La résultante de l'ensemble!
Hic a écrit :Je vois avec satisfaction que nous (trois) sommes d’accord sur le sujet;
préventif: vous n’êtes pas malade vous le faîtes par prévision
curatif: vous êtes malade et cela corrige votre problème.
Donc nous sommes d’accord:
le sport est curatif!
Merci de votre attention!
De mieux en mieux, en effet.
Remarquez que lorsqu'on on est dans le curatif, il vaut mieux continuer le préventif... Donc ce n'est pas boléen (pas soit l'un ou l'autre, mais l'un ET l'autre.)
D'où la grosse difficulté pour faire les deux. Mon sentiment est que la majeur partie des gens cherchent avant tout à «
éteindre l'incendie», la prévention... Le reste on verra après: grossière erreur! Avec le sport, ça fait trois trucs d'un coup, de la discipline, des efforts et des privations... Et de quatre, parce qu'en général il faut développer «l'estime de soi..»: la réaction est souvent —
«Comme vous y allez !!!»
Dans cette matière nous avons souvent affaire à une sorte «d'autisme» (le mot est abusif, c'est juste pour faire comprendre...) donc par principe, on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif! Alors faire boire quatre fois...
C'est là où je voulais en venir depuis des lustres, il faut mettre des priorités et y aller étape par étape:
— qu'est-ce qu'on traite?
— qu'est-ce qu'on soigne?
On soigne les urgences (attaque de front d'inflammations, on prend des analgésiques contre la douleur et faire baisser la fièvre, ou encore fraiser une carie dentaire, voire sauver la vie)...
On traite ce qui ne peut se guérir qu'à plus long terme... Cela suppose un thérapeute, car il faut définir une stratégie de traitement en fonction de la survenue des troubles et du profil individuel. L'avantage c'est que le patient peut focaliser sur sont traitement, il aura donc l'aide de son mental, et ce sera parfois le bon moment de la «
prise de conscience». Parfois non, on peut passer à côté...
La cure c'est un peu les deux à la fois, un travail en profondeur censé s'attaquer aux causes cumulé avec une mesure préventive destinée à donner le temps au corps pour se rétablir et combattre tout seul son stress par la suite... Tout en faisant en sorte que la situation de «stress de l'organisme», ne se représente plus.
La difficulté est que la prévention dépend presque exclusivement des choix et décisions de l'individu (de sa «
volonté personnelle») tout comme le fait ou non de faire du sport.
Donc le sport c'est — c'est bien d'en parler — c'est un peu comme la cerise sur le gâteau (donc à verser dans la prévention et de façon progressive),
il est indispensable, mais il ne peut se passer du gâteau
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et comme pour faire un bon gâteau il faut de la bonne volonté, il vaut mieux caresser dans le sens du poil...
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