janic a écrit :La question n’est pas seulement s’ils ne servent à rien ou pas, (les « scientifiques des OGM » prétendent le contraire) mais que des OGM libérés dans la nature peuvent avoir un large impact (mal connu) sur les populations animales et végétales.
Comme je l'ai mentionné plus haut,l'argumentaire écologique ou sanitaire est mis en avant dans tout les débats,alors que la VRAI question,celle qui faut se poser avant toutes les autres est bien celle de la nécessité.
Par exemple:l'automobile est une source de pollution,mais elle rend de grand service(transports de personnes,services d'urgence etc...), on peut donc accepter les nuisances à partir du moment ou le service est supérieur à l'ennui crée.
Actuellement il y a trop de véhicules et les nuisances sont supérieurs aux services données,il faut donc en réduire le nombre.
Pour les OGM alimentaire,il n'y a aucune nécessité.
l'argumentaire écologique et sanitaire est pernicieux, dans le sens ou si l'on arrivait à mettre au point des OGM dont l'innocuité serait réel,il serait alors tolérable de les utilisés.
Hors même des OGM qui ne représenterait pas de danger sanitaire entrainerait de facto la disparition à terme de la biodiversités utilisé par la paysannerie mondiale.
Nous arriverions vite à une hyper-uniformisation de l'agriculture...
Alors que des produits pharmaceutiques OGM n’auront qu’un impact limité (quelques personnes traitées comme pour le nucléaire médical) comme le souligne Hamed.
Idem,bienfait vs méfait?
Le nucléaire médicale (radiologie,radiothérapie) sauve bien plus de personnes qu'il n'en tue,il est donc justifiable de l'employer.
Je ne suis pas particulièrement favorable aux OGM à fin médicale, néanmoins, comme je l'ai mentionné plus haut, leurs finalités est différentes des OGM alimentaire.