Santé, du nouveau à propos du SIDA ?

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
janic
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par janic » 19/03/12, 09:12

christophe bonjour
Traitements
Les traitements actuels ne guérissent pas de l'hémophilie mais ils consistent en l'administration par voie intraveineuse de Facteur VIII ou de Facteur IX permettant d'obtenir une activité coagulante suffisante pour arrêter, voire prévenir, l’hémorragie.
Les traitements actuels sont soit issus du plasma sanguin (produits plasmatiques, ex : Factane (facteur VIII), Betafact (facteur IX)), soit des produits synthétiques issus de biotechnologie (produits recombinants), ayant partiellement (ex : Kogenate, Helixate, Refacto) ou totalement (ex: Advate, Benefix) éliminé les traces de dérivés sanguins de leurs procédés de fabrication et dans le produit final. L'élimination des dérivés sanguins permet de supprimer les risques de transmission de certaines maladies du donneur (SIDA, maladies virales).
Le laboratoire français du fractionnement et des biotechnologies conçoit des traitements contre l'hémophilie....
....L'épidémie du sida a été particulièrement meurtrière pour les hémophiles. Ceux-ci, ayant besoin de transfusions régulières, ont été nombreux à contracter le virus. En France, cela a donné lieu à un grand scandale politique, l'affaire du sang contaminé.


http://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9mop ... raitements

Tout traitement sollicite le système immunitaire car l’organisme combat tout corps étranger introduit dans l’organisme. Lorsqu’une sollicitation trop fréquente a lieu, il peut s’installer un déficit permanent donc une immunodéficience qui devient acquise si certaines conditions sont réunies, le plus simple serait de soumettre ces hémophiles « sains » à des tests de séropositivité pour en être certain. Ces tests ont-ils été faits et avec quels résultats ???

par contre dede ne répond pas au virus sexiste et aux marqueurs où dans certains pays comme l'Australie il en faut 4 pour être déclaré sidéen et seulement 2 pour l'Afrique. Si il faut prendre des précautions à 2 marqueurs pour ne pas avoir un comportement criminel selon son expression
Nier cette transmission est criminel, qui pousse à ne pas se protéger de cette contamination, risque réel, véritable folie.

Cela veut dire que les Australiens ayant des rapports non protégés au dessus de 2 sont des criminels et que les autorités de leur pays (et d’autres pays aussi : l’Afrique doit être celui qui admet un taux aussi bas) qui ont établi ce critère sont des pousse au crime inconscients, voire criminels eux-aussi ! En France il faut 4 marqueurs selon ce site page 18
http://www.has-sante.fr/portail/upload/ ... 17_175.pdf
Que les autorités sanitaires des différents pays du monde acordent leurs violons pour qu'on y voit déja un peu plus clair. L'Afrique est un vaste champ d'expérience en situation réelle pour expérimenter les poisons occidentaux, il n'y a guère de réclamation et de recensement des victimes. Sauf un pays africain, dont je ne me rappelle plus le nom, qui refuse les poisons antisida américano-européens.
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par nlc » 19/03/12, 09:49

dedeleco tu es pénible, où est le mépris irréfléchi dans mes écrits ? Je ne méprise pas les hémophiles, c'est quoi ce délire ? Je dis juste qu'ils sont forcément plus aptes à avoir une santé plus fragile de par leur maladie et les nombreuses transfusions qu'ils subissent, voire parfois les traitements d'immunotolérance qu'ils subissent aussi pour ne pas rejeter les protéines étrangère qu'on leur transfuse. Exemple : http://www.hemophilia.ca/fr/troubles-de ... hibiteurs/

Crois tu que leur système immunitaire peut rester aussi bon avec de tels traitements ?

De toute façon, puisque tu aimes bien la science, est-il scientifique de vouloir absolument trouver une même cause à des dizaines d'effets différents ? Le sac fourre tout du sida est très pratique, on y met ce qu'on veut dedans

Et par rapport à ce pseudo retrovirus invisible, tu dis que ce n'est pas parce qu'on le voit pas qu'il n'est pas là et que ça n'empêche pas qu'il puisse causer des ravages sur le système immunitaire. Ok, pourquoi pas, mais dans ce cas là, cette voie de recherche n'est toujours qu'une hypothèse, ne serait-il pas réellement scientifique de creuser d'autres voies en parallèle ? Puisqu'on suppose que le virus est là alors qu'on ne le voit pas, pourquoi ne pas suivre une voie parallèle en considérant que si on ne le voit pas, c'est qu'il est pas là et n'est pas la cause de tous ces effets ?

Depuis le départ, 1982, la conclusion a été posée dans une conférence de presse et en utilisant le mot probable, sans aucun appui sur aucune publication ou étude scientifique, et il est strictement interdit d'oser contredire la théorie officielle, est-ce vraiment scientifique ? Chaque scientifique qui se pose des questions et ose en parler est systématiquement décrédibilisé, mis de côté, excommunié, est-ce ça la science ? Ca fait penser à la science d'il y a plusieurs siècle, où la terre était plate, que l'univers tournait autour de la terre, et que si on osait contredire la science....

Très tôt mettre le sida sur le dos d'un virus a arrangé beaucoup de monde, et maintenant pour revenir en arrière ça va être compliqué, donc on s'entête dans l'incohérence, mais jusqu'où ça va aller ?
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par nlc » 19/03/12, 10:46

Traitements
....L'épidémie du sida a été particulièrement meurtrière pour les hémophiles.


C'est également une fausse vérité déduite de l'étude Darby qui a suivi plus de 6000 hémophiles de 77 à 91. Il y est dit que la mortalité annuelle des patients est stable jusqu’en 1985, et que la mortalité des hémophiles séropositifs monte en flèche dès 1986 et jusqu'à la fin de l'étude (91)

La conclusion était bien entendu que cette hausse de la mortalité était dû au VIH, mais alors pourquoi cette hausse n'a débutée qu'en 86, date à laquelle justement les tests de séropositivité ont commencé ? Le VIH n'était pas présent avant ? Mystérieux virus qui n'est actif que si on le cherche !

Curieusement, c'est à partir de 86 justement qu'a commencé le traitement à l'AZT des patients séropositifs hémophiles !! Et avec des doses énormes de 1.5gr par jour alors que ce produit avait été interdit quelques années auparavant pour le traitement des cancers à cause de sa très forte toxicité !! Destruction des cellules, bonnes comme mauvaises, difficile de garder un système immunitaire normal dans ces conditions.
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par janic » 19/03/12, 12:57

Le 30 novembre 2004, la BBC Two, a diffusé un documentaire appelé « Guinéa Pig Kids » (Enfants cobayes) rapporté par la revue Réalités et vaccinations.
Jamie Doran, reporter à BBC Two, a interviewé de nombreux parents et proches et a réussi à obtenir quelques dossiers médicaux qui prouvent sans équivoque la participation active des enfants à ces essais.
Un peu plus tôt l’article disait p.24
Fondé en 1987 pour recueillir des enfants pauvres issus de mères toxicomanes, il (l’ICC) est devenu, en 1992, un centre d’expériences sur des orphelins séropositifs au VIH. Il est indirectement sponsorisé par l’Institut National de la Santé et par des compagnies pharmaceutiques…
Jusque là rien d’anormal, ne s’agit-il pas d’aider des enfants atteints de cette sale maladie à s’en sortir. Sauf que l’enquête à débouché sur quelque chose de moins noble.
Cette infirmière (Jacklyn Hoerger) a travaillé pour l’ICC au début des années 90. En 1996, elle s’est engagée dans un processus d’adoption de deux enfants séropositifs…elle leur administra les posologies prescrites « à la lettre » pendant environ un an et fut amenée à constater la dégradation de l’état de santé des deux fillettes. C’est alors qu’elle décida d’effectuer des recherches sur les drogues anti-rétrovirales et de consulter de nombreux spécialistes, puis forte de ces renseignements, elle a commis le crime impardonnable de retirer les drogues aux enfants, ce qui a immédiatement amélioré leur santé et a transformer leur angoisse en joie de vivre…Le centre d’aide à l’enfance retira les enfants à leur mère adoptive et les renvoya dans un home d’accueil.
Et plus loin p.28
Mona Newberg, enseignante dans les écoles publiques de New York, titulaire d’une maîtrise d’éducation …a réussi de soustraire Sean à l’ICC. Il avait trois ans et prenait de l’AZT depuis l’age de 5 mois. Depuis 2 ans il était nourri grâce à un tube relié à son estomac…l’enfant était toujours fiévreux, souvent comateux et ne pouvait rester debout plus de 10 minutes. C’est alors que Mona décida de supprimer toutes les drogues. En deux mois, Sean récupéra des forces, put jouer avec d’autres enfants et reprit de l’appétit. Mona le faisait suivre par un naturopathe. Des représentants de l’ACC l’obligèrent à consulter le Dr Howard à l’hôpital Beth Israël. Ce dernier ordonna alors que l’enfant soit soigné par un nouveau « médicament miracle » La Nevirapine. La santé de Sean se détériora rapidement …au point qu’il fut hospitalisé 6 mois plus tard. Lorsque Mona put enfin le ramener à la maison, elle arrêta toute prise médicament. A nouveau le santé de l’enfant s’améliora…
Alors que Mona venait de récupérer Sean, les médecins ont décidé de mettre sa fille Dana sous drogues, bien qu’elle ne manifestât aucun signe de maladie…Depuis son adoption, elle ne prenait pas de médicaments, n’était jamais malade…deux mois plus tard l’enfant avait mal au dos et à la tête, au point qu’il fallut l’emmener au service d’urgence de Beth Israel…L’ACS retira Dana de la garde de sa mère et la confia à l’ICC. En novembre 2004, Dana, alors âgée de 16 ans est toujours cloîtrée au centre. Depuis son enfance Sean est sous drogues anti-sida. Il a 13 ans pèse 22 kg et mesure à peine plus d’un mètre vingt. Le film a permis de découvrir que ce centre n’est pas le seul qui fonctionne de cette manière.
Les journaux anglais ont largement couvert l’information, mais en France les médias ne se sont pas attardés sur ces horreurs…p.30

L’article cite encore le travail du père Angelo d’Agostino
Ainsi le père Angelo d’Agostino, qui a fondé au Kenya un hospice pour orphelins considérés comme positifs. Sans prise de médicaments, il a opéré de véritables résurrections chez des enfants seulement avec une alimentation saine et une bonne hygiène.
Il en est de même pour l’extraordinaire travail effectué par l’association « Partage-Tanzanie » qui a constaté sur le terrain que les enfants malades guérissent indistinctement qu’ils soient séropositifs ou séronégatifs, à partir du moment ou ils sont correctement nourris et soignés. Dans les cas d’immunodéficience sérieuse, les médecins traitent les maladies opportunistes et les diverses infections et restaurent l’immunité par une alimentation équilibrée et des compléments vitaminiques. Les résultats sont spectaculaires. Parmi les 4000 orphelins de Partage-Tanzanie, la mortalité est d’environ un tiers de la mortalité infantile nationale et le quart de la mortalité infantile régionale. p.26

Et plus loin p.33/34
Christina Maggiore découvrit en 1992 qu’elle était séropositive et son médecin lui expliqua qu’elle devait se préparer à mourir. Lorsqu’elle apprit que les traitements pouvaient la rendre malade…elle préféra des thérapies naturelles qui se sont révélées très efficaces car, quelques mois plus tard elle était en grande forme…
La revue cite aussi Liam Scheff de l’Observer qui a repris cette enquête où elle raconte :
Je m’approche d’un des enfants en chaise roulante, un garçon d’environ 12 ans. Son visage a quelque chose d’étrange, ses yeux sont trop espacés et son crane a une forme bizarre, un peu aplatie. Son torse et ses membres sont légèrement tordus, ils paraissent minuscules et fragiles. C’est ce qui arrive aux bébés traités à l’AZT. …un garçon avec des béquilles essaye de danser au rythme de la musique. Ses jambes se balancent sous lui tandis que ses pieds forment des angles incongrus avec le sol…p.33

L’enfer est, dit-on, pavé de bonnes intentions !
60 ans après l’horreur des camps nazis, cette horreur se répète sous d’autres formes, sous d’autres prétextes et dans, soi-disant, la plus grande démocratie du monde qui s’enorgueillit de sa constitution défendant les droits de l’homme. Le pire n’est-il pas de faire mal tout en croyant faire bien ? Et cela dans une institution catholique et dans un hôpital Juif !
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par dedeleco » 19/03/12, 13:33

Vous mélangez tout, vous niez tout, dans un fourre tout, aussi bien que le SIDA se transmet sexuellement, que les traitements, bien loin d'être une véritable solution, aussi pour d'autres maladies, comme pour le cancer, qui échappe souvent avec des traitements violents où exactement les mêmes questions se posent sur leur efficacité réelle.

Si vous niez la transmission de cette maladie, vous poussez à sa multiplication, en supprimant toute raison de prendre des précautions très contraignantes, à commencer, pour ceux ayant le SIDA avec peu de symptômes, qui vont le refiler à une armada de partenaires sexuels, d'autant plus rapides qu'ils ont de rapports sexuels par addiction obsessive, bien plus forte chez certains hommes que chez les femmes, en général .

Votre négation obsessive de la transmission, est criminelle par ses conséquences pratiques de multiplier la maladie .
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par janic » 19/03/12, 13:49

Si vous niez la transmission de cette maladie, vous poussez à sa multiplication, en supprimant toute raison de prendre des précautions très contraignantes, à commencer, pour ceux ayant le SIDA avec peu de symptômes, qui vont le refiler à une armada de partenaires sexuels, d'autant plus rapides qu'ils ont de rapports sexuels par addiction obsessive, bien plus forte chez certains hommes que chez les femmes, en général .

Votre négation obsessive de la transmission, est criminelle par ses conséquences pratiques de multiplier la maladie .
Il semble plutôt que ce soit toi qui mélanges tout. Qui a dit qu'il ne fallait pas prendre de précaution comme pour toutes maladies transmissibles, le SIDA n'est pas le seul facteur de maladie surtout chez les addicts.
Quand à la transmission à une armada de partenaires sexuels, cela montre que tu refuses toute autre information que tes sources habituelles et que tu supposes que tout le monde est adepte de lunaparcs.
Tu refuses aussi de considérer que des couples, dont l'un est "sidéen" ont une vie sexuelle normale sans protection ni contamination.
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par nlc » 19/03/12, 14:20

Oui deleleco, tu es enfermé dans tes certitudes sans vouloir ouvrir ton esprits aux incohérences et paradoxes toujours non résolus de la théorie VIH=SIDA depuis 30 ans.
Et tu n'as pas répondu aux questions très simples que j'ai posées plus haut :

- si le virus est invisible, pourquoi seulement chercher dans la voie qu'il existe quand même, et pas dans la voie que les immunodeficiences pourraient venir d'ailleurs ? Est-ce scientifique (puisque tu aimes bien ce terme) de balayer toutes les théories et de diriger toutes les recherches et fonds publics dans la même voie, en écartant toutes les autres hypothèses non virales ? Si la science n'avait pas évoluée l'univers tournerait toujours autour de la terre.

- Pourquoi le virus est sexiste en occident et ne déclenche un sida supposé à 80% chez les hommes, alors qu'en Afrique il toucherait autant les hommes que les femmes ? Encore qu'en occident les stats sont remontées chez les femmes dès l'instant où l'on a ajouté le dancer du col de l'utérus comme maladie lié au VIH/SIDA

- Pourquoi si on est séropositif dans un pays (et donc forcément considéré comme malade et client potentiel pour la prise de médicaments), on peut être séronégatif dans un autre où il faut plus de bande actives sur le test Western blot ?

Ces questions très simples ne devraient recevoir que des réponses simples et logiques puisqu'on sait depuis 30 ans que le VIH est la cause du SIDA et que des milliards ont été englouti par des dizaines de milliers de chercheurs pour comprendre comment fonctionne ce retro virus.

Et quand bien même ce virus n'existe pas ou n'est en tout cas pas la cause du SIDA, en quoi on incite a multiplier les rapports sexuels non protégés avec d'autres partenaires ? J'ai beau me relire et relire les autres intervenants je n'ai pas vu la moindre allusion à cela, j'ai même précisé comme d'autres qu'il existe bien d'autres maladies réelles sexuellement transmissibles et que si le VIH n'existe pas ou n'est pas la cause du SIDA ça n'enlève en rien l'utilité de se protéger !!

Finalement ton discours est strictement le même que les défenseurs de la thèse officielle, ils n'ont aucun argument à proposer car aucun ne tient la route pour défendre l'hypothèse (car c'en est toujours une) VIH=SIDA.
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par dedeleco » 19/03/12, 17:05

janic écrit
https://www.econologie.com/forums/post227150.html#227150

Le SIDA ne s'attrape pas contrairement

est faux, car clairement transmissible, observé à répétition (même procès ) et cessez de ne lire et reproduire qu'une certaine prose et affirmations criminelles dans ce cas .

J'invite ceux qui lisent cette affirmation :
Le SIDA ne s'attrape pas contrairement

à ne pas la croire.
Sinon, en croyant que le SIDA ne peut pas s'attraper, à céder à toutes leurs pulsions sexuelles sans protection, sans limites, avec un grand nombre de partenaires, ils l'attraperont et pire, le refileront sans limites à beaucoup de gens, dans une croissance exponentielle de malades atteints par le SIDA, comme observé actuellement depuis 1981, partout où on croit de tels mensonges criminels, faciles à croire, pour céder aux pulsions sexuelles de notre subconscient, niant le réalité désagréable.
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par janic » 19/03/12, 17:30

dedeleco
non seulement tu es hypocondriaque, mais en plus paranoïaque!
Sinon tu as raison en disant qu'il ne faut pas me croire (ni toi non plus). Par contre chacun peut se renseigner aux sources officielles autant qu'aux sources non officielles dont le niveau scientifique est équivalent et faire leur choix.
http://www.youtube.com/watch?v=5krmosDQVFM
http://www.youtube.com/watch?v=tgbRzT0a ... re=related
http://www.youtube.com/watch?v=E_aDxyck ... re=related
http://www.youtube.com/watch?v=XKsTsXhT ... re=related
etc…
Tu es étrange, d'un coté tu vitupères contre certaines substances dangereuses et ça se comprends et d'autres fois tu prends partie pour elles. Mais chez un hypocondriaque c'est compréhensible!
Par contre tu restes de marbre avec l'enquête citée. Peu importe ce qui arrivait à ces enfants cobayes pourvu que les responsables de ces SIDA trouvent une solution à LEUR problème.
Belle mentalité!
Dernière édition par janic le 19/03/12, 17:45, édité 1 fois.
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par nlc » 19/03/12, 17:34

dedeleco a écrit : dans une croissance exponentielle de malades atteints par le SIDA, comme observé actuellement depuis 1981


Ah bon ! Je savais pas que ça augmentait de façon exponentielle ! Je veux voir la courbe, trouve la moi ! Moi je constate que ça n'augmente que parce que régulièrement on rajoute des maladies à la déjà longue liste des maladies qu'on met dans le sac SIDA !

Mais bref, tu te répètes sans aucun contre argument constructif, c'est lassant !

On a sorti quelques arguments simples qui invalident la théorie VIH=SIDA, où sont les contres arguments simples de l'explication VIH=SIDA ? Tu ne fait que faire ce que font toutes les institutions depuis 81, à savoir marteler quelque chose qui n'est pas prouvé et qui ne risque pas de l'être vu comment c'est parti et vu le nombre de paradoxes à résoudre.

Et s'il y a bien une certitude que j'ai, c'est qu'il ne pourra jamais y avoir de vaccin, car le but d'un vaccin c'est de développer des anticorps par inoculation volontaire du virus affaibli. Sauf que du coup tous les vaccinés deviendraient séropositifs puisqu'ils développeraient les anticorps ! Et ça, ça pose un gros souci car depuis 81 on nous dit que quand on est séropositif c'est qu'on est malade et qu'on va déclarer un SIDA. Donc si un vaccin sort on aurait les séropositifs vaccinés qui sont immunisés donc ne développeront pas un SIDA, et les séropositifs non vaccinés, pour qui la seule solution sera les traitements !! Ca deviendrait vraiment très très difficile à faire avaler, la couleuvre est trop grosse !

On voit bien le paradoxe ici, depuis les débuts de la médecine on nous dit qu'avoir les anticorps contre un virus c'est être protégé de la maladie qu'il provoque, mais pour le VIH/SIDA, c'est l'inverse, comme le virus est invisible le test de séropositivité se base sur la présence des anticorps, et si on a les anticorps c'est qu'on va être malade du SIDA, alors qu'au contraire la présence d'anticorps démontre que si virus il y a eu l'organisme s'en est débarrassé tellement facilement qu'on ne le trouve même pas...

Donc il y a forcément un mensonge dans une de ces 2 propositions :

- Soit avoir des anticorps contre un virus ne signifie pas que le corps peut se défendre contre lui, auquel cas la théorie de la vaccination s'effondre totalement

- Soit avoir des anticorps contre un virus signifie que le corps est immunisé contre ce virus, auquel cas l'hypothèse VIH=SIDA s'effondre d'elle même, puisque pour le test de séropositivité on recherche les anticorps et non pas le virus lui même, vu qu'il est introuvable (il est très joueur il faut l'admettre !).

Alors laquelle des 2 propositions est un mensonge ?

Je dirai la 2eme, d'autant plus qu'on est tous séropositif si on pratique un test et que la dilution du serum de 1:400 n'est pas respectée.

Si tu veux continuer à débattre sur ce fil, apporte des arguments qui répondent aux paradoxes et interrogations STP, sinon ne poste pas car ça ne fait pas avancer le débat, ça nous oblige à sans cesse reposer les mêmes questions qui restent sans réponse !
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