qu'entends-tu par végétalisme thérapeutique?Le végétalisme thérapeutique, c'est 2 ans maximum ,
c'est pas la mer à boire :-)
Le végétalisme comme thérapeutique
janic a écrit :hic bonjourqu'entends-tu par végétalisme thérapeutique?Le végétalisme thérapeutique, c'est 2 ans maximum ,
c'est pas la mer à boire :-)
Repost du message du 13 10 2012
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MessagePosté le: Sam 13 Oct 2012, 05:12 Le végétalisme comme thérapeutique Répondre en citant
le végétalisme comme thérapeutique
(prix econologique:ça coute moins cher qu'un repas normal)
par exemple:
contre les problèmes inflammatoires.
Les protéines animales sont agressives !
Les supprimer permet au corps de guérir!
mon psoriasis et mon hypertension sont en cours de disparition !
Mais en réalité , c'est tout le système qui guérit
en particulier penser au vasculaire
(guérison des vaisseaux sanguins)
qui sont responsable des problèmes cardiaques et cérébraux
Infarctus et AVC sont majoritairement des problèmes vasculaires
Tentez le végétalisme comme thérapeutique !!
"ça ne mange pas de pain !!!!!!"
(prix econologique:ça coute moins cher qu'un repas normal)
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«Que ta nourriture soit ton médicament et que ton médicament soit ta nourriture» Hippocrate
« Tout ce qui a un prix n'a pas de valeur » Nietzche
La torture pour le nuls
Interdisez d'exprimer l'idée que les champs soient des accélérations (magnétique et gravitationnel)
Et vous obtenez votre brevet de bourreau option torture mentale avec succés
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j'avais bien saisi! ce qui me surprend c'est végétalisme thérapeutique d'une part et sur deux ans d'autre part.
le végétalisme n'est pas en soi une thérapie comme une thérapie médicale chimique. Par contre, cela soulage l'organisme et favorise l'autoguérison bien entendu. Mais pourquoi 2 ans comme si c'était une limite? alors que bien des pathologies ne disparaissent définitivement qu'au bout d'une bien plus longue période. Ensuite ce n'est pas un choix thérapeutique mais un choix de vie (donc "jusqu'à ce que mort s'ensuive"). Mais il est vrai que je lis ici et là des VGL, des vegans fumant, buvant, absorbant forces médocs, produits raffinés et espérant malgré tout une amélioration majeure (ce qui arrive quelques fois selon l'âge et le passé médical).
le végétalisme n'est pas en soi une thérapie comme une thérapie médicale chimique. Par contre, cela soulage l'organisme et favorise l'autoguérison bien entendu. Mais pourquoi 2 ans comme si c'était une limite? alors que bien des pathologies ne disparaissent définitivement qu'au bout d'une bien plus longue période. Ensuite ce n'est pas un choix thérapeutique mais un choix de vie (donc "jusqu'à ce que mort s'ensuive"). Mais il est vrai que je lis ici et là des VGL, des vegans fumant, buvant, absorbant forces médocs, produits raffinés et espérant malgré tout une amélioration majeure (ce qui arrive quelques fois selon l'âge et le passé médical).
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Hlc est-elle en danger? A-t-elle besoin d'aide dans ses choix? Parce que je crois qu'elle confond pas mal de choses au vu de ses propos...
De là à donner des conseils comme «manger des frites sans se priver», simplement parce qu'elles ne contiennent pas de viande!!! A se demander si cette personne est bien sérieuse...
+1
Et aussi le fait que chaque individu ne métabolisera pas pareil...
D'où le fait qu'il ne faut pas s'enfermer dans un dogme — dans un sens ou dans un autre... je veux dire qu'il faut faire D'ABORD, ce qui convient et qui plait à soi... et non pas manger ceci ou cela simplement «parce que c'est bon pour la santé» — la difficulté étant bien sûr de choisir, parmi ce qui nous plait, ce qui ne carence pas l'organisme et ne le conduit pas vers une/des pathologies...
Donc savoir associer: plaisir, bon sens, en fonction de ses capacités propres et le plus possible selon son mode de vie (celui vers lequel on tend)! Non s'en se documenter sérieusement, si tant est que le sujet intéresse...
NOUS SOMMES CE QUE NOUS MANGEONS, dit le proverbe...
Oui, c'est à peu près ça. Et encore faut-il savoir quel «diététicien» on a en face de soi...! Pour moi la dénomination de «diète» en tant que telle, implique une approche restrictive qui suggère une erreur d'approche au plan pédagogique. Fondamentalement...
Souvent les diététiciens ne savent pas de quoi il parlent. On le voit immédiatement lorsqu'ils ne fixent pas les bonnes priorités. Et de façon concomitante, ceux qui ne tiennent pas compte des données personnelles.
Y a-t-il une «généralité», je ne le pense pas... Hélas non (ou tant mieux!). Par contre il y a des tendances, ça oui... Et dans celles-ci, la «généralité» ce serait par exemple la bouffe dévitalisée et inadaptée, pas des choix individuels mal ciblés, ayant échoué à trouver «la formule qui va bien» (si tant est qu'il eu la volonté de le faire), et qui sera inévitablement individualisée/able... Après selon le succès que l'on a obtenu pour soi, ça sera plus ou moins pertinent pour les autres... C'est aussi à voir «en famille», et là c'est très dur d'y arriver! Je suis pour la responsabilité individuelle à ce stade!
On devrait plutôt — au sens général — parler d'un canevas individuel, plutôt qu'au plan individuel un canevas généraliste (car c'est un angle d'attaque qui permet à l'individu de s'approprier son itinéraire).
Yes !
A titre «d'étude ciblée et indépendante», entre deux direction à choisir: le goût renseigne et permet d'affiner ses choix, c'est aussi un moyen pour le corps (et le bon esprit) d'exprimer ce dont il a besoin...
Ça c'est clair! Les réponses non-exhaustive sont relativement connues (si tant est que le désir soit constructif)
— de fixer des priorités de base (chose qu'on peine à faire dans ce forum et ailleurs, mais ça demande des efforts, ceux de s'informer) et au cœur même desquelles se trouve mêlé la notion de plaisir (c'est pas nous qui nous le disons, mais notre corps qui nous l'indique...);
— trouver autant que possible les «mix qui vont bien» en le variant (et en variant les sources d'approvisionnement) et en veillant à ce qu'ils ne contiennent pas de carences et qu'ils soient harmonieux;
— et bien sûr grâce à des indicateurs: le goût, le bilan des «entrées sorties» (consistance des selles – odeur, consistance, apparence – ce n'est pas une plaisanterie, il y a une science milénaire des coprolithes^^), l'observation de l'équilibre acide base, la masse corporelle, l'état physique en général et aussi mental, l'étude des besoins de l'organisme au travers des UI pour l'OMS qui vous indique assez sûrement les besoins de votre organisme, etc). Merci de compléter si j'en oublie... (Car il y a encore, la peau, les cheveux, les ongles, l'état dentaire et tant d'autres) Parce qu'il faut laisser faire le corps et voire ensuite ce qui se passe...! Et ainsi de suite.
D'un autre côté, je comprends ce que tu veux dire, mais il n'y a pas moyen de faire «autrement», puisque c'est à la fois une question de «volonté personnelle», contre laquelle personne ne peut luter (même pas un médecin qui donnerait la molécule qui guérirait son patient et qui pourrait le sauver, alors que lui n'appliquerait pas le traitement...)
Non, définitivement, on ne peut pas lutter là-contre sans bonne volonté!
Il faut donc «réhabiliter la notion de plaisir», dont le rejet par simple dichotomie, est une sorte de questionnement puissamment culturelle, pour ne pas dire biblique (c'est une façon de parler) avec Adam et Eve et la pomme (c'est une métaphore...) puisqu'à ce stade, il n'y a pas encore la luxure quoi qu'il en soit, le plaisir est une question «privée». Le problème c'est la «complétion», certains y introduiront une notion spirituelle (j'en fais partie) et ce qu'on entend par là, mais ça reste privé!
Le plaisir ne dispense pas de faire de la prévention. Donc oui, d'accord. Mais l'un n'empêche pas l'autre...?
Là tu pointe du doigt un bon point. Je ne connais que de rares médicaments qui ne sont pas «dévitalisés»! Dès lors on peut se demande de la pertinence de cette médecine dans une approche préventive. Assurément elle tente de circonscrire des incendies — c'est sont rôle, tel qu'il est relativement défini — non de les éviter à la base (puisque tu tenais à une notion d'ordre général, s'en est une!) cela tient précisément de la «volonté individuelle». Contre laquelle la médecine n'a guère de prise. Car même en Chine, le paradigme a relatiement changé...?
Là tu pousses le bouchon un peu trop loin! (Si on est raccord avec ce qui précède) Car il y a probablement plus de un patient sur deux qui saute dans le vide de son propre chef, et ce à la barbe de son médecin lui-même... Je ne défends pas le corps médical, mais pour lui aussi, la médecine c'est un peu le mythe de Sysyphe... Faut-il rappeler que dans ses rangs même, il y a de gros fumeurs et des alcoolos? Nul n'est à l'abri de ce qui se passe là haut dans le cortex... Qui lui-même est capable de produire les propres médicaments individualisés, qui vont guérir l'organisme sans beson de médicaments (et dans une certaine mesure, celle de disposer des nutriments «qui vont bien», telle que l'indispensable vitamine "C" à titre exemplatif...)
Mmmmh! On peut le penser éventuellement, mais impossible de le dire avec certitude amha! Vu que si on est cohérent, il faut intégrer les questions individuelles (notamment). Et pas seulement celles relatives au métabolisme, mais à l'ensemble: un esprit «sain»* dans un corps «sain»*!
* ce qui peut être «sain» pour quelqu'un, peut ne pas l'être pour un autre, mais j'en fais pas une généralité! :-)
De là à donner des conseils comme «manger des frites sans se priver», simplement parce qu'elles ne contiennent pas de viande!!! A se demander si cette personne est bien sérieuse...
janic a écrit :Arnaud M bonjourMes beaux parents étaient crudistes (végétaliens en pire) pour soit disant hygiénistes et santé) depuis 40 ans et ont vécus loin de la médecine traditionnelle et en consommant diverses conneries bio (voir tout ce qu'il y a dans bio contact), une maison remplie à moitié par des teintures mères homéopathiques. résultat, plusieurs problèmes de santé toute leur vie, la souffrance car pas d'aspirine ou autre, un cancer et la mort au final à moins de 70 ans.
Apparemment, tu es contre le bio (diverses conneries), l’hygiénisme (soi disant)et le crudivorisme (végétalien en pire) ! L’illusion que certains se font c’est qu’adopter ce mode de vie serait une sorte de ticket d’entrée pour l’immortalité (relative) qui effacerait, comme par miracle, le passif personnel ou héréditaire.
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Et aussi le fait que chaque individu ne métabolisera pas pareil...
D'où le fait qu'il ne faut pas s'enfermer dans un dogme — dans un sens ou dans un autre... je veux dire qu'il faut faire D'ABORD, ce qui convient et qui plait à soi... et non pas manger ceci ou cela simplement «parce que c'est bon pour la santé» — la difficulté étant bien sûr de choisir, parmi ce qui nous plait, ce qui ne carence pas l'organisme et ne le conduit pas vers une/des pathologies...
Donc savoir associer: plaisir, bon sens, en fonction de ses capacités propres et le plus possible selon son mode de vie (celui vers lequel on tend)! Non s'en se documenter sérieusement, si tant est que le sujet intéresse...
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janic a écrit :il n’y a aucun diététicien pour diriger ces choix
Oui, c'est à peu près ça. Et encore faut-il savoir quel «diététicien» on a en face de soi...! Pour moi la dénomination de «diète» en tant que telle, implique une approche restrictive qui suggère une erreur d'approche au plan pédagogique. Fondamentalement...
Souvent les diététiciens ne savent pas de quoi il parlent. On le voit immédiatement lorsqu'ils ne fixent pas les bonnes priorités. Et de façon concomitante, ceux qui ne tiennent pas compte des données personnelles.
janic a écrit :Ce qui importe ce ne sont pas quelques cas particuliers qui n’ont pas fonctionné comme désiré, mais la généralité de ceux qui suivent une pareille voie !
Y a-t-il une «généralité», je ne le pense pas... Hélas non (ou tant mieux!). Par contre il y a des tendances, ça oui... Et dans celles-ci, la «généralité» ce serait par exemple la bouffe dévitalisée et inadaptée, pas des choix individuels mal ciblés, ayant échoué à trouver «la formule qui va bien» (si tant est qu'il eu la volonté de le faire), et qui sera inévitablement individualisée/able... Après selon le succès que l'on a obtenu pour soi, ça sera plus ou moins pertinent pour les autres... C'est aussi à voir «en famille», et là c'est très dur d'y arriver! Je suis pour la responsabilité individuelle à ce stade!
On devrait plutôt — au sens général — parler d'un canevas individuel, plutôt qu'au plan individuel un canevas généraliste (car c'est un angle d'attaque qui permet à l'individu de s'approprier son itinéraire).
janic a écrit :Est-ce mieux, moins bien ou sans différence ? Pour cela il faudrait des études ciblées, indépendantes et…couteuses, ce qui n’existe pas en France en tout cas. C’est donc du cas par cas !
Yes !
A titre «d'étude ciblée et indépendante», entre deux direction à choisir: le goût renseigne et permet d'affiner ses choix, c'est aussi un moyen pour le corps (et le bon esprit) d'exprimer ce dont il a besoin...
janic a écrit :Je dirais que la vie peut être courte ou longue, pour le cancer autant éviter les sources possibles mais sans se priver de se faire plaisir et de vivre, s'il doit arriver il arrivera.
Le début est cohérent car effectivement personne ne connait (heureusement !) son avenir qui peut être heureux ou malheureux. Or, comme tu le soulignes, « pour le cancer autant éviter les sources possibles » la question est donc : comment
Ça c'est clair! Les réponses non-exhaustive sont relativement connues (si tant est que le désir soit constructif)
— de fixer des priorités de base (chose qu'on peine à faire dans ce forum et ailleurs, mais ça demande des efforts, ceux de s'informer) et au cœur même desquelles se trouve mêlé la notion de plaisir (c'est pas nous qui nous le disons, mais notre corps qui nous l'indique...);
— trouver autant que possible les «mix qui vont bien» en le variant (et en variant les sources d'approvisionnement) et en veillant à ce qu'ils ne contiennent pas de carences et qu'ils soient harmonieux;
— et bien sûr grâce à des indicateurs: le goût, le bilan des «entrées sorties» (consistance des selles – odeur, consistance, apparence – ce n'est pas une plaisanterie, il y a une science milénaire des coprolithes^^), l'observation de l'équilibre acide base, la masse corporelle, l'état physique en général et aussi mental, l'étude des besoins de l'organisme au travers des UI pour l'OMS qui vous indique assez sûrement les besoins de votre organisme, etc). Merci de compléter si j'en oublie... (Car il y a encore, la peau, les cheveux, les ongles, l'état dentaire et tant d'autres) Parce qu'il faut laisser faire le corps et voire ensuite ce qui se passe...! Et ainsi de suite.
janic a écrit :la question est donc : comment connait-on ces sources…possibles ? Par les médias officiels qui soutiennent le business juteux de cette…maladie ? Par les labos qui vivent de cette pathologie, du corps médical bien formé et conformé par les industries pharmaceutiques en question ? Or, dans notre type de société c’est justement parce que le « se faire plaisir » (en clair bouffer n’importe quoi sans se soucier des conséquences possibles puisqu’il y a la SS et les mutuelles derrière pour éponger le coût pharamineux de ceux qui se font plaisir) prime que la mortalité et la souffrance font tant de victimes.
D'un autre côté, je comprends ce que tu veux dire, mais il n'y a pas moyen de faire «autrement», puisque c'est à la fois une question de «volonté personnelle», contre laquelle personne ne peut luter (même pas un médecin qui donnerait la molécule qui guérirait son patient et qui pourrait le sauver, alors que lui n'appliquerait pas le traitement...)
Non, définitivement, on ne peut pas lutter là-contre sans bonne volonté!
Il faut donc «réhabiliter la notion de plaisir», dont le rejet par simple dichotomie, est une sorte de questionnement puissamment culturelle, pour ne pas dire biblique (c'est une façon de parler) avec Adam et Eve et la pomme (c'est une métaphore...) puisqu'à ce stade, il n'y a pas encore la luxure quoi qu'il en soit, le plaisir est une question «privée». Le problème c'est la «complétion», certains y introduiront une notion spirituelle (j'en fais partie) et ce qu'on entend par là, mais ça reste privé!
janic a écrit :Or, et c’est « normal » que sur une si courte vie chacun cherche à en profiter au maximum en se disant que ce qui doit arriver arrivera (vérité de la Palice) sauf qu’à ce moment là ceux et celles qui ont tenu ce raisonnement superficiel, se précipitent chez le toubib pour que celui-ci répare ce qu’ils ont cassé et surtout, ne tolèrent pas l’échec parce qu’ils « payent ».
Le plaisir ne dispense pas de faire de la prévention. Donc oui, d'accord. Mais l'un n'empêche pas l'autre...?
janic a écrit :Sinon pour la médecine traditionnelle (pour mémoire la médecine traditionnelle c’est celle qui a existé pendant quelques centaines de générations) on l'appelle plutôt la médecine moderne à partir d’une multitude de produits chimiques dont une grande partie issue du pétrole.(bon appétit!)
Là tu pointe du doigt un bon point. Je ne connais que de rares médicaments qui ne sont pas «dévitalisés»! Dès lors on peut se demande de la pertinence de cette médecine dans une approche préventive. Assurément elle tente de circonscrire des incendies — c'est sont rôle, tel qu'il est relativement défini — non de les éviter à la base (puisque tu tenais à une notion d'ordre général, s'en est une!) cela tient précisément de la «volonté individuelle». Contre laquelle la médecine n'a guère de prise. Car même en Chine, le paradigme a relatiement changé...?
janic a écrit :Au niveau cancer?! Ce n’est pas glorieux non plus puisque la moitié des personnes atteintes meurent sans que cette médecine [ne] les sauvent (si dans ton boulot tu loupais une action sur deux ton patron te ficherait à la porte vite fait). Malgré les milliards investits dans le monde entier, cette pathologie ne régresse pas, au contraire!
Là tu pousses le bouchon un peu trop loin! (Si on est raccord avec ce qui précède) Car il y a probablement plus de un patient sur deux qui saute dans le vide de son propre chef, et ce à la barbe de son médecin lui-même... Je ne défends pas le corps médical, mais pour lui aussi, la médecine c'est un peu le mythe de Sysyphe... Faut-il rappeler que dans ses rangs même, il y a de gros fumeurs et des alcoolos? Nul n'est à l'abri de ce qui se passe là haut dans le cortex... Qui lui-même est capable de produire les propres médicaments individualisés, qui vont guérir l'organisme sans beson de médicaments (et dans une certaine mesure, celle de disposer des nutriments «qui vont bien», telle que l'indispensable vitamine "C" à titre exemplatif...)
janic a écrit :Alors le crudisme, le Vg, le bio,etc… aurait-il fait mieux ? Globalement oui ! dans la mesure où des études de nombreux diététiciens américains et canadiens vont dans ce sens (pour la France personne ne s’en donne les moyens pas même les associations VG, ça sortira dans 20 ans après quelques milliers de morts de souffrances inutiles). C’est donc bien dommage pour tes beaux parents, il aurait été souhaitable que cela ait bien fonctionné, mais il semble qu’ils fassent l’exception…qui confirme la règle!
Mmmmh! On peut le penser éventuellement, mais impossible de le dire avec certitude amha! Vu que si on est cohérent, il faut intégrer les questions individuelles (notamment). Et pas seulement celles relatives au métabolisme, mais à l'ensemble: un esprit «sain»* dans un corps «sain»*!
* ce qui peut être «sain» pour quelqu'un, peut ne pas l'être pour un autre, mais j'en fais pas une généralité! :-)
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“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”
Liste de vrai second-nez potentiels suspectés: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
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Hic a écrit :janic a écrit :hic bonjourqu'entends-tu par végétalisme thérapeutique?Le végétalisme thérapeutique, c'est 2 ans maximum ,
c'est pas la mer à boire :-)
Repost du message du 13 10 2012
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MessagePosté le: Sam 13 Oct 2012, 05:12 Le végétalisme comme thérapeutique Répondre en citant
le végétalisme comme thérapeutique
(prix econologique:ça coute moins cher qu'un repas normal)
par exemple:
contre les problèmes inflammatoires.
Les protéines animales sont agressives !
Les supprimer permet au corps de guérir!
mon psoriasis et mon hypertension sont en cours de disparition !
Mais en réalité , c'est tout le système qui guérit
en particulier penser au vasculaire
(guérison des vaisseaux sanguins)
qui sont responsable des problèmes cardiaques et cérébraux
Infarctus et AVC sont majoritairement des problèmes vasculaires
Tentez le végétalisme comme thérapeutique !!
"ça ne mange pas de pain !!!!!!"
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On n'est pas obligé d'être végérarien pur et dur pour se porter mieux, comme moi, qui n'est pas ces problèmes, de santé, simplement en ne mangeant pratiquement jamais trop de cochonneries usuelles, bourrées d'OGM, de nitrates, de sels, d'antibiotiques, comme charcuterie, viandes industrielles, qui sont mangées à profusion par certains, de plus, sans manger des légumes et fruits de qualité, en se bourrant de sucres et sodas insipides, et autres absurdités.
Donc comme moi, vous pouvez manger un peu de viande, bio surtout, et plein de légumes et fruits bio et vous porter très bien, de plus en faisant chaque jour de l'exercice intense, comme en courant et pédalant vite un dénivelé de 200m (en 13 à 15 minutes, même 67 étages en courant dans les escaliers ) .
Donc évitez plus de 90% de ce qu'on trouve en vente à transformation industrielle, bourrés de cochonneries très variées, OGM, sel en excès, (faites votre pain avec peu de sel, car introuvable, faites votre fromage sans sel ), nitrates, antibiotiques, sucres dangereux, pesticides, herbicides, dans les végétaux non bio, etc... , et mangez bio, sans excès de viandes, et vous vous porterez aussi bien que les végétariens pur et durs, surtout s'ils ne mangent pas bio .
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On n'est pas obligé d'être végérarien pur et dur pour se porter mieux, comme moi, qui n'est pas ces problèmes, de santé, simplement en ne mangeant pratiquement jamais trop de cochonneries usuelles, bourrées d'OGM, de nitrates, de sels, d'antibiotiques, comme charcuterie, viandes industrielles, qui sont mangées à profusion par certains, de plus, sans manger des légumes et fruits de qualité, en se bourrant de sucres et sodas insipides, et autres absurdités.
Tout résultat est fonction des moyens utilisés. Il va de soi qu’entre le sport par télé interposée ; le macdo à chaque repas, les pilules pour rectifier les erreurs d’hygiène alimentaire ou autres, et le super-entrainé qui applique une diététique raisonnable il y aura toujours une différence notable. Tout est donc question de dosage dans chaque domaine.
Mais une nouvelle fois être VG n'est pas une obligation, mais un choix c'est comme si tu disais être obligé de " en faisant chaque jour de l'exercice intense, comme en courant et pédalant vite un dénivelé de 200m (en 13 à 15 minutes, même 67 étages en courant dans les escaliers ) ." Je suppose donc que tu as choisi de le faire? pourquoi pour d'autres ça devrait être placé sous le vocable d'''obligé"
Donc comme moi, vous pouvez manger un peu de viande, bio surtout, et plein de légumes et fruits bio et vous porter très bien, de plus en faisant chaque jour de l'exercice intense, comme en courant et pédalant vite un dénivelé de 200m (en 13 à 15 minutes, même 67 étages en courant dans les escaliers ) .
Tant que tu élimineras par un exercice suffisant les excédents liés aux erreurs hygiénistes et donc alimentaires, tu ne ressentiras pas les effets de ces « égarements », mais si la machine n’accepte plus cette intensité éliminatrice, le corps restockera ces excédents et la « maladie » fera son apparition sous diverses formes comme les cancers, arthroses, maladies vasculaires,etc… le VGL c’est par définition une alimentation hypotoxique qui convient à tous types d’individus, actifs ou pas .
Donc évitez plus de 90% de ce qu'on trouve en vente à transformation industrielle, bourrés de cochonneries très variées, OGM, sel en excès, (faites votre pain avec peu de sel, car introuvable, faites votre fromage sans sel ), nitrates, antibiotiques, sucres dangereux, pesticides, herbicides, dans les végétaux non bio, etc... , et mangez bio, sans excès de viandes, et vous vous porterez aussi bien que les végétariens pur et durs, surtout s'ils ne mangent pas bio .
Pas exactement, c’est comme un poids mis sur une balance, peu importe de quel produit il s’agit c’est son poids qui fait dévier la balance. Donc effectivement manger bio et bidoche ou manger VGL et pas bio, c’est à peu près le même effet: "ça pèse plus ou moins lourd!".
[quote: "obamot"]
janic a écrit:
Au niveau cancer?! Ce n’est pas glorieux non plus puisque la moitié des personnes atteintes meurent sans que cette médecine [ne] les sauvent (si dans ton boulot tu loupais une action sur deux ton patron te ficherait à la porte vite fait). Malgré les milliards investits dans le monde entier, cette pathologie ne régresse pas, au contraire!
Là tu pousses le bouchon un peu trop loin! [/quote]
En quoi c'est trop loin? N'y a-t-il pas un échec sur deux? Les pathologies cancéreuses ont-elles diminuées?
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NB: quand tu mets (Quote) c'est le signe "=" et non les ‘deux points’ qu'il faut mettre ^^
Arf... Même les « pros » en pointe dans le domaine, nous disent qu'on peut le constater, mais on ne peut pas le dire... Sans doute en relation avec la fichue «volonté personnelle» non?
Ce n'est pas à la médecine de les "sauver" quand c'est juste trop tard comme avec Steve Jobs végétalien stricte, mais à des quantités de facteurs à traiter en amont et dans le bon ordre:
— la question du stress donc du mental, du choix de style de vie etc;
Ça c'est pour les mesures individuelles que je ne vais pas relister(!);
Au plan des mesures collectives c'est beaucoup plus grave (probablement aussi la raison d'être de ce forum... également):
— prévention dans les écoles (mais pas trop, car au-delà d'un certain seuil, il y a «overdose» d'information et ...rejet en bloc);
— donc il faudrait presque protéger les gens contre eux-mêmes (si seulement on pouvait, le/s «cas» du forum serai(en)t résolu/s...^^)
— ainsi c'est aux autorités sanitaires à faire leur travail...! Qu'elles ne font pas, comme avec le sucre blanc, les OGM, les graisses animales, etc...
— ainsi c'est aux ministres de l'agriculture de mettre en œuvre des programmes pour la préservation des sols et de l'environnement (mais tout ça ce sont des vrais scandales);
— et donc ce sont les autorités judiciaires qui doivent aussi agir, à commencer par le législatif...
Ça ferait déjà un paquet de choses, qui rendrait plus efficient: à la fois la médecine de pompier et la préventive... Comme la prévention tout court. C'est d'ailleurs toutes des mesures allant dans ce sens là...
Donc quand je dis que c'est pousser le bouchon un peu loin, c'est tout le travail qui manque en amont, auquel je pensais.
NB:
janic a écrit :obamot a écrit :Là tu pousses le bouchon un peu trop loin!janic a écrit :Au niveau cancer?! Ce n’est pas glorieux non plus puisque la moitié des personnes atteintes meurent sans que cette médecine [ne] les sauvent (si dans ton boulot tu loupais une action sur deux ton patron te ficherait à la porte vite fait). Malgré les milliards investits dans le monde entier, cette pathologie ne régresse pas, au contraire!
En quoi c'est trop loin? N'y a-t-il pas un échec sur deux? Les pathologies cancéreuses ont-elles diminuées?
Arf... Même les « pros » en pointe dans le domaine, nous disent qu'on peut le constater, mais on ne peut pas le dire... Sans doute en relation avec la fichue «volonté personnelle» non?
Ce n'est pas à la médecine de les "sauver" quand c'est juste trop tard comme avec Steve Jobs végétalien stricte, mais à des quantités de facteurs à traiter en amont et dans le bon ordre:
— la question du stress donc du mental, du choix de style de vie etc;
Ça c'est pour les mesures individuelles que je ne vais pas relister(!);
Au plan des mesures collectives c'est beaucoup plus grave (probablement aussi la raison d'être de ce forum... également):
— prévention dans les écoles (mais pas trop, car au-delà d'un certain seuil, il y a «overdose» d'information et ...rejet en bloc);
— donc il faudrait presque protéger les gens contre eux-mêmes (si seulement on pouvait, le/s «cas» du forum serai(en)t résolu/s...^^)
— ainsi c'est aux autorités sanitaires à faire leur travail...! Qu'elles ne font pas, comme avec le sucre blanc, les OGM, les graisses animales, etc...
— ainsi c'est aux ministres de l'agriculture de mettre en œuvre des programmes pour la préservation des sols et de l'environnement (mais tout ça ce sont des vrais scandales);
— et donc ce sont les autorités judiciaires qui doivent aussi agir, à commencer par le législatif...
Ça ferait déjà un paquet de choses, qui rendrait plus efficient: à la fois la médecine de pompier et la préventive... Comme la prévention tout court. C'est d'ailleurs toutes des mesures allant dans ce sens là...
Donc quand je dis que c'est pousser le bouchon un peu loin, c'est tout le travail qui manque en amont, auquel je pensais.
NB:
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Liste de vrai second-nez potentiels suspectés: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
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