pas souvent: toujours! L'erreur c'est effectivement de cibler "un" produit comme étant le méchant ce qui tout à fait en harmonie avec la médecine d'école qui voit les virus, microbes et bactéries comme les méchants à abattre, alors qu'ils ne sont que des agents "infectieux" qui ne peuvent agir qu'avec une système de défense amoindri (ce qui ne veux pas dire que cela est sans importance et que l'hygiène soit à négliger pour autant, car c'est inutile de réclamer un travail de défense là où il peut être évité). Or un mode alimentaire mal adapté à la physiologie humaine ("omnivorisme", produits chimiques alimentaires bien plus dangereux qu'un peu de cholestérol) se traduira à court ou moyen terme par une saturation hépatique et les désordres que celà entraine.Souvent, cholestérol et hypertension vont de paire et les médicaments dispensent de repenser son alimentation, souvent cause de ces troubles.
Surdosage des médicaments
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ahmed bonjour
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Oui, Janic, la médecine étant curative, donc interventionniste, elle adopte nécessairement une attitude monolithique et manichéenne: il y a ce qui est mauvais et, en face, les "bons" médicaments qui "repoussent" le mal...
Tout le monde (semble) y trouver son compte dans une logique de spécialisation qui dispense le patient (si bien nommé!) de réfléchir en se déchargeant de cette tâche sur le spécialiste médical.
Ainsi, en multipliant les intermédiaires et les dérives qui y sont associées, l'aspect thermodynamique cher à Sen-no-sen est maximisé (pour employer mes propres termes, j'exprimerais cela ainsi: l'extractivisme est augmenté au cours du processus des soins et exige un extractivisme supplémentaire ensuite, pour équilibrer l'opération.
Le plus grave étant moins le "trou de la sécu" que l'absurdité sanitaire.
Relire à ce propos les écrits d'Ivan Illitch...
Tout le monde (semble) y trouver son compte dans une logique de spécialisation qui dispense le patient (si bien nommé!) de réfléchir en se déchargeant de cette tâche sur le spécialiste médical.
Ainsi, en multipliant les intermédiaires et les dérives qui y sont associées, l'aspect thermodynamique cher à Sen-no-sen est maximisé (pour employer mes propres termes, j'exprimerais cela ainsi: l'extractivisme est augmenté au cours du processus des soins et exige un extractivisme supplémentaire ensuite, pour équilibrer l'opération.
Le plus grave étant moins le "trou de la sécu" que l'absurdité sanitaire.
Relire à ce propos les écrits d'Ivan Illitch...
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Ahmed a écrit :Ainsi, en multipliant les intermédiaires et les dérives qui y sont associées, l'aspect thermodynamique cher à Sen-no-sen est maximisé (...)
Hein quoi,on m'a appelé?
Le processus de "boucle retro-active" ,"d'effet boule de neige", "d'effet de la reine rouge" ou de "spirale infernale" appliqué au secteur pharmaceutique,est parfaitement expliqué ci dessous:
http://www.youtube.com/watch?v=UdDwNqlC02k
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ahmed bonjour
En réalité qui « refluent » le mal à l’intérieur avec un comportement guerrier, destructeur et transforment une "maladie" en éruption en maladie latente plus profonde .
Il faut tuer, détruire (le même comportement que sur le plan alimentaire) ; c’est le virus, le microbe, la bactérie qui sont les méchants tout comme sur un champ de bataille, c’est l’ennemi qui se trouve en face (que chacun ne connait pas, qui n’a personnellement généré aucun dommage), qui doit être détruit, alors que la source de ce conflit est ailleurs. Même chose que pour le cancer où l’individu est charcuté, tronqué d’une partie vitale, bourré de produits chimiques mortifères et rayonnements ionisants qui bruleront l’individu jusqu’à la fin de sa vie (s’il survit) et le condamnent à devenir un zombie.
en face, les "bons" médicaments qui "repoussent" le mal...
En réalité qui « refluent » le mal à l’intérieur avec un comportement guerrier, destructeur et transforment une "maladie" en éruption en maladie latente plus profonde .
Il faut tuer, détruire (le même comportement que sur le plan alimentaire) ; c’est le virus, le microbe, la bactérie qui sont les méchants tout comme sur un champ de bataille, c’est l’ennemi qui se trouve en face (que chacun ne connait pas, qui n’a personnellement généré aucun dommage), qui doit être détruit, alors que la source de ce conflit est ailleurs. Même chose que pour le cancer où l’individu est charcuté, tronqué d’une partie vitale, bourré de produits chimiques mortifères et rayonnements ionisants qui bruleront l’individu jusqu’à la fin de sa vie (s’il survit) et le condamnent à devenir un zombie.
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