alain G bonjour
encore plus fort!
Rhôoo là là, quelle salade il nous a fait encore, le Janic
C’est normal pour un VG. Sauf que la salade,c’est mon domaine lequel échappe souvent aux bidocheurs.
D'abord ce fil nous éclaire sur un aspect ignoré jusqu'ici. Voici quelques pistes:
Pour que le végétalisme (ou toute autre thérapie holistique, de médecine orthomoléculaire, hygiéniste ou que sais-je) soit comprise et admise en tant que "thérapeuthique", encore faudrait-il que cela soit prescrit, donc qu'il y ait un thérapeute: parce que sinon ça reste affaire de croyance et au mieux de prévention au sens strict!
Ce n’est pas entièrement faux si l’on considère un mode alimentaire sous son angle de thérapie (ce qui est AUSSI une de ses possibilités). Mais en général, pour ceux qui voient le Vg comme une solution écologique, la thérapie est absente ; pour ceux qui le voient sous l’angle « éthique » la thérapie y est absente aussi ; mais (et c’est là que c’est intéressant) certain (e)s constatent une amélioration de leur santé. Donc effet d’une cause non recherchée.
Aah, parce que tu crois que tout ça est innocent? Il faut quand même rappeler qu'on a un conscient, un inconscient, un subconsicent, etc...
Mais s'agissant du centre du raisonnement: ça ne prouve en tout cas pas que si tant est qu'il n'y ait pas de corrélation ça invalide pour autant les cas où la corrélation est établie...! Parce que du coup, on pourrait faire le même paralogisme avec «les bienfaits de la vaccination»
Tout à fait ! le parallélisme avec la vaccination est judicieux ! D’un coté un appareil puissant avec d’énormes moyens suffisants pour imposer un point de vue, un comportement. De l’autre, un petit village qui résiste encore et toujours à l’envahisseur. Autant il n’a jamais été prouvé (mais plutôt l’inverse) qu’une vaccination quelconque ait eut ou ait encore une quelconque efficacité ou utilité ; de même il n’a jamais été prouvé que la bidoche ait une quelconque utilité pour la consommation humaine (au contraire car physiologiquement, anatomiquement, il n’est pas constitué pour)
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Par ailleurs en droit, le rôle, la qualification et la compétence des thérapeutes sont heureusement clairement encadrés et définis!
malheureusement (ou heureusement) le droit ne peut rendre compte de la qualfication réelle d'un naturopathe, d'un radiesthésiste, d'un magnétiseur, etc... qui sont effectivement des thérapeutes, au sens éthymologique du terme, et reconnus de plus en plus par certains médecins qui ne peuvent expliquer mais qui constatent.
Qu'importe le type de thérapeute, telle n'était pas la question: ne dévions pas Janic... Ne dévions pas... Ça s'applique A TOUS les thérpeutes quels qu'ils soient... Poind barre. Et donc, même chose: «ce n'est pas parce que ceci n'est pas vérifié, que l'action du thérapeute est invalidée» (si tant est que cela ne soit pas un charlatan pourrait-on penser, et même.... dirais-je: ça dépend ce que le patient sera capable d'en faire: c'est bien pour ça que ça peut-être dangereux et qu'il vaut mieux en effet que ce soit encadré...)
D’une certaine façon, ce raisonnement se tient ! La difficulté est de définir qui est compétent et selon quels critères ? Deux malades consultant deux médecins différents (donc officiellement reconnus comme compétents avec leur joli diplôme) peuvent avoir des diagnostiques et des traitements différents avec des résultats en opposition : faut-il virer celui qui a été en échec ? Voilà l’exemple type d’un encadrement inefficace, mais officiel.
Or l’efficacité d’un thérapeute se fait par le bouche à oreille où se fait la sélection des bons, des moins bons, des nuls qui finissent par disparaitre pour incompétence.
Donc pour les thérapies alimentaires VG, c’est bien plus simple, la seule suppression des produits animaux produit un effet positif en toutes circonstances, sans thérapeute nécessaire pas plus que l’omni ne consomme sa nourriture quotidienne entouré d’un thérapeute compétent.
Ceci n’empéchant pas (et c’est souvent, pas toujours, le cas) de s’informer, de demander des conseils aux « anciens » de partager sa propre expérience, son vécu, ses réussites, ses échecs (comme partout le 100% est une utopie !)
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Qui peut en effet nier aujourd'hui l'importance du rôle du prescripteur! Mais comme le bol alimentaire est directement relatif à la «volonté personnelle», le mode alimentaire — si tant est que l'on admette qu'il ait des vertus thérapeutique — ne peut être affiché en tant que tel, et ne pourra-t-il jamais l'être!
Pas vraiment ! Tout aliment agit sur le corps indépendamment de la volonté de l’individu. Ainsi, par exemple, en absorbant un aliment à l’effet laxatif (non recherché, bien entendu) l’organisme réagit aux différents constituants de l’aliment en provoquant cet effet.
Aaaaah, une étude sur ce sujet peut-être, non? Y'en n'a pas? D'abord c'est faux et archi faux (ne serait-ce que si l'on niait la notion de «contentement»)
Tu veux dire une étude officielle effectuée par ceux qui en nient la possibilité, l’existence ? Sinon fait l’expérience de manger des champignons vénéneux et la réponse tu l’auras dans ton vécu (pas longtemps parce que le passage est court !)
Ensuite, quelque chose me dit que tu n'as absolument pas compris ce que j'ai voulu dire !
Pas difficile soit plus précis, plus concret !
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Ainsi, «on peut» toujours penser que ça aurait ces vertus, mais on ne peut pas le dire... (si vous voyez ce que je veux dire!)
Encore inexact ! L’action des constituants des aliments est chimiquement reconnu et est d’ailleurs utilisé pour fabriquer certains médicaments. C’est donc une reconnaissance scientifique du phénomène.
Décidémment, tu n'as pas compris de ce que j'ai voulu exprimer! Par ailleurs la question des placébo te contredit de manière flagrante (que ce soit de la vieille école ou de la nouvelle!)
Complètement surfait l’histoire des placébos puisque les produits testés (sur humains) sont à des degrés de toxicité contrôlés (il est interdit de donner des produits pouvant engendrer la mort) donc c’est la capacité qu’a l’organisme de lutter contre un produit modérément toxique qui va se manifester (genre les souris avec les tumeurs cancéreuses) et donc la sélection des cobayes en fonction du résultat à obtenir.
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Parce qu'autrement il faudrait également des études de cohorte en double aveugle et tout le toutim, et vendre la nourriture sous ordonnance! Mince ...
Nos anciens se sont passés des doubles aveugles et tout le toutim pendant des générations. La science intervient toujours APRES, non pas en découvrant mais en constatant, avec un métro de retard, que ces anciens avaient raison (pas sur tout bien sûr, pas plus que nos Diafoirus modernes)
Décidémment, tu ne comprends vraiment pas ce que je veux dire, ou tu fais exprès de raisonner au premier degré?...?
Je raisonne au premier degré parce que si quelqu’un lit toute cette prose (et je m’adresse essentiellement à ce futur lecteur hypothétique) celui-ci ne prendra pas ce discours au second degré.
janic a écrit:
Obamot a écrit:
janic a écrit:
Qui a dit qu'il fallait passer brutalement d'un système à un autre?
C'est de toute évidence le cas pour celui qui a créé ce fil.
Devient-il pour autant une référence absolue ?
Aarf... j'ai pas le droit de répondre «dans le sujet»
Si, au contraire, pour autant que cela ne donne pas lieu à confusion
Et c'est maintenant toi qui voudrais me coller l'étiquette de «la référence absolue»: c'est un gag non? Bien, bien, comme tu le sais, par période il y a des cas innombrables ce n'est pas à tes exemples de personnes «révoltées» dont tu as fait étallage ci-dessus, qui diront le contraire...
Il faut savoir si faire appel à des témoignages présente un quelconque intérêt ou si il suffit de rester dans une approche purement cérébrale pour traiter d’un sujet. Je n’ai donc pris ces quelques exemples QUE comme montrant la difficulté que peut avoir un individu de voir respecter ses choix de vie. Mais il y en a des centaines d’autres sur des thèmes différents, il suffit de lire la littérature portant des témoignages vécus concernant ce sujet.
Je maintiens qu'il y a des précautions à prendre et elles ont déjà été données dans mes posts ou mes liens.... C'est relativement incontournable, dès lors que tu admettrais toi-même qu'il n'y aurait pas «de référence absolue»: croit bien que j'ai pris bonne note de ton nouveau paradigme et que je saurais le ressortir le moment opportun
Et moi, je maintiens que ces précautions sont, dans la majeure partie des cas, non nécessaires tant la chose est simple. La difficulté étant la culture, les habitudes prises, l’opposition rencontrée, etc… et non le simple changement alimentaire. Mais ces oppositions se rencontrent partout , pour toute minorité réclamant le respect de ses choix de vie au même titre que les autres que ce soit en matière de bouffe, de politique, de religion ou de sport.
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Par ailleurs, par cette réponse tu admets implicitement l'existence d'un danger. Heureux que tu en aies au moins conscience!
Lorsque les médecins recommandent un traitement, ils reconnaissent implicitement le risque de la thérapie préconisée (puisqu’aucun médicament n’est sans danger !) ils estiment simplement que le bénéfice /risque est au bénéfice du traitement.
Ça on s'en fiche: on parlait de TOI
Pour ce qui
me concerne, j’ai conscience que l’agitation d’un hypothétique danger agité devant les yeux d’un éventuel personnage intéressé, n’est que de l’agitation sans objet. Plus de quarante ans de vécu, d’entourage, de contacts, etc… m’ont
démontré le contraire et j’attache plus d’importance au vécu qu’à des théories invérifiables
et invérifiées.
janic a écrit:
Une modification alimentaire n’est pas un traitement à risque,
Ok, ok, ça vaaaa, tu l'as admis et maintenant tu te rétractes: la routine quoi
Il ne faut pas m’attribuer le contraire de ce que j’écris ! Ce n’est
pas moi qui affirme un risque possible, mais j’admet, effectivement, que le 100% n’existe nulle part, mais c’est alors cette mesure qu’il faut définir ! Si le risque est de 1 pour 1.000.000 c’est un risque raisonnable et incontournable bien plus réduit que les millions qui meurent chaque année de leur consommation carnée. Encore une fois rapport bénéfice/risque à établir.
janic a écrit:
pas plus que ne pas manger de champignons et de carottes (si on en mangeait auparavant) n’est à risque. La variété alimentaire de nos sociétés modernes évite tout risque de ce genre. Donc s’il y a danger (mais lequel, il faudrait d’abord y répondre !) ce risque hypothétique est minime, voire inexistant.
Heuuuh, NON, NON et NON: ça je ne l'ai pas dit. Si tu veux me faire dire (ou faire comprendre) que de manger de la bouffe industrielle dévitalisée et/ou dénaturée pendant de nombreuses années – voir des dizaines d'années – peut être dangereux: je réponds sans hésiter que potentiellement: oui!
Pas seulement la bouffe industrielle, il s’agit
dans ce sujet du végétalisme, indépendamment de la qualité de la nourriture en elle-même. La nourriture industrielle n’est qu’un facteur aggravant de plus. Le VG existe depuis des millénaires bien avant l’industrialisation moderne et a fait preuve de son efficacité « thérapeutique » bien avant nos appareils modernes sophistiqués et autres cohortes d'opposants.
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Bis repetita: c'est bien dans l'urgence que c'est le plus dangereux! Impossible de le nier, les faits et exemples sont là
Lesquels? Cites-en quelques uns statistiquement représentatifs!
Donc, absolument pas, justement par l’expérience. C’est le témoignage de centaines, de milliers de pratiquants qui peut rendre compte si il y a un risque POTENTIELLEMENT dangereux. Le témoignage vécu PROUVE le contraire.
Pareil: sors-nous des chiffres, j'avais même publié une liste de noms! Donc tu fais du rabâchage! Mais ça ne s'arrête pas à ce que tu penses, mais à toutes sortes de facteurs, il suffit de relire les posts!
Excuses-moi, mais tu prends en référence quelques individus médiatisés et où un échec potentiel a été constaté (quoi que manquant de précisions nécessaires pour faire une comparaison avec le VG dans ses grandes lignes), alors que je parles
de millions d’inconnus des médias qui vivent leur expérience dans la discrétion (vaut mieux pour ne pas avoir de problème relationnels la plupart du temps) et qui témoignent en cercle restreint (les autres s’en fichent ou dénigrent) de leur vécu, de leurs doutes, de leur expérience, etc…
Là tu croyais m'avoir, mais non, parce que tu tournes en rond!
Je ne cherches pas à t’avoir ! Tu tiens un raisonnement classique, hors d’un vécu suffisant pour estimer la valeur d’un pareil choix, donc c’est normal que cela tourne en rond. Il y a des choses qu’une simple approche intellectuelle ne peut traduire.
Expérience source unique de vérité disait auguste Lumière. Hors vécu ce ne sont que des mots à l’envolée ! Fais un essai pendant un temps suffisamment long pour faire la différence et après ton témoignage ne sera pas simplement théorique.
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Et on ne voit pas comment, si on admet que c'est également POTENTIELLEMENT dangereux en temps normal, par quel enchantement ça ne le serait plus en cas d'urgence
D'une part il faudrait pouvoir prouver que c'est le cas (c'est pas gagné d'avance!)
Mais c'est clairement prouvé.
Qu’est-ce qui est prouvé ? Que des individus peuvent dépendre d’un produit toxique et dangereux pour la santé comme l’alcool, les drogues ? Evidemment!! comme tout ce qui contient des alcaloïdes et que tes sites cités ci-dessous mettent en évidence, auxquels peuvent être ajoutés le café, le thé, le cacao, les champignons hallucinogènes, les viandes.
Oui les bidocheurs sont effectivement dépendants et cette dépendance cesse lorsque le produit n’est plus consommé comme n’importe quelle drogue. C’est la suppression de la drogue qui supprime la dépendance pas le maintient de celle-ci. Le VG supprime cette drogue qu’est la viande c’est donc LE CONTRAIRE d’une addiction.
Une relation de dépendance n’existe que lorsque l’individu ne peut se passer de sa drogue pendant un temps relativement long. Si je supprime n’importe lequel de mes aliments pendant quelques semaines, quelques mois, cela ne me fait ni chaud, ni froid, je peux même jeûner pendant un temps suffisamment long sans problème, ce qui élimine toute trace d’addiction possible. Mais j’ai 43 ans de recul, de vécu, d’expérience et je connais les difficultés d’un néophyte a trouver ses marques et a plus forte raison un non VG.
janic a écrit:
D'autre part, c’est une simple question de bon sens ! Si une pathologie trouve sa source dans un mode alimentaire inadéquat, c’est en retrouvant un mode adéquat que l’effet disparait ou, pour reprendre l’mage précédente, c’est en fermant le robinet que la baignoire cesse de déborder.
Ahahaha, je sens qu'on arrive au cœur du problème: mais QUI détermine, et au nom de quoi, ce qui est "adéquat ou non?"
TON organisme, si tu le laisses s’exprimer ! L’instinct est refoulé par la culture, mais ne demande qu’à s’exprimer si on ne le bride pas. Quand le corps dit non, il faut l’écouter, lorsqu’il dit oui, il faut aussi l’écouter; mais c’est comme pour les drogues lorsque le corps est habitué à un poison, il réclame sa dose quotidienne, malgré que cette dose le détruise. Il faut donc une période de désaccoutumance (variable selon les individus) afin que ses réactions ne soient pas faussées. Le VG étant un mode de détoxination (parmi d’autres moyens) c’est sa pratique qui en détermine les effets et à l’individu de ressentir si il y trouve une différence sensible ou pas. C’est çà l’adéquat !
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Par ailleurs, faut-il le répéter, c'est plus souvent du rôle de la médecine conventionnelle que de servir de pompier pour éteindre les incendies, et du rôle de l'adaptation du bol alimentaire aux besoins physiologiques que de jouer un rôle plutôt dans le domaine qui lui est dévolu de la prévention, l'aspect thérapeutique étant intrinsèque, il sera là de facto, mais hélas on ne peut l'affirmer eu égard à différents facteurs (et notamment psycho-physiologiques).
C’est présupposer que la médecine naturelle (le Vg pouvant être considéré comme en faisant partie en certaines circonstances) est inefficace en soi et que seule la médecine chimique est la bonne réponse à l’urgence. Mais c’est aussi un a priori psychologique lié au conditionnement culturel insufflé par les lobbies.
Arf, si désormais c'est toi qui dit que c'est «psychologique et lié au contexte culturel», tu m'enlèves les mots de la bouche!!! Tu vois bien, on va y arriver, on va trouver éventuellement de meilleurs points d'accord!
Mais nous avons de nombreux points d’accord, ce sont les points de désaccord qui sont examinés ici.
Remarque que je ne présuppose de rien du tout, pas même le fait que «le végétalisme en tant que thérapeutique, invalidrait la médecine conventionnelle» (lol) et (re-lol...)
Je maintiens ce que j'ai dis mon cher: penser que manger des pommes est «thérapeutique» si ça vous chante (grand bien vous fasse d'ailleurs et c'est bien possible que cela atteigne ledit objectif fixé, vu ce que contient une pomme...): de mon côté je ne dis pas le contraire, mais je réserve l'usage des mots à des cadres bien précis. Et désolé mais on est loin du compte dans ce schéma! Pas que l'on soit en opposition sur le fond, mais relativement sur la forme (bien que pas complètement)!
Effectivement, une des différences est là ! Nous (les hygiénistes en général) estimons que chaque aliment est un médicament (pour reprendre la formule d’Hippocrate : «
que ton aliment soit ton médicament et ton médicament ton aliment »). Cette nutri-thérapie est un fait établi même si cela a du mal à être intégré dans la diététique officielle et à plus forte raison dans le cursus médical !
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Mais dans un cas comme dans l'autre, la prudence est TOUJOURS de mise. On ne voit donc pas pourquoi il en devrait être autrement avec le changement du régime alimentaire .
Pour la simple raison que ce changement alimentaire aide a soulager l’organisme du surcroit de travail que nécessite une alimentation non conforme à la physiologie humaine et donc libère des forces vitales pour la réparation des dégâts occasionnés. Mais seule l’expérience du vécu peut en convaincre et c’est à cela que sert l’ensemble des témoignages vécus et non pas abstraits ou théoriques.
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Ce sont des propos impossible à tenir, puisqu'encore faudrait-il que des médecins s'y réfèrent, or qu'avons nous? De nombreux cas qui nous disent le contraire.
Lesquels encore?
Cherche un peu... Ça doit bien exister N'en a-t-on pas déjà parlé?
Un ou deux, c’est ça de nombreux cas ?
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Des médecins qui en sont convaincu, suivent dogmes et doctrines, mais en périssent aussi!
Lesquels toujours?
Cherche un peu aussi... Ça doit bien exister Pour sûr qu'on en a discuté!
Toujours un ou deux ! pas de quoi établir une statistique représentative.
Janic a écrit:
Les médecins n’ont pas un métro de retard mais l’ensemble des transports cumulés ? D’abord parce que cela ne fait pas partie de leur cursus (sauf spécialisation très conformiste selon les normes imposées par les lobbies). Ensuite parce qu’il leur est difficile d’avoir un avis sur quelque chose dont ils ignorent tout (sauf à étudier en dehors du système !)
Et alors? On est bien content d'avoir un pompier lorsqu'il y a le feu au village... Pourquoi devrait-on nécessairement rejeter tout en bloc?
Et après tu maintiendrais que tu n'es pas dogmatique, hum!
Le dogmatisme n’est pas de ce coté là. Ainsi (il ne s’agit plus de végétarisme ici) lorsque l’allopathie nie à l’homéopathie toute prétention à pouvoir soigner et guérir certaines pathologies chasse gardée par l’allopathie (comme le cancer) ce n’est pas dogmatique ?
Lorsque l’hygiénisme préconise l’abandon des substances contraires au bon fonctionnement de la machine humaine et qui se traduit par la maladie, c’est du dogmatisme ? Soulager la charge de l’âne du père Martin : c’est du dogmatisme ?
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Non, ce n'est pas inoffensif que de changer de régime alimentaire, et surtout pas dans un régime stricte! Il y en a marre de s'engager dans un système de punition, en faisant croire que l'on a une totale liberté est que c'est facile (je caricature volontairement pour que tout le monde comprenne).
La notion de punition est d’ordre psychologique selon que l’individu CROIT que c’est une punition !
Ô combien... merci cousin!
C’est toi qui parle de punition,
pas moi ! Moi je parle de libération et tant qu’à faire mieux vaut croire être libre que de croire être puni !
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Un individu peut le comprendre, mais va expliquer ça au corps humain!
Justement, le corps humain a plus de sagesse et de compréhension que tous les travaux de labo (qui ne font que découvrir ce qui existe déjà depuis longtemps) si on lui laisse la possibilité de s’exprimer.
Hé héé, dans quelle orientation, la même je présume! Nannn j'y crois pas! Au fond, les VG veulent "s'approprier dans leur dialectique" de «tout ce qui est bon», puisque c'est le corps qui "l'aurait dit": désolé, mais ce n'est pas complètement comme ça que ça fonctionne (il n'y a pas de monopole: ce qui est bont pour eux, peut l'être aussi pour d'autres...)! Hélas. Parce que comme déjà dit maintes fois. Si c'était comme ça, il y a déjà longtemps que tout serait réglé... Et c'est bien parce qu'il y a cette fichue composante psy que ça reste individuel (et encore heureux, dans un certain sens...)
C'est le coup du «
si c’était vrai ça se saurait » ! mais pour que cela se sache il faut que cela soit dit : et qui va le dire ? Et si c’est dit : qui va le croire ? et si c’est cru : qui va l’expérimenter ? La nature humaine est ainsi faite que l’individu met sa confiance dans ce qui est la norme, le partagé par le plus grand nombre, et ne croit pas (ou ne veut pas croire par commodité mentale) à toute possibilité différente (c’est pourquoi les gens votent alternativement à droite, puis à gauche et encore à droite, puis de nouveau à gauche car les extrêmes leurs font peur quand bien même ces extrêmes seraient la bonne solution!). Donc effectivement quand psychiquement un individu refuse toute autre démarche que celle du « politiquement » correct, il lui sera impossible de savoir si une autre possibilité existe. Encore une fois l’expérience, le vécu, fera la différence et pas seulement sur le plan individuel.
Il faudrait pour cela une enquête approfondie, sérieuse, indépendante et ciblée qui, malheureusement, n’existe pas et financièrement est inenvisageable par manque de moyens.
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Que ce soit ressentit en tant que punition ou non (c'était une caricature, je l'avais dit): tel n'est pas le problème puisque tel est là toute la question de cette approche en forme d'entonoir à restriction qu'il faut surmonter, alors que pour que ça marche, il faudrait induire le contraire!
C’est simplement parce que les gens ont peur de l’inconnu (c’est humain on ne peut le reprocher) mais il ne s’agit pas de convertir ceux qui ont peur ou ne veulent pas de changement, mais de respecter le choix de ceux et celles qui suivent telle voie et ne pas tenir des discours ou l’ignorance est reine mais veut s’imposer comme la connaissance à ne pas remettre en question.
Difficile d'adhérer à certaines simplifications, qui lorsque l'on creuse un peu, développent une complexification grandissante...!
Ce n’est complexe que si l’on intellectualise trop ! La quasi-totalité des humains ne se pose pas de questions sur le mode alimentaire que leur culture leur a transmise ou imposée et, hormis quelques cas particuliers, ils ne cherchent pas à savoir si ce mode transmis est adéquat à leur physiologie ou pas (d’où ces pathologies différentes selon les régions du monde). Le VG fait se poser certaines questions sur ces habitudes culturelles et y apporte
sa réponse qui (il faut être réaliste) ne touchera qu’une infime partie de la population plus encline à satisfaire ses plaisirs que de se poser des questions sur le rapport plaisir/santé. C’est çà la vie et la mort !
Obamot a écrit:
Et maintenant même les «flexis», tu vois, tu le dis toi-même.
Je reprends juste (mais pas à mon compte) un discours tenu et qui représente une partie de la population avec ses propres choix (qui doivent être respectés ce qui ne signifie pas partagés
[...] mais suffisemment fort pour devoir se justifier?
Pas justifier : juste
préciser!!! Se justifier sous entend un sentiment de culpabilité. Quelle culpabilité serait en cause ? Coupable de s’exprimer, de donner un point de vue, de faire partager du vécu, des expériences vécues par nombre de personnes vivant concrètement ce qui pour d’autres n’est que théorie et suppositions ? Il ne semble que la justification est plutôt de l’autre coté !
:
Obamot a écrit:
janic a écrit:
Or ce n’est pas un régime (contraignant) mais un choix de vie et donc particulièrement alimentaire en l’occurrence.
Va expliquer ça à ton métabolisme si tant est qu'il soit possible au plan cérébral de l'intégrer.
Justement, le VG c’est aussi un réapprentissage à écouter son corps (même avec quelques erreurs d’écoute, mais pas pire que ceux qui n’écoutent rien) Que ce soit entièrement physio ou psycho,
peu importe c’est le résultat qui compte.
— oui d'accord.
— mais NON, pas «peu importe»....
Si justement ! C’est le résultat qui compte ! Lorsqu’une personne est en souffrance, ce qu’elle demande
en priorité c’est le soulagement de celle-ci, peu importe les moyens. Seuls ceux qui n’ont que des petits bobos peuvent se permettre de faire des choix. C’est bien pourquoi le VG n’est pas monolithique et est adapté à toutes les circonstances : de la position éthique, à la thérapeutique alimentaire, en passant par des considérations humanistes, écologiques et autres.
Obamot a écrit:
Noooooooooonnnnnn: le parano c'est le parano! Personne d'autre!! La parano, idem
^^
Une constante qui est plus que nécessaire pour se convaincre qu'une personne n'est pas paranoïaque : la conviction de ses arguments. S'il arrive à une personne de se remettre en cause, de penser qu'elle a tort, on peut exclure la personnalité paranoïaque. Le cas contraire, lorsque la personne pense qu'elle est superieure aux autres, qu'elle a toujours raison, qu'elle a un caractère autoritaire et condescendant envers son entourage , le doute est alors permis! Et ce qui permet de conclure ce sont les symptomes caractéristiques tels la certitude d'être persecuté, d'etre victime d'un complot, d'être abandonné par tout le monde.
http://www.bladi.net/forum/235620-paranoia-idees-recues-veritable-maladie/
Manifestement le Vg ne correspond pas à cette définition (ce qui ne signifie aucunement que certains ne peuvent l’être). Ensuite il faut distinguer entre l’impression d’être « persécuté » et le fait de l’être réellement. L’Histoire, la grande, met les points sur les i à ce sujet !
janic a écrit:
Un Vg qui a intégré ce mode n’y pense quasiment plus puisque cela devient une nouvelle habitude, de nouveaux réflexes.
Tsssss...
pas tssss...Effectivement, il n’y repense
que lorsque le sujet est remis sur le tapis, ce qui est aussi vrai pour le bidocheur. Si le sujet n’avait pas été évoqué ce sujet serait resté vide.
janic a écrit:
Ce sont donc les autres qui remettent encore et toujours sur le tapis les risques potentiels du VG (risques qu’ils sont en général dans l’impossibilité de souligner et de prouver, mais qu’ils ont entendu au JT du coin ou leur canard conventionnel ou pire encore leur toubib qui n’y connait rien).
Fais gaffe Janic, la parano guette!
Au contraire, il faut ouvrir les yeux sur une réalité qui ne touche qu’une partie congrue de la population, mais qui est aussi une réalité concrête et vérifiable par celui qui veut s’en donner la peine. Si pour le 11 septembre personne ne s’était posé de question, les « paranos » n’auraient pas remis en cause l’événement, mais ils ont parlé, ils ont douté, ils ont remis en question, c’est pourquoi ce sont eux qui sont considérés comme des paranos : mais par qui ?
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Faute en est précisément et notamment aux autorités sanitaires qui permettent la commercialisation de poisons dont on doit en permanence se méfier (et donc pas directement à ceux qui souhaitent réformer un tel système, mais hélas c'est aussi un fait). Mais faute en est également à une information mal menée sur tous ces sujets..
Effectivement, il y a un manque d’infos sur le sujet.
Aaah quand même!!!
Je passe aussi mon temps à le dire et lorsque je fournis des sources d’info, elles ne semblent pas avoir été consultées ; donc l’info (ou plutôt l’acceptation de l’info) continue de manquer autant dans le médias que dans des cercles restreints !
janic a écrit:
Mais où prendre ces infos ? Chez les opposants ou les pratiquants ?
Tsss, ça ne serait pas comment et pourquoi
avant qui?
Élémentaire mon cher watson : qui connait le mieux ce sujet ?
janic a écrit:
Les lobbies alimentaires sont très, très puissants pour imposer leurs critères, les mouvements VG disposent de quelques centaines , voire quelques milliers d’Euros en caisse et les médias fermés (entr’ouverts actuellement) à une information réelle
Euuhh? Une information «réelle», vraiment? Il me semble qu'il y a risque de manipulation de l'opinion dans les deux camps, pour être honnêtre. Mais relatif à des paradigmes différents, forcément...
Bien sûr sauf que d’un coté il y a pléthore de moyens pour cette « manipulation » et de l’autre rareté. Si il n’y avait pas collusion entre intérêts financiers et conditionnement des foules, on pourrait parler d’honnèteté, mais la réalité est autre. Quand à l’opinion des minorités elle est toujours remise en question car, comme dit précédemment, : «
si c’était vrai, çà se saurait » etc…
janic a écrit:
Pour s’en convaincre
Et justement nous y voilà... Si il y a à «s'en convaincre», c'est bien la preuve et la validation de tout ce qui précède!!!
Elémentaire, mon cher Watson. Existe-t-il quelqu’un qui ne cherche pas à SE convaincre que son choix (ou son conditionnement) est le bon?
Ah, je dois dire que j'étais assez fier de ma trouvaille! Et je le suis toujours: non car il y les faits, rien que les faits, toujours les faits. Ce sont eux qui sont convainquants ou non. Pas la capacité à s'en convaincre qui se relie vraisemblablement pour partie à ladite volonté personnelle.
Effectivement, il y a les faits, toujours les faits ! Encore faut-il qu’il y ait une reconnaissance de ceux-ci ? Comment des faits pourraient-ils être convaincants
s’ils ne sont pas reconnus exister ? Et si certains sont reconnus exister : ne pas
les quantifier ?
Obamot a écrit:
janic a écrit:
il faut
Tu nous en diras tant...
Evidemment, qu’il faut si l’on veut faire croire que l’on s’est informé sinon ce n’est qu’une croyance théorique, abstraite, du vent quoi !
Ahahah, c'est fou comment on peut se faire trahir par ses propres propos! Aaaaah le verbe....!
Erreur
pas une trahison, c'est simplement logique ! C’est le paradoxe du fou qui veut faire croire qu’il est sage ! Celui qui se complait dans l’ignorance et se croit savant exprime ce paradoxe !
janic a écrit:
Obamot a écrit:
janic a écrit:
Le ressenti de ces VG c’est justement qu’il y en a marre que ces gens « bien pensants » (selon eux) ne respectent pas ce choix.
Mais non, mais non, ce choix est de facto respecté,
Ah, bon ? En Suisse peut être ! Les quelques VG vivant en pays étrangers témoignent qu’en Amérique, en Angleterre, en Allemagne et d’autres ailleurs. Le VG est connu et respecté effectivement, les VG y sont bien plus nombreux qu’en France avec des structures qui les accueillent dans leurs diversités et leurs originalités. Malheureusement nous sommes en France (pays de la liberté, de l’égalité, de la fraternité) où les difficultés sont grandes d’être reconnus et acceptés (plutôt combattus et méprisés comme toute minorité d’ailleurs). Ainsi les repas de cantine doivent obligatoirement contenir de la viande et les enfants doivent la manger même en étant VG. L'intolérance commence donc très tôt dans notre pays;
Là on est mal !
JANIC EST UN VG MILITANT: QU'ON SE LE DISE !
Plus militant depuis longtemps, ce qui ne m’empêche d’exprimer sur ce sujet un certain nombre de faits dans le vécu et non dans des abstractions intellectuelles non vérifiées comme le font les médias de toutes sortes. Si personne n’intervient cela laisse la porte ouverte à toutes les fantaisies cérébrales détachées de la réalité du terrain.
janic a écrit:
Obamot a écrit:
en revanche ce n'est pas de ça dont il faut parler, mais du fait que lesdits milieux doivent sortir de la contradiction sémantique, puisqu'ils se doivent aussi de respecter d'autres alternatives à «leur» voie, ce qui est inévitable...
Les autres alternatives étant la majorité bidocharde qui ne supporte pas une remise en question, ni une discussion d’ailleurs. Je ne connais pas les émissions en suisse, mais en France elles sont peau de chagrin sur le sujet et généralement dirigées par des omnis qui défendent instinctivement leur propre mode alimentaire.
Mais on s'en fout, alors complètement. Laissons ceux qui ont des préjugés en avoir, et basta!
C'est aussi ça la LIBERTÉ de choix (tu vois, je prend la défense des VG, mais je ne leur fiche pas une étiquette sur la figure, parce que c'est précisémment à cela qu'on arrive...)
Belle philosophie abstraite ! C’est dans la réalité de chaque jour que la différence se fait, lorsqu’il faut à chaque fois ruser pour éviter les affrontements lorsque ce choix est refusé (nous sommes en France, pas au pays des bisounours). Les étiquettes on s’en fout aussi, mais malheureusement exprimer un choix c’est déjà se voir coller une étiquette. ON ne se colle pas une étiquette (pourquoi faire d’ailleurs ?) mais les gens aiment bien les petites boites bien rangées avec des contenus bien ciblés (tu es communiste si tu as une vision sociale, tu es capitaliste si tu thésaurises, tu es inconscient si tu instruis toi même tes enfants ou si tu les mets dans une école non conformiste, et dangereusemnt sectaire sui tu remets en question les vaccinations, etc…) Heureusement, tous ne sont pas comme ça et ça permet de louvoyer pour s’adresser à quelques personnes (quand c’est possible) qui n’ont pas l’esprit complètement fermé .
janic a écrit:
Obamot a écrit:
Si ça ce n'est pas émminement de l'ordre de la psychologie, alors je ne sais pas ce que c'est! Le hic, c'est que c'est aussi un message complexe interpelant directement la physiologie (faut-il rappeler qu'il y a aussi des cellules cérébrales jusque dans l'appareil digestif...!)
Bien sûr que cela relève AUSSI de la psychologie. Chacun défend son « beefsteak » à sa manière c’est une façon de s’autojustifier.
Ce que constatent les VG c’est que c’est l’histoire du pot de terre contre le pot de fer au détriment du pot de terre parce qu’inférieur en nombre et, dans notre société, c’est le nombre qui est pris en considération.
Et c'est en jouant aux Caliméros que vous entendez faire progresser une juste cause?
Il n’y a pas à faire progresser une juste cause (j’ai abandonné depuis longtemps, c’est du temps et de l’énergie perdue. Comme tu as pu le constater nous ne sommes que deux à echanger !) Si la cause est juste, elle progressera de toute façon et dans le cas contraire c’est qu’elle est destinée à ne concerner qu’une minorité sensible à cette « cause » en question. Certes il y a des militants, mais ils sont encore jeunes et fougueux, ça leur passera aussi.
janic a écrit:
Obamot a écrit:
janic a écrit:
Ce qu'il faut essayer de leur faire comprendre, c'est que ne pas manger de viande n'est pas une privation : c'est un choix murement réfléchi.
Hélas, psycho-physiologiquement ce n'est pas aussi simple! Mais ça a du mal à passer chez toi...
C’est aussi ce que je ressens : ça a du mal à passer chez toi et de nombreux autres (non limité à ce site bien entendu).
Non, chez moi ça va, je te remercie!
Chez moi aussi, ça va même très bien!
C’était la réponse du berger à la bergère…en supposant que tu remplisses le rôle de la bergère bien entendu !
janic a écrit:
Mais encore une fois, c’est l’expérience du vécu qui compte pas des considération intellectuelles. la différence c'est effectivement que le VG fait une démarche (à tort ou à raison) alors que l'omni se contente de suivre ses habitudes sans les repenser quand à leur validité.
Quel énorme cliché. Honnêtement, même si ça doit être vrai dans certains cas, ça reste relativement marginal si on considère que les gens sont très concernés par ce qu'ils mangent (la notion de plaisir, la fraternité de partager un repas, la qualité des produits, la liste serait très longue...). Et donc il en faudrait très peu pour «convaincre» [tu vois, j'essayes d'utiliser tes mots en me mettant à ta place...], hors on constate instantanément que dès que l'on parle de quoi que ce soit, ça devient très vite: très très compliqué le rapport à la nourriture! Puisque ça remonte à la têtée et même au cordon ombilical... Donc tant qu'on ne laissera pas tomber l'idée selon laquelle il s'agirait d'ignorer ces points prédominants... Ça coincera forcément à quelque part.
Ca te parait cliché parce que tu le vois du coté omni, change de coté et tu verras si c'est du cliché. Tiens pour la curiosité, jeune homme qui s'essaie à un mémoire sur le végétarisme dont il avoue tout ignorer et qui l'amène à quelques constatations, page 4
Je comprends que tu prends ça très à cœur: ça s'explique!
A force de prendre des coups sur la tête, ça file obligatoirement mal au crâne.
Rhêulàlà, tu râtisses «large» toi.
Tant qu’à faire !
Non, c'est FAUX et tu le fais à chaque fois: tu sors les choses de leur contexte général, parce que ça t'arrange de ne pas voir le fond du problème et ainsi tu biaises la discussion, ce qui te permet de ne pas répondre à ton interlocuteur, tel que lui l'aurait initié au plan de la compréhension globale du problème! Normal si tu as fondé toute ta progression sur des idées potentiellement qui ont évolué depuis. Je le vois comme ça.
Je fais comme chacun, je choisis l’angle sous lequel j’estime devoir examiner le sujet et y répondre selon mes critères (comme tous les autres, pas plus , pas moins). Je n’aime pas me voir forcer la main pour répondre selon ce qui est attendu, et je ne suis pas le seul : non ?
Que chacun se fasse sa propre opinion, fasse son chemin et il verra bien si tout ce que j'ai dit colle ou non.
Tant mieux si ça marche. Mais je ne puis décemment répéter sans cesse les mêmes chose pour aboutir à une histoire sans fin. Peu motivante et donc contre-productive. Tel que le PAVÉ qu'il a fallu pondre pour finalement quoi?!?
Là on est d'accord, sans expérimentation concrète, sans vécu, tout n'est que verbiage!