Dédé bonjour
C'est simple, sans traitement ou avec un traitement homéopathique (ce qui revient au même), la survie n'est que de quelques mois.
Les stats sont largement en faveur du traitement, surtout chez les jeunes
Merci pour la réponse, je ne pensais pas qu'il y avait autant de taux d'échec dans le traitement de la leucémie...
Ne te laisse pas leurrer par ces mélanges fait entre les LAL et les autres formes de leucémies
https://fr.wikipedia.org/wiki/Leuc%C3%A9mie_aigu%C3%AB_lymphoblastique#Traitements
https://fr.wikipedia.org/wiki/Leuc%C3%A9mie
Les formes les plus courantes chez l'adulte sont ainsi les LAM, les LMC et LLC, alors que chez l'enfant les LAL prédominent.
À l'intérieur même de ces types, il existe d'autres catégories permettant d'avoir un traitement plus ciblé. Il s'agit des classifications FAB et WHO.Il ne faut pas mélanger les choux avec les carottes.
Par ailleurs l’affirmation de l’inutilité de l’H (qui n’est pas la seule alternative thérapeutique) ça ne fait partie que de son négationnisme habituel dû à son indécrottable ignorance.
Ma réaction concernait la première partie de la phrase, qui excluait catégoriquement l'influence de l'environnement dans le processus de guérison!
Ne rêve pas, il va te sortir son discours contradictoire habituel que le reste n’est pas académique, comme pour les 146.000 décès des cancers où le discours académique ne peut rien faire.
J’ai eut aussi deux cas, très, très proches, de leucémie avec traitements chimiques qui ont fait trainer les états qui ont fini, par épuisement, par les faire décéder. Voici alors le témoignage que j’ai déjà indiqué :
«
Un jour je frappe à une porte: « Bonjour monsieur, je viens vous présenter tout ce qui touche à la santé ». Que n'avais-je pas dit là ? Heureusement qu'il n'avait pas un fusil entre les mains autrement je serais mort aujourd'hui. «Fichez-moi le camp, arrêtez de nous persécuter, vous nous avez fait assez de mal en tuant notre fille, du balai ou je vous casse la figure. » (Ce ne sont pas les mots exacts mais leur essence). J'ai immédiatement compris qu'il y avait confusion sur la personne et qu'il me prenait pour quelqu'un des services de santé. «Arrêtez monsieur, je ne fais pas partie des services de santé,.» Le monsieur se radoucit en s'excusant de la confusion et il consentit, à ma demande, à m'expliquer ce qui avait provoqué sa colère.
Voici en deux mots et demi son histoire.
Sa petite fille était atteinte d'une leucémie. Après maints traitements, elle leur fut rendue afin de passer ses derniers instants au sein de sa famille ; c'est dire la gravité de son état. Comme tous les parents ceux-ci ne se résolurent pas à accepter l'inéluctable et battirent du tambour pour éviter cette issue fatale. On leur donna le nom d'une naturopathe (vous savez les charlatans !) qui, vu l'état de l'enfant, ne promit pas de résultat, mais seulement de faire de son mieux. Et contre toute attente, la santé de l'enfant s'améliora doucement. Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Les services sociaux vinrent visiter la famille pour s'enquérir de la santé de l'enfant (ou pour présenter leurs condoléances ?). Constatant l'amélioration de son état, ils voulurent recommencer le traitement et les parents durent laisser leur enfant à ceux qui, précédemment, s'en étaient débarrassés. Retraitement, rechute, re-retour vers le foyer familial.[*] Retour vers la naturopathe qui réitère ses réserves: Re-amélioration de l'état de l'enfant. L'histoire aurait pu s'arrêter là, mais il est des coupes qu'il faut boire jusqu'à la lie. De nouveau revisite des services sociaux qui constatant l'amélioration de l'enfant reprirent leurs oeuvres, là où ils les avaient interrompues, malgré les protestations des parents. L’enfant n’a pas pu supporter cette troisième agression et en est morte .Je n'ai aucune idée de ce que fit cette naturopathe, mais de toute évidence, ça fonctionnait mieux que la médecine académique.
[*] cela rappelle étrangement le cas des enfants soumis à l'AZT.
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré