Ahmed a écrit :...
Les conditions sont également réunies pour une future pandémie avec la multiplication des vols internationaux...
Super !
Beaucoup ont dans l'idée de tout interdire, sous prétexte de risques possibles. C'est évidemment la voie facile pour imposer son idéologie aux autres en la leur faisant accepter comme une lettre à la poste. C'est commencé depuis déjà longtemps avec les mesures anti-terroristes, ça s'est poursuivi et se poursuit encore avec les mesures soi-disant écologiques, ça s'est renforcé avec les confinements anti-covid, une nouvelle voie apparaît avec la lutte contre le sexisme, le machisme ou le harcèlement, l'avenir est brillant pour les politiques qui n'ont plus qu'à cueillir les foules manipulées par la peur, culpabilisées par le moindre écart par rapport à la morale du moment, fût-il seulement imaginaire, et sommés de renoncer pour la bonne cause, à leurs libertés. Et s'ils ne le font pas, on les leur enlève de toute façon.
Donner une fessée à un gosse qui fait des conneries devient un crime contre l'humanité, jeter dans la poubelle noire ce qui doit aller dans la jaune, un crime contre l'environnement, ne pas porter un masque pendant un confinement fait de vous un assassin, et parler à un enfant inconnu, je n'ose même pas y penser, ça fait sûrement de vous un pédophile.
Le citoyen peut renoncer à son émancipation, à ses choix, à sa liberté, le politique est là pour le sauver de lui-même et des autres, présentés comme des menaces potentielles. Le plus étonnant est que les citoyens infantilisés en redemandent encore plus et se conforment à cette nouvelle morale qui a remplacée celle des curés. Vivre, c'est prendre des risques, dont celui de mourir, mais aujourd'hui ils préfèrent végéter en moutons.
L'idée même d'exercer leur liberté de choix, choix de leur actes, de leur avenir, leur est devenue odieuse. Il faudrait prendre des responsabilités individuelles, des risques, et possiblement avoir des comptes à rendre, alors qu'il est si simple de s'en remettre aux grands prêtres de l'écologie, du COVID, des omniscients du climat ou du socialement correct, et de bêler, contre les politiques ou pour les appeler, au moindre problème qu'ils n'auraient pas eu sans eux.
), il est clair que tout est reparti comme avant, contredisant ainsi les espoirs de certains et les belles paroles d'autres... C'était assez facile à prévoir sur le fond, puisque tout ce qui a été mis en œuvre l'a été à cette fin; ce qui a pu susciter quelques légers espoirs ont été ces paroles auxquelles je faisait allusions: il faut admettre qu'elles n'étaient là que pour "enrober" des mesures versatiles et peu cohérentes, mais visant toutes (certaines mal!) à un retour au "business as usual" (= supplément d'âme, non garanti).
