sen-no-sen a écrit :nlc a écrit :Les chiffres officiels ne sont que des estimations, et il y a tout intérêt à ce que ces chiffres soient conséquents.
« Il reflète pourtant un drame internationale, que l'on ne peut ignorer.
L'hypothèse VIH/SIDA reste la plus probable », car même si l'on peut imputer la drogue comme facteur de déclenchement du SIDA en Occident, le parallèle est beaucoup moins évident en Afrique.
Bein ça reste relativement pareil non:
— d'un côté on a la
«malbouffe», qui conduit à l'obésité et forcément des carences alimentaires (pourtant facilement corrigeables) mais dont la cause est à la fois à trouver dans le
mal-être et les
précurseurs acides de l'alimentation industrielle;
— d'un autre côté on a la
«malnutrition», qui peut conduire directement à la mort, avec tout le cortège de drame familial d'une Afrique à bout de souffle, dont on pille les matières premières sans en payer le juste prix. Et donc forcément un
mal-être encore plus important. Avec tout autant de
précurseurs acides – surtout dans les villes et bidonvilles – mais pour d'autres causes (qui sont notamment d'ordre économiques, celles-là).
sen-no-sen a écrit :nlc a écrit :As tu regardé le film ? Justement on en sait un peu plus sur les chiffres
Je viens de regarder le documentaire,les conclusions ne sont pas très clair,c'est un échange d'interviews entre différents scientifiques, journalistes indépendants,séropositif etc...
A aucun moment il est précisé ou démontré de façon clair que le VIH n'est pas responsable du SIDA, plutôt des sous entendu, par contre il est mis en évidence la notion de
co-facteurs (que je soutiens)et l’inexactitude sur les chiffres officiels (qui seraient largement exagérer afin de générer des budgets de recherche).
Ce documentaire me rappel celui sur l'imposture du réchauffement climatique
Est-ce que tu mets l'approche psychologique au même niveau «cofactoriel» que celle sur le métabolisme? Pour ce qui concerne «l'immuno-dépression», tout est là non?
Le problème du SIDA, c'est aussi qu'il heurte la sensibilité de ceux qui sont dans les groupes-cibles, comme ceux qui ne le sont pas: à commencer par ceux qui souffrent de désordres cognitivo-comportementaux. Et qui par définition, seraient très difficile à soigner puisque la «solution», ne pourraient venir que d'eux-mêmes... Et ça c'est un constat d'impuissance difficilement supportable pour ceux qui voudraient bien croire que la science serait capable de «tout résoudre». Pourtant, il y a des avancées dans les soins, même dans ce domaine, et on verra une percée encore plus significative lorsque l'on sera sortit de l'hypocrisie du modèle théorique actuel.
sen-no-sen a écrit :mais qui ne doit pas nous pousser à des conclusions hâtive.
Il faut lire les précurseurs de la médecine orthomoléculaire (qui fait le bilan entrée-sortie, de tout ce qui entre et sort de l'organisme => individu par individu) et là on est surpris de voir que les conclusions ne sont pas «hâtives», puisqu'elles remontent déjà aux constatations faites juste après la fin de la Deuxième guerre mondiale...