Vaccinations et santé...pour ou contre?

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).

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izentrop
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Re: Vaccinations et santé...pour ou contre?




par izentrop » 14/04/17, 09:36

Je te l'ai déjà répété : je ne suis pas compétent en la matière, les réponses sont dans le documentaire de France Culture qui fait parler
Anne-Marie Moulin, historienne, auteur de «L'aventure de la vaccination» (éd. Fayard) ; Soizic Courcier, directrice médicale au sein de GSK-France ; Céline Thomas, mère de famille ; Emmanuel Grimprel, responsable du service de pédiatrie à l'hôpital Saint-Antoine et membre du Comité Technique de la Vaccination ...
et aussi les anti-vaccins
Romain Gherardi, directeur de l'Unité INSERM U955 E10 de l'Université Paris-Est et auteur de «Toxic Story» (éd. Actes Sud) et Jacques Bessin, président de l'association de l' Union Nationale des Associations Citoyennes de Santé (UNACS).
Sans parler de la controverse sur Romain Gherardi, tous les arguments des anti et pro vaccins sont détaillés et expliqués.
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janic
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Re: Vaccinations et santé...pour ou contre?




par janic » 14/04/17, 13:49

Je te l'ai déjà répété : je ne suis pas compétent en la matière, les réponses sont dans le documentaire de France Culture qui fait parler

C’est bien là que se trouve le problème qu’est la compétence ou non des intervenants et donc, par répercussion, des auditeurs de ce genre de documentaire
Déjà l’équilibre (la parité !?) avec 5 contre 1 intervenants et sur 55 mn quelques mn accordées à Bessin par exemple.
Indépendamment du contenu futur de ce documentaire, l’orientation en est clairement donnée dès le départ.
Ensuite ces "pro vaccins" sont dépendants de la profession dont dépend leur casse croûte et on ne mord pas le sein qui nourrit. Il est donc quasi impossible d’être crédible lorsqu’il y a conflit d’intérêts.
Ainsi mme Courcier indique que 39 vaccins existent dans leur labos et 15 supplémentaires sont en cours (vive le business !)
Grimpel ne remarque même pas les contradictions de son discours (il faudrait reprendre point par point (comme d’habitude) celui-ci)
Par exemple lorsqu'il affirme que 98% de la population est protégée par la vaccination alors que cela ne concerne que la population des enfants vaccinés, car les adultes sont moins vigilants pour se faire faire des rappels dont chaque pays a une vision différente d'ailleurs (pas d'harmonie vaccinale en Europe!)
Anne-Marie Moulin, historienne, auteur de «L'aventure de la vaccination» (éd. Fayard) ; Soizic Courcier, directrice médicale au sein de GSK-France ; Céline Thomas, mère de famille ; Emmanuel Grimprel, responsable du service de pédiatrie à l'hôpital Saint-Antoine et membre du Comité Technique de la Vaccination ...
et aussi les anti-vaccins

Il faut arrêter ce discours inexact et absurde ou alors il leur faudrait de même et dire les provaccins pour le point de vue conventionnel.
Les associations qui critiquent les vaccins ne le font que sur documentation vérifiable concernant les risques et accidents post vaccinaux avérés (bien en dessous de la réalité soigneusement cachée ou niée avec le sempiternel « il n’est pas scientifiquement prouvé » comme pour l’amiante, l’aspartame, le vioxx, les OGMs, le nucléaire, le gardasil, etc…)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_ ... n%C3%A7ais
Donc les associations en question ne sont pas antivaccins (puisque, en démocratie réelle, chacun est responsable de ses choix de vie pour lui-même et ceux dont il a responsabilité), mais contre les obligations qui ont été levées dans les pays voisins d’Europe du nord essentiellement.
Ce qui souligne l’absurdité des arguments de Grimprel !

Romain Gherardi, directeur de l'Unité INSERM U955 E10 de l'Université Paris-Est et auteur de «Toxic Story» (éd. Actes Sud) et Jacques Bessin, président de l'association de l' Union Nationale des Associations Citoyennes de Santé (UNACS).

Sans parler de la controverse sur Romain Gherardi, tous les arguments des anti et pro vaccins sont détaillés et expliqués.


Il ne faut pas confondre vaccin et adjuvant, chacun ayant un rôle spécifique et le refus des vaccins comme obligatoires est indépendant des adjuvants en question (les adjuvants n’ayant qu’un rôle économique, ça coûte moins cher en produit vaccinal lui-même)
Ensuite ce document de l’OMS est provaccins puisque dépendant des subsides (80%) des labos qui font la promotion de leurs produits.

PS: contrairement à ce que dit mme Moulin, les premières "vaccinations" ont débuté en Chine bien avant JENNER.

Pour revenir au rapport de l’OMS sur la variole, on lit page 74 annexe 2
Cette classification reconnait quatre formes cliniques
1) Variole régulière
C’est la plus courante, que le sujet soit vacciné ou non
2) Variole modifiée
Cette variété qui se voit chez les personnes vaccinées….ces formes modifiées ne sont jamais fatales.
Cette dernière affirmation ne s’est pas trouvée confirmée par les épidémies suivant ces vaccinations et dont la forme des pustules ne laissait aucun doute sur son origine « variolosa vaccinatoria » et non plus « variolosa purpura » ce qui a conduit, entre autres, l'arrêt de cette vaccination dans les armées du pays de Jenner
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Re: Vaccinations et santé...pour ou contre?




par janic » 19/04/17, 09:03

Quelques réflexions du Pr Even sur le système médical sachant qu’il n’est pas anti médicaments (mais selon lui 200 sont vraiment utiles et efficaces sure les 4.000 de la pharmacopée) et que de même il est provaccins mais pas n’importe lesquels, ni n’importe comment.
Donc en vrac :
« il est reconnu partout dans le monde que 80% des études publiées ne sont pas reproductibles donc inexactes (the Lancet, Nature). Tout cela est dû à des erreurs ou des arrangements volontaires des résultats. Les résultats scientifiques en matière de santé sont donc à 80% faux ou falsifiés »
« or le principe de « secret des études « empêche de vérifier la validité des essais des industriels. Ils peuvent présenter des résultats faussés ou arrangés pour obtenir l’AMM et personne ne pourra vérifier la véracité de ce qu’ils avancent… les procès ont montré une différence entre les résultats de l’étude et les résultats concrètement constatés »
« en France , le système de recensement des accidents dus aux médicaments est totalement inefficace. Les médecins déclarent une fois, sur dix les problèmes et çà n’aboutit à rien."
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Re: Vaccinations et santé...pour ou contre?




par pedrodelavega » 19/04/17, 21:13

janic a écrit :Ensuite ces "pro vaccins" sont dépendants de la profession dont dépend leur casse croûte et on ne mord pas le sein qui nourrit. Il est donc quasi impossible d’être crédible lorsqu’il y a conflit d’intérêts.
Comme les pro homéopathies ...
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Re: Vaccinations et santé...pour ou contre?




par janic » 20/04/17, 08:41

janic a écrit :Ensuite ces "pro vaccins" sont dépendants de la profession dont dépend leur casse croûte et on ne mord pas le sein qui nourrit. Il est donc quasi impossible d’être crédible lorsqu’il y a conflit d’intérêts.

Cette partie était liée au passage précédent : « Déjà l’équilibre (la parité !?) avec 5 contre 1 intervenants et sur 55 mn quelques mn accordées à Bessin par exemple.
Indépendamment du contenu futur de ce documentaire, l’orientation en est clairement donnée dès le départ.
Ensuite ces "pro vaccins" sont dépendants de la profession dont dépend leur casse croûte et on ne mord pas le sein qui nourrit. Il est donc quasi impossible d’être crédible lorsqu’il y a conflit d’intérêts.
donc texte et contexte. En clair, ces 5 intervenants n’allaient pas dire du mal de leur business contrairement à Even, cité, qui n’hésite pas à critiquer le système dont il fait pourtant partie.
Comme les pro homéopathies ...

C’est tout à fait exact ! Chacun défend son point de vue avec ses propres arguments. C’est bien pourquoi chacun doit adopter un mode ou un autre en toute conscience et non avec des obligations qui ne se justifient aucunement (pour le DTP) comme la plupart des pays voisins dont ces pathologies ont disparues dans nos régions.
Maintenant, ainsi que je l’ai souligné plusieurs fois, les malades en ont marre des médicaments qui sont supposés leur redonner la santé alors qu’ils ont des effets secondaires souvent pires que la pathologie qu’ils ont souhaité voir guérir. D’où, malgré tous les discours de big pharma, les gens se tournent de plus en plus vers des thérapies moins chargée (ou pas du tout) en effets secondaires comme les médecines dites douces ou alternatives selon les formulations. Or malgré sa puissance financière, ses dénigrements, ses articles pseudoscientifiques, l’industrie pharmaceutique chimique, n’arrêtera pas cette vague du changement et les adversaires d'aujourd'hui se feront demain les hérauts de ce qu'ils combattent actuellement, comme tous les résistants de la dernière heure qui auraient sauvé la patrie des méchants . :evil:
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Re: Vaccinations et santé...pour ou contre?




par janic » 26/04/17, 09:35

a voir absolument
https://www.youtube.com/watch?v=ZwP4rOV93Lg
d'un autiste sur 15.000 en Amérique on est passé à 1 sur 48 actuellement et surtout les garçons 80% suite au ROR
et pour ceux qui doutent encore des décès immédiatement après vaccination:
http://initiativecitoyenne.be/article-i ... 51207.html
Ca n'arrive pas qu'aux autres! :evil:
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Re: Vaccinations et santé...pour ou contre?




par janic » 28/04/17, 09:13

Grippe saisonnière : le grand bal vaccinal
Par Sylvie Simon.

Article du Journal Nexus n° 64 de septembre-octobre 2009.

Quand l'homéopathie soignait la grippe espagnole
En 1921 The Journal of the American Institute of Homœopathy a publié un article qui regroupe les constatations convergentes d'une cinquantaine de médecins homéopathes américains après la terrible grippe dite « espagnole » et prouve que les malades soignés par l'homéopathie ont guéri dans des proportions surprenantes. Ainsi, le Dr Dean W. A. Pearson, de Philadelphie, a recensé 26 795 cas de grippe espagnole traités par des praticiens homéopathes avec une mortalité de 1,05 % alors que la mortalité moyenne était de 30 % chez les adeptes de la médecine classique. Quant au Dr E. F. Soppington, toujours de Philadelphie, il a signalé que les guérisons à l'hôpital homéopathique national atteignaient 100 %. La Société médicale homéopathique du district de Columbia a rapporté 1 500 cas avec seulement quinze décès. « C'est donc par l'homéopathie, bien connue de la majorité des Français, qu'il faudra se soigner au cas où une pandémie surviendrait. Commencez dès aujourd'hui à rechercher un homéopathe compétent pour que vous ne soyez pas démunis lorsque la grippe arrivera, si toutefois le scénario catastrophe se produit, ce qui n'est pas sûr du tout », conseille Jean-Marie Mora, président de la Ligue pour la liberté des vaccinations.
Chaque année, en automne, nous sommes harcelés par les spots publicitaires faisant la promotion du nouveau vaccin contre la grippe qui tel le Beaujolais nouveau est enfin arrivé, et nous pressant d'être parmi les heureux bénéficiaires car « il risque de ne pas y en avoir pour tout le monde ». Ce vaccin protégerait d'une maladie « très dangereuse et souvent mortelle », particulièrement pour les personnes âgées.
Déjà, l'an dernier, malgré les promesses de notre gouvernement de réduire les dépenses de santé, les caisses d'assurance maladie sont allées plus loin que de coutume en envoyant des courriers à 9 millions de personnes, afin que les vaccinés de l'année passée n'oublient pas de se refaire vacciner, mais en incitant également ceux qui n'avaient jamais voulu recevoir ce vaccin à l'accepter enfin. Le fameux « trou de la Sécu », qui a largement dépassé les 22 milliards, serait-il finalement moins grave qu'on nous le dit ?[*]

Un vaccin inutile ?
Les pouvoirs publics ignorent certainement toutes les publications médicales qui leur prouveraient pourtant que les dépenses pour ce vaccin sont parfaitement inutiles. Et surtout, ils veulent nous convaincre que la vaccination réduit de 50 % les risques de mortalité chez les gens âgés en hiver. Nombre d'études, citées à tout va dans les médias, l'affirment. Or il s'agit là d'une impossibilité absolue, car la mortalité par la grippe, qui atteint son point culminant en janvier-février, n'est responsable que de 5 % de la mortalité des gens âgés. Aussi, l'affirmation que le vaccin « diminue de moitié et même plus les risques mortels » est une contre-vérité.
Une seule équipe de chercheurs, celle du Dr Lone Simonsen, de l'université George Washington aux États-Unis, a découvert l'absurdité de ces statistiques. « Que le vaccin contre la grippe épargne 10 fois plus de morts que la maladie elle-même n'en occasionne n'est pas possible », affirment-ils. Personne d'autre que cette équipe ne semble avoir analysé correctement ces statistiques.
Le Dr Simonsen a également signalé que l'augmentation massive des vaccinations contre la grippe depuis 1980 n'a pas fait diminuer la mortalité chez les gens âgés. Pourtant, les gens âgés sont particulièrement ciblés par les grands médias qui ignorent, eux aussi, toutes les études qui discréditent ce vaccin. Ainsi, le journal médical The Lancet Infectious Diseases a confirmé que des erreurs dans les études sur ce vaccin ont conduit à « beaucoup exagérer ses bénéfices », et qu'il n'existe pas assez de preuves pour savoir à quel point ce vaccin peut parfois sauver des vies, « ni même s'il en sauve une seule ». C'est pourquoi, le 25 septembre 2007, le journal anglais The Guardian titrait : « Le vaccin contre la grippe n'est sans doute pas utile pour les patients âgés ».
C'est même certain. En effet, lorsqu'aux États-Unis l'incidence vaccinale est passée de 20 % en 1980 à 65 % en 2001, la mortalité est restée la même alors qu'on espérait une baisse des décès d'au moins 40 %. Cette découverte est majeure et significative, mais des études complémentaires ont tout de même été réclamées pour savoir si le vaccin est efficace pour ces gens. Entre-temps, la vaccination se poursuit car « même un vaccin peu efficace est meilleur que pas de vaccin du tout ».
À part pour le profit des laboratoires, il est scientifiquement difficile de savoir pourquoi.

Inefficace selon le Projet Cochrane
Dernièrement, s'est tenu à Rome un congrès international appelé « Projet Cochrane » afin de faire le point sur la vaccination contre la grippe depuis 37 ans. Dans le rapport qui regroupait 51 études sur 260 000 enfants, les chercheurs ont conclu qu'il n'existait pas la moindre preuve que la vaccination des enfants entre 6 et 23 mois avait une quelconque efficacité. Et d'après 25 études comprenant 60 000 adultes, le groupe Cochrane a estimé que la vaccination réduisait le risque de grippe d'à peine 6 %, pour les personnes en bonne santé. Quant aux gens âgés, après avoir passé en revue 64 études, le groupe Cochrane a conclu qu'aucune étude ne permettait de constater l'efficacité du vaccin (voir The Cochrane Database of Systematic Reviews « Vaccines for preventing influenza », 1-2006).
Une autre étude, menée afin de déterminer si l'incidence de la grippe avait diminué dans l'Ontario après l'introduction d'une campagne d'immunisation gratuite pour 12 millions d'individus en 2000, et parue dans le journal médical américain Vaccine du 5 avril 2006, a abouti aux mêmes conclusions. Tous les cas de grippe advenus entre 1990 et 2005 ont été évalués et le Dr Dianne Groli, qui a mené cette recherche à l'université d'Ottawa, a constaté que lorsque la campagne a commencé en 1990, l'incidence s'élevait à 109 cas pour 100 000 personnes. Or, après le début de la campagne, l'incidence était montée à 164 cas. Ainsi, en dépit de cette intense vaccination, l'influence de la maladie n'avait pas diminué, bien au contraire : « Cette campagne a coûté aux contribuables de l'Ontario plus de 200 millions de dollars, sans pour autant diminuer l'incidence de la maladie ».
Déjà, le 10 août 1974, The Lancet publiait les résultats d'une étude faite sur 50 000 employés des postes vaccinés contre la grippe : « Les résultats jusqu'à présent obtenus démontrent que l'offre annuelle d'une injection du vaccin dans une vaste industrie n'a pas entraîné une réduction significative de la maladie. »
Selon le Dr J. Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrôle des vaccins qui travaille avec la FDA : « Il n'existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu'il ne sert à rien, mais ils continuent néanmoins à le vendre. »
Et en mars 2009, nous apprenions par le Dr Deb Brandt, du Rapid City Medical Center's Urgent Care, que sur 106 patients atteints de grippe saisonnière, 50 % avaient été vaccinés cette année-là.
Au Japon, où la vaccination de masse contre la grippe pour les enfants des écoles a été rendue obligatoire en 1976, programme unique au monde qui devait supprimer toute épidémie de grippe, le pourcentage des personnes atteintes par la grippe est passé de 5 pour 100 000 à 60 pour 100 000. Ces chiffres montrent non seulement une absence totale d'effet protecteur de la vaccination, mais plutôt un effet aggravant, comme ce fut le cas dans l'Ontario.

Pas de preuve scientifique
La France ne fait pas exception. Le Dr Jean-Michel Dubernard, chirurgien réputé et membre du collège de la Haute Autorité de Santé depuis 2008, a signalé qu'il « n'existe pas de preuve scientifique sur l'utilité des vaccins », mais personne ne semble l'avoir entendu.

https://www.senat.fr/rap/r06-476/r06-47614.html
"M. Eric Guez a considéré que la défiance à l'égard du vaccin relève, en France, d'un manque de confiance dans les résultats.
Le président Jean-Michel Dubernard, député, en a convenu, rappelant qu'il n'existe pas de preuve scientifique sur l'utilité des vaccins."


Tandis que ces pouvoirs publics prétendent essayer par tous les moyens de réduire le déficit gigantesque de la Sécurité sociale, tout en nous menaçant de graves séquelles si nous ne sommes pas vaccinés, personne ne semble attacher la moindre importance aux publications médicales qui leur prouveraient pourtant que les dépenses pour ce vaccin sont parfaitement inutiles.
Le BEH (Bulletin épidémiologique hebdomadaire) a publié une évaluation de l'efficacité du vaccin antigrippal en 1995, parmi les appelés d'une unité basée à Montlhéry. Cette étude a conclu que la couverture vaccinale ayant été de 24 % pour un premier groupe et de 84 % pour le second, « aucune différence significative d'incidence n'a été observée ».
Deux ans plus tard, le Dr Fabrice Carrat de l'Inserm nous prévenait qu'une expertise collective, pilotée par l'Inserm, avait conclu à l'inanité de l'argument économique pour la promotion de la vaccination des actifs contre la grippe. « Les sept jours d'arrêt de travail supposés inéluctables lors d'une grippe sont loin de refléter la réalité. » Il concluait que la perte de production n'excède pas quatre jours, d'autant qu'un quart des malades ne s'arrête pas du tout (voir Panorama du médecin, 13 février 1996 - n° 4356)
Et le 2 avril 1998, le même journal remarquait : « Le vaccin est de toute évidence très peu efficace ». D'ailleurs, très peu de médecins sont vaccinés contre la grippe et Médecine et enfance de novembre 1997 s'interrogeait à ce sujet : « Alors qu'ils sont d'excellents avocats de la vaccination auprès de leurs patients, les médecins ne semblent pas, en revanche, être convaincus de son utilité pour eux-mêmes ».

Le coût des effets secondaires
Il est difficile d'évaluer le coût de nos campagnes de vaccinations antigrippales, mais il représente une fortune, d'autant que les effets indésirables ne sont pas négligeables. Il serait donc indispensable de connaître le coût des maladies engendrées par le vaccin afin de l'ajouter au prix de la vaccination. Mais ceci est impossible car bien des accidents ne sont jamais signalés et dans les cas de décès, on établit rarement le lien entre le décès et le vaccin.
Ainsi, au cours de la semaine du 16 au 22 octobre 2006, quatre personnes, âgées de 53 à 76 ans, sont décédées en Israel. Toutes avaient été vaccinées la même semaine contre la grippe avec le vaccin fabriqué par le laboratoire Sanofi-Aventis. Le ministre de la Santé israélien a immédiatement suspendu la vaccination, mais à peine deux jours plus tard, le ministre annonçait : « On n'a trouvé aucun lien entre cette tragédie et la vaccination antigrippale ». On peut douter de la rigueur de cette expertise éclair pour déterminer les causes des décès. Par ailleurs, sans attendre le rapport des experts que le fabricant devait envoyer sur place, le Pr Manfred Green du CDC d'Atlanta a déclaré, tout aussi rapidement, qu'il n'existait aucun rapport entre ces quatre décès et le vaccin.
Dès cette annonce, Xavier Bertrand, alors ministre de la Santé, a saisi l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) afin d'évaluer très rapidement la situation. Respectant les deux jours considérés comme un « délai raisonnable » pour ce genre d'expertise à distance, le 24 octobre 2006, nous apprenions que : « Le ministère de la Santé et de la Solidarité maintient la campagne de vaccination anti-grippe en France », car cette réunion a permis de confirmer que « rien n'indique que ces décès soient liés au vaccin et qu'aucune situation similaire à celle connue en Israel n'a été à ce jour rapportée en France ni dans d'autres pays. »
Lorsqu'on analyse en détail cette affaire, pour expliquer ces décès, il existe de nombreuses affirmations qui devraient être examinées et que personne n'a encore relevées. Tout d'abord, « les décédés souffraient tous de problèmes chroniques, de maladies cardiaques ou de diabète ». Cette vaccination est administrée à des sujets à risques, cardiaques ou respiratoires, car on prétend les protéger à cause de leur fragilité. Or, c'est à présent ce que l'on évoque pour expliquer ces décès.Ensuite, « les décédés avaient été vaccinés l'année précédente sans aucun problème ».

Le vaccin de trop
En réalité, dans le paradigme médical actuel, les autorités ne peuvent considérer qu'un vaccin puisse être la goutte d'eau qui fait déborder le vase. En 1974, dans les Annales internes de médecine (volume 81, page 584), le Dr C. White avait déjà publié une mise en garde contre les immunisations à répétition et leurs possibles effets adverses. Et dans Le Concours médical du 12 octobre 1996, le Dr C. Knippel partageait cette inquiétude au sujet « d'une vaccination contre une maladie non mortelle qui est appelée à être répétée tous les ans ».
En outre, les autorités sanitaires arguent du fait qu'a aucune situation similaire à celle connue en Israel n'a été à ce jour rapportée en France ni dans d'autres pays. L'ex-ministre de la santé a sans doute oublié qu'entre le 9 et le 20 janvier 2004, 17 personnes âgées de plus de 90 ans, toutes vaccinées contre la grippe, ont manifesté des symptômes pulmonaires disparates, et 9 d'entre elles sont décédées de la grippe. Philippe Blanchard, directeur de la Ddass, rétorquait alors : « Chez les personnes âgées, le vaccin est peu actif ». S'il est « peu actif » pour protéger de la grippe, pourquoi inciter massivement les personnes âgées à se faire vacciner ?

Morts « naturelles » en série
La France a aussi omis le fait qu'entre le 13 et le 27 février 2005, 13 personnes âgées de 82 à 99 ans, toutes récemment vaccinées contre la grippe, sont décédées dans une maison de retraite à Faulx, près de Nancy. Selon le directeur départemental des affaires sanitaires et sociales, Philippe Michel, joint par l'AFP, huit de ces personnes « ont été victimes de la combinaison d'un virus de la grippe et d'une bactérie de type pneumocoque ». Les cinq autres sont décédées de mort naturelle, par hasard, comme les victimes en Israel. Cinq personnes sont décédées en dix jours de « mort naturelle » dans le même établissement, et aucun média ne s'en est véritablement inquiété.
Quant aux autres pays, en janvier 1998, Le Quotidien du médecin du 13 février 1998 signalait que 31 personnes étaient décédées de la grippe dans un établissement médico-social de Zurich. La plupart ayant été vaccinées à l'automne, il aurait été opportun de se demander si le vaccin n'avait pas de rapport avec ces décès massifs.
Si l'on a parlé de ces cas, c'est parce qu'ils étaient groupés dans des maisons de retraite. Or, les cas isolés, pourtant très nombreux, sont laissés de côté, car on établit rarement le lien entre le décès et le vaccin, et bien des accidents ne sont jamais signalés ou sont peut-être étouffés. Ainsi, en 1999, un matin, plusieurs chaînes d'informations ont signalé que Jean Marais venait d'être hospitalisé pour de graves troubles respiratoires après la vaccination contre la grippe, administrée la veille. L'information fut reprise par plusieurs radios et certaines chaînes au journal télévisé du déjeuner, mais, dès le soir, la censure (ou simplement une forme d'autocensure) était sans doute intervenue car la mention de la vaccination antigrippe avait été soigneusement retirée. Jean Marais luttait contre la mort « pour une raison inconnue ».

Longue liste d'effets secondaires
Parmi les nombreux effets secondaires, dont parfois la grippe elle-même, il faut citer, des péricardites aiguës, des problèmes cardiaques, des vertiges et céphalées, mais également des pathologies neurologiques : encéphalites, myélopathies, occlusion de la veine centrale de la rétine, paraplégies, radiculite, sans compter l'aggravation de l'arthrite inflammatoire dont sont atteints la plupart des gens âgés.
Le Dr William Frosehaver,qui fut président du comité d'accréditation médicale pour l'État de l'Illinois, professeur associé de médecine préventive et de santé communautaire à l'école de Médecine de l'université de l'Illinois et qui a pratiqué la pédiatrie pendant plus de trente ans, estimait que « Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même. » À son tour, alors qu'il était beaucoup plus indépendant de l'industrie pharmaceutique qu'il ne l'est à présent, le CDC indiquait en 1977 : « L'évidence suggère que les personnes qui sont vaccinées contre la grippe ont approximativement dix fois plus de chance de contracter le syndrome de Guillain-Barré que celles qui n'ont pas été vaccinées. »
Quant au Pr R. DeLong, virologiste et immunologiste de l'université de Toledo aux États-Unis, il estime que « l'introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et des processus d'infection ».

Un cocktail toxique
Pas plus que les constats de non-efficacité du vaccin, ces mises en garde n'ont guère empêché les auteurs du Guide des vaccinations d'affirmer : « La grippe constitue un problème majeur de santé publique contre lequel nous ne disposons que d'une arme opérationnelle : la vaccination. » Le guide ne rappelle pas qu'outre les virus de la grippe, le vaccin contient des antibiotiques, des protéines de poulet, du thiomersal, dérivé du mercure très toxique, et du formaldéhyde, classifié dans le même groupe de drogues que le cyanure et l'arsenic, qui crée également des dommages dans certaines protéines des cellules comme les enzymes, microtubules et autres, et il semblerait même qu'il peut détériorer l'ADN, accroître l'activité carcinogène et générer des effets mutagènes. Toutefois, ce vaccin est l'un des rares ne contenant pas d'aluminium.
À ce sujet, le Dr Hervé Staub a envoyé une lettre au médecin-conseil de la CPAM de Strasbourg, pour lui signaler que cette vaccination n'est pas dénuée de risques, « non seulement à cause de certains adjuvants contenus dans l'un ou l'autre de ces vaccins, mais aussi pour des raisons liées à la constitution du vaccin lui-même. Ce dernier aspect est éclairé par les travaux du prix Nobel de médecine 2006 sur les ARN doubles brins. En effet, ces ARN bloquent certains gènes sur la chaîne d'ADN. Or, le vaccin antigrippe est constitué de fragments d'ARN doubles brins. Il risque, par conséquent, de bloquer certains gènes du receveur. Ce risque va être accentué chez les personnes âgées dont la fonction cellulaire est souvent fragile, avec blocage de certains gènes déjà déficients. D'où l'installation d'un fonctionnement perturbé des cellules dont les neurones. Ce fonctionnement déficient provoqué des neurones peut très bien constituer l'un des paramètres contribuant à l'éclosion grandissante de la maladie d'Alzheimer ».
Et en mars 2009, nous apprenions par le Dr Deb Brandt, du Rapid City Medical Center's Urgent Care, que sur 106 patients atteints de grippe saisonnière, 50 % avaient été vaccinés cette année-là.

Un marché mondial de 3 milliards
On analyse sous un autre angle ces dérives lorsqu'on apprend que, d'après le groupe de recherche indépendant Datamonitor, le marché mondial du vaccin contre la grippe pourrait dépasser les 3 milliards de dollars d'ici 2010, alors qu'en 2005 il était estimé à 1,6 milliard. Le principal bénéficiaire serait Sanofi-Aventis, avec un revenu de 835 millions de dollars en 2005.
D'ores et déjà, nous pouvons imaginer quelle va être la pression dès le mois de septembre, avec la grippe porcine, rebaptisée grippe A. Étant donné que le vaccin contre la grippe A ne sera pas encore prêt, sous l'emprise de la peur distillée par le discours des laboratoires, des services publics, des médias et de certains médecins, la population non informée va se précipiter sur le vaccin classique et sans doute sur un autre vaccin : celui contre le pneumocoque. Ce dernier est fortement recommandé par le Collège national des généralistes enseignants, afin de « prévenir les surinfections pulmonaires bactériennes qui pourront être engendrées par la grippe A ».
En résumé, la nouvelle usine de Sanofi-Aventis-Pasteur qui va être construite au Mexique a de beaux jours devant elle. Elle permettra au laboratoire de basculer aisément de la production de vaccin contre la grippe saisonnière (soit 25 millions de doses annuelles), à celle de vaccin contre la grippe pandémique. Ainsi, la mise de fonds de 100 millions d'euros sera vite récupérée, pour le grand profit des investisseurs.

A propos de l’auteure.
Sylvie Simon est journaliste et auteur des Dix plus gros mensonges sur les vaccins (Éditions Dangles), et de Ce qu’on nous cache sur les vaccins (Éditions Delville).

Dernière mise à jour : 01-09-2009 18:44
http://www.fangpo1.com/ja/content/view/732/2/


et après cela, il reste des hypocondriaques scientistes qui crient haut et fort que ce n'est pas scientifique, alors qu'est-ce qui peut l'être? :evil:
[*] déjà indiqué dans l'homéopathie en Inde.
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Re: Vaccinations et santé...pour ou contre?




par janic » 06/05/17, 10:05

Anne G . est docteur en génotoxicologie et cadre de l’industrie pharmaceutique, mais aussi une mère soucieuse de la santé de ses enfants afin de leur éviter des souffrances et maladies graves. Mais dans le cadre de la protection de santé, un élément est considéré comme primordial : la prévention par la vaccination qui est remise en cause par certains. Aussi en tant que scientifique spécialiste en toxicologie et en tant que mère, s’est elle penché sur le sujet en comparant les divers points de vue. Sa première interrogation se porte sur l’absence du seul groupe de vaccin obligatoire en France ; le DTP: comment est-ce possible dans un pays comme le notre ? Certes il y a bien un vaccin héxavalent sur le marché mais qui pose un problème juridique à savoir que l’Etat est responsable uniquement des effets secondaires des vaccins obligatoires, mais pas des facultatifs ajoutés au DTP. Donc pas de recours possible auprès de l’Etat pour les accidents post vaccinaux dont sont victimes quelques enfants, principalement, allant même jusqu’au décès de certains en relation, directe et incontestable, avec les vaccins injectés et les parents en sont pour leurs frais monétairement et socialement.
D’où son enquête sur le sujet et qui lui a créé quelques surprises.
Ainsi Sanofi Pasteur est-il disposé à mettre gratuitement à la disposition des « légalistes » un vaccin uniquement DTP, mais comme celui-ci n’a pas d’agrément AMM, il reste illégal et donc non couvert par l’Etat en cas de problèmes qui resteront à la charge des parents pour les frais de soins engendrés ensuite.
D’où la question qui, professionnellement, lui vient à l’esprit qui est celui du bénéfice risque mis en avant par les scientifiques au service de l’Etat. Risques physiques bien entendu, mais aussi risques financiers sans protection de l’Etat, risques sociaux par les exclusions qu’induisent ces vaccins (obligatoires), par les risques professionnels en cas de non vaccination pour certains corps de métiers.
Mais au-delà des vaccins eux-mêmes se pose aussi la question des adjuvants qui font l’objet de questionnements des populations comme sur l’aluminium, le mercure, sans oublier les autres produits ajoutés comme les conservateurs à la toxicité qui apparait de plus en plus comme le formaldéhyde .
Donc l’aluminium a fait l’objet d’études et de réglementations aux USA avec des limites à ne pas dépasser par la FDA et que le Pr Shaw de la British Colombia University de Vancouvert soulève et où il apparait qu’un bébé de 4 kg reçoit par les vaccins 40 fois la dose d’aluminium considérée comme toxique par la FDA. De même selon le Dr Pilette qui se réfère à 1.761 références bibliographiques internationales a calculé les doses : « avec son premier vaccin héxavalent un nourrisson reçoit 827 fois la dose d’aluminium considérée comme normale, pour le bébé, dans son sérum ; 330 fois la dose d’aluminium considérée comme supérieure ; 220 fois la dose d’aluminium considérée comme maximum admissible ; 55 fois la dose d’aluminium capable de lui causer des troubles du système nerveux et 33 fois la dose capable de provoquer chez lui une encéphalopathie »
Ainsi , lors d’une table ronde, Nathalie Garçon, spécialiste des adjuvants et représentant GSK déclarait en 2002 « l’adjuvant aluminique autorisé pour les humains est le plus empirique. Personne ne connait comment il fonctionne, personne ne connait sa biodistribution »
Etrange aussi ce double discours de Marisol Touraine d’abord en tant que députée de l’Indre et Loire : « (les familles) doivent également avoir le choix de faire procéder aux vaccinations obligatoires avec des vaccins sans sel d’aluminium d’autant que c’était le cas jusqu’en 2008» suivi de son discours en tant que ministre de la santé imposant à ces mêmes familles le vaccin héxavalent contenant des quantités élevées d’aluminium.
Ainsi voit-on l’aluminium retiré de certains produits vétérinaires, des déodorants et d’une façon générale tout ce qui entre en contact avec l’organisme, même l’ANSM qui a rédigé un rapport en 2011 « sur l’évaluation des risques de l’aluminium dans les produits cosmétiques », mais pas touche aux vaccins injectés dans l’organisme des bébés.
Ainsi sur une quantité totale d’hydroxyde d’aluminium seuls 11% seront éliminés par les urines le reste restant dans le sang, dans les reins, le cerveau et les autres organes et seulement 22% d’éliminés concernant le phosphate d’aluminium. Selon Nathalie Garçon, toujours, il est techniquement impossible de suivre l’aluminium et on ne peut pas faire de recherche pharmacocinétique

La pharmacocinétique, parfois désignée sous le nom de « l'ADME » (voir plus loin) et qui suit la phase biopharmaceutique, a pour but d'étudier le devenir d'une substance active contenue dans un médicament après son administration dans l'organisme. Elle comprend, après la phase biopharmaceutique précédant le premier passage trans-membranaire, quatre grandes étapes:
1. absorption (A) ;
2. distribution (D);
3. métabolisme (M);
4. excrétion du principe actif et de ses métabolites (E).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pharmacocin%C3%A9tique


Ainsi le Vidal concernant l’Infanrix hexa, l’hexyon et d’autres indique que « l’évaluation des propriétés pharmacocinétiques N’EST PAS REQUISE POUR LES VACCINS". De même sur l’EMEA lit-on : « La tolérance et l’efficacité d’Infanrix hexa chez les enfants de plus de 36mois n’ont pas été établies. Aucune donnée n’est disponible » et l’on demande aux parents de faire vacciner leurs enfants avec un produit dont l’efficacité et la tolérance sont inconnus.
Mieux encore, si c’est possible, le Dr jean François Saluzzo ancien directeur des vaccins et chef de projet dans le secteur Recherche et développement chez Sanofi indiquait dans une conférence à la 50° mn « On ne comprend pas comment marchent les vaccins » puis « on ne connait pas vraiment comment marchent les vaccins » et plus loin « le risque potentiel c’est l’introduction d’un virus à l’intérieur de vaccin final comme pour le SV40…..ça s’est reproduit et se reproduira » après cette vidéo il essaiera de se justifier « les vaccins ont été développés de façon empirique(…) on ne connait pas le mécanisme qui peut aboutir à l’atténuation des virus comme on ne connait pas le mécanisme qui permet à un vaccin de répondre de façon précise » Grosso modo on sait qu’on ne sait rien, mais on fait comme si l’on savait, c’est du Diafoirus pur et dur !

Définition de Diafoirus
(Thomas), père et fils, personnages du Malade imaginaire de Molière, médecins ignares et pédants.


Toute cette politique vaccinale pose d’ailleurs un problème de fond puisque la loi impose des vaccinations pédiatriques obligatoires, mais elles cessent de l’être chez les adultes lors même que l’on sait pertinemment que la protection vaccinale (supposée) n’est que limitée dans le temps avec des nuances importantes selon les pays. La cohérence ne serait-elle pas de continuer ces obligations toute la vie des individus ou bien le législateur (sous influence des labos) craint-il un retour de bâton par des pathologies secondaires couteuses en soins et qui ne pourraient plus être niées comme actuellement.
L’autre problème éthique c’est celui du manque de comparaison par des études indépendantes de populations vaccinées et de non vaccinés sur une très longue période, voire toute une durée de vie humaine afin d’éliminer les a priori de part et d’autre chez les pour et les contre. Or à de rares exceptions elles n’existent pour ainsi dire pas, de façon indépendante surtout.
Enfin la question des anti corps comme preuve d’immunité donnée par le vaccin et qui disparaissent au bout d’un certain temps très aléatoire. Or même en présence d’anticorps certaines pathologies apparaissent malgré ces derniers comme si les anticorps ne se présentaient pas comme des mesures de protection efficaces mais plutôt comme une tentative d’élimination d’un intrus comme pour n’importe quelle introduction de corps étranger dans celui-ci par blessure, piqure, morsure et autres. La persévérance de ces anticorps (qui n’interviennent selon certaines estimations que pour 5% environ) n’indiqueraient-ils pas plutôt l’état permanant d’infection que l’organisme ne parvient plus à juguler comme un feu qui couve avant d’enflammer toute la forêt (d’où les épidémies post vaccinales relevées au fil du temps) ?

Je reviendrais ultérieurement sur la suite de cette intervention d’Anne G parue dans Nexus n° 106 qui décortique le sujet plus encore.
Dans l’immédiat, je travaille sur le décorticage du rapport du Sénat (qui fait 111 pages) sur les vaccinations et c’est d’un savoureux comme discours contradictoire aussi.
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Re: Vaccinations et santé...pour ou contre?




par izentrop » 11/05/17, 22:28

Victoire des anti-vaccins : 50 cas de rougeole d'un seul coup
Des activistes anti-vaccins ont rencontré à plusieurs reprises des familles d’origine somalienne au Minnesota, dans le but de les convaincre des risques de la vaccination. Résultat : une montée en flèche des cas de rougeole chez les enfants de la communauté.

Parmi ces activistes : Andrew Wakefield, l'auteur de la fable de 1998 sur un lien entre vaccin et autisme. Avec près de 50 cas de rougeole jusqu’ici recensés en moins de six semaines, il s’agirait de la pire éclosion de rougeole dans cet État du Nord des États-Unis, depuis trois décennies.

Ce n’est pas la première fois que des éclosions de rougeole sont signalées dans un coin ou l’autre des États-Unis et du Canada — l’une s’est produite au Québec, près de Joliette, en 2015. Elles sont chaque fois associées à des groupes de parents qui, pour des raisons religieuses ou « philosophiques », refusent de faire vacciner leurs enfants. http://www.sciencepresse.qc.ca/actualit ... -seul-coup
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Re: Vaccinations et santé...pour ou contre?




par janic » 12/05/17, 08:25

Victoire des anti-vaccins : 50 cas de rougeole d'un seul coup
Des activistes anti-vaccins ont rencontré à plusieurs reprises des familles d’origine somalienne au Minnesota, dans le but de les convaincre des risques de la vaccination. Résultat : une montée en flèche des cas de rougeole chez les enfants de la communauté.

Parmi ces activistes : Andrew Wakefield, l'auteur de la fable de 1998 sur un lien entre vaccin et autisme. Avec près de 50 cas de rougeole jusqu’ici recensés en moins de six semaines, il s’agirait de la pire éclosion de rougeole dans cet État du Nord des États-Unis, depuis trois décennies.

Ce n’est pas la première fois que des éclosions de rougeole sont signalées dans un coin ou l’autre des États-Unis et du Canada — l’une s’est produite au Québec, près de Joliette, en 2015. Elles sont chaque fois associées à des groupes de parents qui, pour des raisons religieuses ou « philosophiques », refusent de faire vacciner leurs enfants. http://www.sciencepresse.qc.ca/actualit ... -seul-coup


Encore et une fois de plus de la contre information mensongère, comme d’habitude.
a) Wakefield n’est pas CONTRE la vaccination contre la rougeole puisqu’il a mis au point un vaccin antirougeoleux unique.ce qui lui a d’ailleurs suffisamment été reproché.
b) Il n’a pas dit que le vaccin antirougeoleux donnait l’autisme mais que parmi ses malades, avec problème gastriques, sur quelques uns la coincidence entre vaccin et autisme était suspecte et cela confirmé par ses 12 autres collaborateurs.
c) La rougeole a toujours été une maladie infantile bénigne pour la majorité des enfants lorsque n’existait pas de vaccins et cela fait partie des immunités que construit l’organisme
d) Avec 97% de la population américaine INFANTILLE supposée vaccinée, il reste 3% des 4.000.000 de naissances annuelles sur 20 ans soit 80.000.000 d’enfants cela donne 2.400.000 individus non vaccinés ou 7% selon ce même article donc 5.600.000 non « protégés » qui pourraient être contaminants, au minimum entre eux: où sont les hécatombes chez ces non vaccinés ? et on voudrait nous faire croire que ces 2 à 5 millions sont protégés par les autres ? C’est comme prétendre que si 97% d’une population possède un parapluie, les 3% restants s’en trouveront protégés de la pluie ! Ces chiffres peuvent d’ailleurs être étendus à toute la population américaine. C'est fini cette époque où les individus restaient toute leur vie dans leur petit village sans contact avec l'extérieur, la communication incessante des populations par automobile, avions, etc... crée un mélange qui permet une diffusion possible de tout un tas de pathologies et pourtant, vaccinés ou pas, on ne constate pas d'épidémies là où les mesures d'hygiène générales sont suffisantes
e) Où ces somaliens ont-ils chopés cette pathologie si la population est supposée protégée et donc non contaminante ? etc…

Tissus d’inexactitudes, voire de mensonges , on ne sait plus à qui se fier ! :evil:

En France aussi, les vaccins actuels sont soupçonnés d'être pathogènes:
Son discours peut être dangereux pour la population"
Le cancérologue montpelliérain avait fait l'objet d'une plainte du Conseil national de l'Ordre des médecins en juin 2015, pour la mise en ligne (toujours active) d'une pétition à l'attention de la ministre de la Santé Marisol Touraine mettant en garde sur la présence d'"aluminium et de formaldéhyde, deux substances dangereuses voire très dangereuses pour l'humain et en particulier le nourrisson", dans le vaccin hexavalent DTPolio-Hib-Coqueluche-Hépatite B, appelé Infanrix Hexa. Depuis septembre 2014, d'après Henri Joyeux, le recours à ce vaccin serait généralisé car "la situation s'est encore aggravée avec une pénurie généralisée de vaccins tétravalents (DTpolio-Coqueluche) et pentavalents (DTPolio-Hib-Coqueluche)". Cette pétition avait recueilli au 10 juillet plus d'un million de signatures.[*]
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/vaccins-le-professeur-joyeux-radie-de-l-ordre-des-medecins_29104

[*] il n'y a pas 1 million d'antivaccinalistes en France, mais les parents font de moins en moins confiance aux discours officiels sur l'innocuité de ces vaccins. Ce site d'éconologie montre d'ailleurs combien les avis sont partagés. Cette exclusion par l'Ordre des médecin souligne bien la dépendance entre cet ordre vichyssois et les lobbys pharmaceutiques.
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