GuyGadeboisLeRetour a écrit :Pour rappel, les autorités sanitaires ont encouragé les femmes enceintes à se faire vacciner le 11/08/2021 aux USA. https://www.nouvelobs.com/vaccination-a ... id-19.html
Nostradamus a écrit :Mais le pire c'était quand même après le début de la vaccination à la première dose !
https://insidemedicine.bulletin.com/inf ... nd-seniorsles femmes enceintes devraient recevoir des vaccins Covid ou des doses de rappel au cours de la deuxième moitié de la grossesse, car les anticorps transmis de la mère au fœtus semblent protéger les bébés au cours des premiers mois de leur vie. Les chercheurs doivent également étudier si les bébés de mères récemment vaccinées (ou infectées) qui allaitent s’en sortent mieux, comme la recherche l’implique mais ne l’a pas encore montré de manière définitive. Les anticorps Covid protecteurs dans le lait maternel tapissent les muqueuses des bébés, où ce virus aime pénétrer dans notre corps. Il est probable que l’allaitement maternel offre une couche de protection à court terme à chaque tétée. Donc, pour celles qui ne peuvent pas allaiter, le lait de donneuse de mères récemment vaccinées devrait être considéré.
Pour les deux variantes, l'efficacité du vaccin contre l'infection chez les individus entièrement vaccinés a diminué au fil du temps, passant de 75 % après la fin de la deuxième dose à 57 % après 150 à 179 jours pour le delta, et de 47 % à 16 % sur une durée similaire pour le omicron ( figure ). Cependant, parmi ceux qui ont reçu un rappel, l'efficacité du vaccin contre l'infection par l'omicron est passée à 60 % 14 à 29 jours après la troisième dose, avant de décliner à 40 % après 60 jours.
Notre étude est basée sur des données nationales complètes sur les vaccinations et les infections pédiatriques au COVID-19. Cependant, il existe quelques limitations. Premièrement, malgré nos ajustements pour les variables démographiques, socioéconomiques et temporelles qui pourraient affecter le risque d'exposition, il pourrait y avoir une confusion résiduelle des comorbidités et d'autres facteurs inconnus qui influencent le statut vaccinal ou le comportement de recherche de soins de santé d'un adolescent. Deuxièmement, l'admission à l'hôpital est une décision clinique et donc une mesure subjective de la gravité de la maladie. Enfin, comme le séquençage génomique n'était pas systématiquement effectué sur tous les cas confirmés d'infection par le SRAS-CoV-2, le type de variante a été supposé sur la base de la date de notification des cas et de la variante prédominante de chaque vague d'infection à Singapour. Comme delta et omicron codominaient entre le 16 décembre 2021 et le 20 janvier 2022, les cas signalés au cours de cette période ont été omis de l'analyse.
Chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans, l'efficacité du vaccin contre l'infection confirmée par le SRAS-CoV-2 après deux doses de BNT162b2 a diminué avec le temps et a augmenté après une troisième dose. Les adolescents boostés étaient également les plus protégés contre l'hospitalisation, par rapport aux adolescents complètement vaccinés, partiellement vaccinés et non vaccinés.
Toujours pareilGuyGadeboisLeRetour a écrit : l'efficacité du vaccin contre l'infection par l'omicron est passée à
Tu mets le focus sur ce qui est le moins important.
izentrop a écrit :Il parle d'efficacité de réduction des hospitalisations, c'est ce qui compte, non ?
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