sen no sen bonjour
janic a écrit:
Selon quels critères toujours ? Celui d’un comportement culturel ?
Des critères purement factuels!
Si quelqu'un se dis cycliste sportif et n'a pas, ni ne pratique(dans le passé ou le présent) le vélo,pourrais on encore appeler cette personne un cycliste?
Déjà il faudrait qu’il
se prétende sportif, ce qui n’est le cas que de quelques uns. La Hollande (pas le Hollande

) a des millions de cyclistes qui vont piampiam sur leur bicyclette pour se rendre au travail ou pour faire leurs emplettes : peut-on dire que ce ne sont pas des cyclistes ? Où ça commence où ça s’arrête ? On peut être croyant sans être «
une grenouille de bénitier »…heureusement ! Un cycliste se défini par le fait qu’il sache monterà vélo et non par le nombre de Km parcourus ni à quelle période ou à quelle vitesse. C’est comme la cigarette, ça commence à une et ça peut monter à 4 paquets, et tous seront catalogués en tant que fumeurs. Donc il y a des degrés comme partout, y compris en matière de foi et de pratique!
Citation:
J’aimerais savoir ce que signifie (pour lui) une religion fondée sur la laïcité (ne serait-ce que parce que c’est antinomique !)
Et bien non mon cher!
La laïcité à toujours été conçus dans l'optique d'une religion!
Oui et non en même temps ! Laïkos veut dire peuple comme on dit le peuple français qui intègre aussi bien le monde religieux que le monde civil.
Ensuite, selon les corps constitués dont le corps religieux ou le corps politique ou le corps enseignant ou militaire, etc... vont s’établir des distinctions dont essentiellement la hiérarchie religieuse concernant les églises constituées.
Donc c’est une erreur de lier
automatiquement l’un à l’autre, même si, culturellement cela correspond au type de société dans laquelle nous sommes c'est-à-dire opposition (plutôt que distinction) entre laïcité et religieux.
Je reviens un peu en arrière j’avais zappé :
Ce qui tracasse un certain nombre, c'est la possibilité ou non de voir apparaitre de l'ordre dans le désordre.
Autre idée fausse,ce qui est contesté c'est cette apparition par hasard, pardon par indéterminisme. De l'argile brute n'apparait pas par indéterminisme un vase, celui ci sort du désordre par la volonté et la main du potier. Maintenant, si certains veulent croire le contraire, libre à eux!
Il est souvent question de vouloir calculé la probabilité de voir la vie émergé,les uns et les autres propose des chiffres qui n'ont aucune valeurs, tout droit sortie de l'imagination...
Il est contradictoire de se recommander de
LA science d’un coté et de l’envoyer à la poubelle de l’autre. Un calcul de probabilité n’est pas là pour donner raison à Pierre ou à Paul, il est : un point c’est tout! (sauf à démonter que ces calculs sont mathématiquement faux.)
Tout dépend donc du postulat de base: si l'on tiens compte de l'indéterminisme il y aurait un chance sur des milliards de milliards de voir apparaitre la vie,ce qui est un argument largement utilisé par les défenseur d'un "dessein intelligent"pour exclure le "coup de bol".
Encore un faux raisonnement, le calcul des probabilités n’a pas été inventé pour donner raison au dessein intelligent, il est utilisé pour maints usages dont (sauf interdit) dans ce domaine comme dans d’autres, et s'il est valable pour d'autres....!!!!. Après aux contestataires de proposer un autre modèle de calcul si celui-ci s’avère inexact : pourquoi pas ? Mais, personnellement, je n’ai pas lu ou entendu de contre proposition.
Ce serait aussi mettre à la poubelle toutes les autres sciences qui viennent confimer la signification de ces calculs mathématiques. Donc, une fois mises à la poubelle, toutes ces sciences annexes,
LA science invoquée se réduit alors à peau de chagrin dans ce cas là et difficile de se recommander alors de ce que l'on a rejeté précedemment.
Maintenant l’indéterminisme ! C’est de la sémantique de substitution, on remplace le mot chaise par tabouret parce que le premier terme n’est pas supposé bien rendre compte de l’usage du produit : prosaïquement, c’est un repose fesse, mais si tu peux démonter que ce ne sont pas des fesses qui s’y posent : pourquoi pas !
Maintenant si l'on part du principe que la vie est la suite logique de matière sous certaine conditions,il est soit logique que nous soyons là,et même que la vie existe ailleurs.
Voilà ce que j’aime entendre «
SI l’on part du principe que»c'est donc une simple vue de l’esprit, alors oui tout est possible : dieu, le hasard (pardon l’indéterminisme) les petits hommes verts, les univers parallèles ,les OVNIs ! Là nous sommes entièrement d’accord ! Mais
est-ce ce principe qui est à l’origine de la vie ? Impossible à démontrer, c’est donc
un acte de foi (religieux de religare) aussi abstrait que celui d’autres hypothèses. Alors pourquoi refuter les autres et ne considérer que celle-ci comme à retenir?
Néanmoins, il est tout a fait impossible de trancher définitivement en faveur de l'un et de l'autre,c'est pour cette raison que les scientifiques se base sur des méthodes expérimentale pour "voir" comment cela aurait pu se passer.
Inexact ! Les scientifiques se basent
sur les moyens matériels dont ils disposent (sans eux, ils ne savent plus rien). Or du fait de ces limites (limitées d’ailleurs par la matière visible), leur regard est aussi limité qu’avant l’invention du télescope ou du microscope : le bout de leur nez même en s’appelant cyrano. (un véritable scientique reconnaitra que le domaine de sa connaissance est infime par rapport à la connaissance véritable et que même toute une vie ne ferait que l'effleurer: donc un peu d'humilité et de relativisation des découvertes scientifiques matérielles.)
C’est ce genre de réflexion qui montre la forme de cette nouvelle religion qu’est une certaine conception de la science uniquement réduite à l’observation de la matière et qui voudrait que le monde se résume à celle-ci. C’est donc une nouvelle religion tout à fait semblable à ses précédentes dont les adorateurs invoquent dans leurs églises le nom adoré de leur dieu : Oh, Science matérialiste!
obamot bonjour
Ensuite, tu axes probablement le 99% de la portée de ton discours sur la cause initiale, ce qui te permet toute les fantaisies de remise en question de toute théorie (ayant pour nombre d'entre-elles nécessité des milliers d'années homme de recherche, si on cumule le tout).
Pas seulement ! je prenais l’exemple précédemment d’une panne mécanique ou électrique donc un disfonctionnement (le débat tourne pour l’instant, par les passages cités, sur ce disfonctionnement de la théorie évolutionniste) pour trouver une panne électrique, par exemple c’est plus facile, on peut remonter du producteur vers l’utilisateur ou de l’utilisateur vers le producteur jusqu’à tomber sur le point d’où vient la panne. Donc « je » fais remonter d’un coté et de l’autre selon les besoins du discours. Ainsi l’actualisme c’est l’utilisateur, le catastrophisme le producteur dans les points exposés.
Au fond — en inversant la charge de la preuve — tu inverses les proportions de vraisemblance! Sur le plan pragmatique, je vois pas trop bien ce vers quoi un tel paradigme peut mener le débat. Puisqu'originellement, ce n'est pas de ce que tu souhaiterais argumenter dont il est l'objet.
Est-ce ma faute s’il y a autant de digressions (que je comprends d’ailleurs, mais qui ne fait pas avancer la démonstration) mais c’est un défaut bien français, parait-il, de couper l’expression d’un point de vue (mais en même temps sans ces coupures, le fil de la contestation se perd : où est la bonne mesure ?)
Et même si on admettait que ces transgressions soient admissibles, on ne voit pas trop comment en faisant un auto-focus ad nauseam là-dessus,
Excellente réflexion ! tu as remarqué que ce point de vue à déjà été exprimé par quelques uns que le sujet n’intéresse pas et qui, malgré tout, veulent le suivre (même par petits bouts). A leur place j’aurais aussi la nausée. Si le sujet portait sur le foot pendant 160 pages, j’aurais la même réaction, mais les fans de foot (supporters de Marseille ou du PSG), non !
Moi le foot, je m'en foot complètement!
Ce n’est donc qu’une question d’intérêt personnel pour le sujet.
Sur un site VG un sujet concernant
UN point précis a dépassé 1.000 pages avec des discours opposés les uns aux autres et chacun en a fait ce qu’il veut.
Personnellement (ça doit se voir) je n’interviens jamais sur certains sujets: soit parce qu’ils ne m’intéressent pas vraiment au point de partager mon point de vue, soit parce que je n’y connais rien et je n’y ramène pas ma fraise ; tout au plus je pose quelques questions de curiosité. Chacun peut en faire autant, ou alors si l’on rentre dans le jeu, il faut en respecter les règles dont la première est la courtoisie et le respect d’autrui.
en quoi cela pourrait-il avoir la vertu de faire une quelconque prise de conscience — et si tant est que l'assemblée comprenne là où tu veux en venir — Ce dont je ne suis pas sûr et qui semble plutôt rebutant si on n'est pas dans la confidence, non?
La prise de conscience ? lourd sujet : quelle est la prise de conscience réelle de la dénonciation de la pollution alimentaire chez les écolos de ce site ? Quel est l’impact des articles sur la catastrophe que représente l’élevage sur l’équilibre écologique et humanitaire sur cette planète ? quel est l’impact de la dénonciation de la folie vaccinale ? La réponse ne m’appartient pas, exprimer un point de vue à contre courant (j’y suis habitué) n’est pas là pour obtenir des adhésions, mais si possible (on peut toujours rêver) faire réfléchir au moins quelques uns.
et si tant est que l'assemblée comprenne là où tu veux en venir !
c’est pourtant évident si je défend le VG, ce n’est pas pour soutenir la massacre des animaux, si je suis anti nucléaire ce n’est pas pour soutenir l’exploitation des centrales atomiques, si je suis « créationniste » (au sens que exposé plus tôt que les vases d’argile ne se forment pas par hasard, ni indéterminisme), ce n’est pas pour soutenir l’inverse. Elémentaire mon cher Watson !
donc où je veux en venir? C’est le thème de ce sujet : Le hasard peut-il expliquer la complexité de notre monde et particulièrement du vivant ? autant par la réflexion personnelle,
l’intuition ou les « sciences exactes »
Après tu dévies, pour te servir, de propos qui ne sont pas les tiens (ni parfois les miens, comme ci-dessus). Ça serait sympa d'arrêter de tout instrumentaliser à ton profit.
C’est un jeu, n’en déplaise à Sen no sen ! Au tennis ou au ping pong (ou n’importe quel jeu) on peut envoyer la balle directement dans la raquette du partenaire et jouer pépère pendant des heures, ou biaiser, envoyer des lobs, des amortis pour maintenir le jeu à son avantage. C’est au partenaire, s’il est de même niveau, d’anticiper le jeu qu’il est supposé maitriser lui aussi.
Là où le jeu devient pernicieux, c’est lorsque l’échange qui doit rester courtois devient du pugilat où chacun envoie la raquette à la figure de l’autre et c’est ce genre de débordement qui vaut carton rouge ou l’exclusion des sites concernés… quelquefois.
Autre point pernicieux lié à notre culture: la compétition (et difficile d'y échapper, c'est considéré comme un fait allant et devant aller de soi), la mentalité actuelle veut des vainqueurs et des vaincus (l'âme guerrière), l'instruction scolaire, le sport lui même (ou à cause de l'idée qu'on s'en fait) sont devenus les symbôles des vainqueurs et des vaincus, des gagnants et des perdants (plus le pognon évidemment qui aggrave la situation), alors que le dernier ne démérite pas par rapport au premier;
il faut se défaire de cette mentalité (c'est extrêmement difficile d'ailleurs et demande une attention de tous les instants) avant d'envisger la notion d'échange sinon ça fausse tout!
Pour l’instant, chez la majorité du peu de participants, l’échange reste courtois et j’espère, tant qu’il durera selon la bonne volonté de chacun, qu’il le restera.