obamot bonjour
(PS: mais tu me flattes! ^^)
tu as pu remarquer que ce n’est pas vraiment mon style, je serais plutôt un éléphant dans un magasin de porcelaine.
c) l'industrie est réputée faire bien son travail ou alors ce sont des sanctions pénales qui doivent pleuvoir comme avec Servier.
je nuancerai en disant qu’elle est
supposée bien faire son travail (comme le nucléaire d’ailleurs), les sanctions tombent malheureusement lorsque le mal est déjà fait (comme pour l’amiante) étant donné l’immobilisme de l’AFSSAPS.
d) ainsi on admet que les vaccins sont efficients et leur production sûre — puisque c'est le prérequis qu'on en attend d'eux — parce que sinon on ne peut guère se concentrer sur la question de fond: à savoir DANS L'HYPOTHÈSE OÙ CES CONDITIONS SONT RÉUNIES, de savoir POURQUOI on est «pour» ou «contre» et d'en expliquer les raisons.
c’est toute la question, puisque c’est un présupposé, mais celui-ci est-il acquit ou pas ? Le seul moyen de le vérifier c’est justement la consultation des archives officielles qui témoigneront de l’efficacité réelle, relative ou nulle, voire dangereuse des moyens utilisés.
... ensuite je n'appelle pas vraiment ça fixer les «bonnes priorités!»
Tout est priorité, c’est comme lorsque l’on met de l’ordre dans des affaires, chacun commencera par ce qui lui semble prioritaire, un autre pas.
Tu soulignes,( et je suis entièrement d’accord avec ce point) la qualité alimentaire et même environnementale de notre mode de vie, mais les vaccinations se font aussi dans des pays où ces modes et moyens ne sont pas réunis et où les vaccinations rencontrent le même échec (comme le vaccin contre la variole à son époque ainsi que le soulignera l’OMS !)
Tant que la question de la qualité microbiologique de l'alimentation en tant qu'outil de la prévention précoce, n'aura pas été abordée. On ne saura pas si ça vaut la peine ou non de vacciner massivement.
Je ne peux qu’être d’accord
dans notre type de société, mais à l’époque de Jenner ou Pasteur, ces questions n’étaient pas encore d’actualité et pourtant l’échec fut le même (consulter les archives officielles de l’INSERM .)
Dedeleco bonjour
Ce problème n'est pas à mélanger avec celui des vaccinations, qui ne sont cohérentes et logiques qu'avec les maladies qu'on n'attrape qu'une fois, (vaccination spontanée en l'ayant affaiblie) et pas pour d'autres qu'on attrape chaque année, qui ne devraient pas s'appeler vaccinations.
Lorsqu'on raconte n'importe quoi, en une belle salade sur ce site, on se comporte un peu comme ces industriels qui racontent aussi n'importe quoi, mais avec des conséquences bien plus dramatiques.
Te rends-tu compte que dans une même phrase tu te contredis fondamentalement ?
Pour ceux qui ne se sont pas vraiment posé la question, le principe de la vaccination obéi à des mécanismes simples (que chacun pourra trouver sur des sites médicaux), mais dont la réponse est plus psychologique que physiologique.
Depuis des millénaires (je vais sembler m’éloigner du sujet, mais ce n’est qu’apparent), nos sociétés ont été conduites par un esprit guerrier dont témoigne l’histoire avec des conquêtes par la violence extrême et une défense du même ordre.
Cette philosophie se trouve avoir été appliquée aussi dans le domaine médical occidental, surtout, où l’ennemi est partout (découverte des microbes et des virus) et il fallait combattre à tout prix cet agent extérieur (agressif ou pas ! Un peu comme les films sur les E.T. où ceux-ci se doivent obligatoirement d’être agressifs).
Maintenant la vaccination elle-même ! Depuis longtemps, il avait été remarqué que lorsque des personnes avaient été contaminées ou mise en contact avec des gens malades certains mourraient et d’autres en sortaient indemnes (on ignorait plus ou moins ce qu’était le système immunitaire) la découverte des microbes et plus tard des virus par l’intermédiaire des microscopes a permis de discerner ces agents causals, mais sans expliquer pourquoi chez certains contaminés la maladie se développait et pas chez d’autres. Le Pasteurisme a fixé (comme d’habitude dans les sociétés guerrières) l’attention sur l’ennemi potentiel avec pour finalité la destruction de celui-ci.(ça marche d’ailleurs quelques fois sinon cette technique ne se serait pas développée).
Donc les premiers essais vaccinaux vont révéler une chose : l’injection de pus peut aussi bien déclencher une réaction immunitaire suffisante pour débarrasser l’organisme de l’agent infectieux, mais d’autres fois ce pus développe la maladie chez le sujet vacciné. D’où l’idée de réduire la virulence de ce pus (avec des résultats aussi mitigés d’ailleurs) et enfin du pus mort donc sans virulence possible.
Cette image guerrière est intéressante car c’est celle qui est justement utilisée par la médecine pour monter et démonter le système actif de la vaccination. Pour ceux qui ont fait l’armée ou qui ont vu des documentaires, la similitude est probante.
1) Entrainer à manipuler des armes (moyens de lutte) sur des cibles inanimées (microbes ou virus morts)
2) Identifier l’adversaire potentiel par son apparence (entrainement sur le terrain dans les manœuvres avec des armes non destructrices), mais l’adversaire simule la guerre, il ne présente aucun danger réel. (microbes ou virus atténués)
3) Aller sur le terrain et se battre effectivement avec des armes mortelles contre un adversaire aussi bien armé, voire plus.
Là où le bat blesse et tout militaire peut en porter témoignage entre l’entrainement en caserne et la bataille sur le terrain il n’y a aucune comparaison possible tant les conditions sont différentes.
Entre la cible en carton et un adversaire vivant qui se déplace, c’est le jour et la nuit. Entre une lutte sur champ de bataille à découvert avec uniforme flamboyant et la guerre des tranchées ou la guérilla camouflé dans l’environnement c’est encore un monde de différences.
Or ce que l’on appelle les anti-corps ce sont ces cellules spécialisées
rescapées de la bataille et supposées aptes à une nouvelle lutte contre le même ennemi potentiel. En gros ils sont formés comme des troupes d’élite spécialisées supposées pouvoir combattre ce même ennemi s’il se présente de nouveau, sauf que celui-ci peut (et le fera) changer en permanence ses méthodes de combat et les anticorps auront toujours un métro de retard (perceptible avec les vaccins contre la grippe, laquelle change chaque année de forme et où les vaccins de l’année précédente sont supposés être compétents pour la lutte à venir).
La question qui se pose alors, c’est : doit-on laisser les choses en l’état et attendre que le méchant vienne nous attaquer alors que nous serons sans défense ? D’où l’angoisse psychologique générée par la peur de la maladie.
Mais sommes-nous sans défense ? Une unité d’élite entrainée à se battre contre des figurines en carton peut-elle se révéler efficace ? Si c’était le cas l’humanité entière aurait disparue depuis que les microbes et virus existent et dont nous sommes en permanence les hôtes.
D’où la question que se posent de plus en plus les médecins en médecine holistique : sont-ce les virus qui sont méchants ou notre système immunitaire qui est faible et dans ce cas pourquoi est-il si faible ?
Si le système immunitaire est trop faible (quelles qu’en soient la raison dont Obamot a souligné certains aspect) ce n’est pas en sursollicitant celui-ci pour en faire des spécialistes plus ou moins compétents en dégarnissant les troupes par ailleurs que cela le renforcera. Que deviendrait notre système de santé s’il n’était composé QUE de spécialistes où chacun défendrait SA spécialité en perdant de vue une vision globale de l’individu ?
Donc chacun peut réfléchir à partir de là au sens que la vaccination peut prendre personnellement ou sociétalement.
Après si cela intéresse, on passera aux chiffres concrets
officiels sur l’efficacité réelle, relative ou nulle des vaccins les uns après les autres puisque dedeleco (à raison ou à tort) distingue les utiles et les inutiles sans les nommer d’ailleurs.