Vaccinations et santé...pour ou contre?

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).

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janic
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par janic » 19/02/12, 17:08

Donc avant une vaccination, passer 6 mois sans produits avec Al sur la peau ou dans la nourriture -(pain de mie, etc.. ).
en clair évitez l'alu d'un coté pour pouvoir s'en faire injecter de l'autre. Moi je croyais qu'un poison était un poison point barre! :evil:
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delnoram
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par delnoram » 19/02/12, 18:25

antoinet111 a écrit :pareil, je ne savais pas que la pierre d'alun était de l'alu en barre!!!
une belle merde !


Antoinet111, aurais tu des informations précise sur la pierre d'alun naturel pour faire une telle affirmation ?

Un, article sur wikipédia donne pourtant un avis plus nuancé.

En 2005, le docteur Philippa Darbre au Royaume-Uni pointe du doigt l’aluminium contenu dans nos anti transpirants qu’elle soupçonne de favoriser les cancers du sein. Elle a montré que le chlorhydrate d’aluminium contenu dans les déodorants pourrait interférer avec les récepteurs aux œstrogènes de certaines cellules cancéreuses7.

Au contact de l'eau, la pierre d'alun libère des oxydes et des hydroxydes d'aluminium qui sont réputés inertes. Aucun renseignement toxicologique ni restriction d'utilisation ne concernent actuellement l'alun naturel. Ces composés sont même autorisés en cosmétologie naturelle et biologique à la différence du chlorhydrate d'aluminium



http://fr.wikipedia.org/wiki/Alun
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par antoinet111 » 19/02/12, 20:13

le reportage d'on j'ai parlé plus haut.
j'ai plus confiance en Arté que wiki.
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par janic » 19/02/12, 20:39

l'enquête d'Arté porte sur les risques de l'aluminium obtenu par synthèse chimique et par précaution souligne que la pierre d'alun puisse aussi avoir de tels inconvénients. Il faudrait donc une enquête indépendante pour trier le vrai du faux,mais il est effectivement possible que la pierre d'alun n'ait pas les mêmes inconvénients que le produit de synthèse.
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par antoinet111 » 19/02/12, 21:23

ce n'est pas parce que c'est naturelle que c'est sain.
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par chatelot16 » 19/02/12, 21:34

cet une vraie question dont il faudrait une vraie reponse ... l'aluminium est il dangereux sous toutes ses forme ?

je ne pense pas ... la forme la plus courante est tout simplement l'argile ... donc la terre
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par antoinet111 » 19/02/12, 21:49

comme le mercure.
je cherche des données sur la pierre.
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par dedeleco » 20/02/12, 21:26

C'est très différent du mercure, toxique très net, contrairement à l'aluminium, non toxique en comparaison.
Seule la méthode scientifique permet de répondre, lisez les articles scientifiques publiés dans les revues, indiqués sur le web, et wikipedia, comparez, réfléchissez, et faites vous une opinion personnelle, basée sur la réalité.

Il est certain, que l'argile et son aluminium sous forme de silicate et avec du fer remplit la terre partout, mais nous ne mangeons pas l'argile normalement sauf en ne lavant pas les légumes et salades.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Argile
Les cuissons des aliments dans des pots de terre cuite doivent mettre un peu de ce silicate de Al dans nos aliments.

Certains prétendent que cela est très bon pour la santé les argiles :
http://www.masantenaturelle.com/chroniq ... argile.php

mais on découvre récemment que c'est aussi poison :
http://www.lepoint.fr/sante/l-aluminium ... 030_40.php
http://www.e-sante.fr/aluminium-poison- ... ualite/422


C'est clairement différent de l'oxyde de Al, bien moins naturel, étape de fabrication de l'aluminium, qui traite par la soude la bauxite pour avoir cet oxyde de Al, qui est après électrolysé.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Aluminium
http://en.wikipedia.org/wiki/Aluminium
http://de.wikipedia.org/wiki/Aluminium


Il y a 100 à 400mg/kg de Al dans les légumes et la cuisson dans des casseroles ou des feuilles de Al ajoute de 5 à 30mg/Kg de cet Al.

Beaucoup de plantes sont stressés par l'aluminium qui est toxique dans des sols acides.

Les reportages d'Arte ou de l'A5 font en général ce travail en présentant des avis scientifiques, parfois dérangeants.

La difficulté est encore le délai d'étude pour voir apparaître les effets toxiques, surtout sur des dizaines d'années, pour un composé non toxique à court terme.

Dans certaines conditions, l’aluminium est reconnu pour ses effets neurotoxiques22. L'« encéphalopathie des dialysés » (ou « démence des dialysés ») observée dès 1972, a pu être attribuée en 1978 à l'aluminium contenu dans le dialysat, qui s'ajoute à un apport oral d'hydroxyde d'aluminium visant à contrôler l'hyperphosphorémie du patient23. Des personnes exposées à l’aluminium (suite à un traitement de dialyse) peuvent développer des complications au niveau du système nerveux central, la myofasciite à macrophages, l’encéphalopathie, l’épilepsie et des troubles de mémoire. L’accumulation d’aluminium dans l’organisme peut aussi jouer un rôle dans d’autres maux comme le psoriasis, les insuffisances hépatorénales chroniques, l’anémie, l’ostéomalacie (os cassants ou mous), l’intolérance au glucose et les arrêts cardiaques chez les humains. Les cellules du cerveau des patients atteints d’Alzheimer contiennent de 10 à 30 fois plus d’aluminium que la normale24. La réglementation européenne impose maintenant aux centres de dialyse de mieux contrôler l'exposition des dyalisés à l'aluminium, ce qui s'est traduit par une diminution de leurs taux sériques moyens des dialisés, avec vers une diminution de 61,8 ± 47,5 μg/L en 1988 à 25,78 ± 22,2 μg/L en 1996 23.

Une étude de l'Institut français de Veille sanitaire (INVS), en 2003, a montré le manque de données suffisantes pour confirmer ou infirmer les conséquences de l’aluminium sur la santé. Par exemple, la qualité des eaux de boisson est très suivie, mais non les effets des emballages en aluminium25.

On peut trouver de l’aluminium dans les aliments, l’eau, les cosmétiques (en particulier les déodorants / antiperspirants sous forme de sels d'aluminium), les vaccins, les médicaments anti-acides, l’eau pour la dilution des concentrés pour hémodialyse, lorsqu’elle provient d’une station de production inefficace, ainsi que les poches de nutrition parentérale26. Les ustensiles de cuisine et le papier d’aluminium peuvent également en libérer (en quantité généralement négligeable) dans les aliments. C’est pourquoi son utilisation dans la fabrication de conduites d’eau est prohibée dans plusieurs pays. Cependant, le sulfate d'aluminium est utilisé dans le traitement des eaux.

En France, la campagne massive de vaccination suite à la Grippe A (H1N1) de 2009-2010 a relancé la polémique sur les risques de santé liés à cet élément car 47% des vaccins commercialisés contiennent comme adjuvant de l'aluminium2

L'aluminium est repris comme additif alimentaire, son numéro SIN est E173

L'organisme d'un sujet sain contient au total de 30 à 50 mg (ATSDR 1999), surtout présent dans l’os (+/- 50 %), le poumon (environ 25 %) et le foie (20 à 25 %). Le reste est partagé dans d'autres organes, dont le système nerveux central et la rate. Les taux tissulaires et notamment dans le poumon et le cerveau augmentent avec l’âge (ATSDR 1999).
Le traçage isotopique (isotope radioactif 26Al) d'aluminium injecté montre que 24 h après l’injection, 99 % de l’aluminium sanguin est passé dans la fraction plasmatique. Peu à peu, le taux intra-érythrocytaire augmente pour atteindre 14 %. L'aluminium se lie, dans le plasma, préférentiellement à la transferrine (80 %), et à l'albumine à hauteur de 10 %, les 10 % restant sont transportés par des protéines de bas poids moléculaire (LMW). L'Al-transferrine se dépose surtout dans la rate et le foie (riches en récepteurs-transferrine), pendant que l'Al-LMW se fixe dans l’os (qui ne contient pas de récepteurs-transferrine) 16. L'homme élimine plus de 95 % de l'aluminium ingéré dans les fèces, et 83 % de l'aluminium qui aura passé la barrière intestinale sera éliminé par voie urinaire (avec une fonction rénale normale, la dose éliminée varie de 3 à 20 μg/L d'urine 17,18,19,20. Des chélateurs (EDTA, déféroxamine...) en accélèrent l'élimination). La demi-vie dans l'organisme varie selon l'importance et la durée d’exposition et la durée de la redistribution de l’aluminium à partir des organes qui l'ont stocké. Elle peut durer plusieurs années. Elle est triphasique : en phase 1, la moitié de l'aluminium est éliminé en quelques heures, en phase deux, 50 % de ce qui reste est éliminé en quelques semaines, et il faut habituellement plus d'un an pour éliminer la moitié du reste 2

Despite its natural abundance, aluminium has no known function in biology. It is remarkably nontoxic, aluminium sulfate having an LD50 of 6207 mg/kg (oral, mouse), which corresponds to 500 grams for a 80 kg person.[5] Despite the extremely low acute toxicity, the health effects of aluminium are of interest in view of the widespread occurrence of the element in the environment and in commerce.

Some toxicity can be traced to deposition in bone and the central nervous system, which is particularly increased in patients with reduced renal function. Because aluminium competes with calcium for absorption, increased amounts of dietary aluminium may contribute to the reduced skeletal mineralization (osteopenia) observed in preterm infants and infants with growth retardation. In very high doses, aluminium can cause neurotoxicity, and is associated with altered function of the blood-brain barrier.[67] A small percentage of people are allergic to aluminium and experience contact dermatitis, digestive disorders, vomiting or other symptoms upon contact or ingestion of products containing aluminium, such as deodorants or antacids. In those without allergies, aluminium is not as toxic as heavy metals, but there is evidence of some toxicity if it is consumed in excessive amounts.[68] Although the use of aluminium cookware has not been shown to lead to aluminium toxicity in general, excessive consumption of antacids containing aluminium compounds and excessive use of aluminium-containing antiperspirants provide more significant exposure levels. Studies have shown that consumption of acidic foods or liquids with aluminium significantly increases aluminium absorption,[69] and maltol has been shown to increase the accumulation of aluminium in nervous and osseus tissue.[70] Furthermore, aluminium increases estrogen-related gene expression in human breast cancer cells cultured in the laboratory.[71] The estrogen-like effects of these salts have led to their classification as a metalloestrogen.

The effects of aluminium in antiperspirants has been examined over the course of decades with little evidence of skin irritation.[5] Nonetheless, its occurrence in antiperspirants, dyes (such as aluminium lake), and food additives is controversial in some quarters. Although there is little evidence that normal exposure to aluminium presents a risk to healthy adults,[72] some studies point to risks associated with increased exposure to the metal.[73] Aluminium in food may be absorbed more than aluminium from water.[74] Some researchers have expressed concerns that the aluminium in antiperspirants may increase the risk of breast cancer,[75] and aluminium has controversially been implicated as a factor in Alzheimer's disease.[76] The Camelford water pollution incident involved a number of people consuming aluminium sulfate. Investigations of the long-term health effects are still ongoing, but elevated brain aluminium concentrations have been found in post-mortem examinations of victims, and further research to determine if there is a link with cerebral amyloid angiopathy has been commissioned.[77]

According to The Alzheimer's Society, the overwhelming medical and scientific opinion is that studies have not convincingly demonstrated a causal relationship between aluminium and Alzheimer's disease.[78] Nevertheless, some studies, such as those on the PAQUID cohort,[79] cite aluminium exposure as a risk factor for Alzheimer's disease. Some brain plaques have been found to contain increased levels of the metal.[80] Research in this area has been inconclusive; aluminium accumulation may be a consequence of the disease rather than a causal agent. In any event, if there is any toxicity of aluminium, it must be via a very specific mechanism, since total human exposure to the element in the form of naturally occurring clay in soil and dust is enormously large over a lifetime.[81][82] Scientific consensus does not yet exist about whether aluminium exposure could directly increase the risk of Alzheimer's disease.[78]
Effect on plants

Aluminium is primary among the factors that reduce plant growth on acid soils. Although it is generally harmless to plant growth in pH-neutral soils, the concentration in acid soils of toxic Al3+ cations increases and disturbs root growth and function.[83][84][85][86]

Most acid soils are saturated with aluminium rather than hydrogen ions. The acidity of the soil is therefore a result of hydrolysis of aluminium compounds.[87] This concept of "corrected lime potential"[88] to define the degree of base saturation in soils became the basis for procedures now used in soil testing laboratories to determine the "lime requirement"[89] of soils.[90]

Wheat's adaptation to allow aluminium tolerance is such that the aluminium induces a release of organic compounds that bind to the harmful aluminium cations. Sorghum is believed to have the same tolerance mechanism. The first gene for aluminium tolerance has been identified in wheat. It was shown that sorghum's aluminium tolerance is controlled by a single gene, as for wheat.[91] This is not the case in all plants.

Obwohl Aluminium das häufigste Metall der Erdkruste ist, gibt es in Säugetieren keine aluminiumabhängigen Reaktionen, es ist also nicht essentiell.

Im menschlichen Körper befinden sich durchschnittlich etwa 35 bis 50 Milligramm Aluminium.[23] Diese verteilen sich zu ungefähr 50 % auf das Lungengewebe, zu 25 % auf die Weichteile und zu weiteren 25 % auf die Knochen. Aluminium ist damit als Spurenelement ein natürlicher Bestandteil unseres Körpers. Jedoch kommt ihm nach heutiger Kenntnis keine biologische Bedeutung zu.

Gesunde Menschen scheiden Aluminium nach Einnahme relativ hoher Dosen (1 bis 4 Gramm pro Tag) problemlos über die Niere aus. Aufgrund dieser Toxikokinetik ist es verständlich, dass Aluminiumvergiftungen nur bei eingeschränkter Nierenfunktion auftreten. Die drei wichtigsten toxischen Wirkungen sind Anämie (weil es dieselben Speichereiweiße wie Eisen besetzt), Osteopathie (Arthritis) und Enzephalopathie (Gedächtnis- und Sprachstörungen, Antriebslosigkeit und Aggressivität).

Laut einer Studie des Bundesinstituts für Risikobewertung (BfR) besteht im allgemeinen Fall aufgrund der vergleichsweise geringen Menge kein Alzheimer-Risiko durch Aluminium aus Bedarfsgegenständen; jedoch sollten vorsorglich keine sauren Speisen in Kontakt mit Aluminiumtöpfen oder -folie aufbewahrt werden. [24]

Einige Prozent der Bevölkerung reagieren auf Aluminium allergisch – sie erleiden Ausschläge in jeder möglichen Form durch Verwenden von Antitranspirationsprodukten, Verdauungsstörungen und Unfähigkeit Nährstoffe aus der Nahrung aufzunehmen, die in Aluminiumtöpfen gekocht wurden, oder Erbrechen und andere Vergiftungserscheinungen durch Einnehmen aluminiumhaltiger Medikamente.
Pflanzen
[Bearbeiten]

Aluminium in Form verschiedener Salze (Phosphate, Silikate) ist Bestandteil vieler Pflanzen und Früchte, denn gelöste Al-Verbindungen werden durch Regen aus den Böden von den Pflanzen aufgenommen, bei Säurebelastung der Böden ist dies vermehrt der Fall.

Ein großer Teil des Bodens auf der Welt ist chemisch sauer. Liegt der pH-Wert unter 5,0, werden Al3+-Ionen von den Wurzeln der Pflanzen aufgenommen. Dies ist bei der Hälfte des bebaubaren Lands auf der Welt der Fall. Die Ionen schädigen insbesondere das Wurzelwachstum an den Spitzen der Wurzeln. Die Pflanze, wenn sie nicht Aluminium-tolerant ist, steht dann unter Stress. Zahlreiche Enzyme und signalübertragenden Proteine sind betroffen; die Folgen der Vergiftung sind noch nicht vollständig bekannt. In sauren metallhaltigen Böden ist Al3+ das Ion mit dem größten Potenzial zur Schädigung. Von der Modellpflanze Arabidopsis sind Transgene bekannt, die deren Aluminium-Toleranz heraufsetzen und auch bei Kulturpflanzen sind tolerante Sorten bekannt.[25][26][27][28]
In Lebensmitteln

Die meisten Lebensmittel enthalten als Spurenelemente auch Aluminium.[29] Gemüse enthält gewöhnlich 100 bis 400 mg/kg Aluminium, so kommt es je nach Ernährungsgewohnheiten zu einer täglichen Aufnahme von 2 bis 160 Milligramm. Beim Kochen oder Aufbewahren in Aluminiumgeschirr oder in Alufolie kann es (außer bei sauren Lebensmitteln) nur zu einer mittleren Zunahme von 5 bis 30 mg/kg kommen, was als unbedenklich eingestuft wird (Stand 2010).

Aluminiumsilikat ist Bestandteil der Lebensmittelfarbe E 173, findet in feinen Backwaren Verwendung und ist in Backpulver, Schmelzkäse, sowie sauer eingelegten Gemüsekonserven enthalten und gegen Verklumpen in Kaffeeweißern, Speisesalz und Gewürzen.[30]

Aluminiumhaltige Effekt-Pigmente werden als Nagellack, bei Überzügen von Zuckerwaren und zur Dekoration von Kuchen verwendet.

Bei der Untersuchung von Laugengebäck (Brezeln, Stangen, Brötchen) aus Bäckereien wurde Aluminium nachgewiesen, das in das Lebensmittel gelangt, wenn bei der Herstellung von Laugengebäck Aluminiumbleche verwendet werden.[31]

Dès 2000, une publication de l’Inserm mettait en évidence un risque accru de démences, notamment des maladies d’Alzheimer, chez des personnes résidant dans des zones où l’eau distribuée est riche en aluminium. Eh oui, on ajoute du sulfate d'aluminium pour rendre l'eau potable transparente…

Ainsi, en Gironde et en Dordogne, le risque de contracter la maladie d'Alzheimer était 1,99 fois plus élevé dans les régions où l'eau contient plus de 100µg d'aluminium par litre d'eau potable. À noter qu’en France, la norme est de 200µg !

L’aluminium, un élément présent partout autour de nous
Aluminium et déodorant = risque de cancer du sein
Aluminium et eau de boisson = risque de maladie d’Alzheimer
Aluminium et vaccins = risque de myofasciite à macrophages
Attention, l'aluminium est présent dans de nombreux aliments jusqu'au lait infantile...
En conclusion pratique

Attention, l'aluminium est présent dans de nombreux aliments jusqu'au lait infantile...

L’aluminium est présent naturellement dans la plupart des fruits et légumes, mais est également ajouté dans la quasi totalité des autres aliments. En effet, l’aluminium est un additif tantôt employé comme conservateur, colorant, agent levant, ou encore comme antiagglomérant dans le sel par exemple.

Pis, on retrouve également de l’aluminium dans les laits infantiles, parfois à des teneurs inquiétantes (40 fois plus que dans le lait maternel), potentiellement dangereuses pour le cerveau en développement des nouveau-nés.

Aluminium et déodorant = risque de cancer du sein

L’aluminium est très largement utilisé dans les cosmétiques. On en trouve dans plus d’un produit sur 2, pour faciliter la pénétration des crèmes, comme agent durcisseur des vernis à ongles, agent blanchissant ou encore comme antitranspirant.

C’est ainsi que 90% des déodorants contiennent des sels d’aluminium et parfois à haute dose (jusqu’à 20% d’aluminium). Or les sels d’aluminium pourraient être impliqués dans le développement du cancer du sein. La pénétration dans l’organisme de cet élément étant multiplié par 6 sur une peau lésée, les autorités recommandent par mesure de précaution de ne pas appliquer de déodorant contenant de l’aluminium après rasage des aisselles notamment.


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par dedeleco » 20/02/12, 23:24

C'est semble t'il connu que l'aluminium n'est pas bon pour la vie :
http://www.lenntech.fr/data-perio/al.htm
Effet sur la santé
L'aluminium est l'un des métaux les plus utilisés, et aussi l'un des composés les plus abondants dans l'écorce terrestre. De ce fait, l'aluminium est communément utilisé comme un composé innocent. Pourtant, lorsqu'on est exposé à de fortes concentrations, il peut engendrer des problèmes sur la santé. La forme soluble dans l'eau de l'aluminium, c'est-à-dire les ions, est la plus nocive. En général, on trouve ces ions aluminiums en combinaison avec d'autres ions, par exemple sous forme de chlorure d'aluminium. L'aluminium est quasiment insoluble dans l'eau à des pH supérieurs à 6. En revanche, sa solubilité croît rapidement en milieu acide.
On peut absorber l'aluminium par l'intermédiaire de la nourriture, en respirant, ou par contact avec la peau. Une absorption pendant une longue période peut entraîner de sérieux problèmes sur la santé, tels que:
- Dommages au niveau du système nerveux central
- Démence
- Perte de mémoire
- Apathie
- Tremblements
L'aluminium est un danger dans certains lieux de travail tels que les mines, où on peut le trouver dans l'eau. Les personnes travaillant dans des usines où l'aluminium est utilisé pendant le processus de production peuvent souffrir de problème aux poumons si elles respirent de la poussière d'aluminium. L'aluminium peut poser des problèmes aux reins s'il pénètre dans le corps lors d'une dialyse.
Impact sur l'environnement
Les effets de l'aluminium sur l'environnement ont attiré notre attention, principalement à cause des problèmes d'acidification des sols. Dans un sol acide, l'aluminium peut être soluble et il possède alors une forte activité biocide. Il peut s'accumuler dans les plantes. Il peut donc être consommé par les animaux et provoquer des problèmes de santé chez ces derniers.
La concentration en aluminium est plus élevée dans les lacs acidifiés, par conséquent, dans ces lacs, le nombre de poissons et d'amphibiens diminue car il y a des réactions entre les ions aluminium et les protéines des ouïes des poissons et les embryons des grenouilles.
Des concentrations élevées en aluminium ont aussi des conséquences néfastes sur les oiseaux et les animaux qui mangent ces poissons, ainsi que sur les insectes contaminés et les animaux qui respirent l'aluminium dans l'air. Les conséquences pour les oiseaux sont la production de coquilles d'œufs plus fines, et des poussins dont le poids à la naissance est plus faible. Les animaux respirant de l'aluminium souffrent de problèmes aux poumons, de pertes de poids et d'un déclin d'activité.
Un autre aspect négatif de l'aluminium pour l'environnement est que ces ions réagissent avec les phosphates, ce qui rend ces phosphates moins disponibles pour les organismes de l'eau.
On peut trouver des concentrations importantes d'aluminium ailleurs que dans les lacs acidifiés et dans l'air, par exemple dans les eaux souterraines des sols acidifiés. On pense qu'il peut alors endommager les racines des plantes.


Utilisation de l’Aluminium dans le traitement de l’eau:
Les micro-organismes transportés par l’eau (bactéries, virus, protozoaires) constituent un risque très sérieux pour la santé. On utilise donc des composés d’aluminium dans le traitement de l’eau pour en retirer ces micro-organismes nocifs ainsi que les particules qui pourraient les protéger de la désinfection; ces composés les font coaguler ou s’agglomérer en particules plus grosses,afin que l’on puisse ensuite les enlever par sédimentation et filtration. Les composés à base d’aluminium enlèvent aussi les matières organiques naturellement présentes dans l’eau, ce qui réduit la formation de sous­ produits de désinfection nés de la réaction entre les substances chimiques utilisées pour la désinfection et les matières organiques normalement présentes; certains de ces sous­produits, les trihalométhanes, sont cancérogènes.

Le sulfate d’aluminium Al2(SO4)3 et le chlorure d'aluminium AlCl3 sont les coagulants les plus répandus, parce qu’ils sont efficaces, relativement peu coûteux et que l’on peut se les procurer facilement. Pour l'éclairsissement de l'eau on utilise de 10 à 150 g/m3 de AL2(SO4)3 et pour le traitement de l'eau usée de 50 à 300 g/m3 de ce même produit. Le chlorure d'aluminium est utilisé seulement dans des conditions exceptionnelles.

Dans certaines conditions, ou lorsqu’ils sont mal utilisés, ils peuvent être la cause de concentrations élevées d’aluminium résiduel dans l’eau potable.


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par dedeleco » 21/02/12, 00:22

Lire aussi un avis officiel approfondi sur ce qui est bien établi :
http://www.canalacademie.com/IMG/pdf/ra ... luinvs.pdf
qui donne une idée de ce qu'on avale ou respire sans le savoir !!



L’identification d’un syndrome neurologique spécifique du type d’encéphalopathie survenant chez les
patients insuffisants rénaux dialysés fut faite dès 1972. Le rôle de l’aluminium fut évoqué en 1978 et dans
les années suivantes de nombreuses études sont venues conforter l’hypothèse selon laquelle il s’agissait
bien d’une intoxication à l’aluminium. A ce jour cette relation entre encéphalopathie des dialysés et
aluminium est considérée comme confirmée.

L’encéphalopathie liée à l’aluminium semble pouvoir s’exprimer selon deux modèles d’exposition :
• le plus classique correspond à l’accumulation d’aluminium au cours du temps, du fait des apports
chroniques d’aluminium par voie parentérale et orale. Il existe alors une relation dose-réponse entre la
dose cumulée d’aluminium reçue par l’organisme en exposition chronique (quelques mois à quelques
années) et l’incidence de l’encéphalopathie. Il semble néanmoins se dégager un seuil d’exposition pour
lequel le risque d’encéphalopathie pourrait être négligeable. Ce seuil se situerait autour de 2 à 4
grammes cumulés d’aluminium par voie parentérale, avec cependant des variations liées à des
susceptibilités individuelles. Lorsque les publications font état de concentrations plasmatiques chez les sujets avec encéphalopathie, les niveaux rencontrés sont supérieurs à 100-200 μg/L (concentrations
plasmatiques chez le sujet sain < 10 μg/L ; elles atteignent fréquemment 30-40 μg/L chez le sujet
dialysé sans encéphalopathie). Les concentrations dans la matière grise s’élèvent également (les
concentrations décrites sont en moyenne de l’ordre de 20 à 25 μg/g ; concentration chez le sujet sain
< 3 μg/g).
• le deuxième correspond à une exposition de plus faible durée à de fortes quantités d’aluminium. Les
niveaux plasmatiques sont dans ce cas le plus souvent supérieurs à 500 μg/L.
Les études visant à mettre en évidence des effets neurologiques moins délétères que l’encéphalopathie
chez des sujets en dialyse chronique restent fortement limitées et ne permettent en l’état ni d’affirmer
que l’aluminium est responsable de tels effets chez les dialysés, ni de proposer sous l’hypothèse d’un
rôle causal de valeur seuil ou de relation dose effet pour ce risque neurotoxique.
Les études anatomo-pathologiques ont permis de mettre en évidence que les apports chroniques
d’aluminium par l’eau d’alimentation du poste de dialyse et l’apport oral d’hydroxyde d’aluminium se
traduisent par une augmentation des teneurs en aluminium du cortex cérébral mesurées après la mort.
Les différentes méthodes de mesure (spectrométrie ou imagerie) localisent ces dépôts dans la matière
grise cérébrale. Le transfert d’aluminium du sang au cerveau semble lié aux mécanismes de transport du
fer. Il existe généralement chez ces sujets dialysés une bonne corrélation entre les teneurs plasmatiques
et les teneurs cérébrales en Al.
Enfin les études qui explorent l’hypothèse du rôle de l’aluminium dans la survenue de la maladie
d’Alzheimer chez les sujets dialysés s’appuient exclusivement sur des explorations anatomopathologiques
et ont été réalisées sur de faibles effectifs. Des dégénérescences neurofibrillaires sont
rarement retrouvées. En revanche, certains cerveaux de sujets dialysés présentent des plaques séniles,
parfois chez des patients jeunes (< 60 ans) pouvant suggérer une évolution vers une maladie d’Alzheimer.
Des altérations de la protéine tau ont également été décrites dans le cerveau de quelques sujets,
associées aux teneurs cérébrales en aluminium. Cependant, les observations sont peu nombreuses et le
plus souvent, il n’y a pas de corrélation entre les teneurs en aluminium de l’organisme et la présence de
plaques séniles, ce qui ne plaide pas en faveur d’un lien direct entre l’aluminium et la maladie
d’Alzheimer.
Globalement, les études décrites chez les sujets dialysés, y compris en post mortem, ont été réalisées
chez des sujets jeunes, la plupart du temps âgés de moins de 65 ans. S’il peut sembler intéressant
d’étudier le devenir vis-à-vis de la maladie d’Alzheimer de cohortes de sujets dialysés, afin d’apprécier
le rôle éventuel de l’exposition à l’aluminium, l’âge anticipé de décès des sujets étudiés peut être un frein
à l’identification de la démence sur des critères cliniques

Concernant la toxicité de l’aluminium au niveau du système respiratoire, les études disponibles
actuellement sont des études épidémiologiques réalisées chez des professionnels de l’industrie de
l’aluminium. Le seul effet pour lequel la responsabilité de l’aluminium a été établie est la fibrose
pulmonaire, rapportée de façon exceptionnelle lors d’expositions massives à de l’aluminium pulvérulent
(fabrication de poudres pyrotechnique, usinage, polissage de produits en aluminium) ou sous formes de
vapeurs (soudage à l’arc de l’aluminium). Une symptomatologie d’asthme et d’hyperréactivité bronchite
de type irritatif est habituellement observée dans les fonderies d’aluminium, chez les travailleurs exposés
lors des émissions des vapeurs des cuves à électrolyse utilisées pour la fabrication de l’aluminium. Il
s’agit cependant d’un secteur où il existe une forte pollution par divers irritants (en particulier l'acide
fluorhydrique, divers fluorures et l'anhydride sulfureux) qui pourraient suffire à expliquer la fréquence de
la maladie asthmatique. De fait, l’absence de description de maladie asthmatique dans d’autres secteurs
de l’industrie de l’aluminium et l’association connue entre l’exposition aux fluorures et à l'acide
fluorhydrique et la maladie asthmatique rendent improbable la responsabilité directe de l’aluminium dans
la survenue de cette pathologie. Par ailleurs, les études de mortalité sont en faveur d’une mortalité accrue
par pathologie respiratoire chez les professionnels de l’aluminium, sans pouvoir spécifier le type de
pathologie en cause. Aucune des études ne permet d’analyser le rôle spécifique de l’aluminium dans la
physiopathologie des effets observés dans ces ateliers dont l'atmosphère est riche en divers irritants
respiratoires.
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