Christophe a écrit :Mieux vaut être grande et mince que petite et ronde pour vivre vielle?
Perdu...du moins vis à vis du cancer...info à confirmer...
Oui mais ce n'est pas pour les bonnes raisons!
Pur syllogisme des chercheurs d'Oxford:
"l'hormone agit sur la taille et le poids, DONC il y a un lien avec l'hormone de croissance", c'est archi-faux comme CAUSE principale (éventuellement comme cause marginale ou très secondaire). Commencez par
«arrêtez de manger de la viande»: dirait Janic (et comme ce n'est pas aisément réalisable, je dirais => surveillez votre «bol alimentaire» pour ne pas en manger trop... car l'alimentation trop acide nous guette...)
Si ils n'ont pas trouvé mieux que
France Soir pour relayer leurs communiqués de presse, on ne va quand même pas dire que ce canard réécrit la médecine holistique!
Pourquoi en détail:
France soir a écrit :http://www.francesoir.fr/actualite/sante/plus-risques-cancer-chez-femmes-grande-taille-120948.html
Plus de risques de cancer chez les femmes de grande taille ?
Des recherches menées par l'université d'Oxford démontre que les femmes de grande taille auraient trois fois plus de risques d'avoir un cancer [1]. L'étude a été réalisée sur un million de patientes [2].
C'est une étude de grande envergure qui a été effectuée par l'université d'Oxford, publiée ce jeudi dans la revue médicale The Lancet Oncology. Les dossiers médicaux d'un million de patientes ont été examinés entre 1996 et 2001 [3]. Les chercheurs sont arrivés à la conclusion suivante : les femmes de grande taille seraient plus exposées au risque de cancer. Celles qui mesurent plus de 1,73 mètre ont 37% de probabilités de plus de développer cette maladie que celles qui mesures moins de 1,50 mètre. Au-delà de cette taille, le risque d'avoir un cancer s'accroît de 16% tous les 10 centimètres. [4]
Plusieurs types de cancer sont concernés : côlon, rectal, mélanome, sein, utérus, ovaires, rein, lymphome, et leucémie. Pour expliquer leurs résultats, les scientifiques avancent l'hypothèse des hormones de croissance. Elles provoqueraient l'apparition de tumeurs. Autre piste : les personnes de grande taille ont plus de cellules et donc proportionnellement plus de risques que ces dernières deviennent cancéreuses [4].
[1] Faux, parce que pure syllogisme. Il a été démontré que le cancer se dévelopait «parce que le corps en avait besoin» (confirmé sur l'étude de cas cliniques => la moitié du bouquin =>
"Soyez bien dans votre assiette jusqu'à 80 ans et plus" y est consacré dont une partie avec les formules chimiques idoines... pour ceux que ça intéresse).
Le cancer est plutôt une sorte d'ultime parade immunitaire du corps, déclenchée selon les circonstances. Les médecins relèvent régulièrement une quantité impressionnante de tumeurs, résorbées naturellement, lorsqu'ils font des autopsies ou par hasard lors d'interventions chirurgicales non ciblée sur ce type d'affection.
Pour autant, il ne faut pas laisser tomber l'arsenal thérapeuthique conventionnel et tout rejetter en bloc, la chirurgie et la chimie sont utiles à bon escient.
[2] Ce n'est pas significatif, car la statistique est biaisée pour focaliser l'attention sur le résultat de la recherche fondée sur des indices indirects => qui amène à
«prendre un effet pour une cause»[3]. Ce qui serait significatif, cela aurait été de dire et de démontrer (cela a déjà été fait) que
«les personnes sveltes, «métabolisent mieux», parce qu'elles ont un bol alimentaire mieux adaptés à leurs besoins» => étant mince elles ne «stockent» pas toutes sortes de toxines puisque mieux éliminées par les voies naturelles => qui elles ne provoquent pas d'iritations sur les vaisseaux => comme leurs membrannes cellulaires sont mieux préservées, les cellules ne sont pas attaquées et l'ordre «stockage des toxines» ne leur est pas donné => donc elles n'ont pas besoin de se répliquer là où elles sont pour stocker les toxines plutôt que d'arriver à les éliminer! Et c'est ainsi que l'on sait, après expérimentation irréfutable sur les souris et les humains, que notre corps développe un cancer parce que «saturé» et donc poussé par la nécessité de le faire. D'ailleurs, nul n'est besoin d'être médecin pour savoir que les obèses souffrent de mille trucs plus souvent que les autres, tout le monde en a entendu parlé. Maintenant il n'est pas exclu que le point en question relevé par France Soir, ne vienne s'ajouter, mais là n'est pas l'essentiel: ceux qui ont fait ça à Oxford, sont des gros futés et ils mériteraient un gros coup de pieds au c**
[3] La raison principale, est parce que le modèle théorique de la médecine conventionnelle (arsenal lourd de chimio, chirurige, etc) cherche à adapter des principes scientifiques à la médecine via un mode opératoire similiaire à celui des pompiers qui vont éteindre le feu après le déclenchement de l'incendie (on reprend le dossier des patients, établis selon ce mode de faire...) => alors qu'il faudrait intervenir en amont, avant que l'incendie ne se déclare => avec le concours volontaire des patients eux-mêmes => ce n'est pas fait, parce qu'il y a des enjeux énormes à nous vendre de la nourriture dévitalisée (facilité de stockage pour les distributeurs, production agroalimentaire normalisée, industrie chimique qui intervient en amont et en aval avec les médicaments pour empocher le fric de la merde qu'ils ont fait en amont avec REACH, compétitivité économique favorable à un bol alimentaire «acide» puisqu'on a de meilleurs «guerriers» etc....)
La résolution de ce problème passerait par de «bonnes pratiques culturelles» via une «école des parents volontairement consentie et humble» sur ce sujet, et aussi via l'enseigement scolaire, ce qui fait cruellement défaut actuellement!
[4] de telles conclusions sur la taille sont totalement absurdes! Si l'on songe que la taille moyenne des Massaï doit être de 1m90 et celle de la tribu des Mongs dans le nord de la Thailande doit-être de 1m60! Ça n'a strictement rien à voir. Si ça se trouve, ils ont fait cette étude dans les villes .... (nimportenawak... pfff.... France Soir... prenez autre chose comme source pour votre santé!)