Quatre personnes, parmi les étudiants et le personnel, ont récemment contracté la rougeole sur le site du campus de Villeneuve-d’Ascq. Si le site n’a pas été fermé, des rappels à la vaccination ont été lancés pour faire face à cette maladie très contagieuse et aux conséquences pouvant être graves. http://www.lavoixdunord.fr/313122/artic ... e-de-lille
La rougeole : point épidémiologique et vaccination
http://inpes.santepubliquefrance.fr/10000/themes/rougeole/index.asp
12-10-2011 / màj 05-01-2018
En trente ans, le nombre de cas de rougeole a beaucoup diminué grâce à la vaccination. Mais à partir de 2008, une épidémie de rougeole a sévit en France. Alors que seulement 40 cas étaient déclarés en 2006 et 44 en 2007, on est passé à 600 cas en 2008, 1 500 en 2009, plus de 5 000 cas en 2010 et près de 15 000 cas en 2011, où toutes les régions métropolitaines ont été touchées. Entre le 1er janvier 2008 et le 31 décembre 2016, soit en neuf ans, plus de 24 000 cas de rougeole ont été déclarés en France (dont près de 15 000 cas pour la seule année 2011). Près de 1 500 cas ont présenté une pneumopathie grave, 34 une complication neurologique (31 encéphalites, 1 myélite, 2 Guillain-Barré) et 10 sont décédés. Le nombre de cas a fortement diminué en 2012, puis est resté stable en 2013 et 2014 (respectivement 859, 259 et 267 cas déclarés). En 2015, le nombre de cas augmentait de nouveau (364 cas), en lien avec un important foyer épidémique en Alsace (230 cas). En 2016, 79 cas ont été déclarés, témoignant d’une circulation moindre du virus de la rougeole.
La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, elle-même, évoquait d’ailleurs le retour de la rougeole, maladie à déclaration obligatoire, avec « la mort de dix enfants depuis 2008 », pour mettre en avant son plan vaccinal.
« il s’agit d’un défi de santé publique avec des enfants qui meurent de la rougeole » lors même qu’en 10 ans aucun enfant n’est mort en bas âge, vacciné ou non, et la majorité des 11 victimes recensées étaient des adultes et des personnes immunodéprimées (Rapport de l’INPES)
Alors? maladie bénigne qui mérite bien son nom? ou bien maladie mortelle?
Un petit calcul simple que madame la ministre ne doit pas savoir faire :10 personnes sur 10 ans cela fait 1 décès par an. (l’INPES ne dit pas des enfants) C’est loin de représenter une épidémie mortelle! Quant au nombre de cas, il a été spécifié précédemment, répété ci dessous, par les autorités médicales que c’était, (avant les campagnes de vaccination), une maladie bénigne qui ne contaminait les adultes ce si ceux-ci n’avaient pas fait cette maladie infantile dans leur jeunesse et pouvait alors avoir un caractère plus grave. Or, la rougeole en tant que maladie infantile touchait la quasi totalité des enfants depuis toujours (pour notre époque!) et peu de cas graves, voire mortels.
La lecture de la mortalité en France laisse apparaitre des morts en bien plus grande quantité ailleurs, ne serait-ce que par manque d’hygiène et de contamination dans les hôpitaux
""Le vaccin contre la rougeole, une nécessité à relativiser
Par Anny Poursinoff
Publié le 31 mai 2011 à 10h25
https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-n ... viser.html
"La France et d’autres pays comme la Suisse connaissent une forte recrudescence de la rougeole avec de nombreux cas chez les adultes et les très jeunes nourrissons et de fréquentes hospitalisations. Ainsi, d’après les données de la DO (déclaration obligatoire), il a été recensé 604 cas en 2008, 1 544 en 2009, 5 021 en 2010 et déjà plus de 3 700 pour janvier-février 2011.
En 2010, 8,3% des cas étaient des nourrissons de moins d’1 an, parmi lesquels 38% ont été hospitalisés et 34% des cas étaient des adultes de plus de 20 ans parmi lesquels 47% ont été hospitalisés. C’est dire la gravité de la rougeole dans ces deux groupes d’âge.
La vaccination est-elle la solution à ce problème ? Prévention rime-t-elle toujours avec vaccination ? Il semble que nous ayons perdu la mémoire. Résumons le fil de l’histoire.
Dès 1950, à propos d’un éventuel vaccin contre la rougeole qui n’existait pas encore, l’OMS écrivait :
« Son emploi devrait être limité à moins qu’il ne soit prouvé qu’il confère une immunité pour toute la vie au prix de risques très restreints. Une méthode assurant une immunité de quelques années seulement aurait pour effet de retarder l’apparition de la maladie (alors que c’est pendant la seconde enfance qu’elle présente le moins d’inconvénients et de dangers) jusqu’à l’âge adulte, où elle a un caractère plus sérieux. »
Dans les années 70, on pouvait lire dans la presse médicale (revue Le Concours médical) :
« La rougeole, une des maladies dites bénignes de l’enfance, mérite pleinement cette appellation en France. »
Ou encore, sous la plume du professeur Bastin :
« Il est évident qu’une vaccination générale fait courir le risque de rougeoles d’adulte et de rougeoles du nouveau-né plus graves ; cette vaccination ne doit pas être systématique. » (Tiens donc n'était-ce pas une prédiction qui s'est réalisée?)
Dix décès en 1987, mais un vaccin français
En 1983, la rougeole étant devenue subitement, selon Le Quotidien du médecin, une maladie grave aux lourdes conséquences. Cette année-là, comme par hasard, l’Institut Mérieux mettait sur le marché un vaccin mixte rougeole-rubéole, et une grande campagne d’incitation à la vaccination commençait.
Quelle était donc la situation à l’époque ? L’annuaire statistique de la France montre que la mortalité par rougeole avait diminué de 99,6% entre 1906 et 1983 malgré une augmentation de la population de 33%. En 1987, avec une couverture vaccinale d’à peine 10%, il y eut dix décès. Etait-ce un problème majeur de santé publique ?" etc...
D'autres informations:
Mary Holland, Professeur de Droit à l’Université de New-York, interpelle les Nations-Unies sur les politiques vaccinales qui violent le Code de Nuremberg (qui connait, aujourd'hui le code de Nuremberg, suite au nazisme, bafoué depuis!)
Par Brian Shilhavy, 4 mai 2016
Le professeur M. Holland a été l’une des rares voix aux Etats-Unis portant sur les conséquences juridiques de la suppression des droits parentaux à un consentement éclairé pour l’administration des vaccins de l’enfance.
5 janvier 2018
Décès subit du célèbre juge italien anti-mafia Imposimato alors qu'il prévoyait une action contre l'obligation vaccinale et la Ministre de la Santé
Plusieurs fois Sénateur et député, il a participé aux grandes manifestations italiennes contre l'obligation vaccinale en la déclarant anticonstitutionnelle (Art 32) et criminelle et qu'elle n'était qu'un pot-de-vin légalisé fait à l'industrie pharmaceutique.
Il préparait une attaque pénale contre l'actuelle Ministre de la Santé Beatrice Lorenzin et acolytes.
Selon, l'association des Médecins pour le Consentement éclairé, 5700 enfants américains développent chaque année des convulsions après le vaccin ROR
Communiqué de presse de l'association Physicians for Informed Consent (PIC)
Ce chiffre dérive des résultats de l'étude statistique la plus puissante jamais réalisée pour étudier l'association entre le vaccin ROR et la survenue de convulsions fébriles. Plus d'un demi million d'enfants furent évalués, à la fois ceux vaccinés et ceux non vaccinés, au sein d'une population danoise sur laquelle on se fonde dans le monde entier pour examiner la sécurité des vaccins. Les résultats ont montré que les convulsions se produisent environ chez 1 enfant sur 640 vaccinés avec le ROR. L'extrapolation de ce risque aux 3,64 millions d'enfants américains vaccinés chaque année par le ROR porte ce chiffre à 5700.
A suivre!