Sinon ces courbes (qui ne présentent que celles qui vont dans le sens de la démonstration voulue alors que les associations pour la liberté vaccinale présentent les deux dans toute sa littérature) ont déjà été présentées par Sen no sen avec quelques commentaires à la clé et qui pourraient se résumer à ces commentaires, aussi, de la théière par :
Matt McOtelett dit :
14 février 2017 à 14 h 29 min
Bonjour owickerman,
le « quelques » me gêne, en cela qu’il suffit de constater de la recrudescence des cas de rougeole aux USA par exemple,
Il y a effectivement une recrudescence des cas de rougeole aux USA comme ailleurs, mais peu se demandent : pourquoi une maladie reconnue comme bénigne avant l’introduction des vaccins est devenue gravissime sans raison apparente ? (et elle n’est pas la seule dans ce cas) Pourquoi aussi, les tranches d’âge où cette maladie apparaissait chez l’enfant (environ 9 ans) s’est trouvée déplacée vers des plus jeunes ou des plus vieux avec une gravité accrue ?
pour voir que les pays occidentaux développés ne sont pas à l’abri si leur couverture vaccinale s’effondre.
Ca c’est l’argument classique invérifiable et invérifié: celui de la peur ! La vaccination c’est la carotte, l’effondrement de la couverture vaccinale, le bâton !
Sauf que c’est un argument sans valeur ! En effet, selon les « officiels » il faudrait une couverture de 90/95 % (selon des raisons mystérieuses !?) pour protéger les populations.
Or, dans nos régions d’Europe, les législations vaccinales sont différentes, avec des époques à vacciner, des doses différentes et des obligations ou non différentes aussi. Donc aucune harmonie sanitaire ! L’ouverture des frontières, les déplacements des populations brassent des foules où d’éventuels contaminants côtoient d’éventuels contaminables et même à 95% aucune couverture n’éviterait ces contaminations possibles (rien qu’en France 5% cela fait plus de 3 millions de contaminateurs possibles, plus tous les voyageurs étrangers)
Ensuite, les vaccinations obligatoires ne concernent que les enfants et les rappels chez les adultes ne sont guère effectués puisque ceux-ci se croient définitivement protégés, à tort !
Or il est quasiment impossible de chiffrer combien d’adultes se font faire leurs rappels régulièrement et sans ceux-ci ils deviennent contaminables et contaminants.
On peut rêver en espérant que ces individus changent d’avis, ce qui n’est même pas envisageable à court ou moyen terme (le cas de la grippe H1N1 en est caractéristique) et donc les populations ne sont probablement « protégées » (sic) que dans des proportions beaucoup plus faibles qu’espérées et donc la couverture de 90 % n’est qu’un mythe et pourtant on ne constate aucune pandémie ou épidémie dans nos pays d’Europe.
Et cela, sans même aborder le fait qu’on ne sait pas toujours soigner les maladies vaccinables,
Comment: on ne sait pas soigner la diphtérie,(sérum, antibiotiques) le tétanos (qui n'est pas contaminant
Devenue très rare en France et en Amérique du Nord depuis les progrès de l'hygiène, puis de la généralisation de la vaccination anti-tétanique, le tétanos touche surtout les sujets âgés dont le suivi vaccinal est insuffisant (le vaccin n'est cependant pas efficace à 100 %, comme pour tous les vaccins). En 1999, on a compté 0,6 cas de tétanos par million d'habitants.
http://www.informationhospitaliere.com/ ... tanos.html
ou la polio ? qui a quasi complètement disparue dès l'introduction d'eau potable dans nos pays.
d’où l’importance de prévenir leur apparition – sachant que celles qu’on sait soigner peuvent provoquer malgré tout de sévères dégâts permanents même si le décès est évité.
Là par contre voilà un véritable argument ! Peut-on éviter de sévères dégâts causés par certaines maladies ? Par la voie, et la voix, officielle, les personnes susceptibles de subir de sévères dégâts sont connus comme étant ceux aux pathologies diverses (et il y en a un nombreux paquet) déjà sous traitement, la plupart du temps, et dont le système immunitaire est déjà défaillant, ce qui ne représente qu’une faible partie de la population (selon la ministre de la santé lors du H1N1). Or une vaccination sursollicite ce système défaillant avec, en plus, ces adjuvants toxiques et donc en amoindri une éventuelle efficacité. C’est donc le serpent qui se mord la queue.
C’est pourquoi madame Bachelot s’est fait injecter du H1N1 sans adjuvant !
Reste le coût évoqué qui semble être un bon argument largement soutenu par les services officiels!
Or c’est un argument à court terme qui ne tient pas compte des effets secondaires des vaccinations et dont l’Etat est responsable, pour les obligatoires, en les indemnisant en cas de pépins.
En France, une victime se verra indemnisée par trois francs six sous, mais en Amérique ce sont des millions qui sont versés aux victimes et s’il en était de même en France, l’Etat, malgré la puissance des lobbies, supprimerait fissa les obligations, laissant chacun se démerder avec ses prises de risques vaccinaux et ses conséquences, et, pour s’harmoniser avec le reste de l’Europe du nord, il finira par le faire et ce sera tous bénéf’ pour lui.
Reprendre, encore une fois, point par point l'argumentaire de Matt, ne changerait rien aux croyances des uns comme des autres, puisque les chiffres donnent raison ou tort successivement à chacun.
Cependant, indépendamment des pressions des lobbies pharmaceutiques, le rôle de l'Etat, c'est de rassurer les populations pour éviter des paniques qui sont ingérables et comme l'effet placebo est important dans ces cas là et que les cas de malades d'un vaccin ou d'un non vaccin sont extrêmement réduits, la pilule vaccin peut aisément passer tant qu'il n'y a pas de catastrophe à l'horizon où, malgré les vaccins, des épidémies se sont déclarées ici et ailleurs.