janic a écrit :Les effets peuvent être très rapides!
Je confirme, mais c'est bien là un inconvénient plutôt qu'un avantage!Car les effets peuvent aussi aller dans un sens que dans l'autre. Ne dit-il pas qu'il a aussi constaté que des choses se déglinguaient dans son organisme? (Et merci de ne pas me dire que c'est normal, parce que non, ça ne devrait pas, il ne faudrait tout simplement pas créer les conditions pour que ça arrive, point barre!!!!!)
Honnêtement, après tout ce qui s'est déjà dit sur le sujet — et avant que tu ne le dises toi-même en toute honnêteté — je trouverais assez irresponsable de ne pas rappeler qu'un changement drastique est extrêmement risqué et dangereux en fonction du cas à traiter.
En effet — bien qu'il y ait un consensus sur le fait que Hic n'est pas une personne très fiable — S'agissant des causes, il faut rappeler certains points essentiels:
— on ne peut être d'accord sur le fait d'affirmer que les désordres dont souffre Hic sont imputable à ce qu'il prétend, dès lors qu'on n'a pas pu le savoir puisqu'il n'a pas – très mal habilement – répondu aux questions posées.
— il est donc exclu de faire même des hypothèses confirmant toute cause qu'il présume.
— puisque de nombreux éléments de ce qu'il dit laissent fortement supposer des causes tout autres (carences alimentaires eu égard à ses habitudes hors consommation de viande, déjà bien visibles... problèmes cognitivo-comportementaux, etc);
— que la nature de ses pathologies elles-mêmes ne sont pas directement connexes avec la consommation de viande consommée modérément (maladie autoimmune, en partie d'origine génétique mais avec de très fortes présomptions psychosomatiques: ce qui devrait inspirer les précautions d'usage lorsque l'on s'exprime là-dessus
Môssieur Janic.... hum....
) mais en tout état de cause, produits carnés déjà relativement en excès ou autre/s déséquilibres dans l'hygiène de vie (puisque: hypertension, éventuellement manque de pratique de sport etc...) mais plutôt de certaines carences ciblèes qui apparraisent déjà au vu du peu d'élément que l'on a et aspect nonobstant les problèmes mentaux.
La seule chose que l'on peut dire, c'est que la surcharge de l'organisme de quelqu'un qui se nourrit et à fortiriori se comporte de façon (relativement) inappropriée, n'est pas arrangée avec un abus de produits carnés...
Il faut signaler au passage que si on règle les carences, les premiers effets se font sentir après deux mois seulement (et non deux ans comme cela est dit dans ce fil, encore que cela dépendante des données individuelles).
D'ailleurs aucun propos de Hic n'est documenté ici par lui ni par toi, et qui permettrait d'aboutir aux conclusions qu'il suggère. Ce sont donc de pures assertions pour bon nombre d'entre-elles.
janic a écrit :Les maladies c'est un peu comme une baignoire qui déborde parce que le robinet débite plus que l'évacuation ne peut accepter, réduire le débit (le Vg en l'occurence, mais ça reste vrai pour tout autre moyen: manger bio, activité physique et morale,etc...) ne peut que limiter le débordement, voire le supprimer.
Pas «
que limiter le débordement », mais aussi créer d'autres problèmes, et parfois un cortège de problèmes! Surtout si on ne sait pas exactement ce que l'on fait... C'est pourquoi — au contraire de la méthode brutale de Hic — il vaudrait mieux n'agir que de façon progressive, déjà pour que son entourage ait les moyens de s'y adapter progressivement sans créer de conflit autour de l'aspect nutritionnel, puisqu'il s'agit de faire en sorte que tout le monde adhère et non ne rejette...!!! Et ça il faut y penser plus d'une fois avant de se lancer...
janic a écrit :Sous cet angle le VG est donc bien "curatif".
A compter du moment où tout le cumul des conditions idéales pour y parvenir soit atteint, c'est éventuellement possible. Mais on voit d'emblée que ce ne le sera pas dans tous les cas...
janic a écrit :Après, comme je l'ai exprimé plus tôt, c'est aussi une question d'antécédents, d'hérédité, d'âge, de moyens mis en oeuvre,
Aaaah, non, ça c'est trop facile de s'absoudre de toute responsabilité eu égard à de tels motifs. Ça peut être agravant on non, mais ce n'est pas une argumentation valable. D'autant moins si on accepte l'évidence de la question "pédago-psychologique".
janic a écrit :le VGL recouvre tout un tas d'approches et de moyens différents regroupés sous le vocable VGL comme on regroupera sous le vocable écolo celui qui va dans ce sens).
Non c'est archi faux, cette approche est purement restrictive quand on y prête attention!
Y'en a marre de nous foutre des catégories à tout va, et qui ont tendance à cloisonner les gens en les empêchant de facto d'aller vers une liberté de choix, dès lors que l'on sait que tout facteur limitatif (pour ne pas dire ségrégationniste) va à fin contraire de l'effet recherché. En quelle langue faut-il le dire pour que ce soit compris?
janic a écrit :Le VGL est donc UN moyen mais très efficace et cela se remarque surtout lorsqu'il y a une pathologie déclarée et qu'un simple changement alimentaire qualitatif ne suffit pas pour retrouver une santé "acceptable".
Sûrement pas.... Il ne faudrait pas sutout pas tabler sur l'aspect curratif mais bien préventif. Dès lors que l'on sait que les risques deviennent paroxismiques lorsque la pathologie est déclarée! Non mais t'en est où là???
janic a écrit :Il est donc possible d'utiliser d'autres approches comme celles que tu indiques, mais en même temps c'est dommage d'éliminer un moyen aussi efficace et surtout sans limite d'âge.
Non, ce n'est pas inofensif que de changer de régime alimentaire, et surtout pas dans un régime stricte! Il y en a marre de s'engager dans un système de punition, en faisant croire que l'on a une totale liberté est que c'est facile (je caricature volontairement pour que tout le monde comprenne).