Vaccinations et santé...pour ou contre?

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).

vaccinations

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izentrop
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par izentrop » 12/01/16, 23:19

C'est officiel :
"La concertation citoyenne sera organisée en trois temps tout au long de l’année 2016, par un comité d’orientation qui sera présidé par une personnalité qualifiée, Alain FISCHER, Professeur en immunologie pédiatrique et titulaire de la chaire Médecine expérimentale au Collège de France :

L’expression des opinions. Dès le mois de mars, une plateforme web recueillera les contributions citoyennes, professionnelles, associatives, institutionnelles. A partir du mois de mai, un jury de citoyens, un jury de professionnels de santé et un jury d’experts scientifiques analyseront ces contributions en n’écartant aucune des questions de fond que se posent les Français. Faut-il maintenir une différence entre les vaccins obligatoires, d’une part, et les vaccins recommandés, d’autre part ? Quelle perception du bénéfice/risque individuel ? Quelle acceptation du risque lié à la vaccination ou à la non-vaccination
L’échange. Au mois d’octobre, un débat public national permettra d’échanger sur les avis des jurys et le contenu des contributions citoyennes.
Les propositions. Sur la base de l’ensemble des contributions recueillies, le comité d’orientation formulera dès décembre 2016 des conclusions sur l’évolution de la politique vaccinale."
social-sante.gouv.fr/actualites
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janic
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par janic » 13/01/16, 08:52

ce qui va poser des difficultés, c'est l'harmonisation des politiques vaccinales de TOUS les acteurs de l'Europe qui dans leur majorité ont supprimé les obligations.
http://social-sante.gouv.fr/IMG/pdf/rap ... _2016_.pdf
4. Les obligations vaccinales des différents pays doivent être étudiées en intégrant les obligations qui conditionnent l’admission en collectivité.
Les résultats comparés de la politique vaccinale au travers des taux de couverture entre la France et les autres pays sont variables. Peu de pays ont maintenu des obligations vaccinales au niveau national. Dans certains cas l’obligation s’applique pour les enfants à l’entrée en collectivité avec un degré de contrôle du respect de cette obligation et un degré d’acceptation d’exemption variables. Jusque là, la France a des taux de couverture vaccinale comparables voire meilleurs que les autres pays pour les vaccins obligatoires, mais moins bon que certains pays pour la plupart des vaccins recommandés. Les flambées épidémiques concernant la rougeole dans d’autres pays les amènent toutefois à prendre des mesures pour y faire face. Le cas de diphtérie constaté en Espagne témoigne de la réalité du risque de ce type de maladie. Enfin, la situation internationale (conflits amenant à une interruption des campagnes de vaccination, voyages, déplacements de population) amène à une vigilance accrue. Les comparaisons internationales conduisent logiquement à s’interroger sur la pertinence d’une levée de l’obligation vaccinale mais également à en peser les risques du fait du contexte décrit et des situations auxquelles certains pays ont aujourd’hui à faire face".

Mais la ministre a déjà pris position : « Se vacciner, c’est un droit individuel, mais c’est aussi un devoir collectif. Se vacciner, c’est se protéger, mais c’est aussi protéger les autres et en particulier les plus fragiles. », a déclaré Marisol TOURAINE.
Même si cet article de foi, ne correspond aucunement à la réalité.
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par izentrop » 13/01/16, 09:41

Les anti vac vont pouvoir s'exprimer mais ils devront émettre des arguments fondés sur du concret pour être pris au sérieux.
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par janic » 13/01/16, 10:52

Les anti vac vont pouvoir s'exprimer mais ils devront émettre des arguments fondés sur du concret pour être pris au sérieux.

Premièrement, il n’y a pas d’anti vaccins sinon ce serait faire la même erreur que les provaccins et donc tomber dans le totalitarisme. Les associations réclament la liberté de choix éclairé selon la loi française et la déclaration des droits de l’homme et du citoyen comme nos pays européens voisins ou plus éloignés.
deuxièmement, les pays qui ont supprimé les obligations l'ont fait selon les comités scientifiques de ces pays qui ne sont pas plus bêtes que les notres et non par les "antivaccins" selon ton expression.
troisièmement, les arguments sur les effets indésirables viennent des sites officiels, mais pudiquement mis sous le boisseau. Donc remettre en question ces arguments c'est remettre en question les sites officiels de tous les pays concernés de part le monde.

Ensuite, si tu lis attentivement les discours de marisol Touraine comme de Sandrine HUREL, tu n'y trouveras guère allusion aux "anti" mais seulement au public en général (généralement pas au fait des vaccins eux mêmes) toute cette politique "ouverte" est en réalité une politique de récupération des indécis.

3. L’adhésion à la vaccination ne peut pas être considérée comme acquise d’emblée
Les difficultés d’adhésion diffèrent selon les vaccins et les maladies concernées. Pour les patients comme pour les médecins, la balance bénéfices/risques individuelle constitue l’élément de décision principal et s’accompagne, dans la majorité des cas, d’un impact collectif positif à valoriser. La prescription des vaccinations nécessite un dialogue nourri entre le médecin et le patient ou son représentant visant à éclairer au mieux le consentement du patient ou de son représentant afin d’arriver à une décision partagée. La tolérance du vaccin constitue un élément majeur dans la décision de prescription d’un vaccin et dans celle d’acceptation par le patient. Les professionnels de santé constituent plus que des simples vecteurs de l’information. Leur capacité à expliquer au patient les différents éléments de la balance / bénéfices risques, y compris ceux concernant les effets indésirables des vaccins est déterminante. Cette relation médecin-patient est d’une importance capitale. L’étude de la DREES sur les attitudes et pratiques des médecins généralistes face à la vaccination montrait que seuls 46,2% des médecins généralistes se sentent à l’aise pour donner des explications aux patients sur les adjuvants. Page 4
Une information et une communication régulière sur les sujets relatifs à la vaccination sont indispensables à l’adhésion des professionnels de santé et du public concerné. La mise en place par l’INPES puis par la nouvelle agence nationale de santé publique d’un site dédié à la vaccination est souhaitable. Ce site devrait comporter un volet grand public et un volet pour les professionnels de santé sans restriction d’accès et une rubrique « questions/réponses ».
La connaissance des effets indésirables des vaccins constitue un facteur indispensable à l’adhésion à la vaccination, pour les professionnels de santé comme pour les usagers. Une information directe pour les professionnels de santé concernant notamment les effets indésirables des vaccins apparaît nécessaire. Le grand public doit disposer d’une information validée notamment par la DGS et les agences de sécurité sanitaire sur les effets indésirables des vaccins. Afin de permettre une décision éclairée, il est également essentiel que l’information sur les effets indésirables des vaccins soit complétée par une information sur les risques évités par le vaccin et sur l’efficacité des vaccins.
page 5 etc….
http://social-sante.gouv.fr/IMG/pdf/rap ... _2016_.pdf

« Enfin, pour rendre l’information plus lisible, un comité des parties prenantes sera créé sous l’égide de la DGS. Il réunira régulièrement les professionnels de santé, les associations d’usagers et les institutionnels pour mieux identifier les réticences éventuelles et anticiper des situations de crise. »
Les études montrent combien les médecins et les infirmiers libéraux, les pharmaciens d’officine, se sentent souvent insuffisamment informés pour répondre aux inquiétudes et aux doutes de leurs patients
La Direction générale de la Santé verra son rôle renforcé s’agissant de la coordination, notamment pour mieux identifier les effets indésirables éventuels
NOTE: ce point souligne que ces effets indésirables sont mal identifiés actuellement.

Si des Français peinent à s’y retrouver, c’est bien qu’il nous faut
progresser. A quoi tient la différence entre la vaccination «obligatoire » et « recommandée » alors même que les taux de vaccination pour les vaccins recommandés sont plus faibles en France que chez ceux de nos voisins européens où il n’existe pourtant pas de vaccination obligatoire ? Comment expliquer la persistance des inquiétudes vis-à-vis de l’aluminium, la frilosité face au vaccin HPV, alors même que les scientifiques sont unanimes ? On ne peut balayer d’un revers de la main ces préoccupations, au motif qu’elles ne seraient pas rationnelles. Nous devons comprendre pour agir.
La participation citoyenne est à mon sens une réponse essentielle. L’enjeu, c’est de fixer un cadre pour débattre, pour échanger, sans posture, sans tabou, en conscience et en responsabilité.
La grande concertation citoyenne qui se tiendra tout au long de cette année comporte un double objectif.
Il s’agit évidemment de lever les inquiétudes, les peurs, qui existent et que personne ne peut nier. Mais il s’agit également de mieux les comprendre, d’en identifier les sources, les rouages, pour mieux y répondre. Ma conviction, c’est que la vaccination doit évidemment être
abordée comme un enjeu de santé publique, mais aussi comme une question de société pour laquelle nous avons besoin de spécialistes des sciences sociales, pas seulement médicales.


"Ce débat public, il s’organisera en trois temps.
D’abord, l’expression des opinions. Dès le mois de mars, une plateforme web recueillera les contributions citoyennes, professionnelles, associatives, institutionnelles. A partir du mois de
mai, un jury de citoyens, un jury de professionnels de santé et un jury d’experts scientifiques analyseront ces contributions en n’écartant aucune des questions de fond que se posent les Français. Quelle perception du bénéfice/risque individuel ? Quelle acceptation du risque lié à la vaccination ou à la non-vaccination ? Quels risques collectifs la population est-elle prête à assumer pour éviter une contrainte individuelle ? Comment faciliter l’accès à la vaccination ?
pdf Télécharger le communiqué de presse au format PDF Téléchargement (76.3 ko) pdf
Télécharger le discours au format PDF Téléchargement (110.9 ko) pdf Télécharger le rapport de Sandrine HUREL sur la politique vaccinale Téléchargement (1.8 Mo) pdf

Même chose aucune indication nulle part de collaboration avec les associations pour la liberté vaccinale
Enfin, dernier point que tu sembles ignorer, c'est que ces associations sont des associations de victimes des vaccins obligatoires qui accompagnent les parents de ces victimes auprès des tribunaux pour obtenir réparation selon la loi. C'est un véritable parcours du combattant pour obtenir reconnaissance et réparation et sans ces associations les parents n'auraient plus que leurs yeux pour pleurer. Je te souhaite juste de ne jamais te trouver dans ce cas là.
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par izentrop » 13/01/16, 11:59

Tu viens de citer la plupart des arguments déjà connus en faveur d'une reformulation de l'obligation vaccinale.

Je pensais au lobbying des activistes anti-vaccination
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par janic » 13/01/16, 12:26

Tu viens de citer la plupart des arguments déjà connus en faveur d'une reformulation de l'obligation vaccinale.
Sauf que reformuler et ne rien faire de concret ce sont deux choses différentes. Poses-toi plutôt la question: pourquoi ces pays ont-ils abandonné les obligations vaccinales? Comme tu sembles bien connaitre le sujet tu dois savoir pourquoi!
Je pensais au lobbying des activistes anti-vaccination
Tu n'as pas mieux? Tu insinuerais que quelques associations disposant de quelques milliers d'euros en caisse, font le poids en face de l'industrie du vaccin qui dispose de milliards et a ses médias aux ordres. C'est comme comparer un pétard et une bombe atomique.
Par contre le provaccin ne serait pas un lobbing activiste, lui?!
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par izentrop » 13/01/16, 13:30

En France, tu as raison le lobbying en est pas au même point qu'aux Etats Unis, mais trop de mauvais arguments circulent sur internet, il est normal que l'état s'en préoccupe et fasse le point.
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par janic » 13/01/16, 14:12

En France, tu as raison le lobbying en est pas au même point qu'aux Etats Unis, mais trop de mauvais arguments circulent sur internet, il est normal que l'état s'en préoccupe et fasse le point.
je ne connais pas ce qu'il en est en Amérique.
Quant au lobbying, il faut être sérieux. Quelle pression peuvent exercer des associations de victimes auprès de pouvoirs publics qui s'en désintéressent complètement et face à la puissante industrie du vaccin? Ce sont les tribunaux (indépendants eux) qui décident si il y a victime ou pas, pas big pharma le niant en faisant pression sur l'Etat.
C'est le public, non opposé traditionnellement aux vaccins, qui a réagit aux flops des grippes aviaires et autres qui ont fait se poser des questions, dont l’utilité de vaccins pour des maladies quasi disparues de nos sociétés vaccinées ou pas. Donc des personnes non victimes, pas l'inverse.
Or, ainsi que je l'ai souligné précédemment, l'Etat reconnait des effets indésirables (déjà la formule veut tout dire!), que les médecins sont mal à l'aise pour expliquer les avantages des adjuvants des vaccins (tous les médecins ont eut à déplorer "ces effets indésirables")
seuls 46,2% des médecins généralistes se sentent à l’aise pour donner des explications aux patients sur les adjuvants,
Les études montrent combien les médecins et les infirmiers libéraux, les pharmaciens d’officine, se sentent souvent insuffisamment informés pour répondre aux inquiétudes et aux doutes de leurs patients,
Il s’agit évidemment de lever les inquiétudes, les peurs, qui existent et que personne ne peut nier.
Ca n’est pas du lobbying, ça !
Par ailleurs, la ministre (qui n’y connait rien) ne fait que relire un document préparé par ses services en utilisant des arguties trompeuses (sinon malhonnêtes) et non vérifiables par les autorités elles mêmes.
Ca c’est du lobbying intensif avec toute la cavalerie des vrais lobbyings derrière !
Le boulot de Hurel est un peu mieux fait, mais pêche aussi par sa prise de parti POUR et donc sans neutralité et indépendance supposée dans un cas pareil. Mais on verra bien ce qui va en sortir…sans illusions pourtant, depuis le temps que ça dure ! Mais on ne sait jamais, sous pression des pédiatres (vaccinalistes) ils ont bien aboli l'obligation du BCG et avant la variole.
Par ailleurs, je n'ai pas le souvenir ET CA C'EST IMPORTANT, TRES IMPORTANT, d'avoir lu que les associations aient jamais réclamé l'abolition des vaccinations; mais seulement et uniquement que l'on n'oblige pas les enfants à subir ces vaccins contre la volonté de leurs parents.
Dernière édition par janic le 13/01/16, 14:26, édité 1 fois.
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par Obamot » 13/01/16, 14:25

Je ne suis pas contre les vaccins (ni totalement pour) en toute circonstance, par exemple en cas de crise sanitaire (là oui, ça pourrait être utile, mais pincez-moi, je n'en vois pas chez nous...). Or on sait très bien que ce qui fait ces alertes, c'est avant tout les crises humanitaires comme la malnutrition. Chose qui n'existe plus en Europe depuis des décennies. Rapport de cause à effet?

La malbouffe (nouveau potentiel de cause à effet) ayant remplacé la malnutrition (ancien potentiel de cause à effet non complètement disparu), celle-ci affaiblit l'espèce en provoquant des carences sur plusieurs générations... Izentrop ne pense-t-il pas que l'obligation de vacciner (si tant est qu'elle serait admissible sur un plan éthique) n'affaiblirait pas encore plus l'espèce de l'homo-urbanicus et que si une nouvelle crise sanitaire devait sévir, un risque non négligeable serait de ne pas trouver de vaccin et ainsi voir se décimer entre 1/3 et 2/3 de la population mondiale non correctement préparée à avoir développé elle-même une réponse immunitaire suffisante!

Pour moi, c'est évident: malbouffe + vaccination = cocktail explosif.

Nous le voyons des déjà dans toutes les statistiques, ou seule la malbouffe arrive à provoquer >80% des pathologies (chiffre non contesté mais augmenté par des intervenants "officiels" sur Futur∂) par contre ça rapporte énormément d'avoir des populations avec des bobos chroniques.
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par janic » 13/01/16, 14:50

obamot bonjour
Je ne suis pas contre les vaccins (ni totalement pour) en toute circonstance, par exemple en cas de crise sanitaire (là oui, ça pourrait être utile, mais pincez-moi, je n'en vois pas chez nous.)

Je comprends ce raisonnement (je l’ai tenu aussi, il y a très longtemps !) mais les dernières crises sanitaires ont été la grippe porcine, la grippe aviaire et c’est justement à cause du flop que cela a produit que les gens se posent des questions sur la véracité des discours de l’Etat et ses incitations aux vaccins inutiles.
Mais Pasteur, notre héros national, a généré un espoir fou face aux morts des épidémies précédentes et (c’est le coté superstition typiquement religieux), c’est devenu le grigri miracle face au mal !
La variole a disparu (comme les grandes épidémies précédentes comme la peste, le choléra, la tuberculose) non pas grâce aux campagnes très onéreuses de vaccinations tous azimuts, mais par l’isolement des foyers infectieux…. comme d ‘habitude et malheureusement avec de nombreuses victimes aussi. Ni les vaccinés, ni les non vaccinés ne sont protégés (sinon psychologiquement) contre des maladies épidémiques et les vaccins « préventifs » ne sont que des placebos/nocebos puisque chaque épidémie a sa propre spécificité (voir les virus des grippes qui se succèdent chaque année et son lot de décès quasi constant avec ou sans)

http://sante.lefigaro.fr/actualite/2015 ... e-vacciner
Du côté de la campagne qui a démarré ce lundi, peu de nouveautés sont à attendre. La composition du vaccin a, comme chaque année, été modifiée pour correspondre aux souches du virus circulant, selon des directives de l'OMS édictées en février dernier, et les experts pensent que la très basse efficacité du cru 2014 (23% d'efficacité seulement avec des variations selon l'âge du patient) n'était qu'une anomalie qui ne se reproduira pas.
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