janic a écrit:
Ou bien continuez de, et si un con ne vient pas vous culbuter, ne pleurez pas sur votre sort et assumez vos choix. Personnellement, je pourrais me plaindre de payer pour tous ceux qui s'en foutent et qui remplissent les salles d'attente chez les toubibs et engorgent les hôpitaux parce qu'ils ont continué de boire, mangé gras, sucré, salé, qui fument et forniquent.
Hé bien...Ce n'est pas avec une telle mentalité que tu feras de vieux os malgré ton alimentation (que tu penses) sans reproche...
a) Ma « mentalité »est une réponse du berger à la bergère simplement lorsque l’autojustification tourne à la dérision .
b) Je me fiche complètement de faire de vieux os, je préfère conserver mes os jeunes.
c) Mon alimentation n’est pas sans reproche, loin s’en faut ! Pour autant indiquer une direction, une possibilité de choix (ce qui n’est guère le cas pour la majorité des populations, non informée sur ces sujets) c’est un devoir « moral » de transmettre sa connaissance et surtout son vécu
à ceux qui sont intéressés. Après cela n’empêche nullement chacun de faire ses propres choix. En comparaison, que j’ai déjà évoqué, c’est comme une discipline sportive qui part du jogging du dimanche à l’entrainement intensif pour parvenir à la médaille d’or. Chacun se situe au niveau qu’il choisit, mais il est évident qu’entre le trottinement ou quelques étirements et l’entrainement de très haut niveau, les critères choisis et les résultats ne sont pas les mêmes.
Regarde donc le sujet que je viens de poster:
https://www.econologie.com/forums/le-mystere ... 10885.html Tous ces centenaires sont (étaient) de bons vivants et aucun n'est, à ma connaissance, végétarien...je me répète: le secret d'une vie longue en bonne santé c'est le moral, le mental...bref la joie de vivre!
Bien de ces citations se font hors contexte. Ainsi les Hunzas, les porteurs de l’Himalaya, avaient de nombreux centenaires jeunes et quasi végétariens. Pas de maladies, alors que les peuplades voisines, proches, étaient constamment atteintes de pathologies dont un certain nombre mortelles. Ce qui a intrigué les analystes lesquels se sont rendu compte des différences importantes entre ces deux groupes dont la principale : le mode alimentaire (loin de nos pollutions de « civilisés ») différent. Mais c'est fini, la civilisation occidentale les a rejoint et leur superbe vitalité s'est envolée.
Donc centenaires bon vivants certes (quoi que ce que nous appelons bon vivant est plutôt de type suicidaire) mais pas pour autant avec n’importe quoi, ni n’importe comment !
Dernier point d’importance : ces cas cités étaient ou sont encore nés il y a un siècle justement, et nos générations risquent fortement de ne pas avoir le même capital santé car on oublie fréquemment la forte mortalité infantile qui sélectionnait drastiquement les plus robustes.
Va faire un tour dans les mouroirs, pardon les maisons de vieux, et tu y verras, cette joie de vivre en question et le monceau de médocs que chacun avale pour ne pas mourir. Si c’est ça le futur, non merci !
Faire le bien envers son prochain peut aussi contribuer à vivre mieux...plus longtemps...mais ça c'est la théorie qui n'est plus trop d'application actuellement.
Effectivement faire le bien contribue à vivre mieux… mais plus longtemps, c’est une autre paire de manche !
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré