Christophe a écrit :Ah ah ah j'en connais qui vont jubiler !!Une étude révèle l’efficacité du THC dans le traitement du syndrome de détresse respiratoire aiguë
Restons sérieux et scientifiques, peut-on en prendre ã titre préventif ?
Christophe a écrit :Ah ah ah j'en connais qui vont jubiler !!Une étude révèle l’efficacité du THC dans le traitement du syndrome de détresse respiratoire aiguë
Covid-19 : 21% de mortalité en moins, l'efficacité des corticoïdes confirmée
La corticothérapie permet de diminuer de 21% le risque de mortalité chez les patients atteints d'une forme sévère de Covid-19, selon une méta-analyse.
L'efficacité des corticoïdes dans le traitement du Covid-19 était déjà connue, elle est désormais confirmée. Ces médicaments de la famille des stéroïdes - utilisés dans de nombreuses indications pour son effet anti-inflammatoire puissant, notamment pour traiter le cancer en chimiothérapie - diminuent le risque de mortalité des patients atteints du Covid-19. C'est ce qu'indiquent les résultats d'une méta-analyse coordonnée par l'OMS et l'Université de Bristol, publiée le 2 septembre dans le Journal of the American Medical Association.
La méta-analyse de l'OMS, qui regroupe et combine les résultats de sept études différentes - dont CAPE-COVID, menée par des scientifiques de l'Inserm, du CHU de Tours et de l'AP-HP et publiée le même jour dans le même journal -, montre que les corticoïdes diminuent de 21% le risque de mortalité lorsqu'ils sont utilisés sur des patients souffrant d'une forme sévère du Covid-19, qui peut amener les patients en réanimation, le plus souvent en raison d'une insuffisance respiratoire aiguë.
Aucun effet secondaire constaté
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Christophe a écrit :Je sais pas si quelqu'un en a déjà parlé...Covid-19 : 21% de mortalité en moins, l'efficacité des corticoïdes confirmée
La corticothérapie permet de diminuer de 21% le risque de mortalité chez les patients atteints d'une forme sévère de Covid-19, selon une méta-analyse.
Adrien (ex-nico239) a écrit :Je me demande si quelqu'un n'a pas dit que les métaratata c'est pas de la m....
Mais oui c'est la dexa patali patala... c'est une bonne chose et c'est pas cher.
L'idéal serait cependant de ne PAS en arriver là...
Mais pour cela les avis divergents
Des chercheurs proposent une explication claire aux cas graves de COVID-19
Selon une équipe de chercheurs américains, un peptide humain incontrôlable appelé bradykinine pourrait être à l’origine des symptômes les plus sévères de COVID-19, pouvant conduire à la mort. Des médicaments permettant de contrôler le taux de bradykinine sont actuellement testés comme traitements chez des personnes atteintes par le coronavirus.
La bradykinine est une kinine naturelle, fabriquée par une enzyme libérée dans la sueur. Elle est connue pour ses propriétés vasodilatatrices et aide normalement à réguler la pression artérielle. Cependant, chez certaines personnes, le coronavirus semble doper la production de bradykinine et de ce fait, entraîne un déséquilibre au niveau des vaisseaux sanguins.
Des vaisseaux sanguins trop dilatés
Après la « tempête de cytokine », voici la « tempête de bradykinine ». Une équipe de chercheurs, dirigée par Daniel Jacobson du Oak Ridge National Laboratory dans le Tennessee, a récemment analysé des échantillons de liquide de lavage bronchoalvéolaire prélevés au début de la pandémie sur neuf personnes atteintes de COVID-19, à Wuhan. Puis, elle les a comparés à un groupe contrôle qui n’était pas malade. Les chercheurs ont alors constaté une surexpression des gènes responsables de la production de bradykinine.
Renuka Roche, de l’Université Eastern Michigan, dit que ce phénomène pourrait être à l’origine de nombreux aspects de la maladie, a priori sans liens apparents, tels que les douleurs pulmonaires, les symptômes neurologiques, ou encore le fait que les femmes soient d’une manière générale moins sévèrement atteintes que les hommes.
La bradykinine étant connue pour ses capacités à dilater les vaisseaux sanguins et les rendre plus perméables, les scientifiques pensent qu’un niveau trop élevé de cette substance peut entraîner une fuite de liquide dans les zones particulièrement denses en vaisseaux sanguins, comme les poumons. Elle peut aussi provoquer des douleurs, dues au gonflement et à l’inflammation des tissus environnants. De la même manière, cette surproduction pourrait outrepasser la barrière hématoencéphalique — qui sépare le système nerveux central de la circulation sanguine — ce qui expliquerait les étranges symptômes neurologiques observés chez plusieurs patients (anosmie, accident vasculaire cérébral, troubles de la conscience, etc.).
Selon Josef Penninger, directeur du Life Sciences Institute à l’Université de la Colombie-Britannique, au Canada, l’hypothèse est tout à fait plausible étant donné le mode d’action du SARS-CoV-2 sur l’organisme. En effet, le virus pénètre dans les cellules humaines via les récepteurs ACE2 (angiotensine II), qui contribuent également à contrôler les niveaux de bradykinine. Les récepteurs devenant moins disponibles, les niveaux de bradykinine pourraient devenir incontrôlables.
Outre la surexpression des gènes liés à la production de bradykinine, l’équipe de Jacobson a fait une autre découverte dans les échantillons prélevés : ils ont identifié une surexpression des gènes codant pour une substance appelée acide hyaluronique, une macromolécule qui se trouve dans la plupart des tissus conjonctifs, épithéliaux et nerveux de l’organisme. Et inversement, ils ont constaté une sous-expression des gènes produisant les enzymes chargés de contrôler le taux de cette molécule.
Une combinaison d’effets aux conséquences graves
L’acide hyaluronique contribue notamment à la prolifération et à la migration des cellules. Or, lorsque l’acide hyaluronique se mélange à un liquide, comme les liquides que les vaisseaux sanguins peuvent déverser dans les poumons, il devient gélatineux (c’est d’ailleurs du fait de cette propriété particulière que la substance est parfois utilisée en médecine esthétique ou dans le traitement de l’arthrose du genou par exemple). L’acide hyaluronique peut absorber plus de 1000 fois son poids en eau !
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VetusLignum a écrit :Et si on s’était trompés depuis le début ? Et si la manifestation de l’aggravation du covid-19 n’était pas une "tempête de cytokine", mais un "tempête de de bradykinine" ?
La conséquence de cette nouvelle théorie, c’est qu’il existe des traitements spécifiques pour moduler la tempête de de bradykinine ; ces traitements vont donc être testés sur le covid-19.
https://www.franceculture.fr/emissions/ ... embre-2020
https://sain-et-naturel.ouest-france.fr ... id-19.html
https://blogs.sciencemag.org/pipeline/a ... oronavirus
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