par janic » 11/02/17, 16:50
j'ai pris le temps de mettre par écrit une partie de la conférence de Georget citée sur youtube pour ceux qui sont intéressés par ce document essentiel.
Les vaccins sont insuffisamment évalués à 41’
La pharmacocinetique :
C’est quoi ? C’est le suivi des produits que l’on vous injecte et savoir ce que cela devient dans l’organisme, comment est-il fixé, s’il se fixe comment est-il transformé, comment est-il éliminé, etc… et bien si vous tapez le nom d’un vaccin et parmacocinétique, vous allez trouver: "sans objet" ou quelques fois : "ces recherches ne sont pas requises pour la mise au point des vaccins", donc on ne sait pas ce que les produits qu’on vous a injectés dans le corps deviennent
Pas d’étude de cancérogénèse, mutagenèse ou génotoxicité
Avouez que c’est invraisemblable surtout pour des vaccins destinés théoriquement à éviter un cancer, ne pourraient ils pas déclencher des problèmes de ce type ?
Pas d’effet placebo
Normalement un placebo c’est quelque chose de neutre, c’est par exemple un liquide physiologique comparé à une substance que vous voulez tester. Comment teste-on les nouveaux vaccins ? On les teste sur un autre vaccin dont on connait déjà les effets secondaires, si l’on n’observe pas davantage on dit: " ça va l’autre il a déjà des effets secondaires mais il est déjà sur le marché et il est toléré donc on peut mettre l’autre sur le marché". Mais ça ce n’est pas un vrai placebo ; il y a peut être même pire quelques fois; on teste le nouveau vaccin contre une ampoule vaccinale qui contient exactement les mêmes produits sans antigène, c'est-à-dire que vous aurez l’aluminium, les contaminations éventuelles, tous les produits sauf l’antigène et bien ça ce n’est pas un placebo.
4°Point : la pharmacovigilance
Qui est censé détecter les accidents après la mise sur le marché, ce que l’on appelle la phase 4, et bien elle est extrêmement insuffisante et dans tous les pays que ce soit l’Amérique ou l’Europe, on reconnait que la pharmacovigilance recense entre 1 et 10% des effets secondaires qui sont observés.
Autre inconvénient pour la santé publique
Le déplacement de l’âge des maladies qui autrefois étaient infantiles : la rougeole, la coqueluche, la rubéole et bien deviennent des maladies d’adultes et de très jeunes nourrissons qui, dans les deux cas, sont beaucoup plus graves. Pour quelles raisons ? Ce sont les campagnes de vaccinations qui en sont responsables parce que l’immunité après une vaccination n’a pas la qualité de l’immunité naturelle, elle est moins forte et moins durable. D’autre part, elle n’est pas entretenue par des rappels involontaires et ça c’est très important ? Par exemple la rougeole : imaginez, il y a quelques années on vaccinait 50% de la population. En se mettant dans les conditions les plus favorables 50% étaient protégés, il n’auront pas la rougeole, les 50% qui ne le sont pas vont être en contact avec les sujets qui vont faire la rougeole, ils vont eux-mêmes avoir la rougeole et ils vont donc faire circuler les virus parce que les deux populations sont mélangées et ceux qui sont vaccinés vont rencontrer le virus sauvage et ils ne seront pas malades puisqu’ils seront protégés, mais par contre cela va constituer un rappel dont ils n’ont pas conscience et qui va renforcer leur immunité, le problème c’est lorsque vous élargissez la couverture vaccinale à près de 90% comme c’est la cas actuellement pour la rougeole la circulation du virus sauvage ne se fera presque plus et comme l’immunité vaccinale va s’évanouir au bout de 15 /20 ans que les sujets vaccinés n’auront pas eu la chance de rencontrer le virus sauvage pour renforcer leur immunité, ils arriveront à 20/25 ans sans aucune immunité contre la rougeole et parmi ces adultes contaminés par le virus sauvage, il y aura des femmes adultes en âge d’avoir des enfants qui ne transmettront plus de protection à leur nourrisson et des nourrissons de quelques mois vont faire la rougeole et c’est très très grave. Et cela augmente les risques.
Une publication britannique qui a été rapportée par le quotidien du médecin qui disait que la létalité, qui est le nombre de morts parmi les malades, est minimale entre 5 et 9 ans âge fréquent de la maladie autrefois, actuellement elle est 4 fois plus élevée pour les nourrissons de moins d’un an et 8 fois et demi plus élevée chez les adultes ; donc on a tout gagné la maladie est devenue beaucoup plus grave
46’12 ‘’déplacement de l’équilibre écologique microbien
C’est encore une conséquence des vaccinations et un risque pour la santé publique. Je vais vous donner quelques exemples : la nature a horreur du vide et si la vaccination est efficace elle va réduire l’incidence du pathogène contre lequel vous avez mis le vaccin au point, mais la place va être prise par d’autres, s’il y a la place. En voici quelques exemples :
la bactérie hémophilus! certaines sont capsulées, pas d ’autres ( pour les bactéries non capsulées les vaccins sont sans efficacité) parmi les formes capsulées il y en a 6 : A, B, C, D, E, F ; le vaccin est contre l’hémophilus B, évidemment le B a régressé, mais pour la nature qui a horreur du vide, la place a été prise par le F, prise par le plus débrouillard et en général le plus nocif qui donne le même type d’infection.
En ce qui concerne les pneumocoques, c’est bien pire il y a 90 souches de pneumocoques, au moins, et on s’est aperçu qu’il fallait mettre au point un vaccin contre les pneumonies alors on a pris les 7 plus fréquentes, c’était logique et l’on a fait un premier prevenar et l’on a obtenu le résultat attendu et a fait diminuer les souches contre lesquelles on vaccinait, mais la place a été prise par d’autres, mais l’industrie pharmaceutique n’étant jamais en retard pour ça, ils ont mis au point un prevenar 13, ils ont rajouté 6 souches en plus des 7 qui se trouvaient déjà mais le problème va se reproduire, il y en a 90, avant qu’on en ait fait le tour, ça va être compliqué et puis en plus, les nouvelles infections, les pneumonies que l’on observe sont beaucoup plus graves, elles portent le nom des « ampyèmes » dus au pus à l’intérieur des plèvres
Les méningocoques
Qui provoquent les méningites cérébrospinales. En Europe les B et C, les plus fréquentes sont les B. et les C sont ceux pour lesquels existe un vaccin dans le calendrier vaccinal avec un gros problème en ce moment, il y a 200 ou 300 familles qui ont porté plainte contre les laboratoires qui fabriquent ces vaccins où on a trouvé des traces de métaux lourds… En ce qui concerne la vaccination on s’est aperçu par une expérience en Tchécoslovaquie, qu’en vaccinant contre les C et bien la place a été prise par les B. C’est la même chose pour toutes les vaccinations.
Pour les virus, là on a un cas particulier très intéressant. Pour les virus on a le même problème dont je n’ai pas beaucoup parlé faute de temps c’est la régression des virus polio. Ces virus polio, on a dit, vont être éradiqués, mais ça fait plus de 20 ans qu’on nous dit qu’ils vont être éradiqués, en 2000, puis en 2005, puis en 2010, puis maintenant on n’ose plus donner de dates puisque en dehors du virus polio qui n’a pas été complètement éliminé
49.39 Il y a des virus dérivés des souches vaccinales qui circulent elles aussi et qui donnent des infections et des paralysies et, un des ennuis, c’est que les souches peuvent se recombiner avec des virus que nous hébergeons dans l’intestin ; Ca a donné des épidémies de polio qui se sont développées à Madagascar deux fois et en Haïti dans les années 2000/2005 .
alors , en Inde, c’est le pays considéré comme le plus impacté par la polio. On considère que la polio a disparue en Inde, malheureusement il y a une explosion de ce que l’on appelle les paralysies flasques aigues ; c’est une maladie qui présente les mêmes symptômes que la polio mais qui, malheureusement, est deux fois plus mortelle.et l’OMS recence ces maladies FA et actuellement on a dépassé pour l’ensemble de la planète 100.000 cas de paralysie FA et parmi ces 100.000 cas il y en a 60.000 en Inde. Alors la polio a disparue de l’Inde, mais est remplacée par de FA qui sont 2 fois plus mortelles, je ne vois pas où est l’avantage !Tout ça vous pouvez le retrouver sur l’OMS.
RAPPORT COUT BENEFICE :
NB personnelle: J’arrête là quoi que l’aspect coût soit important, mais sort du cadre de la biologie pure.
mais tout de même ce point particulier « on a mis en parallèle le coût pour l’hépatite B par une vaccination de masse dans les conditions les plus favorables sans tenir compte des effets secondaires et d’autre part ce que nous aurait couté le traitement des hépatites si les gens n’avaient pas été vaccinés.
Voici le résultat que cela a donné, on a divisé la population en 4 groupes :
1- la population générale a faible prévalence comme nos pays, l’amérique, l’australie,
2-Les hommes entre 15 et 40 ans
3- les hommes homosexuels qui sont plus exposés
4- les toxicomanes
Les résultats ; le coût de la vaccination est 20 fois plus cher qu’un traitement de l’hépatite B, 5 fois plus cher chez les hommes de 15 a 40 ans, équivalent pour les homosexuels masculins et les toxicomanes"
Etc…
Bonne lecture!
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« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré