Santé, du nouveau à propos du SIDA ?
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Ok, donc je vous avais promis que je poserai des questions pour éclaircir certains points sur le cas de ce patient chez lequel il n'a plus été possible de trouver trace d'anti-corps du VIH, et voici les réponse du chimiste que je viens de quitter à l'instant (discussion de 1h... je vous passe les autres détails, déjà abordés ici...! Venons-en à la synthèse)
Ainsi j'ai exposé le cas de la greffe de moelle osseuse et du résultat obtenu. Puis les 3 ans qui se sont écoulés sans que des traces d'anticorps ne réapparaîssent... etc.
Je lui ai rappelé l'histoire de la présence de la fameuse protéine/enzyme de Montagnier censée valider le discours admis officiellement. Je lui ai rappelé que sur cette base, ils s'appuyent chez Pasteur sur le fait que la perte de l'ADN polymérase aboutit à une réplication "ARN mutante" (i.e. transcriptase inverse) et voilà ce qu'il m'a dit de lui-même:
— le switch entre ADN polymérase vers ARN est un mécanisme simple, connu, et inévitable, par le fait que rien ne s'enlève dans la chaîne sans que ce soit remplacé par autre chose.
— il a de lui-même évoqué l'histoire de l'enzyme (protéine). En disant que tout ça était du ba b_a, puisqu'il est connu qu'une double liaison "CIS"* peut switcher instantanément en "TRANS" sous certaines conditions (i.e. la thèse du Dr Kousmine des acides gras "CIS" pour se préserver des formules "TRANS" oxydantes... => par ex. les acides gras polyinsaturés qui jouent un rôle déterminant dans la préservation de la membrane cellulaire, qu'ils ne protègent plus si c'est la formule "TRANS" qui est absorbée: CQFD).
— il m'a dit ce que j'ai déjà évoqué ici, que ces enzymes agissaient sur des «récepteurs» de la cellule.
— lorsque je lui ai demandé si des produits chimiques étrangers (combinés ou non) agissant comme agents perturbateurs, arrivaient à venir se placer sur des récepteurs, quelles en seraient les conséquences? Il m'a dit que "là on serait très mal"!!!
— lorsque j'ai évoqué la piste du processus de «nécrose» (entendez par là que cette maladie en serait une étape intrinsèque, et que puisque morte, on n'arriverait pas à retrouver le chaînon qui manque à la théorie en place). Il m'a dit que si il manquait quelque chose, c'était remplacé par autre chose, ou alors c'était le renversement selon un effet domino qui aboutit à la mort. Alors la maladie pourrait éventuellement être l'étape qui précède cet effet, mais pas l'effet lui-même. Ainsi il m'a renvoyé au processus de switch "CIS" => "TRANS".
Évidemment il n'est pas possible de conclure sur cette base des raisons pour lesquelles la trace du pseudo virus n'est pas captable. C'est peut-être tout simplement qu'il n'a jamais existé et que la présences d'anti-corps ne serait que l'expression du passage de la phase ADN polymerase à ARN mutante... Menfin bref, ça reste juste un sujet ouvert... ça me donnera l'occasion de nouvelles questions à lui poser la prochaîne fois, juste pour savoir si ce cas de figure est possible? Et dans quelles conditions.
Je rappellerais que ce chimiste ne connaît pas les recherches et cas cliniques du Dr Kousmine.
Hypothése: Donc pour l'instant la piste sérieuse et connue et celle déjà débattue ici (double liaison cis => trans). La greffe de moelle osseuse aurait juste eu pour effet de «remettre de l'ordre dans la baraque» d'une manière ou d'une autre selon les médecins (à prendre à des pincettes...), ou alors piste plus probable: le fait d'arrêter le traitement pendant une période donnée, aurait "privé" les récepteurs des «perturbateurs chimiques» présent dans le traitement contesté par trithérapie (ou provenant d'une autre source) ce qui aurait permis le rétablissement de la fonctionnalité correcte des récepteur étant à nouveau en mesure de recevoir les enzymes à l'endroit qu'il faut. Quoi qui l'en soit le corps aurait ainsi réussit à surmonter les carrences grâce à une rupture du régime alimentaire procuré de facto par le régime alimentaire imposé par l'hôpital durant la période de quarantaine en chambre stérile (les hôpitaux utilisant les services de diététiciens... qui valent ce qu'ils valent, mais les faits sont là).
*Chimie du carbone: principe de base pour les liaisons "CIS" VS "TRANS":
Double liaison "CIS": signifie «du même côté», qui et est le contraire de "TRANS" (mais s'accorde pile poil = Isomérie)
Chauffer un corps gras polyinsaturé "CIS" (i.e. bienfaisant) à haute température, bascule l'un des deux atomes se trouvant sur le même plan de référence à l'opposé, ce qui fait que chacun d'eux se retrouve alors de part et d'autre de ce plan et il devient "TRANS" (i.e. nocif). (Remarquez la double liaison entre les atomes de carbone).
Acide gras saturé VS acide gras non saturé:
Ainsi j'ai exposé le cas de la greffe de moelle osseuse et du résultat obtenu. Puis les 3 ans qui se sont écoulés sans que des traces d'anticorps ne réapparaîssent... etc.
Je lui ai rappelé l'histoire de la présence de la fameuse protéine/enzyme de Montagnier censée valider le discours admis officiellement. Je lui ai rappelé que sur cette base, ils s'appuyent chez Pasteur sur le fait que la perte de l'ADN polymérase aboutit à une réplication "ARN mutante" (i.e. transcriptase inverse) et voilà ce qu'il m'a dit de lui-même:
— le switch entre ADN polymérase vers ARN est un mécanisme simple, connu, et inévitable, par le fait que rien ne s'enlève dans la chaîne sans que ce soit remplacé par autre chose.
— il a de lui-même évoqué l'histoire de l'enzyme (protéine). En disant que tout ça était du ba b_a, puisqu'il est connu qu'une double liaison "CIS"* peut switcher instantanément en "TRANS" sous certaines conditions (i.e. la thèse du Dr Kousmine des acides gras "CIS" pour se préserver des formules "TRANS" oxydantes... => par ex. les acides gras polyinsaturés qui jouent un rôle déterminant dans la préservation de la membrane cellulaire, qu'ils ne protègent plus si c'est la formule "TRANS" qui est absorbée: CQFD).
— il m'a dit ce que j'ai déjà évoqué ici, que ces enzymes agissaient sur des «récepteurs» de la cellule.
— lorsque je lui ai demandé si des produits chimiques étrangers (combinés ou non) agissant comme agents perturbateurs, arrivaient à venir se placer sur des récepteurs, quelles en seraient les conséquences? Il m'a dit que "là on serait très mal"!!!
— lorsque j'ai évoqué la piste du processus de «nécrose» (entendez par là que cette maladie en serait une étape intrinsèque, et que puisque morte, on n'arriverait pas à retrouver le chaînon qui manque à la théorie en place). Il m'a dit que si il manquait quelque chose, c'était remplacé par autre chose, ou alors c'était le renversement selon un effet domino qui aboutit à la mort. Alors la maladie pourrait éventuellement être l'étape qui précède cet effet, mais pas l'effet lui-même. Ainsi il m'a renvoyé au processus de switch "CIS" => "TRANS".
Évidemment il n'est pas possible de conclure sur cette base des raisons pour lesquelles la trace du pseudo virus n'est pas captable. C'est peut-être tout simplement qu'il n'a jamais existé et que la présences d'anti-corps ne serait que l'expression du passage de la phase ADN polymerase à ARN mutante... Menfin bref, ça reste juste un sujet ouvert... ça me donnera l'occasion de nouvelles questions à lui poser la prochaîne fois, juste pour savoir si ce cas de figure est possible? Et dans quelles conditions.
Je rappellerais que ce chimiste ne connaît pas les recherches et cas cliniques du Dr Kousmine.
Hypothése: Donc pour l'instant la piste sérieuse et connue et celle déjà débattue ici (double liaison cis => trans). La greffe de moelle osseuse aurait juste eu pour effet de «remettre de l'ordre dans la baraque» d'une manière ou d'une autre selon les médecins (à prendre à des pincettes...), ou alors piste plus probable: le fait d'arrêter le traitement pendant une période donnée, aurait "privé" les récepteurs des «perturbateurs chimiques» présent dans le traitement contesté par trithérapie (ou provenant d'une autre source) ce qui aurait permis le rétablissement de la fonctionnalité correcte des récepteur étant à nouveau en mesure de recevoir les enzymes à l'endroit qu'il faut. Quoi qui l'en soit le corps aurait ainsi réussit à surmonter les carrences grâce à une rupture du régime alimentaire procuré de facto par le régime alimentaire imposé par l'hôpital durant la période de quarantaine en chambre stérile (les hôpitaux utilisant les services de diététiciens... qui valent ce qu'ils valent, mais les faits sont là).
*Chimie du carbone: principe de base pour les liaisons "CIS" VS "TRANS":
Double liaison "CIS": signifie «du même côté», qui et est le contraire de "TRANS" (mais s'accorde pile poil = Isomérie)
Chauffer un corps gras polyinsaturé "CIS" (i.e. bienfaisant) à haute température, bascule l'un des deux atomes se trouvant sur le même plan de référence à l'opposé, ce qui fait que chacun d'eux se retrouve alors de part et d'autre de ce plan et il devient "TRANS" (i.e. nocif). (Remarquez la double liaison entre les atomes de carbone).
Acide gras saturé VS acide gras non saturé:
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“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”
Liste de faux-nez présumés en “ignorés”: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
Liste de faux-nez présumés en “ignorés”: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
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http://www.lemonde.fr/planete/article/2 ... _3244.html
Les séropositifs présentent des risques accrus d'attaques cérébrales
Selon une recherche, publiée mercredi 19 janvier, les personnes porteuses du VIH ont trois fois plus de risques d'être victimes d'une attaque cérébrale que celles qui sont séronégatives. Cette nette augmentation est d'autant plus notable que les accidents vasculaires cérébraux (AVC) sont normalement assez rares chez les patients infectés par le VIH, relèvent les auteurs de cette étude, qui avancent l'hypothèse d'un effet secondaire des antirétroviraux.
Alors que le taux d'hospitalisations dues à une attaque cérébrale a diminué ces dernières années aux Etats-Unis dans la population générale, la fréquence de ces attaques s'est fortement accrue chez les séropositifs, indique le Dr Bruce Ovbiagele, professeur de neurologie à l'Université de Californie, à San Diego, un des deux auteurs de cette étude, parue dans l'édition en ligne de la revue Neurology.
UN LIEN AVEC LES ANTIRÉTROVIRAUX
Ces chercheurs ont analysé des statistiques nationales de tous les patients hospitalisés et auxquels un AVC avait été diagnostiqué entre 1997 et 2006. Ils ont découvert que les AVC avaient diminué de 7 % dans la population générale durant cette période alors qu'ils ont fait un bond de 67 % chez les séropositifs. La plupart des accidents vasculaires ayant affecté les personnes séropositives étaient ischémiques, c'est-à-dire qu'ils ont résulté de l'obstruction d'un vaisseau par un caillot et non d'une hémorragie.
Le Dr Ovbiagele a relevé que la période de l'étude coïncide avec l'émergence et l'utilisation répandue des antirétroviraux, très efficaces pour contrôler le VIH et permettre d'allonger la vie des personnes séropositives. Mais, ajoute le médecin, ces statistiques laissent penser que ces médicaments pourraient être liés à des complications métaboliques qui augmenteraient le risque d'attaque cérébrale. Il note aussi que "l'accroissement des AVC pourrait tout simplement s'expliquer par le fait que les séropositifs vivent plus longtemps".
"Le risque d'attaque cérébrale est fortement lié à l'avancement de l'âge puisque près des trois quarts des AVC se produisent après 65 ans et au-delà de 55 ans ce risque double pour chacune des décennies suivantes", précise le médecin. Cependant, l'âge moyen d'une attaque cérébrale chez les séropositifs se situe dans la cinquantaine, ajoute le Dr Ovbiagele.
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Faire une recherche d'images ou une recherche textuelle - Netiquette du forum
dedeleco a écrit :Sans traitement, il semble qu'on meure encore plus vite, d'où traitement comme on peut !!
Sur quoi peut-on se baser pour dire ça !? Pas grand chose ! Sachant que quand il y a des chiffres précis, ils sont défavorables au traitement, y a qu'à voir dans le fichier de début de sujet (document de duesberg), ou l'on voit bien le taux de mortalité des hémophiles séropositif très stable durant plusieurs années jusqu'au moment où l'on commence à les traiter. Le taux de mortalité explose alors et monte en flèche !!
Il faut aussi pas oublier l'effet psycologique, la tête joue un rôle important dans un processus de guerison ou de dégradation de la santé. Se sachant traité, même avec du poison dont la dose à été réduite, le moral ne peut être que meilleur qu'une personne non traitée persuadée qu'elle est foutue et qu'elle va mourir !
Encore que des personnes non traitées, ça existe !? Si oui, c'est qu'elles ont refusée le traitement et donc qu'elles pensent qu'elles ne risquent rien avec ce pseudo VIH et là ça serait vraiment interessant de voir leur santé à long terme !
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sida
J'adhère à110% au point de vue de nlc (adhésion sur-unitaire,ça va de soi). Je n'ai pas trouvé cité ce document très bien fait sur le sujet: www.sida.pdf et www.sidasante.com
Point de vue personnel: notre société fonctionne sur le modèle carotte ou baton, et rassurer ou faire peur. Le VIH rentre dans ces deux catégories. Inquièter d'abord, puis rassurer ensuite avec à la clef la nécessité d'obtenir de gros crédits pour la recherche et l'objectif d'industrialiser un produit final générateur de gros profits.
Comme par hasard (aux USA) le congrès ne voulait plus voter de pharamineux crédits pour la recherche sur le cancer et comme par hasard, le SIDA arriva pile pour relancer la machine des crédits de la recherche pharamineux.
pour info, si Montagnier a pris du recul sur le VIH, Gallo l'autre découvreur américain en a fait autant. Sans raisons?
Voici un extrait de sida.pdf
En fin de compte, alors que la théorie du VIH est à tous égards problématique, les médecins ainsi que leurs patients et leurs proches, les hommes politiques, les journalistes et les contribuables se voient systématiquement dénier tout droit à connaître l'existence et le contenu de la contestation qui en est faite. page 7
La revue Nature a systématiquement rejeté tous les articles et lettres soumis par Eleopulos et ses collègues depuis 1986 sans fournir la moindre raison scientifique et en invoquant chaque fois le manque de place Cependant, la séropositivité chez les prostituées est presque exclusivement circonscrite à celles qui sont toxicomanes. Pratiquement, toutes les autres sont et restent séronégatives.
En septembre 1985, 56 prostituées n’utilisant pas de drogues intraveineuses (NDIV) furent testées "…dans la rue Saint-Denis, la rue de Paris la plus connue pour la prostitution. Plus de mille prostituées travaillent dans ce secteur… Ces femmes, âgées de 18 à 60 ans, ont des rapports 15 à 25 fois par jour et n’utilisent pas systématiquement de protection". Aucune n’était séropositive.(109) A Copenhague, 101 prostituées NDIV, dont un quart étaient "soupçonnées d’avoir jusqu’à un cinquième de leur clientèle composée d'homosexuels et de bisexuels", furent testées entre août et octobre 1985. Le nombre moyen de rapports sexuels par prostituée était de vingt par semaine.
Aucune n’était séropositive.(110) En 1985, 132 prostituées (et 55 non-prostituées) qui fréquentaient une clinique de Sydney spécialisée dans les MST (maladies sexuellement transmissibles) furent testées. En moyenne, chacune avait eu 24,5 partenaires différents (clients et amants confondus) au cours du mois précédent, et le nombre moyen de rapports sexuels était de 175 par an. Le nombre moyen de rapports sexuels annuels des prostituées était de 450. Les partenaires de seulement 14 prostituées(11 %) utilisaient des préservatifs à toutes les rencontres, et 49 % de leurs partenaires n’utilisaient des préservatifs que dans moins de 20 % des rencontres. Aucune femme n’était séropositive.(111) La même clinique australienne testa un autre lot de 491 prostituées qui la fréquentaient entre 1986 et 1988. Chez 231 prostituées (sur les 491 faisant l’objet de l’enquête), 19 % "avaient des partenaires bisexuels non payants et 21 % avaient des partenaires qui s’injectaient des drogues; 69 % utilisaient toujours des préservatifs pour les rapports vaginaux avec les clients payants, mais n’en utilisaient que rarement avec les partenaires non payants. Les préservatifs étaient rarement utilisés par les clients ou partenaires des 18 % des prostituées pratiquant le rapport anal". Aucune femme n’était séropositive.
A la date de cette enquête, dix ans après l’apparition du SIDA, les auteurs faisaient le commentaire suivant : "En Australie, il n’y a eu aucun cas documenté de prostituée femme infectée par le VIH par le fait d’un rapport sexuel". Cela n'empêcha pas ces mêmes enquêteurs du Sydney Sexual Health Centre de conclure "que beaucoup de femmes travaillant comme prostituées à Sydney couraient de sérieux risques d'être infectées par le VIH".(112) En Espagne, sur 519 prostituées NDIV testées entre mai 1989 et décembre 1990, seulement 12 (2,3 %) eurent un test positif, ce qui n’était "que légèrement supérieur au taux enregistré cinq ans auparavant dans des enquêtes similaires". Certaines prostituées avaient jusqu’à 600 partenaires par mois et l’apparition de la séropositivité était directement liée à la pratique des rapports anaux. p 10
L’Australian National HIV Reference Laboratory (NRL) reconnait que "la fausse réactivité est un phénomène courant et peut porter sur une ou plusieurs plusieurs bandes de protéines" (20 à 25 % 13 des donneurs de sang déclarés séronégatifs présentent une ou plusieurs bandes au test WB).(120) Mais alors, argumente Eleopulos, si des anticorps "non VIH" réagissent avec "une ou plusieurs bandes de protéines", pourquoi pas avec quatre ou cinq, ou toutes les dix ? Sur quelle base les experts affirment-ils que certains anticorps sont "faux" et d’autres "vrais" ? Ou encore, quel raisonnement scientifique peut expliquer comment trois mêmes bandes ayant réagi avec de "faux" anticorps, sont tout à coup considérées comme ayant réagi avec de "vrais" anticorps par le simple fait qu'elles ne sont plus trois bandes mais quatre ? Sur quelles bases les experts affirment-ils qu’il existe de "vrais" anticorps VIH ? Si le voyageur australien se faisait tester aux Etats-Unis, où deux ou trois bandes suffisent pour poser le diagnostic de l’infection par le VIH, ses anticorps seraient-ils faux" en Australie mais "vrais" dès que son avion atterrirait à Los Angeles ?
En 1994, on demanda au Dr Elizabeth Dax, directrice du NRL, comment elle justifiait les critères retenus par l'Australie pour déclarer un test WB positif et comment elle pouvait expliquer les variations que l'on constatait dans le monde.(28) Sa réponse (126) éluda ces questions et l'équipe de rédaction du Medical Journal of Australia se garda bien de publier la correspondance qui s'en suivit. p12
Cette année, il a été rapporté que 35 % des patients souffrant de cirrhose biliaire primaire, 39 % des patients souffrant d’autres désordres biliaires, 29 % des patients souffrant de lupus, 60 % des patients souffrant d’hépatite B, 35 % des patients souffrant d’hépatite C (toutes maladies non-VIH et non-SIDA) ont des anticorps à la protéine considérée comme la plus spécifique du VIH, la p24 .p13
Des voix dissidentes se sont fait entendre (Eleopulos : le VIH n'existe pas; Duesberg et Eleopulos : ou s'il existe, il ne provoque pas le SIDA), ce qui implique que, tôt ou tard, la vérité éclatera au grand jour et la crédibilité de la science en sera lourdement affectée. De même, les échecs du système de "peer review" (revue par des spécialistes des articles avant leur publication) seront révélés, la réputation de nombre d'experts et de non experts sera ruinée, les citoyens perdront la confiance qu'ils portent à leurs gouvernements, à leurs héros de la médecine ou de la science, et l'ensemble de la profession médicale restera pour longtemps frappée d'ignominie. Il faudra que les dirigeants politiques fassent preuve d'une intelligence et d'une volonté peu communes pour sortir en douceur de cet incroyable foutoir socio-médico-légal. p17
Lorsque l'escroquerie du VIH sera reconnue, la réaction populaire, pour violente qu'elle soit, ne sera sans doute rien en comparaison du tsunami juridique qui ne manquera pas de se produire. Il y a une foule de personnes en vie qui se croient infectées par un microbe mortel, nombre d'entre elles sont actuellement traitées par des drogues potentiellement très toxiques sans la moindre preuve qu'elles aient une utilité quelconque en contrepartie. Ces personnes évitent les contacts intimes, se résignent à ne pas avoir d'enfants et parfois même fuient tout contact avec les tiers. Il faudrait une légion de lauréats de prix de poésie pour exprimer la souffrance engendrée par cette escroquerie. p18
Point de vue personnel: notre société fonctionne sur le modèle carotte ou baton, et rassurer ou faire peur. Le VIH rentre dans ces deux catégories. Inquièter d'abord, puis rassurer ensuite avec à la clef la nécessité d'obtenir de gros crédits pour la recherche et l'objectif d'industrialiser un produit final générateur de gros profits.
Comme par hasard (aux USA) le congrès ne voulait plus voter de pharamineux crédits pour la recherche sur le cancer et comme par hasard, le SIDA arriva pile pour relancer la machine des crédits de la recherche pharamineux.
pour info, si Montagnier a pris du recul sur le VIH, Gallo l'autre découvreur américain en a fait autant. Sans raisons?
Voici un extrait de sida.pdf
En fin de compte, alors que la théorie du VIH est à tous égards problématique, les médecins ainsi que leurs patients et leurs proches, les hommes politiques, les journalistes et les contribuables se voient systématiquement dénier tout droit à connaître l'existence et le contenu de la contestation qui en est faite. page 7
La revue Nature a systématiquement rejeté tous les articles et lettres soumis par Eleopulos et ses collègues depuis 1986 sans fournir la moindre raison scientifique et en invoquant chaque fois le manque de place Cependant, la séropositivité chez les prostituées est presque exclusivement circonscrite à celles qui sont toxicomanes. Pratiquement, toutes les autres sont et restent séronégatives.
En septembre 1985, 56 prostituées n’utilisant pas de drogues intraveineuses (NDIV) furent testées "…dans la rue Saint-Denis, la rue de Paris la plus connue pour la prostitution. Plus de mille prostituées travaillent dans ce secteur… Ces femmes, âgées de 18 à 60 ans, ont des rapports 15 à 25 fois par jour et n’utilisent pas systématiquement de protection". Aucune n’était séropositive.(109) A Copenhague, 101 prostituées NDIV, dont un quart étaient "soupçonnées d’avoir jusqu’à un cinquième de leur clientèle composée d'homosexuels et de bisexuels", furent testées entre août et octobre 1985. Le nombre moyen de rapports sexuels par prostituée était de vingt par semaine.
Aucune n’était séropositive.(110) En 1985, 132 prostituées (et 55 non-prostituées) qui fréquentaient une clinique de Sydney spécialisée dans les MST (maladies sexuellement transmissibles) furent testées. En moyenne, chacune avait eu 24,5 partenaires différents (clients et amants confondus) au cours du mois précédent, et le nombre moyen de rapports sexuels était de 175 par an. Le nombre moyen de rapports sexuels annuels des prostituées était de 450. Les partenaires de seulement 14 prostituées(11 %) utilisaient des préservatifs à toutes les rencontres, et 49 % de leurs partenaires n’utilisaient des préservatifs que dans moins de 20 % des rencontres. Aucune femme n’était séropositive.(111) La même clinique australienne testa un autre lot de 491 prostituées qui la fréquentaient entre 1986 et 1988. Chez 231 prostituées (sur les 491 faisant l’objet de l’enquête), 19 % "avaient des partenaires bisexuels non payants et 21 % avaient des partenaires qui s’injectaient des drogues; 69 % utilisaient toujours des préservatifs pour les rapports vaginaux avec les clients payants, mais n’en utilisaient que rarement avec les partenaires non payants. Les préservatifs étaient rarement utilisés par les clients ou partenaires des 18 % des prostituées pratiquant le rapport anal". Aucune femme n’était séropositive.
A la date de cette enquête, dix ans après l’apparition du SIDA, les auteurs faisaient le commentaire suivant : "En Australie, il n’y a eu aucun cas documenté de prostituée femme infectée par le VIH par le fait d’un rapport sexuel". Cela n'empêcha pas ces mêmes enquêteurs du Sydney Sexual Health Centre de conclure "que beaucoup de femmes travaillant comme prostituées à Sydney couraient de sérieux risques d'être infectées par le VIH".(112) En Espagne, sur 519 prostituées NDIV testées entre mai 1989 et décembre 1990, seulement 12 (2,3 %) eurent un test positif, ce qui n’était "que légèrement supérieur au taux enregistré cinq ans auparavant dans des enquêtes similaires". Certaines prostituées avaient jusqu’à 600 partenaires par mois et l’apparition de la séropositivité était directement liée à la pratique des rapports anaux. p 10
L’Australian National HIV Reference Laboratory (NRL) reconnait que "la fausse réactivité est un phénomène courant et peut porter sur une ou plusieurs plusieurs bandes de protéines" (20 à 25 % 13 des donneurs de sang déclarés séronégatifs présentent une ou plusieurs bandes au test WB).(120) Mais alors, argumente Eleopulos, si des anticorps "non VIH" réagissent avec "une ou plusieurs bandes de protéines", pourquoi pas avec quatre ou cinq, ou toutes les dix ? Sur quelle base les experts affirment-ils que certains anticorps sont "faux" et d’autres "vrais" ? Ou encore, quel raisonnement scientifique peut expliquer comment trois mêmes bandes ayant réagi avec de "faux" anticorps, sont tout à coup considérées comme ayant réagi avec de "vrais" anticorps par le simple fait qu'elles ne sont plus trois bandes mais quatre ? Sur quelles bases les experts affirment-ils qu’il existe de "vrais" anticorps VIH ? Si le voyageur australien se faisait tester aux Etats-Unis, où deux ou trois bandes suffisent pour poser le diagnostic de l’infection par le VIH, ses anticorps seraient-ils faux" en Australie mais "vrais" dès que son avion atterrirait à Los Angeles ?
En 1994, on demanda au Dr Elizabeth Dax, directrice du NRL, comment elle justifiait les critères retenus par l'Australie pour déclarer un test WB positif et comment elle pouvait expliquer les variations que l'on constatait dans le monde.(28) Sa réponse (126) éluda ces questions et l'équipe de rédaction du Medical Journal of Australia se garda bien de publier la correspondance qui s'en suivit. p12
Cette année, il a été rapporté que 35 % des patients souffrant de cirrhose biliaire primaire, 39 % des patients souffrant d’autres désordres biliaires, 29 % des patients souffrant de lupus, 60 % des patients souffrant d’hépatite B, 35 % des patients souffrant d’hépatite C (toutes maladies non-VIH et non-SIDA) ont des anticorps à la protéine considérée comme la plus spécifique du VIH, la p24 .p13
Des voix dissidentes se sont fait entendre (Eleopulos : le VIH n'existe pas; Duesberg et Eleopulos : ou s'il existe, il ne provoque pas le SIDA), ce qui implique que, tôt ou tard, la vérité éclatera au grand jour et la crédibilité de la science en sera lourdement affectée. De même, les échecs du système de "peer review" (revue par des spécialistes des articles avant leur publication) seront révélés, la réputation de nombre d'experts et de non experts sera ruinée, les citoyens perdront la confiance qu'ils portent à leurs gouvernements, à leurs héros de la médecine ou de la science, et l'ensemble de la profession médicale restera pour longtemps frappée d'ignominie. Il faudra que les dirigeants politiques fassent preuve d'une intelligence et d'une volonté peu communes pour sortir en douceur de cet incroyable foutoir socio-médico-légal. p17
Lorsque l'escroquerie du VIH sera reconnue, la réaction populaire, pour violente qu'elle soit, ne sera sans doute rien en comparaison du tsunami juridique qui ne manquera pas de se produire. Il y a une foule de personnes en vie qui se croient infectées par un microbe mortel, nombre d'entre elles sont actuellement traitées par des drogues potentiellement très toxiques sans la moindre preuve qu'elles aient une utilité quelconque en contrepartie. Ces personnes évitent les contacts intimes, se résignent à ne pas avoir d'enfants et parfois même fuient tout contact avec les tiers. Il faudrait une légion de lauréats de prix de poésie pour exprimer la souffrance engendrée par cette escroquerie. p18
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Re: sida
Quelle est l'utilité d'un tel «pavé» relativement indigeste?
...huh, à aucun moment ceci n'est un quelconque indicateur, ni si on veut tordre le cou à la thèse en usage, ni qu'on veuille la contester! C'est ce qu'on appelle du troll de base ou de la lecture en diagonale...!?
Comment peut-on adhérer à «110%» à quelque chose qu'on n'a pas compris soit-même: ou alors il ne faut pas reprendre des textes mal foutus et qui tombent dans le panneau d'utiliser les mots de séropositivité ou de séronégativité, ça ne veut strictement rien dire (même si on veut dénoncer une supercherie.... c'est faux au plan sémantique: il est important de contester dès ce point, puisque contrairement à ce que pense le publlic «un séropositif n'est pas un malade à traiter...» voir l'effarante campagne de dépistage du VIH, ou dépistage/vaccination du papilloma virus, de la grippe H1N1... et j'en passe et des meilleures...) alors qu'au contraire, le fait d'avoir été en contact avec un virus/rétrovirus, n'a jamais signifié en avoir été malade!
Voilà véritablement ce qu'explique NLC
Et si un jour c'était le cas grâce à des preuves, les auteurs de la «supercherie» ne seraient plus de ce monde depuis longtemps (les autorités ne voudraient jamais que cela se sache, car il faut maintenir «la paix publique et la confiance dans le système»). Il est aussi possible que ces gens là (si tant est qu'il soient dans une démarche volontaire) soient en partie leurrés par leurs croyances...
Mais soyons prudents, même si le filet se resserre, ça reste du domaine de l'hypothèse, jusqu'à preuve formelle du contraire et identification des agents perturbateurs, quels qu'ils soient..
...Où est l'info? C'est déjà expliqué plus haut, en long, en large, et en travers (comme ça n'avait peut-être jamais été fait avant en aussi concis sur un autre forum). Il y a beaucoup d'opportunisme dans leur démarche, et il y a des chances qu'ils en sachent plus que ce qu'ils veulent bien laisser filtrer... Sinon Montagnier ne se serait pas rabattu grâce à une pirouette, sur une histoire de ...protéine! Il n'est pas réputé ignorer comment fonctionne l'immunité de l'organisme non plus. C'est suspect à partir d'un certain stade!
Si c'est pour parler de cette affection (SIDA): l'hypothèse explicitée plus haut et accréditée par des chercheurs médecins et chimistes est que:
— des polluants divers, croisés ou non, peuvent très bien occuper des récepteurs dans l'organisme et dérouter ainsi le système imunitaire.
— ces polluants peuvent potentiellement arriver à cet effet, lorsqu'il y a déjà un «terrain favorable» => la membrane cellulaire affaiblie, notamment par le fait que les acides gras sont en trop grande proportion en formule «TRANS», au lieu d'être en formule «CIS»
janic a écrit :J'adhère à 110% à ce qu'a dit Nlc [...]la séropositivité chez les prostituées est presque exclusivement circonscrite à celles qui sont toxicomanes. Pratiquement, toutes les autres sont et restent séronégatives.
...huh, à aucun moment ceci n'est un quelconque indicateur, ni si on veut tordre le cou à la thèse en usage, ni qu'on veuille la contester! C'est ce qu'on appelle du troll de base ou de la lecture en diagonale...!?
Comment peut-on adhérer à «110%» à quelque chose qu'on n'a pas compris soit-même: ou alors il ne faut pas reprendre des textes mal foutus et qui tombent dans le panneau d'utiliser les mots de séropositivité ou de séronégativité, ça ne veut strictement rien dire (même si on veut dénoncer une supercherie.... c'est faux au plan sémantique: il est important de contester dès ce point, puisque contrairement à ce que pense le publlic «un séropositif n'est pas un malade à traiter...» voir l'effarante campagne de dépistage du VIH, ou dépistage/vaccination du papilloma virus, de la grippe H1N1... et j'en passe et des meilleures...) alors qu'au contraire, le fait d'avoir été en contact avec un virus/rétrovirus, n'a jamais signifié en avoir été malade!
Voilà véritablement ce qu'explique NLC
nlc a écrit :Christophe a écrit :C'est moi ou le journaliste confond virus, anti corps et maladie?
Non non tu as raison, le journaliste confond tout mais ça arrange bien les scientifiques et notamment cette "entreprise", puisqu'il s'agit de ça finalement lorsqu'on voit qu'à la fin le but est de vendre du traitement....
Dans la tête de tous, être séropositif c'est avoir les anticorps contre ce pseudo virus, donc être porteur (enfin infecté ils aiment bien ce terme) de ce pseudo virus, et donc c'est être malade du sida....
Moi étant porteur de nombreux anticorps contractés naturellement ou par l'intermédiaire des vaccins que j'ai subi étant petit, on peut dire que je suis donc vraiment très malade
Tous ces anticorps de varicelle, rougeole, rubéole, coqueluche, grippes, et que sais-je encore signifie que je suis infecté par toutes ces maladies simultanément et me fond penser que je suis vraiment très malade et que je devrais absolument prendre des anti-viraux rapidement !!!
Ça n'arrivera jamais, puisqu'ils ont su ménager le doute...Lorsque l'escroquerie du VIH sera reconnue
Et si un jour c'était le cas grâce à des preuves, les auteurs de la «supercherie» ne seraient plus de ce monde depuis longtemps (les autorités ne voudraient jamais que cela se sache, car il faut maintenir «la paix publique et la confiance dans le système»). Il est aussi possible que ces gens là (si tant est qu'il soient dans une démarche volontaire) soient en partie leurrés par leurs croyances...
Mais soyons prudents, même si le filet se resserre, ça reste du domaine de l'hypothèse, jusqu'à preuve formelle du contraire et identification des agents perturbateurs, quels qu'ils soient..
janic a écrit :pour info, si Montagnier a pris du recul sur le VIH, Gallo l'autre découvreur américain en a fait autant. Sans raisons?
...Où est l'info? C'est déjà expliqué plus haut, en long, en large, et en travers (comme ça n'avait peut-être jamais été fait avant en aussi concis sur un autre forum). Il y a beaucoup d'opportunisme dans leur démarche, et il y a des chances qu'ils en sachent plus que ce qu'ils veulent bien laisser filtrer... Sinon Montagnier ne se serait pas rabattu grâce à une pirouette, sur une histoire de ...protéine! Il n'est pas réputé ignorer comment fonctionne l'immunité de l'organisme non plus. C'est suspect à partir d'un certain stade!
Si c'est pour parler de cette affection (SIDA): l'hypothèse explicitée plus haut et accréditée par des chercheurs médecins et chimistes est que:
— des polluants divers, croisés ou non, peuvent très bien occuper des récepteurs dans l'organisme et dérouter ainsi le système imunitaire.
— ces polluants peuvent potentiellement arriver à cet effet, lorsqu'il y a déjà un «terrain favorable» => la membrane cellulaire affaiblie, notamment par le fait que les acides gras sont en trop grande proportion en formule «TRANS», au lieu d'être en formule «CIS»
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Christophe a écrit : http://www.lemonde.fr/planete/article/2 ... _3244.html
Petit "UP": dans un registre parallèle:
Le Tamiflu ne serait-il qu'une vaste supercherie?
http://www.tsr.ch/info/revue-de-presse/ ... herie.html
Il aurait depuis été constaté que le paracétamol, n'avait pas moins d'effet et qu'il était relativement sans danger en comparaison du Tamiflu, qui lui peut-être mortel, pousser à la démence, et même au suicide!
Pire le médecin des HUG qui avait participé à l'étude pour valider le médicament a dit que celle-ci avait été sortie de son contexte d'étude clinique, mais qu'hélas rien n'empèchait pour l'heure quelqu'un de s'en servir à d'autres fins... (entendez par là pour vendre le médicament avec un meilleur crédit de confiance...)
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