Effectivement revenons à nos moutons. Pour ceux prenant le train en marche et les autres nous avons vu les points suivants qui n'ont pas été contestés sauf par notre Dédé national
citation :
«
En général, les êtres vivants contiennent plusieurs milliers de protéines différentes. Chaque protéine est formée d’une ou plusieurs centaines d’acides aminés attachés les uns aux autres pour former de longues chaines (il existe 20 acides aminés différents rappelons-le) La plupart d’entre eux doivent occuper une place bien précise dans la chaine afin que chaque protéine puisse fonctionner normalement. La substitution d’un seul acide aminé à une position critique peut être létale pour l’organisme comme dans des maladies comme la thalassémie, l’anémie falciforme et certains types de cancers qui résultent de la substitution d’un seul acide aminé.
D’où la question : comment l’acide aminé sait-il quelle place il doit occuper ?
Donc pour une protéine précise : quelles chances existe-t-il d’associer les acides aminés dans l’ordre voulu ? Le nombre de combinaisons est énorme, puisque chacun des 20 acides aminés peut occuper chaque position. Une étude a estimé la probabilité de trouver 100 acides aminés à des positions spécifiées sur une chaine protéinique. Aucune « faute d’orthographe » n’est autorisée à chacun des emplacements, mais des substitutions sont permises, dans certaines conditions, entre ces points. Pour former une telle protéine, chaque aminé doit être CHOISI parmi les 20 existants (probabilité 1/20) de plus il doit être de type Lévogyre (le plus courant dans la nature contrairement aux acides aminés reconstitués par synthèse qui sont à équivalence D et L) donc ½. Et il doit former une liaison peptidique (1/2). En combinant ces probabilités, on obtient une chance sur 80 pour le premier acide aminé, de 1/6.400) pour deux acides aminés, de 1/41.000.000,etc… En effet selon la loi des probabilités il faut les multiplier pour obtenir la probabilité combinée.
C’est ainsi que, pour obtenir par hasard notre protéine comportant 100 acides aminés à des endroits déterminés, la probabilité s’abaisse à 1/49 suivi de 190 zéros (4,9 x 10-191) et l’on est pas encore à constituer un brin d’ARN ou d’ADN ! Or les protéines sont synthétisées grâce à un système extraordinairement complexe de transfert et d’interprétation des informations. C’est ainsi qu’une simple bactérie peut avoir quelques 4 millions de bases azotées pour son patrimoine génétique, alors que l’humain en possède plus de 3 milliards.
Une part importante de l’ADN dirige la production de milliers de molécules de protéine qui servent de structure aux cellules ou d’enzymes. Ces enzymes facilitent les réactions chimiques cellulaires telles que la synthèse des acides aminés et des centaines, voire de milliers, d’autres transformations. Il arrive qu’une seule molécule d’enzyme puisse diriger la transformations de milliers de molécule par seconde et d’autres bien plus lentement. Lorsque l’on pense à ces enzymes extrêmement complexes, qui comprennent plusieurs parties hautement organisées, on ne peut s’empêcher de mettre en doute leur origine spontanée.
Murray Eden de l’institut de technologie du Massachussetts a calculé que si une bactérie comme l’Escherichia coli formait une couche continue de 2 centimètres sur la surface de la terre, il faudrait 5 milliards d’années pour permettre éventuellement à deux de ces gènes de se trouver en position correcte. Qu’en est-il pour d’autres organismes beaucoup plus complexes ?
Harold Morowitz a eut recours à la thermo dynamique (l’étude des relations énergétiques entre atomes et molécules) pour calculer la probabilité que ces molécules organiques s’assemblent spontanément pour former cet Escherichia coli. Cette probabilité est de 1 sur 100 milliards de zéros (10-10^11). Pour les mycoplasmes il a calculé que cette probabilité était de 1/1 suivi de 5 milliards de zéros.(10-5 x10^9)..
Georges Wald, titulaire d’un prix Nobel, exprimait le dilemme de l’évolution en ces termes : « Il suffit de contempler l’immensité de cette tâche pour considérer que la formation spontanée d’un organisme vivant est impossible. Pourtant nous voici !nous, le résultat, je le crois, de cette génération spontanée. »
Mais plus que tout, pour faire plaisir à Dédé une réflexion de Pasteur :
La loi de la biogenèse, attribué à Louis-Pasteur , déclare que la vie naît de formes pré-existantes de vie, et non pas à partir de matériaux inertes. Or jusqu’à ce jour, personne n’a réussi à démontrer que la vie apparaisse de la matière inerte ou génération spontanée.Il y a une trentaine d’année paraissait l’article suivant dans la revue technique russe Tekhnika i naouka.(dans un contexte communisme athée)
« Comment s’est formé notre planète ? À quelle vitesse ? En combien de temps ? Les chercheurs de l’Institut physico-technique de l’Académie des Sciences de l’URSS et de l’institut du radium V.Khlopine s’intéressent aux isotopes des gaz contenus dans les sources thermales des zones volcaniques modernes. Ils constatèrent que la composition isotope des gaz montant de la terre par ses entrailles tel que l’hélium, l’argon et le néon ne correspondaient pas aux indications terrestres, ni ceux du cosmos. Quelle en est la cause ? Les savants en conclurent que les entrailles de la terre devaient contenir partiellement les gaz captés par la planète à l’époque de sa formation depuis un nuage de poussières et de gaz.
Il fut décidé de poursuivre les recherches dans le fond des océans afin de confirmer cette hypothèse. Comme le magma y refroidit vite, les gaz des profondeurs de la terre restent dans la masse solidifiée. L’exploration du fond de l’Atlantique, du Pacifique et de l’Océan Indien montra que la composition isotope des gaz abyssaux était à peu près partout égale. Or, disent les savants, c’est une preuve du fait que les entrailles de la terre contiennent des restes des gaz originels.
Qu’est-ce qui s’ensuit ? Une constatation importante : grâce à ces données, il nous est désormais possible de calculer la vitesse à laquelle s’est formée notre planète. Ces calculs faits par des savants soviétiques ont aboutis à un chiffre…… difficilement croyable. La terre, parait-il s’est formée en l’espace de quelques 100.000 ans (cent mille ans) à l’échelle cosmique, ce n’est qu’un instant.
ACTIVITE VOLCANIQUE :
Selon wikipedia la surface totale de la terre est de 510.067.420 km2 ce qui pour 135 millions de km3 ne fait que 260m de hauteur moyenne, ce qui est très raisonnable, toujours sans tenir compte des coulées plus ou moins importantes.
Donc effectivement pour 3 km3 par an cela donne, au plus, 45 millions d’années. Or si l’activité volcanique a été supérieure, cela diminue encore l’âge mesurable de ces poussières déposées.
Donc dès la solidification du manteau (env.4 milliards d’années selon le comput reconnu) et avec une activité réduite comme actuellement le manteau volcanique représenterait :
(0.260+0.260) x4.000 millions : 45 millions= 46 km de hauteur…mini !
Mais si l’on prend les 3km3 actuels cela donne…235km de hauteur sur 4 milliards d’années.
SURRECTION DES MONTAGNES :
Pour avoir une idée chiffrée de la surrection des montagnes, il a été proposé que les montagnes se soulèvent en moyenne de 7,6mm par an avec des minimas comme les Alpes de Suisse (1 à 1,5mm/an) les Appalaches et les Rocheuses (1 à10mm/an) Himalaya estimé à 1à5mm/an, les Andes environ 3mm/an. Les Alpes du Sud de la Nouvelle Zélande se soulèvent à certains endroits de 17mm/an et au Japon une moyenne de 72 mm/an a été mesurée sur 27 ans. (Tsuboi C Japanese Journal of Astronomy and Geophysics Transactions)
Donc à vos calculettes ! Sur 4 milliard d’années cela donnerait…30400km de hauteur(trente mille quatre cent kilomètres de hauteur)
Si l’on reprend la classification des formes de vie, on trouve une multitude d’espèces, beaucoup de genres, quelques classes, mais aucun phyla. C’est pourquoi Gould préchait, les sauts ou équilibres ponctués car il disait : «
L’extrême rareté des formes transitoires reste le secret professionnel de la paléontologie. Les arbres généalogiques des lignées de l’évolution qui ornent nos manuels n’ont de données qu’aux extrémités et aux nœuds de leurs branches : le reste est constitué de déductions, certes plausibles, mais qu’aucun fossile ne vient confirmer. LE POUCE DU PANDA : les grandes énigmes de l’évolution. » et Gould est un évolutionniste. C’est pourquoi on trouve dans les archives fossiles une quantité importante dans le paléozoïque, une autre quantité importante dans le cénozoïque et quasiment rien (et en tout cas aucun lien) dans le mésozoïque qui se trouve entre les deux. (De -144 à -213 millions, le jurassique).
D’autres mesures au potassium/argon ont montré sur des roches volcaniques du volcan sous marin Kiauea en Hawaï âgées au maximum de 1.000 ans qu’elles étaient estimées à 0,22 millions d’années à 550 mètres de profondeur
6,3 m.a. à 1400 m.
42,9 m.a. à 2590 m.
elles rajeunissent à 14,1 m.a. à 3420 m.
puis 30,3 m.a. à 4680 m.
19,5 m.a. à 5000 m. de profondeur.
Les mesures variant donc de 0,22 à 42,9 millions d’années. (C’est comme, si en mesurant l’âge d’un être humain de 20 ans, on trouvait la tête vieille de 25 ans ; la poitrine de 64 ans, les jambes de 27 ans et les pieds de 11 ans. (Cela ferait se tordre de rire tout biologiste, mais c’est pris à la lettre par les évolutionnistes.)
Autre exemple sur une carotte de lave prélevée à 2590 m de profondeur : l’échantillon donne avec l’argon 40 :
42,9 millions d’années entre 0 et 1 centimètre,
33 m.a. entre 1-2 cm.
4,3 m.a. entre 3.5-4.5 cm.
1,5 m.a. entre 4.5-8.5 cm.
1,0 m.a. entre 10.5 et 12 cm.
Autre et dernier exemple sur un même échantillon ; la biotite est mesurée à 650 m.a., la microlite (1.290 m.a.) la granite (2.430 m.a.). La stratigraphie montrant, elle-même, des absences de couches ou des inversions impossibles dans l’hypothèse d’une sédimentation lente, nous l’avons déjà vu, etc…
Il va de soi qu’aucun des éléments ci dessus ne correspond au schéma habituel de l’évolutionnisme .
Je propose maintenant l'énigme des troncs d'arbre retrouvés intacts dans les couches houillères avec le pied dans des sédiments, puis une couche de houille, de nouveau des sédiments une nouvelle couche de houille,etc... certains jusqu'à 400 fois de suite dans le bassin franco-belge (donc théoriquement sur quelques milliers ou millions d'années) sans dégradation des arbres en questions entièrement pris dans ces différentes couches.
Après ces énigmes on pourra passer à la stratigraphie et ses énigmes aussi!