janic a écrit :obamot bonjour(PS: mais tu me flattes! ^^)je serais plutôt un éléphant dans un magasin de porcelaine
Ah, un vrai compliment alors merci.
janic a écrit :Obamot a écrit :c) l'industrie est réputée faire bien son travail ou alors ce sont des sanctions pénales qui doivent pleuvoir comme avec Servier.
je nuancerai en disant qu’elle est supposée bien faire son travail (comme le nucléaire d’ailleurs), les sanctions tombent malheureusement lorsque le mal est déjà fait (comme pour l’amiante) étant donné l’immobilisme de l’AFSSAPS.
Il y a quand même des bons produits pharmaceutiques qui sauvent des vies: ne l'oublions pas. La médecine de «pompier» qui vient éteindre les incendies est essentielle, même si c'est celle qui coûte le plus cher!
Oui je sais. C'est des propos surprenant de ma part, mais je maintien. Parce que ceux qui ne sont pas au degré d'excellence requis, de ce qu'exigent les grandes écoles et autres universités — c'est leur problème, à eux de faire leur up date — je préfère parler pour les autres qui se donnent un mal de chien, et en ces temps difficile, il est bon de redonner confiance en l'humain.
Par ailleurs, il faut préserver toutes les possiblités de l'arsenal thérapeutique.
janic a écrit :d) ainsi on admet que les vaccins sont efficients et leur production sûre — puisque c'est le prérequis qu'on en attend d'eux — parce que sinon on ne peut guère se concentrer sur la question de fond: à savoir DANS L'HYPOTHÈSE OÙ CES CONDITIONS SONT RÉUNIES, de savoir POURQUOI on est «pour» ou «contre» et d'en expliquer les raisons.
c’est toute la question, puisque c’est un présupposé, mais celui-ci est-il acquit ou pas ?
Il l'est dans les limites de la réponse ci-dessus et en fonction de la personne traitée. Et si on est «prêts» à un profit immédiat au détriment d'un affaiblissement de l'espèce... Mais c'est pas ce que je préconise sauf pour ceux qui ne sont plus en situation de procréer.
janic a écrit :Le seul moyen de le vérifier c’est justement la consultation des archives officielles qui témoigneront de l’efficacité réelle, relative ou nulle, voire dangereuse des moyens utilisés.
Encore plus épineux que ça! Pour réaliser des tests cliniques en double aveugle etc... On prend tout le monde et n'importe qui. Hors il faudrait ne prendre que des sujets sains! Oui mais que veut dire «sains»...? Il faudrait des sujets ayant suivi un régime drastique durant cinq ans, isolé de toute pollution chimique et ne consommant que des aliments non pollués ni traités avec des produits de synthèse et avec une bonne condition physique nécessitant la pratique régulière d'un sport. Là oui, on aurait le début du commencement de quelque chose de fiable. En fait, la même considération que lorsque tu reprends les études de l'époque de Pasteur...
Dans l'intervalle, on ne sait pas très bien où l'on est, ni où l'on va. Et les «doses» sont beaucoup trop fortes, parce qu'adaptées à des sujets déjà affaiblis par leur train de vie.
Pour l'anecdote, les rares fois ou je dois prendre un analgésiques/antipyrétique comme le Paracétamol, si je prends la dose «adulte», je suis complètement stone
(j'en vois déjà dire, que «le médicament marche», parce que c'est mon état «normal» ^^ )
janic a écrit :... ensuite je n'appelle pas vraiment ça fixer les «bonnes priorités!»
Tout est priorité, c’est comme lorsque l’on met de l’ordre dans des affaires, chacun commencera par ce qui lui semble prioritaire, un autre pas.
Tu soulignes,( et je suis entièrement d’accord avec ce point) la qualité alimentaire et même environnementale de notre mode de vie, mais les vaccinations se font aussi dans des pays où ces modes et moyens ne sont pas réunis et où les vaccinations rencontrent le même échec (comme le vaccin contre la variole à son époque ainsi que le soulignera l’OMS !)
Réponse idem ci-dessus.
A propos des priorités, certainement! Prenons l'exemple du métabolisme du calcium:
— avoir une alimentation correcte ne suffira pas, si on ne va pas un peu au soleil... (en prenant quelques précautions.)!
— et même... si on ne fait pas d'effort physique, ça ne suffira pas non plus, puisqu'il faut «de la pression», pour fixer le calcium! etc.
On peut encore ajouter que les priorités existent mais qu'elles peuvent varier d'un sujet à l'autre => surtout lorsqu'il s'agit de passer d'un stade pathologique à un état de "bien portance". En plus il y a une question de durée qui varie aussi. Pas si simple...
Quand j'entendais les «bonnes priorités», voilà ce que je voulais dire... et qu'on ne peut pas partir du point de vue que certains seraient malhonnêtes pour justifier ou non le bien fondé de se faire vacciner! Ça n'a pas grand sens. Et ça n'est en tout cas pas prendre le problème par le bon bout de la lorgnette. Si on se «sent coupable», c'est bien qu'au fond de nous, on a l'intuition que nous n'en avons pas fait suffisemment en amont! Alors oui, lorsqu'on a compris ça et que l'on est motivé pour prendre sa santé en charge: tout compte, mais il ne faut pas que ça se présente comme une montagne: ainsi on peut fixer des priorités amusantes qui nous donnent envie de continuer! Et qui nous mettent le pied à l'étrier pour placer la barre toujours un peu plus haute. Si on le souhaite.
janic a écrit :Obamot a écrit :Tant que la question de la qualité microbiologique de l'alimentation en tant qu'outil de la prévention précoce, n'aura pas été abordée. On ne saura pas si ça vaut la peine ou non de vacciner massivement.
Je ne peux qu’être d’accord dans notre type de société, mais à l’époque de Jenner ou Pasteur, ces questions n’étaient pas encore d’actualité et pourtant l’échec fut le même (consulter les archives officielles de l’INSERM .)
Laisses-leur le temps de le découvrir... Dans l'intervalle l'industrie aura été réformée! (On peut rêver...)