Les conneries et idioties autour du Coronavirus (actes, paroles, décisions...)

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
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Re: Les CONS du Coronavirus




par GuyGadeboisLeRetour » 28/02/21, 16:21

Adrien (ex-nico239) a écrit :Tiens les scientocrates deviennent complotistes maintenant... c'est le monde à l'envers Image


Qui parlait d' "arrangements entre amis", de "tambouille", déjà ? :mrgreen:
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Un pas con qui explose les CONS du Coronavirus




par GuyGadeboisLeRetour » 01/03/21, 00:52

La Théorie du Complot
par Pierre Chazal
vendredi 19 février 2021
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« S’il te plait, papa, dessine-moi un complot. » Quand ma petite princesse m’a demandé ça, un soir, en me regardant droit dans les yeux, un stylo et une feuille dans chaque main, j’ai compris qu’à l’école on avait à nouveau évoqué la chose. Les gestes barrières, les masques, le gel, les variants, les cas contact, les enfants hypercontagieux transformés en poupées Chucky possédées par l’esprit d’une tueuse en série nommée Covid-19 et liquidant un par un leurs professeurs, leurs oncles, leurs tantes et leurs grands-parents à coup de câlins diaboliques. Fait inédit jusqu’alors, on avait rajouté au menu de la classe de réinformation ces vilains conspirationnistes qui racontent des bêtises pour faire croire, donc, à un complot mondial destiné à asservir les peuples. Alors j’ai pris la feuille et le stylo et j’ai commencé à lui expliquer, à elle autant qu’à moi-même, ce que j’avais compris de l’affaire.


.......................

Les hommes de main du système

Tout le monde, en France, a appris en 2020 à savourer au mois le mois les délicieuses qualités éthiques et compassionnelles des Jérôme Salomon, Olivier Véran, Karine Lacombe, Jean-François Delfraissy et autres Martin Hirsch. Certains afficionados de la saga Covid-19 connaissent peut-être également de nom l’américain Anthony Fauci, les anglais Matt Hancock et Patrick Vallance, le québécois Horacio Arruda, les allemands Jens Spahn et Christian Drosten ou encore le belge Marc Van Ranst. Tout ce beau monde ne vient pas de nulle part et connaît parfaitement la musique. La santé publique, c’est une chose ; le business médical, c’en est une autre. Parfois les deux coïncident, mais on aurait tort d’en faire une obsession de chaque instant.



Anthony Fauci, le directeur de la Task force contre le coronavirus, annonce très tôt 55 millions de morts aux Etats-Unis si rien n’est fait pour endiguer l’épidémie et se fait le thuriféraire, aux côtés de Bill Gates, de la vaccination mondiale. Il rejoue, trente ans plus tard, le scénario apocalyptique du VIH dans lequel il s’était illustré en recommandant l’utilisation à titre expérimental de l’AZT, une molécule toxique pour le système immunitaire qui fera tomber comme des mouches des milliers de séropositifs.

.......................

Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique réuni par Emmanuel Macron et ancien directeur de l’ANRS, n’est pas épargné par les soupçons et la curiosité de certains journalistes quand l’on apprend par deux fouines de Mediapart qu’en 2014, un nouveau traitement contre l’hépatite C a coûté la somme record de 650 millions d’euros. « En dépit des enjeux financiers colossaux, lit-on dans l’article, la question des conflits d’intérêts a été ignorée. Or des experts ayant travaillé au rapport commandé par le ministère de la santé étaient en même temps rémunérés par le laboratoire américain qui commercialise le médicament. » On parle ici de Gilead, dont le vrai faux médicament Remdesivir bénéficiera d’une autorisation temporaire d’utilisation par l’ANSM en juillet 2020 alors qu’il ne soigne rien d’autre que les comptes en banque de ses actionnaires. Gilead, que l’on retrouve d’ailleurs en bonne compagnie (Roche, Merck, Jonhnson & Johnson, Novartis, Abbvie, GSK…) dans la liste des firmes pharmaceutiques ayant arrosé généreusement depuis de nombreuses années la quasi-totalité des membres du Conseil scientifique…



Le champion hors catégorie, en la matière, est le clinicien et pharmacologue britannique Patrick Vallance, conseiller scientifique en chef du gouvernement de sa Majesté, et qui détient une participation de 600 000 livres sterling chez GSK, une multinationale très portée sur la vaccination. Ça tombe bien, nous direz-vous, car Doc Vallance se verrait bien vacciner la population « une ou deux fois par an, sur quelques années » contre la Covid-19 avant de laisser les Anglais reprendre un semblant de vie normale.

Son copain Matt Hancock, Ministre de la Santé, a un profil un peu différent mais un désintérêt probablement aussi marqué pour la NHS (National Health Service), lui qui a reçu de 2010 à 2018 environ 32 000 livres sterling de dons de Neil Record, président d’un Think tank militant pour le démantèlement et la privatisation pure et simple du système de santé britannique. Matt Hancock, avocat invétéré de Skype et de la téléconsultation, est également un grand fan de technologie numérique et d’applications de partage de données de santé, comme il l’a prouvé en faisant ouvertement en 2018 la promotion de Babylon Healthcare, une application mobile allant jusqu’à établir des diagnostics cliniques sans médecin par le biais d’un programme d’intelligence artificielle. Quand viendra l’heure, en mars 2020, du #stayathome puis des tracing apps contre le coronavirus (téléchargeables comme il se doit sur Apple Store et Google Play), on imagine le sir Hancock ravi d’avoir eu le nez si creux.

Son homologue allemand, le ministre fédéral Jens Spahn, a mis selon un article du journal Die Junge Welt daté du 19 août 2020, « environ 73 millions d'enregistrements de données d'assurance à la disposition du secteur de la santé, ignorant ainsi les droits personnels de toutes ces personnes. » Dans la droite ligne, là encore, de cette curieuse et nouvelle obsession des autorités de santé de compiler et tracer des informations qui ne regardent normalement, en vérité, que les patients et leurs médecins. Mais ce qui a fait bondir Jens Spahn, c’est que Die Junge Welt en a également profité pour signaler au grand public que le ministre de la santé et ancien membre du conseil d’administration de la Sparkasse (de 2009 à 2015) s’était acheté une villa somptueuse dans un quartier cossu de Berlin avec, officiellement, un simple salaire de… ministre de la santé. « D’où vient l’argent ? », demandent les journalistes. Le tribunal du district de Hambourg a déjà rendu son verdict : « Les détails de sa vie privée n’ont pas à être rendus publics. »



Le tsunami du printemps


Cette galerie d’incorruptibles, amis des bêtes, des vaccins et des colliers numériques, ne manque pas de pittoresque, mais c’est néanmoins du côté d’Arruda et surtout de Van Ranst qu’il est plus instructif de se tourner pour comprendre comment peut s’allumer, médiatiquement, une pandémie virale.

Horacio Arruda, directeur de la santé publique au Québec, a l’apparence bonhomme du bon chum qui ne pense probablement pas à mal. Ça ne l’empêche pas d’être un malin, lui qui déclarait sans malice aucune à la presse le 2 décembre dernier : « Ma principale préoccupation, c’est que la population soit au rendez-vous [de la vaccination]. Une semaine avant la vaccination pour H1N1, on avait fait des sondages, et à peine 15% de la population voulait se faire vacciner. Puis, il y a eu le décès d’un jeune à Ottawa et tout d’un coup, tout le monde le voulait, ce vaccin. Vous vous souvenez des files… » Marc Van Ranst, homme fort du groupe d’experts conseillant les autorités belges, est déjà plus proactif. Lors d’une conférence entre initiés de janvier 2019, celui qui avait déjà conseillé à son gouvernement d’acheter dix ans plus tôt des millions de doses de vaccins contre le H1N1 (vaccin produit par GSK, qui le rémunérait alors directement) indiquait clairement la marche à suivre pour attirer l’attention des médias : « Vous devez être omniprésent les premiers jours pour atteindre une couverture maximale. Si vous leur garantissez de fournir les informations et de répondre quand ils vous appellent, [les médias] ne vont pas chercher de voix alternative. Parler des décès est très important. Vous devez dire, ‘on va avoir des décès au H1N1’, ce qui est vrai chaque année pour la grippe. »



Nul ne pourra jamais établir, au-delà d’une évidente et malsaine convergence d’intérêt, si l’obscène orage médiatique qui a accompagné – et sans doute amplifié – la flambée de l’épidémie a été orchestré par des Van Ranst et autres experts douteux payés par Big Pharma. De nombreux hôpitaux, en Europe et en Amérique, ont été, de fait, rapidement saturés de malades et plongés dans l’urgence comme jamais, probablement, depuis la grippe de Hong Kong (1968). De là à transformer la chose en superproduction mondiale clouant hommes, femmes et enfants pendant deux mois sur leur canapé, il y a un sacré fossé que les voraces de l’info en continu ont comblé avec un appétit confinant au sadisme. Mais rien ne permet d’affirmer que les médias, à ce moment-là de l’histoire, étaient en service commandé.

Quant aux politiques, difficile, en vérité, de croire à un complot sordide planifié de A à Z. Le petit père Macron, qui n’a alors en tête que la meilleure façon d’achever de transformer la France en succursale de l’UE avant la fin de son mandat, poste le 11 mars sur son compte Tweeter un message printanier aux accents rimbaldiens : « Nous ne renoncerons à rien. Surtout pas à rire, à chanter, à penser, à aimer. Surtout pas aux terrasses, aux salles de concert, aux fêtes de soir d’été. Surtout pas à la liberté. » Le gros Boris Johnson, qui cherche l’exact opposé (s’évader de l’UE le vite possible), déclare à ses concitoyens le 12 mars qu’ils doivent stoïquement « se préparer à perdre certains de leurs proches » sans imaginer l’ampleur du tsunami à venir. Trump et Bolsonaro, de leur côté, s’emmêlent les pinceaux et bafouillent leurs messages. Faute d’avoir confondu le politique et le sanitaire, ils tombent dans le piège qu’ils se sont eux-mêmes tendus en assimilant le virus à une grippe mondialiste montée en épingle par le camp d’en face. Tous ces gens-là, on le comprend vite, n’ont pas l’étoffe ni le pedigree pour anticiper quoique ce soit. Comme les populations, ils sont pris à la gorge par l’emballement ultra-médiatisé – et surveillé de près par Big Pharma – de la dynamique virale.



Là où ça coince, en revanche, c’est que dès la mi-mars « la guerre des vaccins est déclarée » ainsi que l’annonce le 18/03/2020 Philippe Escande, éditorialiste au Monde. Moderna est le premier sur les rangs, les autres suivront sans tarder et surtout sans se poser de questions. Une course au vaccin, si tôt, vraiment ? Pour une maladie nouvelle dont on ne connaît à l’époque ni la létalité, ni la cinétique épidémiologique, ni l’efficacité des traitements curatifs que certains médecins ont commencé à expérimenter avec un certain bonheur ? Il faut être lunaire pour voir en Macron autre chose qu’une marionnette de l’état profond ; il faut l’être encore davantage si l’on croit que Big Pharma n’a pas le bras assez long pour naviguer en eaux troubles et faire avancer son agenda à grands renforts de réseaux d’influence.

Philippe Escande est presque touchant quand il écrit candidement dans sa chronique : « Les vaccins ne sont pas une très bonne affaire. Ils coûtent cher à développer, on parle de 2 milliards de dollars pour le coronavirus, et rapportent peu puisqu’une ou deux injections suffisent à protéger. » A croire que Bill Gates, qui arrose depuis des années le quotidien français (et bien d’autres de par le monde) de généreuses donations, l’a mal renseigné niveau arithmétique. En 2021 c’est 15 milliards de dollars que va générer le vaccin anti-Covid de Pfizer selon les propres prévisions du géant pharmaceutique, avec une marge avant impôt de 25% à 30% et une augmentation de chiffre d’affaires d’environ 45%. Un joli blockbuster en vérité que ce Covid-19, mais qui ne pourra le devenir qu’à trois conditions fermes et non négociables :

Que la pandémie ne s’arrête pas trop tôt pour qu’on ait le temps de produire un vaccin à peu près présentable pour les médias et les agences de santé (phase 3 et phase 4 mélangées, on pique et on s’arrange plus tard) ;
Que les gens flippent un maximum ou, à défaut, finissent à force de confinements, de couvre-feux et de brimades, à considérer la vaccination comme seule et unique porte de sortie pour retourner jouer au bowling ;
Que les traitements curatifs soient jetés dans la benne à ordure comme inutiles, peu fiables ou tout bonnement dangereux.



Dans une interview donnée à Thinkerview en date du 29 janvier 2021, le biologiste Renaud Piarroux surprend agréablement son monde lorsqu’à la fin d’un échange plutôt lisse avec le journaliste, il lâche du même ton calme et posé qu’il n’y a pas besoin de regarder Hold-up pour se repaître de complots obscurs. Il suffit, comme lui, d’avoir travaillé comme consultant de santé à Haïti dans le cadre de la lutte contre une épidémie de choléra, en 2014. Membre de la task force financée par Bill Gates (premier investisseur, on le rappelle, de GAVI), il fait le boulot avec son équipe (assainissement des eaux, mesures d’hygiène…) et l’épidémie vient à décliner. Sauf que deux ans après, alors que le problème est en passe d’être réglé, Bill Gates met dix milliards sur la table pour lancer une large campagne de vaccination et affirmer, via une étude montée de toutes pièces parue dans The Lancet, qu’elle a permis d’éradiquer une maladie qui avait déjà disparu.

Via un fonds d’investissement avec JPMorgan Chase, Bill Gates avait investi en Corée dans une usine de vaccin. Apprenant cela, le journaliste demande au biologiste : « Alors, tout ce qu’il voulait, au fond, c’est refourguer ses vaccins ? » Réponse du biologiste : « Non, ce qu’il veut, c’est créer un marché du vaccin. »



La course contre-la-montre


Bill Gates est très certainement un type formidable, qui fait régulièrement la tournée des copains et des moins copains pour s’assurer que tout le monde est aussi formidable que lui quand il s’agit de l’impératif de sauver l’homme de ses démons. Angela Merkel (2014), Emmanuel Macron (2017), Donald Trump (2018), Pedro Sanchez (2018), Justin Trudeau (2020), Boris Jonhson (2020). Autant de visites qui n’ont rien à voir avec un quelconque lobbying, bien sûr. On y parle d’Afrique, de vaccins, de réchauffement climatique et plus récemment de Covid-19, mais tout cela n’engage à rien de la part des parties concernées. Il n’empêche que très tôt, chez les politiques comme dans la presse, l’idée fait son chemin qu’on ne réussira à éradiquer la vermine que par injection sous-cutanée d’un élixir de jouvence – les fameux vaccins à ARN messager – en cours de développement accéléré chez Pfizer, Moderna et AstraZenaca. Par un heureux hasard du calendrier, il se trouve qu’en mars 2019, la fondation Bill & Melinda Gates avait versé à Moderna 1 501 128 dollars dans un but très précis : ‘‘ to assess the feasibility of mRNA technology to deliver antibody combinations in selected neonates in low resource settings in order to reduce the impact of neonatal sepsis in this vulnerable population. ’’

Vacciner, c’est très bien, mais tout dépend qui et contre quoi. Pour la variole, ça s’impose : ultra-contagiosité, 30% de létalité. Pour la poliomyélite, ça ne discute pas : personne ne se réjouit que des milliers d’enfants s’exposent à des paralysies et des problèmes respiratoires que seule la vaccination a jusque là permis d’endiguer. Et pour la Covid-19 ? Un taux de létalité autour de 0,5%, concernant essentiellement des sujets âgés ou souffrant de comorbidités, tout en sachant qu’un grand nombre d’entre eux, en Europe et en Amérique notamment, ont atterri directement dans un état grave aux urgences sans passer par la case docteur ? Dans un monde sain de corps et d’esprit, l’équation bénéfice risque mériterait d’être posée sereinement et à tête reposée. Au royaume du tout ou rien des médias et de Big Pharma, on la raye d’un grand trait rouge et on sort la calculatrice. Combien faudra-t-il vacciner de têtes de bétail pour acquérir l’immunité du troupeau ? Combien de doses faudra-t-il commander pour accomplir le travail ? De combien de temps dispose-t-on avant que certains se rebellent et se mettent à poser des questions embarrassantes ? A dix euros la piqûre, renouvelable sans ordonnance, combien d’argent tout cela va-t-il rapporter à l’industrie pharmaceutique ?

Le narratif médiatique, depuis le début, s’évertue à glisser sous le tapis tous les grains de poussière complotistes susceptibles d’enrayer la machine. De mars à juin, en France, c’est sur Didier Raoult et l’IHU de Marseille que tombent les premiers projectiles. Il réagit vite. Il dépiste. Il soigne. Il rassure. Il s’adresse directement aux Français comme un certain général en son temps. Il n’a surtout aucun lien d’intérêt avec l’industrie médicamenteuse et a claqué la porte du conseil scientifique dès qu’il a senti l’odeur de la popote entre amis. Sa gestion pragmatique et évolutive de l’épidémie contraste avec le script apocalyptique que le président Macron a présenté aux Français le 16 mars et que tous les médias et médecins de plateau ont cosigné en fermant les yeux.

Alors on sort le bazooka et on critique à tout va : ses prises de parole, ses essais thérapeutiques, ses résultats, sa barbe, ses cheveux longs et surtout son traitement à trois francs six sous qui finit par être, croit-on sur le moment, définitivement disqualifié par une étude bidonnée parue en mai dans la revue The Lancet, sans quasiment qu’un seul média ni un seul médecin – sans parler du sinistre Olivier Véran – ne s’émeuve rétrospectivement de la supercherie. L’un des premiers à lui tomber dessus est le docteur Robert Cohen, un grand habitué des plateaux télé. Entre 2012 et 2018, le Dr Cohen a reçu pour 57 730 euros d’avantages et de rémunérations des laboratoires Pfizer, MSD, GSK et Sanofi, sans jamais déclarer ses liens d’intérêt lors de ses nombreuses interventions médiatiques, et notamment en 2017 à l’occasion des débats auxquels il était invité au sujet de l’extension de l’obligation vaccinale (France Info, RTL). Il s’assoit allègrement sur la loi qui l’y oblige (articles L. 4113-13 et R 4113-110 du Code de santé publique) et les journalistes lui tendent le fauteuil avec une bienveillance complice.

En entier: https://www.agoravox.fr/tribune-libre/a ... lot-231066
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Re: Les CONS du Coronavirus




par janic » 01/03/21, 10:10

Oh, mon dieu, quelle horreur! Un conspirationniste antivaccin qui dénonce les conflits d'intérêts de ceux qui se foutent de nous! Vite la censure, vite nos influenceurs sur réseaux sociaux et merdias aux ordres ou pas, pour dévier du sujet et noyer celui-ci sous une montagne de fakenews! :evil:
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Re: Les CONS du Coronavirus




par GuyGadeboisLeRetour » 01/03/21, 13:21

Regardez-le ce menteur pathologique, nous expliquer que sans vaccination point de salut, que s'il y a des milliers de morts tous les ans à cause le grippe c'est parce que les soignants ne se vaccinent pas que ce sont les jeunes qui sont à l'origine des confinements, regardez-le faire peur avec son "les jeunes aussi vont en réanimation"... Il est pas beau le vieux s... ?
Ps: Je me fiche (un peu) de ce que dit madame Henrion-Caude, ce qui est important c'est ce que balance le fossile.
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Re: Les CONS du Coronavirus




par gegyx » 01/03/21, 14:02

Bof ! Un individu comme bien d'autres...

Moi je vois surtout un snock qui ramène le discours officiel, avec un masque / C'est bien s'il en a besoin avec ses postillons.


Maintenant ce masque, à quoi sert-il ? A le toucher et le remonter constamment en dépit des recommandations officielles ? A avoir un masque mal ajusté ? Surement acheté en chine, pays qu'il discrédite ?

Quand on se sait pas se torcher, on évite de donner ses recommandations sur la bonne attitude.

**
Par contre je suis curieux de savoir pourquoi ses verres se s'embrument pas ?
Ses verres sont collés à la peau en bas. Donc sa vision est retorse.
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Re: Les CONS du Coronavirus




par janic » 01/03/21, 16:04

**
Par contre je suis curieux de savoir pourquoi ses verres se s'embrument pas ?
certains verres son traités antibuée et par ailleurs il faut une température suffisamment basse( pas en studio) pour embuer! Par contre leur porteur peut nous embuer! :cheesy:
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Re: Les CONS du Coronavirus




par gegyx » 01/03/21, 16:58

C'est vrai en testant dans ma pièce à 19°
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Par contre avec de l'eau sur les sourcils (si on vient de se passer le visage à l'eau), la buée est immédiate.
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Re: Les CONS du Coronavirus




par GuyGadeboisLeRetour » 01/03/21, 19:00

gegyx a écrit :Bof ! Un individu comme bien d'autres...

Moi je vois surtout un snock qui ramène le discours officiel, avec un masque / C'est bien s'il en a besoin avec ses postillons.

Un "snock" comme tu dis qui a palpé 163 400 Euros de pots de vin des labos... (Source Euro For Docs)
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Re: Les CONS du Coronavirus




par janic » 01/03/21, 19:29

Un "snock" comme tu dis qui a palpé 163 400 Euros de pots de vin des labos... (Source Euro For Docs)
les temps sont durs pour tout le monde! :cry:
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Re: Les CONS du Coronavirus




par GuyGadeboisLeRetour » 01/03/21, 19:32

janic a écrit :
Un "snock" comme tu dis qui a palpé 163 400 Euros de pots de vin des labos... (Source Euro For Docs)
les temps sont durs pour tout le monde! :cry:

Et 66 contrats (montants non déclarés) dont 4 avec.... J'vous l'donne Émile: Astrazeneca.
Donc bien plus que 163 400 roros !
Une vraie pourriture lobbyiste. Mais bon, à son âge "émérite", il faut bien penser à l'avenir. :mrgreen:
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