait 65 à 80% du budget des ménages. En 1960, ça représentait encore 35%. Aujourd'hui, autour de seulement 20%.
Tout à fait exact, mais dans les villes, car dans les campagnes les ruraux pourvoyaient directement à leurs besoins alimentaires et les populations des villes était plus minoritaires que maintenant, là où les gens s’entassent les uns sur les autres dans les ban-lieux des grandes villes.
Si l'écolo-bobo pense que la population est prête à tripler son budget bouffe pour en acheter de la soi-disant "riche en nutriments", c'est qu'il est aussi con que je le crois.
Les populations que tu "cites" n'ont diminué leur budjet que pour s'acheter des produits de consommation, incités par les industriels pour s'enrichir,
eux! (voitures, machines à laver, smartphone et autres gadgets) pour petits bourgeois( anciens serfs et esclaves) se tuant aussi, réellement, aux boulots pour y acceder. Et bien entendu, j'en fais partie comme le reste de la population de petits nantis artificiellement.
sinon, pas besoin de tripler son budjet. A quotient familial identique je dépensais soit moins, soit équivalent (20 à 35%) à mes collègues en achetant uniquement du bio. Comme quoi les cons ne se trouvent pas là où tu crois, mais plutôt chez toi !
https://www.coordinationrurale.fr/lactu ... me-siecle/
Exemple typique de « ruraux » des villes ! Un peu de réalité historique et beaucoup de fantasmes culturels nourris par les marchands d’engrais et traitements chimiques qui triplent les coûts de la nourriture frélatée.
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré