sen-no-sen a écrit :Parce que c'est bien beau de dire que le VIH n'existe pas ou qu'il n'est pas responsable du SIDA mais faut il encore dument le prouvé.
Mais c'est l'inverse qu'il faudrait prouver !! Que le VIH est responsable du SIDA, or ça n'a jamais été prouvé scientifiquement, c'est juste rabâché depuis 30 ans depuis la conférence de presse où il a été dit "probable", ce n'est pas pour ça que c'est une vérité !
sen-no-sen a écrit :Hors pour l'instant il n'y a que des hypothèses alternatives, qui bien que n'étant pas à écartés n’empêche pas la mort de milliers de personnes chaque année.
Je rappelle cette intéressante étude en toscane présentée au congrès en Italie l'année dernière sur le SIDA et les rétrovirus :
http://aras.ab.ca/articles/scientific/i ... ggiero.pdf
Etude acceptée par comité de lecture.
On y apprend que depuis 1985 jusqu'à 2008 le ratio homme/femme de SIDA déclarés reste inchangé à 3.6, soit environ 70% homme / 30% femme. On parle bien de personnes ayant déclenchées un SIDA, pas de séropositivité. Et pourtant pendant ce temps là le mode de transmission du VIH a changé complètement, il passe de 8% de transmission hétérosexuelle en 1985-1990 à 44% en 2006-2008.
En clair, le ratio homme/femme des patients qui déclenchent un sida est resté le même alors que la transmission héterosexuelle du VIH a fortement augmenté. Autrement dit le virus est sexiste et déclenche plus de sida chez les hommes que chez les femmes. Pour quelles raisons ? Y aurait il bien au moins des cofacteurs comme le dit lui même Montagnier , et que ce VIH ne soit pas (au moins) totalement responsable ?
Le fait que ce taux ne change pas alors que le mode de transmission homme/femme à nettement augmenté est extrêmement louche et ne joue pas du tout en faveur de l'hypothèse VIH=SIDA
Dans l'étude, d'après ces analyses il est justement conclu qu'il faut dissocier SIDA et séropositivité.
Dans cette étude on apprend aussi qu'ils ont un très faible taux de mortalité dû au SIDA, 10 morts par an pour 4 millions d'habitants. Et il est dit qu'en Toscane, une minorité d'hétérosexuel séropositif choisissent de se faire traiter avant un déclenchement réel de SIDA. Autrement dit, que la majorité d'heterosexuels séropositifs (>80%) ne se font pas traiter avant un déclenchement de SIDA.
En résumé, très faible taux de mortalité de SIDA en Toscane alors que la majorité des séropositifs heterosexuels décident de ne pas suivre de traitement avant un déclenchement réel de SIDA. Épatant non ?
Et pour les drogués, ceux qui choisissent de se faire traiter avant déclenchement du SIDA ont une espérance de vie qui diminue constamment
dedeleco, ton avis ?