Santé, du nouveau à propos du SIDA ?

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
janic
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par janic » 04/04/12, 08:06

Dede bonjour
Supposons, mais supposons seulement, qu’un virus VIH existe et qu’il se classe dans la famille que tu cites ci-dessous :
Il y a aussi des virus, (non rétrovirus) qui se cachent dans les nerfs ou les ganglions indécelables, comme celui de l'Herpés (ganglions), que presque tous nous avons, dormant, et se reveillant parfois.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Herp%C3%A8s
http://papamamanbebe.net/a7440-le-sperm ... s-the.html

Celui de la varicelle, pareil, disparait toute une vie dans un ganglion, pour se réveiller lorsqu'on est vieux, pour un zona, vacherie douloureuse, sans fin des années durant.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Zona

Tu n’apportes pas de réponse au : pourquoi de tels virus dormants (et donc un virus VIH dormant peut dormir jusqu’à la mort de son hôte) se réveillent pour devenir pathologiques et conduisent à faire le bonheur des labos avec leurs traitements chimiques destructeurs réduisant le système immunitaire à peau de chagrin. Selon ton discours ce serait uniquement le virus VIH qui serait éveillé et actif : encore pourquoi ? Et enfin pourquoi certains sidéens, varicelliens, zonéens, sans les traitements actuels voient disparaitre les signes pathologiques et retrouver une santé normale. (couché le virus !!! :evil: )
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Obamot
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par Obamot » 04/04/12, 08:19

dedeleco a écrit :bonsoir ,
nlc affirme dans son addiction de négation du VIL/SIDA :
Pour le VIH/SIDA, il n'y a rien, même pas de virus, il n'a jamais pu être isolé chez un malade


Archifaux totalement.


Non, non et non. Montagnier lui-même l'a dit encore récemment. Ils n'y sont pas parvenus — bien que ce soit possible que ce soit éventuellement le cas mais ça reste une hypothèse — Montagnier a dit que le seul marqueur du VIH-SIDA était une protéine. Il a assumé pleinement la responsabilité de dire que cette protéine suffisait à prouver l'existance du rétro-virus. C'est extrêmement maigre et fondé donc sur pas grand chose.

Car si ce n'était pas une hypothèse, ils auraient complètement cerné le problème et sauraient comment il faut agir [et traiter] ! [Oui mais ils le savent éventuellement, seulement ça ne rapporte rien...]

Le véritable problème du Sida, cancer et autres maladies dégénératives, c'est qu'il n'y a pas: [ni de directives claires des autorités sanitaires qui prendraient les mesures ad hoc pour préserver la santé de la population: comme interdire la vente du sucre blanc raffiné...] ni de crédit pour la recherche fondamentale. Parce que ceux-ci doivent être obtenus en passant par les universités ET/OU des chercheurs indépendants qui ne sont guères solvables, sauf à augmenter les déficits publics pour les facs....

Seulement voilà:
— vu qu'il n'y a pas de propriété intélectuelle (on se pique les brevets et la justice ne fait pas son boulot et coûte trop cher pour un petit labo indépendant, n'est-ce pas dédé...)
— que les facs autant que les chercheurs indépendants se tournent vers l'industrie pour trouver des financements, il ne faut donc pas se fâcher avec eux, sinon on est rayé de la carte...
— pour ne pas dire pire, les banques on des sérieux moyens de rétorsions contre ceux qui ne voudraient pas rentrer dans le rang, j'en sais quelque chose...
— on ne cherche donc que dans les directions qui vont dans le sens du poil de ces lobby... et on en oublie l'intérêt des consommateur et de la santé publique!

On voit d'ailleurs exactement le même phénomène de déni dans l'industrie atomique, ou le ponte de l'EPFL en la matière en Suisse, s'est montré très «aux ordres» de Alpiq [électricité Ouest Suisse] et consorts (le lobby des fournisseurs d'électricité) durant le drame de Fukushima. C'est d'ailleurs probablement son point de vue très paratial et le clientellisme — pour ne pas dire la corruption très visible qui a mené à une démission — qui a montré le danger au Conseil Fédéral, et qui a favorablement poussé à la décision de sortir du nucléaire.

Le fric toujours le fric.

Si tu nies ces points — alors même que tu les revendiques [par ailleurs] avec ton idée de développement de tes «robots foreurs» — [chacun pourra considérer] que:
— soit tu perds [gentiment] la mémoire (ou la raison) avec l'âge auquel cas tu devrais prendre du recul et éventuellement consulter avant que ça ne s'agrave...
— soit que tu es d'une mauvaise foi chronique et un manipulateur [maladroit] mais de mauvaise volonté ou... inguérissable.

Dans les deux cas, il ne tient qu'à toi d'infléchir cette tendance.
Dernière édition par Obamot le 04/04/12, 11:28, édité 2 fois.
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par janic » 04/04/12, 08:28

Chatelot bonjour
on sait quand meme un peu que ce virus produit souvent une maladie

tu raisonnes en reprenant le postulat (dans le doute puisqu’il n’y pas unanimité scientifique) que ce virus existe bien !
Mais même ainsi! Notre corps est l’hôte de nombreux virus, microbe, bactéries « dormantes » au sens qu’ils ne sont pas pathologiques sauf lorsque certaines circonstances le permettent. Ne vaut-il pas mieux cerner ces circonstances afin de les modifier plutôt que de s’attaquer uniquement à l’effet?
Pour prendre une image (puisque le mot parabole déplait à certains) c’est comme une baignoire qui déborde, c’est utile de foncer aux serpillières et aux seaux pour éponger, mais sans fermer le robinet c’est peine perdue. Or l’attitude médicale actuelle c’est la serpillière, beaucoup de serpillière, jusqu’à épuisement (puisque les labos sont les fabriquants de serpillières comme par hasard!).
Ce que Obamot ou moi proposons (peut-être nlc), c’est de foncer d’abord pour couper le robinet et de suite éponger le débordement. Car que la cause soit un VIH ou un autre schmilblick c’est la cause qu’il faut enrayer en priorité, pas l’effet. On se fiche que ce débordement soit de l’eau, du pinard ou du pétrole, c'est juste que les dégats sont un peu différents.
Nous sommes tous, plus ou moins, victimes du conditionnement pasteurien qui désigne le microbe, virus, etc... comme le méchant à abattre; comme ça cela dédouane chacun d'entre nous de la responsabilité qui est la notre de maintenir notre organisme dans de bonnes conditions de défense, de réaction efficace face à un agent qui devient pathogène. Accuser le virus de tous les maux, ça rappelle les animaux malades de la peste: "c'est pas moi, c'est l'autre!"
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par nlc » 04/04/12, 12:25

dedeleco cesse tes copiés collés incessants et stupides des lesquels tu redonnes toujours les mêmes âneries.

- Le retrovirus qu'on appelle VIH n'a jamais été isolé chez un patient, point. Si tu affirmes le contraire trouve moi la publication scientifique qui y fait référence et le nom du scientifique qui a réussi l'exploit. Regarde le film house of number, tu y verras l'embarras des scientifiques quand on leur pose la question.

- Selon toi ton voisin est mort du sida sans être séropositif, car il est mort d'une des maladies qu'on appelle opportuniste chez les séropositifs ? Alors dans ce cas le VIH n'est pas la cause du sida, non ?

- Quel était ton domaine de recherche ?

Le négationiste c'est toi tu ne joue pas le jeu du forum de discussion, tu ne fais que contredire et copier/coller des affirmations sans preuves scientifiques.
Moi je cherche juste des réponses aux paradoxes et questions que soulèvent l'hypothèse officielle qui dit qu'un virus est responsable du sida.
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Christophe
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par Christophe » 04/04/12, 23:55

Et pourtant un "vaccin expérimental" existe...

http://www.lemonde.fr/sante/article/201 ... 51302.html

Le premier essai clinique étendu avec un vaccin expérimental contre le virus du sida, mené en Thaïlande sur plus de 16 000 adultes, a fourni d'importantes informations sur les réponses du système immunitaire, révèle une analyse publiée mercredi 4 avril dans le New England Journal of Medicine.

Selon les estimations révélées en 2009, 31,2 % des participants ayant été vaccinés avec ce produit baptisé RV144 avaient nettement moins de risques d'être infectés par le VIH que le groupe traité avec un placebo. Les chercheurs ont examiné des échantillons de sang des participants vaccinés avec le RV144 pour analyser leurs réponses immunitaires. Ils ont découvert que les différents types de réponses des anticorps ont été liés au degré d'infection par le VIH.

"En étudiant ceux qui sont devenus infectés comparativement aux participants qui n'ont pas été infectés, nous pensons avoir découvert des indices très importants sur la manière dont ce vaccin a fonctionné", explique le Dr Barton Haynes, professeur de médecine à l'université Duke (Caroline du Nord, Etats-Unis), qui a mené cette analyse.

ANTICORPS V1V2

"Apparemment, la protection dans cet essai clinique a été principalement attribuée à des anticorps et tous les anticorps étudiés ont été isolés du vaccin RV144", précise-t-il. "Les différents effets protecteurs de ces anticorps - induits par le vaccin - seront testés chez des primates pour voir s'ils peuvent empêcher une infection par le VIH", ajoute ce médecin.

La principale découverte porte sur le fait que des anticorps spécifiques à une zone particulière de l'enveloppe du virus (VIH) appelée V1V2 sont liés à des taux d'infection plus faibles chez les vaccinés, précisent ces chercheurs.

Les anticorps sont des protéines produites par l'organisme pour se défendre contre des agents infectieux tels les virus et les bactéries. Selon l'hypothèse avancée par ces virologues, ces anticorps se lient à la zone V1V2 de l'enveloppe du virus, ce qui empêcherait l'infection en bloquant sa réplication.
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par Obamot » 05/04/12, 01:24

Bein si ils ont réussi à faire ça, ils sont vraiment très fort. Ça veut dire qu'ils sont arrivés:
— a passer outre le principal problème, qui est l'emballement de la réplication ARN du rétro-virus, qui lui donnerait un taux de mutation élevé.
— et de ce fait la protéine devrait éventuellement être une polymérase(?)
— ce qui devrait permettre à l'organisme de repousser les limites de la nécrose/ou apoptose, et ça, ce serait une percée majeure qui aurait probablement des retombées sur d'autres pathologies que le SIDA.

Tout ça c'est très bien, mais ne change pas le problème de la recherche des causes... C'est à dire traiter le problème en amont: AVANT même l'infection de l'organisme. Sinon, à quoi ça sert? On éteint l'incendie mais on n'a toujours pas mis la main sur le pyromane...
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par janic » 05/04/12, 09:01

christophe bonjour
Et pourtant un "vaccin expérimental" existe...

Si tu suivais le mythe des vaccins comme le font les associations sur le plan international (ce n’est pas un reproche, peu s’intéressent à ce sujet pour de multiples raisons déjà évoquées) tous ces faux espoirs servent à maintenir le robinet des subventions ouvert.
Cependant il est fort possible que ses composants aient un impact sur le système immunitaire pour le réactiver et dès lors actifs contre les causes multiples de ces ID(A).
Mais les expériences se soldent généralement par des échecs à long terme lorsque les essais montrent (9 fois sur 10, c’est une façon de parler) des effets secondaires pires que la maladie à traiter. Exemple : le papillomas virus !
Il y a des années le vaccin contre la tuberculose avait été supposé efficace contre le cancer, puis plus rien. Aujourd’hui on découvre des vertus anti cancer à l’aspirine, demain ce sera autre chose et le cancer continuera son petit bonhomme de chemin mortel, mais subventionné. Mais là, au moins, aucun scientifique ne nie la présence de cellules cancérigènes, alors que pour le VIH !.... coucou : où te caches-tu ?

obamot bonjour
à mettre dans les anales du forum
lapsus révélateur? :cheesy: donc à rectifier pour éviter les confusions chez les lecteurs.
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par Obamot » 05/04/12, 09:50

Arf, j'ai bien ri ... Lapsus manus pour le bras d'honneur... :mrgreen: nan je laisse, j'assume ...

Pour ton commentaire: la découverte d'un vaccin (si s'en est bien un...) pose beaucoup plus de questions que cela n'en résoud, en effet... Parmi lesquelles:

Quid de la perméabilité perdue de la membrane cellulaire? Parce que si un (retro)-virus y pénettre, c'est bien que la perméabilité a été perdue! Et la garder intacte, «on sait faire» en général... puisque c'est notre état «normal»! Un vaccin ne peut pas parvenir à la rétablir. Comme tu le précises dans ta réponse à Christophe, pour ça il faut corriger/rétabllir les réactions métaboliques de fond en comble, c'est très clair!

— Si c'était bien un "vaccin": dans quoi se ferait le «bouillon de culture» (avant qu'il ne soit désactivé/tué)? Si il n'en était pas véritablement un, comment obtiennent-ils cette fameuse protéine? Voilà déjà pas mal de pistes pour la suite...

— Quid de la piste «psy»? Enfin là ça devient intéressant, parce que quelle serait alors la véritable connexion avec l'immuno-dépression? En d'autres termes, quelle serait alors l'action de ce pseudo-vaccin pour passer outre ce «problème» lié à l'être humain et son entendement: condition sine qua non irréalisable/infranchissable juste en bouffant une protéine? (lol) Raison pour laquelle — bien que nous sachions soigner et guérir certains cancers — la thérapeuthique échoue chez certains sujets... Hélas.

— Si la protéine n'était pas une polymérase, serait-ce alors un "vaccin" du type de celui de la grippe, qu'il faudrait renouveler chaque année parce que le rétro-virus aurait muté? (Si tant est que s'en soit un...)
— ou au contraire, le SIDA serait-il l'ultime étape connue du processus de morbidité ciblé sur des cellules du système immunitaire (dans ce cas précis de dégénérescence autre que le cancer)? Et alors dans ce cas, le "vaccin" (c.f la protéine) serait-il juste capable de désactiver le virus/ou mécanisme de morbidité pour un temps... Comme tu le suggères... Tout ça demeure très instable et peu pérenne...

— Et alors on en vient à la recherche des causes et le/s moyen/s d'y remédier: serait-il possible que par une bonne hygiène de vie et un bol alimentaire ad hoc, on dispose/rait naturellement de cette protéine (ou co-sœur) chez un sujet sain? Sinon, comment expliquer que dans la plupart des cas de guérison qui ont été relevés sans faire appel aux trithérapies, le rétablissement de "bonnes habitudes" (un bol alimentaire non carencé, l'éloignement de substances chimiques de synthèse du sujet, etc) fait disparraître la perte de capacité de résistance aux maladies opportunistes (pour autant que le sujet soit «coopératif»)?

— Si la piste n'était pas la bonne mais que le "vaccin" fonctionne: aurait-il une action thérapeuthique sur les maladies opportunistes et non directement sur le SIDA? («actifs contre les causes multiples de ces ID(A)») Ce qui contribuerait à continuer de brouiller les pistes...

— Pour la piste chimique, est-ce que des polluants pourraient venir prendre la place de la protéine qui lui est dûe, sur nos récepteurs (ou de ses sœurs, naturellement présentes sur un sujet sain) l'empêchant de jouer son rôle et en quelque sorte «brouiller le message»? La protéine du "vaccin", administrée par une autre voie, rétablirait-elle alors le système immunitaire en désactivant le rétro-virus pour un temps? Comme ça apparaît dans ton post...

J'ai pas de réponse/s à donner de façon catégorique bien sûr, quoique certaines d'entre-elles doivent éventuellement figurer dans les questions :P

PS: et je laisse pour l'instant de côté la piste des bienfaits du pop-corn [joke].
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par nlc » 05/04/12, 10:47

J'ai relu plusieurs fois, j'ai rien compris :


Selon les estimations révélées en 2009, 31,2 % des participants ayant été vaccinés avec ce produit baptisé RV144 avaient nettement moins de risques d'être infectés par le VIH que le groupe traité avec un placebo.


Déjà je pige pas : 31.2% des vaccinés avaient nettement moins de risques d'être infecté par le VIH. Heuuu, ouais !? Ca veut dire quoi moins de risque d'être infecté, et comment ils déduisent que c'est le cas sur 31.2% des vaccinés !? Moins de risques mais des risques quand même donc !? Quel est le critère pour dire que ceux là "ont moins de risques" !? Et quel est le degré du risque, une chance sur 2, 3, 10 !?

Les chercheurs ont examiné des échantillons de sang des participants vaccinés avec le RV144 pour analyser leurs réponses immunitaires. Ils ont découvert que les différents types de réponses des anticorps ont été liés au degré d'infection par le VIH.


C'est encore moins clair : Ils ont découvert que les différents types de réponses des anticorps ont été liés au degré d'infection par le VIH.
Ca veut dire que tous les gens vaccinés étaient séropositifs alors puisqu'ils parle de degré d'infection par le VIH !? Mais comment est mesuré ce degré d'infection, étant donné que personne n'a isolé le virus chez un patient !?

"En étudiant ceux qui sont devenus infectés comparativement aux participants qui n'ont pas été infectés, nous pensons avoir découvert des indices très importants sur la manière dont ce vaccin a fonctionné", explique le Dr Barton Haynes, professeur de médecine à l'université Duke (Caroline du Nord, Etats-Unis), qui a mené cette analyse.


En étudiant ceux qui sont devenus infectés !?? Mais par quoi, le vaccin lui même ou bien en essayant de les infecter sciemment après l'injection du vaccin !? Si c'est le 2eme cas, alors ça veut dire que 16000 personnes ont été d'accord pour se faire injecter un vaccin et se faire ensuite sciemment infecter par le VIH !? J'ai du mal à y croire ! Et si c'est le 1er cas ça veut dire que le vaccin fait devenir séropositif.
J'aime beaucoup le "Nous pensons avoir découvert des indices très importants". Ils "pensent" (ils sont pas sûrs donc), et la découverte concernerait "des indices" (donc pas la solution).
C'est le flou artistique pour montrer qu'on avance mais qu'il nous faut encore creuser et avoir des sous.


"Apparemment, la protection dans cet essai clinique a été principalement attribuée à des anticorps et tous les anticorps étudiés ont été isolés du vaccin RV144", précise-t-il.


Apparemment.....
Donc là les anticorps auraient bien protégés. Mais puisque qu'un séropositif possède les soit disant anticorps au VIH (puisque ce sont eux qu'on recherche à défaut de trouver le VIH), pourquoi seraient-ils considérés malades alors !??

"Les différents effets protecteurs de ces anticorps - induits par le vaccin - seront testés chez des primates pour voir s'ils peuvent empêcher une infection par le VIH", ajoute ce médecin.


Donc là les anticorps induits par le vaccin ont bien un effet protecteur, et le but seraient d'empêcher une infection par le VIH. Infection au VIH qu'on ne sait "détecter" que par la présence des anticorps supposés spécifiques au VIH.
Si je comprends bien, le vaccin doit donc induire des anticorps, mais qui ne rendraient pas séropositifs (sinon comment expliquer aux gens qu'ils ont une bonne séropositivité), mais empêcherait l'infection au supposé VIH et donc l'apparition d'anticorps naturels au VIH.


La principale découverte porte sur le fait que des anticorps spécifiques à une zone particulière de l'enveloppe du virus (VIH) appelée V1V2 sont liés à des taux d'infection plus faibles chez les vaccinés, précisent ces chercheurs.


Donc c'est bien ça !! Le but c'est de développer des anticorps contre une partie du VIH, mais qui ne ferait pas déclencher les tests de séropositivité, puisque si on est séropositif on est considéré infecté. On voit donc bien le problème dans lequel la recherche se noie : on nous considérant malade par la présence d'anticorps naturels et non du virus lui même, il devient très compliqué de faire un vaccin puisqu'il nous rendrait séropositif !! Il faut donc un vaccin permettant d'induire des anticorps permettant de maîtriser le VIH avant que le corps ne développe ses propres anticorps naturels, qui seraient alors détectés et ferait conclure à une infection au VIH !!


Les anticorps sont des protéines produites par l'organisme pour se défendre contre des agents infectieux tels les virus et les bactéries.


Ah on est heureux d'apprendre ce qu'on savait déjà, et comme être séropositif c'est avoir les anticorps, c'est donc la preuve que le corps s'est bien défendu (puisqu'on ne trouve jamais le virus chez les séropositifs, même sidéens).
Mais dans le cas du VIH, avoir les anticorps c'est être considéré infecté, donc il faut pouvoir aider le corps à faire des anticorps différents qui visent aussi le VIH mais sans développer les anticorps naturels qui feraient basculer séropositif, joli challenge !

Selon l'hypothèse avancée par ces virologues, ces anticorps se lient à la zone V1V2 de l'enveloppe du virus, ce qui empêcherait l'infection en bloquant sa réplication.


Et oui il faut le bloquer avant l'apparition des anticorps naturels, sinon on est considéré malade.

L'autre solution serait peut être des antiretroviraux en prévention pour tous !? :mrgreen:
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Christophe
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par Christophe » 05/04/12, 10:57

nlc a écrit :J'ai relu plusieurs fois, j'ai rien compris


On est au moins 2 alors (ca fait longtemps que comprends plus grand chose sur ce sujet en fait :cheesy: ) !
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