Pour les pluriels utilisés j'ai trouvé ça (non exhaustif)D'autre part qui est ce fameux "Dieu" ou plutôt ces Dieux (Elohim) dont parle la bible ?
Au sujet de Elohim il ne s'agit pas d'un pluriel mais d'un nom propre (comme il existe des noms français composés en pluriel ou les noms anglais composés eux même du substantif 's).
Pour Elohim on peut dire également El, ou eloha, la bible emploie même le nom composé de YHVH-Elohim au sein de la création du monde, ce qui signifie la miséricorde de Dieu allié à son attribut de Justice.
Plus profondément Elohim peut signifier aussi ses attributs de miséricorde, chaque nom de Dieu en hébreux désigne un attribut, une spécificité de la divinité Ekhad, Elohim ne se traduis pas par Dieu en français mais par le chiffre 42 qui compose la valeur numérique de ses lettres.
Mais vous verrez toujours traduis ce nom par Dieu au singulier et d'ailleurs les juifs qui sont monothéistes ne croient qu'en un seul Dieu l'Eternel-Tsebaot Melekh Yisraël.
http://www.orientalement.com/n-les-99-noms-d-allah.html
Toutefois vous verrez que les 99 noms d'all-ah contiennent eux-aussi une foule de pluriel finissant en -im comme l'hébreu qui nous est très proche de l'arabe, je vous poserais donc la même question comment se fais-il que Les noms d'Allah sont des pluriel eux-mêmes et qu'il en contiens même 99 (dont une dixaine de Dieux pluriel) alors que nous savons tous qu'il n'y a qu'un Dieu c'est Allah et que les musulmans sont de sérieux croyants soumis au mothéisme le plus rigoureux.
Vous verrez que cette bataille de clocher (ou plutôt de minaret) n'a pas lieu d'être étant donné que Dieu est Rakhamim miséricordieux.
Pour ce qu'il en est de "qui" la question est difficile puisque dieu est anthropomorphisé pour comprendre, par analogie, sa dimension de créateur, de père, de mère, de récompenseur, de punisseur, etc….De même il est impossible de le décliner en « quoi », pour les matérialistes, puisque dans un cas comme dans l’autre, c’est vouloir inclure le verbe dans l’inscription, le vouloir dans le faire, l’horloger dans l’horloge. C’est donc une gymnastique inutile en soi puisque notre capacité d’imaginer se limite ce qu’il pourrait être et jamais ce qu’il en est en réalité.
Lorsque le hasard est invoqué personne ne se demande qui, quoi ou comment est le hasard, ni a savoir à quoi il ressemble, ni où il se situe, ce qui n’empêche d’utiliser ce concept abstrait pour lui donner existence et la capacité d’action, genre : « le hasard a bien fait les choses ». Lorsqu’un esprit fort dit : « je ne croirais en dieu que le jour où je le verrais » ou « qui a créé dieu » aucun de ces esprits forts ne posent la même question pour le hasard ou pour la nature, personnalisée elle aussi, et que personne n’a jamais vu ou rencontré non plus.
Pour chacun c’est une gymnastique intellectuelle qui accepte ou rejette une désignation culturelle et non métaphysique .