Article effectivement intéressant (même avec l’approximation d’une traduction Google). Cependant il pêche par ce défaut que je signalais à savoir son coté généraliste où se noient (voir ne sont pas pris en compte) les cas particuliers sortant de l’ordinaire comme, pour le coté alimentaire, le BIO, les produits non raffinés, ou le VG. Ce n’est pas un reproche, l’objectif de pareille étude est bien sa volonté généraliste et concerne effectivement la grande majorité des populations surtout avec un mode et une hygiène de vie catastrophique sur ce plan là et donc avec une forte consommation de produits sucrés industriels.
Il faudrait donc des études comparatives, pour confirmer ou infirmer ce type d’étude, chez ces populations à la marge. Or une étude à large spectre coute très cher, doit recevoir des subventions conséquentes, mais ne présente aucun intérêt pour les lobbies du sucre (qui font pression sur les gouvernements),qui ne sont intéressés que par lela préservation de leur business : en l’occurrence les sucriers il est vrai, mais aussi tous ceux et celles qui vivent largement de toutes ces maladies dites de civilisation. Ce sont des centaines, des milliers de milliards qui sont en jeu !
Par ailleurs, et là je parle par expérience, ces populations à la marge sont peu enclines à se livrer à ce genre d’études, généralement faites par des enquêteurs qui ignorent les particularités de ces groupes et donc qui posent les mauvaises questions. Il n’est que de lire la grande enquête Nutrisanté pour s’en rendre compte.
Donc, il ne reste de disponible QUE ce genre d’article.
Dans un autre sujet j’ai signalé la grande enquête sur le végétarisme et la santé effectué par l’ AADDC, toute aussi généraliste qui englobe tout ceux qui ne consomment pas de bidoche sans distinction de chaque particularité et donc avec des résultats tout aussi généraux. Mais ils n’expliquent pas non plus pourquoi certains échappent à la règle générale qu’ils en tirent.
Or, c’est bien là ce qui me semble le plus intéressant lorsque, par exemple, cette enquête signale une baisse globale de 50% de cancers, (c’est toujours ça), mais ne peut expliquer pourquoi celle-ci est très disparate selon les populations et les parties du corps concernées.
L’exemple du sucre (en faisant abstraction des différences de perception sur celui-ci) en donne la direction, mais de nombreux autres facteurs sont aussi à prendre en considération.
Pour l'anecdote toujours et là ça concerne le sel pour souligner que comme il y a sucre et sucre, il y a sel et sel et c'est du vécu.
Parmi mes rencontres, une d’entre-elles, mérite d’être relatée parce qu’elle confirmait ce qui pour moi n’était que livresque à cette époque. L’homme que je rencontrai me raconta son histoire. Il était au régime sans sel à cause de son cœur. Un ami l’avait, un jour, invité dans un restaurant chinois ; il commanda un plat exotique et malheureusement celui-ci était salé. Ne voulant pas vexer son ami, il consomma ce plat en se disant qu’il prendrait ensuite ses pilules. Le repas se passa sans problème, au point qu’il n’eut pas d’alerte cardiaque. Il en fut fort étonné, mais pensa qu’il s’agissait d’une circonstance exceptionnelle dans une ambiance particulière. Intrigué malgré tout, il se rendit de nouveau seul à ce restaurant, commanda le même plat et de nouveau, ô surprise ! Pas d’alerte cardiaque. Comme cela faisait très longtemps qu’il ne consommait plus de sel il en conclut que le sel ne lui jouait plus ses tours habituels, qu’il était guéri. Il décida alors de resaler ses plats ; mais dès le premier repas, il ressentit une accélération cardiaque d’où une prise de pilule. Il en conclut que ce n’était pas le sel qui était en cause mais que c’était probablement un des composants de ce plat exotique qui jouait le rôle de ses pilules. Il se rendit donc de nouveau au restaurant, expliqua son cas au patron qui le dirigea vers la cuisine, et le cuisinier lui expliqua avec quels ingrédients il préparait son plat. Or ceux-ci étaient aussi consommés par notre homme. Mystère ! Peut-être était-ce l’origine des produits qui en était la cause ? Mais le cuisinier se fournissait sur le marché voisin comme notre « patient ». Le mystère semblait planer encore jusqu’à ce que le cuisinier se souvienne qu’il se fournissait en sel dans le magasin de diététique voisin, « parce qu’il est meilleur ». Notre homme se rendit donc dans ce magasin, acheta le sel en question (Sel marin non raffiné disait l’étiquette) et de retour chez lui, il prépara sa tambouille avec ce sel. Et, ô joie suprême, son cœur ne s’emballa pas ; c’était bien le sel qui était en cause.
Depuis il remange modérément salé, sans plus avoir d’alerte cardiaque. Cet exemple pour montrer qu’UN SEUL ALIMENT, selon sa provenance ou sa préparation, peut se révéler favorable ou défavorable à la santé
Une nouvelle fois se trouve confirmé le fait que raffiner un produit le déséquilibre au détriment du consommateur