L'évolution des espèces biologiques et...le hasard

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janic
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par janic » 28/05/14, 08:53

Sen no sen bonjour

janic a écrit:
Il faut pourtant un commencement à toute chose matérielle.

6)Formation d'avalanche de molécules organique dans l'océan prébiotique
. Ca c’est le blabla habituel évolutionniste. Je parlais de « preuves biologiques » de constitution, pas de suppositions sur une avalanche de molécules organiques déjà constituées. Donnes alors alors la constitution de cette molécule organique (pas sa formuile chimique où il n’y a pas la moindre parcelle de vie).

Les acides aminés cela te dis quelque chose peut être?

Tu veux dire comme ceux qu’a vainement tenté de reproduire Miller et d’autres et qui s’est à chaque fois soldé par un échec ?
L'ARN aussi?

C’est encore plus difficile à reproduire au point que personne n’y est arrivé non plus. Donc tout n’est qu’hypothèse sur le processus en cours dans ces formes d’assemblage de matière.
Il ne suffit pas de supposer que tel élément puisse s’assembler avec tel élément. Il faut que cela se fasse avec rigueur, avec précision, pas au petit bonheur la chance (c’est ce que les calculs probabilistes démontrent comme impossible). Cela suggère donc un plan directeur, une volonté précise de….
Parmi les molécules formées dans l'océan prébiotique il y a l'AMP, C'est un mélange de l'adénine le ribose et le pyrophosphate inorganique.

Je croyais que ces représentations naïves de la soupe prébiotique n’avaient plus cours depuis un demi siècle au moins. A-t-on jamais vu des carottes, poireaux et pommes de terre sortir d'un potage?
L'abiogenèse, dans son sens le plus courant, désigne l'étude de la génération de la vie à partir de la matière non vivante. Aujourd'hui, le terme est utilisé principalement en biologie, dans le contexte de l'origine de la vie.
Les origines de la vie sur Terre demeurent incertaines. Il y a de nombreuses théories scientifiques qui tentent d'expliquer l'apparition de la vie telle que nous la connaissons aujourd'hui, vie dont on pense qu'elle remonte à environ 3,5 à 3,8 milliards d'années. Étapes vers l'apparition de la vie[modifier | modifier le code]
Il n'existe pas de modèle « standard » pour décrire l'origine de la vie. En fait il y a actuellement deux écoles de pensée principales sur l'origine de la vie1 :
• l’une (fondée sur la théorie de l'information et les problématiques de codage de l'information) qui considère que seuls les acides nucléiques ont pu jouer un rôle clé dans le processus de la sélection naturelle qui a formaté les organismes vivants ;
• l’autre qui privilégie le rôle du métabolisme, qui considère que les organismes vivants sont essentiellement des systèmes loin de leur état d’équilibre thermodynamique, qui parviennent à se maintenir tels grâce aux processus métaboliques.


Malheureusement comme un bon nombre de personnes, tu en arrives à confondre des hypothèses avec la réalité. Des théories, il peut y en avoir en pagaille, des preuves que ces théories correspondent à la réalité, aux faits, c’est une autre paire de manche. C’est d’ailleurs pourquoi ces théoriciens ne se mouillent pas en utilisant de si, il est probable que…En fait personne n’en sait rien, ni évolutionnistes, ni créationnistes, nous sommes confrontés à des réalités matérielles sans savoir réellement comment elles sont devenues telles. Tout le reste n’est qu’imagination, croyance, théorie, philosophie.
L'association adénine et ribose est appelée Adénosine et forme un nucléoside ( composant de base des acides nucléiques).
l'AMP conjugué a deux autre pyrophosphate donne l'ATP(bien connu des sportifs!)
C'est là que réside les premiers constituants de la vie.

Ce n’est pas une explication, cela s’appelle un constat que tous les biologistes reconnaissent mais qu’ils ne savent pas expliquer. Une machine c’est aussi l’assemblage de divers éléments et dire qu’un moteur est compose de poulies, d’engrenages, de pistons, de bielles, de vilebrequin etc… ça ne donne aucun renseignement comment ils ont été conçus, fabriqués, assemblés, en tout cas pas par une auto-organisation. N’importe quel motoriste rirait au nez de celui qui affirmerait cela. Tu en as quelques uns si ce site : poses leur, encore une fois, la question ! (ce que tu ne sembles pas avoir fait : aurais-tu peur des réponses ?)
Maintenant la question fatidique est comment de tel bribes inorganiques ont put se conjuguer pour donner l'ARN puis l'ADN puis les premiers procaryotes?

Certain diront que cela c'est fait par "accident" (thèse réductionniste).
D'autres qu'il y a eu un "coup de pouce"...

Personnellement je ne pense pas que la biologie seule pourra répondre à ce mystère,il existe toutefois des réponses très cohérentes que j'ai déja exposé:
1)-L'eternalisme de la relativité générale:si le futur existe déja,et que la vie s'y trouve alors celle ci apparait dans le passé...tellement simple et en plus corroborer par des expériences!

Quelles expériences concernant la vie elle-même ?
2)-La non localité de l'espace-temps:une pensée futur a pu réduire la fonction d'onde de l'Univers et crée les conditions initiale permettant la vie...totalement dingue a premières vu,mais la aussi basé sur des expériences a petite échelles.

Exemple concret concernant le vivant?
3)-La M-théorie:la singularité initiales à exploré tous les futurs possibles,dont celui que nous observons!
4)La vie est apparu par auto-organisation,celle ci contenu dans les lois originelles de la nature.

Comme disait Sadin "cette singularité initiale",c’est ce qui est appelé dieu !et là les hypothèses se rejoignent.
Toutes ses théories sont compatibles entre elles

Le problème c’est qu’il y a en général un immense fossé entre les théories et la réalité concrète. Et la vie c’est du concret pas des hypothèses. Les cimetières sont remplis d’individus pleins d’hypothèses.
Citation:
Et tu crois en tout ça malgré l’impossibilité biologique de ces avalanches, par hasard ? Les processus biologiques sont tout de même bien plus complexes qu’un dessin animé pour petits enfants !

De la même façon que les avalanches de neiges apparaissent suite à des conjonctions entre différents paramètres physique...

Lesquels ne sont pas organiques. Il s’agit de définir le vivant, pas des mécanismes étrangers à celle-ci.
Citation:
Ou bien la vie est vraisemblablement apparue par un dessein intelligent, pour reprendre la formule. Hypothèse pour hypothèse !

Sauf que tout l'univers est basé sur des transitions de phases...
Ex:Si l'on chauffe un liquide et que l'on refroidis rapidement celui ci en dessous du point de solidification,il apparait un ensemble désordonné de cristaux. …etc….Ce phénomène est toujours constaté dans de nombreuses pouponnières d'étoile et à travers de très nombreux exemples de la nature!

Même chose cela ne renseigne en rien sur l’apparition de la vie sans laquelle l’évolution n’a même plus d’objet d’exister.
Citation:
Tu passes sans transition entre le matérialisme ci-dessus (les différentes phases de l’apparition supposée de la vie sur terre où » le commencement est relatif à l’observateur, humain en l’occurrence » et tu reproches à certain de mélanger science et religion), bien matériellement ancré, à la philosophie (non pas que je sois contre à condition de bien spécifier chaque aspect) et même la métaphysique.

Houla!
Il va falloir être plus précis sur les termes!
Le matérialisme,c'est le primat de la matière sur l'esprit,cela n'a rien a voir avec la notion d'évolution des systèmes!
On peut très bien défendre une vision spiritualiste et évolutionniste!
Ma remarque sur la simultanéité du temps n'est pas du tout spéculative,elle est basé sur les travaux de la relativité:pour rappel la notion de temps n'est pas la même entre un satellite GPS et son utilisateur,sans la prise en compte des paramètres de la RG,les dits GPS afficheraient des informations totalement erronés!
Le si que j'ai employé servait à remettre en cause la notion d'antériorité considérer comme étant une vérité absolue!

Dans un discours qui se veut uniquement « scientifique » donc basé sur la matière: Les notions de métaphysique y sont étrangères. Sinon le créationnisme qui se veut justement dans cette mouvance de l’immatériel devient tout aussi crédible que n’importe quelle autre approche « immatérielle ». Mais comme tu demandes des preuves « physiques ». Laissons ces croyances de coté et restons-en au concret bien matériel… et donc l’apparition du vivant.
Citation:
Pour des hébraïsants sachant que le mot dieu ne se trouve pas dans l’AT, ils feraient fort !

Normal il s'adresse à un publique Français et donc emploi des termes issus de la culture latine!
C’est mal connaitre ou ignorer l’émission. Eisenberg ne mentionne qu’exceptionnellement d’éventuels auditeurs non juifs. Il vulgarise simplement des aspects mal connus parmi son public de notions comme le zohar, la cabbale,le talmud,etc…
Pour autant on ne pourra pas empêcher un croyants des "religions du livre" de réduire la notion d'infini à celle de Dieu puis à celle de créateur, et ceux malgré toutes les mises en gardes consistants à ne pas imaginer l'inimaginable!

C’est encore faire preuve d’ignorance !Il ne s’agit pas de réduire quoi que ce soit, mais de rendre de façon imagée, accessible à l’esprit humain, ce qui n’est même pas possible d’imaginer.
Nous utilisons en permanence des notions qui semblent aller de soi comme l’absolu, l’infini, éternel qui ne peuvent même pas être imaginables et pourtant on s’en sert régulièrement. (à moins qu’il faille les rayer du langage ?)
Comme cette formulation :
J.E Il ya cette idée qui n’est pas facile à comprendre qu’il y a une torah céleste qui est le logiciel de l’univers et dieu a regardé dans ce programme et avec ce programme a crée le monde.
Citation:
Donc effectivement, par praticité, il (la bible dans son ensemble) utilise des analogies. Ce en quoi, il serait difficile de faire autrement.

Ce en quoi il est très facile de faire dire n'importe quoi....

C’est le risque comme pour toutes choses ou bien l'on s'enferme sur ses propres concepts (hérités d'une culture d'ailleurs!). Tu as bien dressé une liste où il est facile d’y faire dire n’importe quoi !
Citation:
A) J’utilise la traduction du rabbinat français parmi d'autres
B) J’écoute l’analyse des textes bibliques dans cette émission judaïca qui décortique chaque phrase , chaque mot, depuis quelques décennies. Donc à moins qu’ils (de nombreux participants aux horizons différents) ne se plantent tous, on peut supposer qu’il n’y pas de meilleurs interprètes qu’eux-mêmes.

Donc il faudra prouver que tout ses intervenants défendent la vision créationniste jeune terre,ce que je doute vraiment!

Et c’est reparti ! C’est une véritable obsession ! Pose leur la question!

Citation:
c’est ce que je mentionnais, un cratère mais pas de trace de l’astéroïde (même chose je ne suis pas un spécialiste du sujet, je ne fais que remonter, là aussi, une information (juste ou erronée d’ailleurs !)

Réponds: Ou se trouve la bombe qui a explosé au dessus de Hiroshima?
Intéressant cette comparaison entre un astéroïde qui n’est qu’un gros paquet de matière et une bombe qui n’est qu’un petit appareil destiné à fournir de l’énergie.
Bizarre le cratère du Yucatan serait apparu tout seul?

Je n’étais pas là à ce moment ! qui sait ce sont peut-être des ET qui sont venus faire exploser une bombe, cela devrait plaire à CuiCUi ?!!!

Citation:
L'équipe de l'ODP (Ocean Drilling Program), embarquée à bord du bateau foreur JOIDES (Joint Oceanographic Institutions for Deep Earth Sampling) a prélevé des sédiments sur le rebord d'un plateau sous-marin à environ 500 km à l'est de Jacksonville, en Floride et a trouvé une preuve évidente de l'impact d'un "caillou" extratrestre (comète, astéroïde ou météorite). L'analyse des carottes a révélé successivement : une couche contenant des fossiles d'espèces marines ayant vécu avant l'impact, une couche de gaz et de poussière projetée par la météorite, une couche contenant des traces de la météorite elle-même, celle-ci ayant été vaporisée par l'impact avant de retomber sous forme de pluie, une couche où les traces de vie marine sont très rares, puis une couche dont les fossiles indiquent une prolifération des espèces ayant survécu, ainsi que l'apparition de nouvelles espèces, ce que confirment les fossiles terrestres.


Intéressant la vaporisation. Où trouve-t-on des phénomènes identiques ? la dernière météorite ayant touché la Russie ne s’est pas vaporisé à l’impact, elle. En général, les astéroïdes composés essentiellement de glace, se vaporisent AVANT l'impact. Mais pourquoi pas, acceptons le comme probabilités à l'origine d'une catastrophe de grande ampleur qui ayant couvert toute la terre aurait alors détruit TOUTES FORMES DE VIE animale comme végétale.

Citation:
L’échange sanguin se fait à partir de l’oxygène et rien n’empêche une période plus riche et une utilisation optimum( le texte biblique indique une durée de vie étonnante des antédilluviens) qui descend brutalement après ce déluge pour se stabiliser vers les 120 ans et moins.



Et ou est passé l'eau du déluge???

Ou tu es sur l’aspect scientifique ou sur l ’aspect biblique, il faut choisir !
Cependant, la question a déjà été posée et une réponse apportée. Nous constatons, actuellement de grandes profondeurs marines et un immense stock de glace en Antarctique (d’où les prévisons pessimistes d’innondation d’une grand partie des terres émergées) Il suffit que les profondeurs à une époque donnée fussent moindre et qu’il n’y ait pas eu de stockage des glaces et la question est résolue (si on retrouve près du pole Nord des formes animales et végétales tropicales cela signifie que ce pôle était exempt de glace et nos savons, à l’heure actuelle, que le réchauffement du nord fait fondre les glaces du sud.)
Comment cela se fait il que l'on ne retrouve point d'adaptation à cette suroxygénation(il n'y en a pas eu bien entendu vu que 65 millions d'années les séparent!) sur les mammouths parfaitement conservés dans les glaces de Sibérie???

Par modification possible des conditions favorables à ce surplus d’oxygène, cela n’a rien d’extraordinaire en soi ; Par exemple raréfaction de la production d’oxygène par les plantes et le plancton principale source de celui-ci (actuellement) et donc adaptation (darwinienne) à de nouvelles conditions qui ne demandent pas des millions d'années. (Gould)
Citation:
La végétation était luxuriante et à reproduction rapide. Les tigres, ni les rex n’ont pas étendu leur territoire au delà de leur besoin physiologique de nutrition et de reproduction et la concurrence limite (c’est toujours le cas actuellement) les naissances.

Les félins actuels n'auraient pas pu tenir la concurrence face aux prédateurs hyper spécialisés de l'époque,de plus tes connaissances en matière de paléontologie font froid dans le dos!

Oxygène toi, ça va te réchauffer !
Les félins courent, en général, plus vite que le Rex en question. "Attrapes-moi si tu peux"
Que dire de Indricothérium,le plus grand mammifère terrestre?

Sauf dans l’hypothèse de zonation.
Nous avons, à notre époque la démonstration que diverses formes de vie ne se concentrent pas au même endroit, mais habitent des zones très diverses (on ne trouve pas des chamois en plaine, ni des éléphants sur les pentes abruptes des montagnes, ni des ours polaires en centre Afrique pas plus que sur les sommets des Andes ou de l’Himalaya avec des températures qui leur conviendraient pourtant.
Il aurait donc vécu en même temps que T-rex,que l'éléphant,le mammouth et nous!!!

L’avenir des découvertes paléontologiques le dira peut-être. (si cela n’existe déjà !)
...Les estimations les plus timides parle d'au moins 30 milliards (milliards et pas millions!)d'espèces ayant vécu sur terre depuis le début...il n'est pas possible que tout ce "petit monde" est vécu en même temps!

Les espèces englobent tout ce qui a vie du Indricothérium à la puce et voire plus petit encore. Tu ne confondrais pas le nombre d’animaux et le nombre d’espèces ?
Sinon cela signifierait que la quasi-totalité des formes de vie auraient été éradiquées, mais que l’on n’en retrouverait qu’une infime partie fossilisée. et nous les fragiles humanoîdes nous aurions échappé, comme par miracle, à cette razzia !? L’écologie va devoir réviser ses bases!
CES ESPÈCES QUI POURRAIENT DISPARAÎTRE
Selon le chercheur, "nombre d'espèces pourraient disparaître avant même que nous en connaissions l'existence, leur fonction unique dans l'écosystème et leur contribution potentielle pour améliorer le bien-être des humains". La récente mise à jour de "la Liste rouge" établie par l'UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) fait état de 59 508 espèces surveillées, dont 19 625 sont menacées d'extinction, relève Boris Worn, de l'université Dalhousie, coauteur de cette communication.
Les chercheurs estiment à 7,77 millions au total le nombre d'espèces animales, dont 953 434 ont été décrites et classées. Il y a aussi 298 000 différentes espèces végétales, dont 215 644 ont été cataloguées. S'y ajoutent 611 000 espèces de champignons et moisissures, dont 43 271 ont fait l'objet d'une classification. Les chercheurs ont également estimé à 36 400 le nombre des espèces de protozoaires, des organismes unicellulaires dotés de certains comportements animaux, comme le mouvement. Ils en ont répertorié 8 118 à ce jour. Enfin, ils ont dénombré 27 500 espèces d'algues, de diatomées (algue unicellulaire) et de moisissures d'eau. Sur ce nombre, 13 033 ont été identifiées et cataloguées.
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par sen-no-sen » 28/05/14, 13:54

janic a écrit :Sen no sen bonjour


C’est encore plus difficile à reproduire au point que personne n’y est arrivé non plus. Donc tout n’est qu’hypothèse sur le processus en cours dans ces formes d’assemblage de matière.


Cet argument consistant a dire que "nous ne sommes pas parvenu a maîtriser quelque chose donc c'est impossible" relève du n'importe quoi!
Les expériences de Miller se déroulait dans un petit labo et non pas à l'échelle d'une planète !
La vie a pu apparaitre dans un océan prébiotique(thèse n°1) comme dans les profondeurs de la terre(plusieurs centaines de mètres) ou encore dans l'espace(panspermie).


Cela suggère donc un plan directeur, une volonté précise de….


Par nécessairement...lorsque l'on demande à un humain de choisir de passer de l'autre coté d'un mur moyennant un choix de 10 portails différents,il ne peut en prendre qu'un seul...un électron peut tous les franchir en même temps! Ou est le choix?


Malheureusement comme un bon nombre de personnes, tu en arrives à confondre des hypothèses avec la réalité.



Je ne confonds rien,je me base sur les hypothèses les plus probables:les premières formes de vies complexes sont apparues dans les océans,il est donc fort possible que les débuts de la vie s'y soit déroulés.
Toutes ses théories valent milles croyances!
Pour quelqu'un qui défends des idées qui sont à la limite de la blague carambar cela est quelque peu culotté... :lol:


En fait personne n’en sait rien, ni évolutionnistes, ni créationnistes, nous sommes confrontés à des réalités matérielles sans savoir réellement comment elles sont devenues telles.


Ce type d'argument ne tiens pas la route,il consiste a dire que tout les mode de pensées se valent et DONC que le créationnisme est aussi valable que la théorie scientifique,c'est une belle imposture!


Une machine c’est aussi l’assemblage de divers éléments et dire qu’un moteur est compose de poulies, d’engrenages, de pistons, de bielles, de vilebrequin etc… ça ne donne aucun renseignement comment ils ont été conçus, fabriqués, assemblés, en tout cas pas par une auto-organisation.


On explique depuis peu dans l'histoire des science la complexité de formation des flocons de neiges,alors la vie il y a encore du chemin!
Pour autant comme je l'ai mentionné près d'une trentaine de fois tu entretien sur ce sujet un double discours: à la fois anti-évolutionniste et déiste.
Hors comme je l'ai mentionné ce sujet porte sur les faits de l'évolution par sur l'existence de Dieu,sur ce point j'ai largement répondu.


Quelles expériences concernant la vie elle-même ?


La M-théorie, la relativité générale,etc.. concerne l'Univers,donc tout ce qui existe,et la vie dedans.

sen-no-sen a écrit:
2)-La non localité de l'espace-temps:une pensée futur a pu réduire la fonction d'onde de l'Univers et crée les conditions initiale permettant la vie...totalement dingue a premières vu,mais la aussi basé sur des expériences a petite échelles.


Exemple concret concernant le vivant?


L'observation d'un système permet dans l'expérience de A.Wheeler une action dans le passé de la particule,quelle rapport avec le vivant?
Euh?L'observateur par exemple...! :lol:

Le problème c’est qu’il y a en général un immense fossé entre les théories et la réalité concrète. Et la vie c’est du concret pas des hypothèses. Les cimetières sont remplis d’individus pleins d’hypothèses.


Toutes les expériences cités sont basé sur des réalités pas des hypothèses!
Par contre de ton coté toujours rien à l'horizon!


En ce qui concerne les transitions de phase,je peut donner des exemples à foison concernant l'univers,la vie, les systèmes sociaux,mais cela ne servirais a rien, puisque tu ne fait que nier les réalité depuis le début,c'est limite niveau argumentation tout de même!


C’est encore faire preuve d’ignorance !Il ne s’agit pas de réduire quoi que ce soit, mais de rendre de façon imagée, accessible à l’esprit humain, ce qui n’est même pas possible d’imaginer.


Pourquoi les Bouddhistes par exemple se taisent concernant ce genre de comparaison?

Intéressant la vaporisation. Où trouve-t-on des phénomènes identiques ? la dernière météorite ayant touché la Russie ne s’est pas vaporisé à l’impact, elle. En général, les astéroïdes composés essentiellement de glace, se vaporisent AVANT l'impact.


Deux choses: nous avons l'exemple de la vaporisation d'une météorite ou petite comète sans formation de cratère en 1908 à Tunguska.
La vaporisation est une conséquence de l'angle d'arrivé(très oblique) des roches lors de leurs pénétration dans l'atmosphère.

Hors dans le cas qui nous intéressent la dite vaporisation n'a rien a voir avec ce phénomène,il est question ici de la dispersion complète de l’astéroïde sous forme de particules suite à la violence de l'impact,particules que l'on retrouve dans les couches sédimentaires et datant de la fameuse période appelé"limite KT".


acceptons le comme probabilités à l'origine d'une catastrophe de grande ampleur qui ayant couvert toute la terre aurait alors détruit TOUTES FORMES DE VIE animale comme végétale.


Inexact,la chute de l’astéroïde a détruit la vie sur un périmètre de plusieurs milliers de kiomêtres,épargnant une grande majorité d’espèces.
Ce sont les modifications climatiques résultant de l'hiver mondiale qui furent les plus dévastatrices,néanmoins de nombreuses espèces ont survécus,notamment les premiers mammifères.
Ces derniers étant plus petits ils ont pu bénéficier de la disparition des grand sauriens,c'est la fameuse sélection K/r.
Une fois de plus on retrouve le processus de boom et de crash générateur de diversité.


Ou tu es sur l’aspect scientifique ou sur l ’aspect biblique, il faut choisir !
(concernant l'eau du déluge)

C'est une question tout à fait scientifique!
Vu que tu défend la vision créationniste il faut que tu assume les affirmations qui en découlent!


Nous constatons, actuellement de grandes profondeurs marines et un immense stock de glace en Antarctique (d’où les prévisons pessimistes d’innondation d’une grand partie des terres émergées) Il suffit que les profondeurs à une époque donnée fussent moindre et qu’il n’y ait pas eu de stockage des glaces et la question est résolue


C'est géo-physiquement impossible!
Dans ton scénarios la planète aurait été complétement aplani,ce qui d'une part n'est pas corroborer par les constations géologiques,mais de plus est impossible thermodynamiquement!
Il aurait fallut que tout les reliefs apparaissent de façon extrêmement rapide,ce qui n'est pas du ressort des réactions de fission régnant à l'intérieur du globe.
Plus d'énergie sous l'écorce aurait entrainé une fonte partielle ou totale de la lithosphère et aurait eu un effet sur les reliefs radicalement différent de ce que l'on constate actuellement.
Un tel bouleversement aurait également concentré les formes de vie(puisque tu considère que toute vivaient en même temps!!!) sur les mêmes couches et avec des datations identiques,ce qui n'est pas le cas...


Par modification possible des conditions favorables à ce surplus d’oxygène, cela n’a rien d’extraordinaire en soi ; Par exemple raréfaction de la production d’oxygène par les plantes et le plancton principale source de celui-ci (actuellement) et donc adaptation (darwinienne) à de nouvelles conditions qui ne demandent pas des millions d'années. (Gould)


Inexact...le taux d'oxygène était supérieur à ce qu'il est aujourd'hui (soit 30% contre 21% de nos jours),il n'est donc pas question ici de rééquilibrage par des plantes,mais de composition différente de l'atmosphère.
De plus les derniers Mammouth ont vécus il y a moins de 3700 ans,pourquoi retrouve t-on donc des animaux disposant de caractéristiques aussi semblable (au niveau de l'appareil respiratoire)à ceux peuplant la planète de nos jours?
Aucune analyse ne présente de trace d'une adaptation à une sur-oxygénation quelconque!
De plus explique moi pourquoi l'on ne retrouve pas de T-rex ou de tricératops aussi bien conservés dans la glace ou les sables du désert???

Tes arguments ne tiennent pas la route!


Sauf dans l’hypothèse de zonation.
Nous avons, à notre époque la démonstration que diverses formes de vie ne se concentrent pas au même endroit, mais habitent des zones très diverses (on ne trouve pas des chamois en plaine, ni des éléphants sur les pentes abruptes des montagnes, ni des ours polaires en centre Afrique pas plus que sur les sommets des Andes ou de l’Himalaya avec des températures qui leur conviendraient pourtant.


Cela tiens encore moins la route avec plusieurs milliards d'espèces!
Il aurait fallut une planète de la taille de Neptune pour héberger en même temps toutes ses formes de vie...


Sinon cela signifierait que la quasi-totalité des formes de vie auraient été éradiquées, mais que l’on n’en retrouverait qu’une infime partie fossilisée. et nous les fragiles humanoîdes nous aurions échappé, comme par miracle, à cette razzia !? L’écologie va devoir réviser ses bases!


Oui 95% des formes de vie ont disparut depuis le début de l'apparition de la vie sur terre.
La vie est une course de relais,et la disparition des uns permet l'essor des autres.
C'est la même chose pour nous les humains,près de 100 milliards d'humains ont foulés le sol de la planète,et "seulement" 7 milliards dans le présent.


Tu ne confondrais pas le nombre d’animaux et le nombre d’espèces ?

NON non! Je parle bien d'espèces différentes et pas d'individus!
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par janic » 03/06/14, 20:21

Sen no sen bonjour
janic a écrit:
C’est encore plus difficile à reproduire au point que personne n’y est arrivé non plus. Donc tout n’est qu’hypothèse sur le processus en cours dans ces formes d’assemblage de matière.

Cet argument consistant a dire que "nous ne sommes pas parvenu a maîtriser quelque chose donc c'est impossible" relève du n'importe quoi!

C’est bien mon avis ! je n’ai pas dit impossible mais « plus difficile »et donc que personne n’y est arrivé. La théorie mérite donc bien son appellation concernant l’évolution.
Les expériences de Miller se déroulait dans un petit labo et non pas à l'échelle d'une planète !

C’est encore juste. Cependant, nous possédons des moyens bien plus sophistiqués qu’à son époque, et la reproduction du vivant reste du domaine du mythe car pour l’instant personne n’y a réussi.
La vie a pu apparaitre dans un océan prébiotique(thèse n°1) comme dans les profondeurs de la terre(plusieurs centaines de mètres) ou encore dans l'espace(panspermie).

C’est le rôle des hypothèses, autant que d’une création, mais là encore ces supposées conditions antérieures ne se retrouvent pas actuellement, donc ce ne sont toujours et encore que des hypothèses et hypothèse et preuve ne jouent pas dans la même cour !
Citation:
Cela suggère donc un plan directeur, une volonté précise de….

Par nécessairement...lorsque l'on demande à un humain de choisir de passer de l'autre coté d'un mur moyennant un choix de 10 portails différents,il ne peut en prendre qu'un seul...un électron peut tous les franchir en même temps! Ou est le choix?

Ce qui n’indique nullement une absence de plan directeur, mais seulement de l’ignorance de celui-ci. Si la totalité de l’univers obéi à des lois extrêmement précises, il est probable que les électrons (dont le comportement est inhabituel par rapport à notre vision macro et non micro comme vu précédemment).
Citation:
Malheureusement comme un bon nombre de personnes, tu en arrives à confondre des hypothèses avec la réalité.

Je ne confonds rien,je me base sur les hypothèses les plus probables:les premières formes de vies complexes sont apparues dans les océans,il est donc fort possible que les débuts de la vie s'y soit déroulés.

Hypothèse contradictoire entre sont et fort probable.
Toutes ses théories valent milles croyances!

Pas plus, ni moins, puisque les théories sont elles-mêmes des croyances dites scientifiques
Une théorie n’est qu’une vue de l’esprit qui se vérifiera ou pas ultérieurement (et un grand nombre sont des flop)
Pour quelqu'un qui défends des idées qui sont à la limite de la blague carambar cela est quelque peu culotté...

Je te renvoies alors à tous les canulars scientifiques qui ont discrédité nombre de ses tenants et de ses suivants.
Par ailleurs, je ne défend pas MES idées, mais celles de scientifiques (diplômes à la clé et donc aussi crédibles que d’autres possesseurs de ces bouts de papier) dont des évolutionnistes cités mettant en question la croyance elle-même.
Citation:
En fait personne n’en sait rien, ni évolutionnistes, ni créationnistes, nous sommes confrontés à des réalités matérielles sans savoir réellement comment elles sont devenues telles.

Ce type d'argument ne tiens pas la route,il consiste a dire que tout les mode de pensées se valent et DONC que le créationnisme est aussi valable que la théorie scientifique,c'est une belle imposture!

A imposture, imposture et demie !
Mais effectivement le créationnisme scientifique est aussi valable (ou aussi peu selon les croyances) que l’évolutionnisme scientifique.
Citation:
Une machine c’est aussi l’assemblage de divers éléments et dire qu’un moteur est compose de poulies, d’engrenages, de pistons, de bielles, de vilebrequin etc… ça ne donne aucun renseignement comment ils ont été conçus, fabriqués, assemblés, en tout cas pas par une auto-organisation.

On explique depuis peu dans l'histoire des science la complexité de formation des flocons de neiges, alors la vie il y a encore du chemin!

Merci de soutenir mon propre discours !
Donc l’humilité est de reconnaitre son ignorance et de non de tenir de simples hypothèses comme des éléments certains de la constitution du vivant et du même coup tout ce discours sur l’évolution (supposée)
Pour autant comme je l'ai mentionné près d'une trentaine de fois tu entretien sur ce sujet un double discours: à la fois anti-évolutionniste et déiste.

Au contraire, j’ai aussi affirmé qu’il ne fallait pas mélanger les deux :
soit sous l’angle scientifique uniquement (et je te rappelle que c’est toi qui ramène à des croyances, à des jeunes terres ou que sais-je encore et qui n’ont rien à faire dans ce domaine)
Soit dans le seul domaine de la foi (en ce que chacun voudra) et là évolution comme création sont sur un même plan n’en déplaise à qui que ce soit !
Hors comme je l'ai mentionné ce sujet porte sur les faits de l'évolution par sur l'existence de Dieu,sur ce point j'ai largement répondu.
Point que j’ai aussi soutenu au moins trente fois aussi sur les faits de la création. (qui sont les mêmes d'ailleurs!)
Citation:
Quelles expériences concernant la vie elle-même ?

La M-théorie, la relativité générale,etc.. concerne l'Univers,donc tout ce qui existe,et la vie dedans.

Tout ça ce n’est pas la vie organique (tel que l'on défini la vie actuellement), sinon une machine serait vivante elle-aussi puisque composée des éléments communs à l’univers connu.
Maintenant dire que l’univers est une forme de système animé selon des lois très précises comme les machines organiques : pourquoi pas, tout est imaginable ! Dans un système créationniste çà rentre aussi dans le cadre du possible «en n'étant qu’hypothèse, pas pour autant de preuves telles que « nous » les souhaitons scientifiquement
Citation:
Exemple concret concernant le vivant?

L'observation d'un système permet dans l'expérience de A.Wheeler une action dans le passé de la particule, quelle rapport avec le vivant?

Tous les produits chimiques reproduits par les chimistes contiennent des particules et il n’en sort rien de vivant pour autant : du point de vue des observateurs..par exemple ...!
Citation:
Le problème c’est qu’il y a en général un immense fossé entre les théories et la réalité concrète. Et la vie c’est du concret pas des hypothèses. Les cimetières sont remplis d’individus pleins d’hypothèses.

Toutes les expériences cités sont basé sur des réalités pas des hypothèses!

Expériences qui ne voient que des réalités où la vie est absente et cela nous avance à quoi concernant celle-ci.
Citation:
C’est encore faire preuve d’ignorance !Il ne s’agit pas de réduire quoi que ce soit, mais de rendre de façon imagée, accessible à l’esprit humain, ce qui n’est même pas possible d’imaginer.

Pourquoi les Bouddhistes par exemple se taisent concernant ce genre de comparaison?

Je ne suis pas religieux et le bouddhisme m’est inconnu comme pour les autres systèmes religieux, je n’ai donc aucun avis.
Citation:
acceptons le comme probabilités à l'origine d'une catastrophe de grande ampleur qui ayant couvert toute la terre aurait alors détruit TOUTES FORMES DE VIE animale comme végétale.

Inexact,la chute de l’astéroïde a détruit la vie sur un périmètre de plusieurs milliers de kiomêtres,épargnant une grande majorité d’espèces.
Et Ce sont les modifications climatiques résultant de l'hiver mondiale qui furent les plus dévastatrices,néanmoins de nombreuses espèces ont survécus,notamment les premiers mammifères.

Et comme par hasard, ce seraient les espèces les plus fragiles qui auraient survécues ?!
Ces derniers étant plus petits ils ont pu bénéficier de la disparition des grand sauriens,c'est la fameuse sélection K/r.

Simple hypothèse ! Entre « ils ont pu » et « ils ont », il y a encore un énorme fossé pas facile à combler.
Vu que tu défend la vision créationniste il faut que tu assume les affirmations qui en découlent!

Tout à fait à condition de ne pas mélanger en permanence les deux.

Lorsque j’évoque la dimension science, je ne parle pas de croyance, ; lorsque je parle croyance, je parle pas de science. Après, chacun établira des ponts (ou pas) là où il veut.
Citation:
Nous constatons, actuellement de grandes profondeurs marines et un immense stock de glace en Antarctique (d’où les prévisons pessimistes d’innondation d’une grand partie des terres émergées) Il suffit que les profondeurs à une époque donnée fussent moindre et qu’il n’y ait pas eu de stockage des glaces et la question est résolue

C'est géo-physiquement impossible!
Dans ton scénarios la planète aurait été complétement aplani,ce qui d'une part n'est pas corroborer par les constations géologiques,mais de plus est impossible thermodynamiquement!

Tu vois, tu déformes ce que j’ai exprimé « il suffit que les profondeurs fussent moindre » ne veut pas dire plate
Il aurait fallut que tout les reliefs apparaissent de façon extrêmement rapide,ce qui n'est pas du ressort des réactions de fission régnant à l'intérieur du globe.

Pas besoin ! il suffit de prendre les chiffres actuels de surrection, de sédimentation, de volcanisme, de stockage des glaces, d’effondrement des plaques par surcharge brutale, pour que ces réactions en chaine aient pu se produire

Un tel bouleversement aurait également concentré les formes de vie(puisque tu considère que toute vivaient en même temps!!!) sur les mêmes couches et avec des datations identiques,ce qui n'est pas le cas...

Sauf en cas de zonation !
Citation:
Par modification possible des conditions favorables à ce surplus d’oxygène, cela n’a rien d’extraordinaire en soi ; Par exemple raréfaction de la production d’oxygène par les plantes et le plancton principale source de celui-ci (actuellement) et donc adaptation (darwinienne) à de nouvelles conditions qui ne demandent pas des millions d'années. (Gould)

Inexact...le taux d'oxygène était supérieur à ce qu'il est aujourd'hui (soit 30% contre 21% de nos jours),il n'est donc pas question ici de rééquilibrage par des plantes, mais de composition différente de l'atmosphère.

La plus grand partie (actuelle) de l’oxygène est fournie par le plancton, de plus la terre était couverte de plus de végétation terrestre qu’aujourd’hui, donc une augmentation de l’oxygène total n’est pas une impossibilité, loin s’en faut.
De plus les derniers Mammouth ont vécus il y a moins de 3700 ans,pourquoi retrouve t-on donc des animaux disposant de caractéristiques aussi semblable (au niveau de l'appareil respiratoire)à ceux peuplant la planète de nos jours?

Comme dirait Darwin, c’est une question d’adaptation ! La suroxygénation (par rapport au vivant actuel) est une caractéristique des gros consommateurs d’énergie et que l’on retrouve chez les sportifs de haut niveau et donc nécessaire aux échanges organiques : consommation du glucose, élimination des déchets.
Aucune analyse ne présente de trace d'une adaptation à une sur-oxygénation quelconque!

Pas besoin ! Un taux plus élevé ne nécessite pas pour autant des modifications organiques importantes, mais seulement des échanges plus ou moins actifs.

De plus explique moi pourquoi l'on ne retrouve pas de T-rex ou de tricératops aussi bien conservés dans la glace ou les sables du désert???
Pour retrouver des traces biologiques conservées il faut des conditions spécifiques particulières comme un enfouissement rapide sans oxygène et les micro organismes deviennent inactifs. Pour le désert (en supposant que ce fut un désert à ce moment) toute forme organique est détruite par les prédateurs, micro organismes et ne restent que les os qui disparaissent aussi en quelques dizaines d’années.
Citation:
Sauf dans l’hypothèse de zonation.
Nous avons, à notre époque la démonstration que diverses formes de vie ne se concentrent pas au même endroit, mais habitent des zones très diverses (on ne trouve pas des chamois en plaine, ni des éléphants sur les pentes abruptes des montagnes, ni des ours polaires en centre Afrique pas plus que sur les sommets des Andes ou de l’Himalaya avec des températures qui leur conviendraient pourtant.

Cela tiens encore moins la route avec plusieurs milliards d'espèces!

Tout dépend de la taille des espèces !
Citation:
Sinon cela signifierait que la quasi-totalité des formes de vie auraient été éradiquées, mais que l’on n’en retrouverait qu’une infime partie fossilisée. et nous les fragiles humanoîdes nous aurions échappé, comme par miracle, à cette razzia !? L’écologie va devoir réviser ses bases!

Oui 95% des formes de vie ont disparut depuis le début de l'apparition de la vie sur terre.

Pour cela il faudrait avoir des témoins fossilisés de la totalité de ces formes de vie : or malgré les milliards de fossiles retrouvés ceux-ci ne dénombrent pas toutes les espèces possibles. Certains doivent donc hypothèqués sur d’éventuels chainons manquants introuvables.
La vie est une course de relais,et la disparition des uns permet l'essor des autres.

Ou provoque un désastre écologique. La disparition des insectes pollinisateurs serait plus grave qu’un gros météorite.

C'est la même chose pour nous les humains,près de 100 milliards d'humains ont foulés le sol de la planète,et "seulement" 7 milliards dans le présent.


Un autre facteur de complication est l'allure de la croissance démographique. A-t-elle augmenté jusqu'à un certain niveau et ensuite fluctuer brutalement en réponse aux famines et changements climatiques ? Ou a-t-elle augmenté à un taux constant d'une période de référence à une autre ? Nous ne connaissons pas les réponses à ces questions, bien que les paléontologistes aient produit de nombreuses théories. Aux fins de cet exercice, nous supposons qu'un taux de croissance constant a été appliqué à chaque période, jusqu'aux temps modernes. Les taux de natalité ont été fixés à 80 pour 1.000 par an jusqu'à la première année de l'ère chrétienne et à 60 pour 1.000 de l'an 2 à 1750. Les taux ont ensuite décliné jusqu'à l'époque moderne pour se situer juste au-dessus de 30 pour 1.000. (Pour une brève bibliographie des sources consultées pendant l'exécution de cette alchimie, voir "Pour plus d'infos".)

Cette approche semi-scientifique arrive à une estimation de 106 milliards de naissances environ depuis l'origine de la race humaine. Il est clair que la période qui a correspondu aux 8 millénaires avant l'ère chrétienne est le facteur essentiel pour déterminer la grandeur de notre nombre mais, malheureusement, nous ne savons pas grand-chose sur cette époque. Certains lecteurs pourront être d'un avis différent sur certains aspects - ou peut-être sur presque tous les aspects - du tableau, mais cette méthode offre au moins une approche pour aborder ce problème difficile à résoudre. A vue de nez, il pourrait sembler que notre méthode sous-estime dans une certaine mesure le nombre de naissances. L'hypothèse d'une croissance démographique constante à l'époque préhistorique sous-estime peut-être l'importance moyenne de la population à cette époque-là. Et naturellement, en faisant remonter l'arrivée de l'humanité sur la planète à une époque antérieure à 50.000 ans avant Jésus-Christ, on augmente aussi le nombre de naissances, mais probablement pas énormément.


http://forums.futura-sciences.com/debat ... anite.html
Citation:
Tu ne confondrais pas le nombre d’animaux et le nombre d’espèces ?

NON non! Je parle bien d'espèces différentes et pas d'individus!

Source car je n’ai rien trouvé de crédible sur le net ! et ou commence et s'arrête la définition d'espèce?
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par sen-no-sen » 03/06/14, 22:08

janic a écrit :Et comme par hasard, ce seraient les espèces les plus fragiles qui auraient survécues ?!


Fragiles non,adaptables oui!
C'est le fameux principe de la sélection K et de la sélection r.
Lorsque l'environnement est instable,par exemple lors d'un cataclysme naturel,les organismes facilement adaptables sont avantagés,c'est à dire des organismes de petites tailles,c'est la sélection r.
A contrario lorsque l'environnement est relativement stable les conditions de vie facilite les individus les plus adaptés,principalement des individus de grandes tailles,c'est la sélection K.

Maintenant réponds à cette question: Lorsqu'il n'y a plus rien a manger suite à un hiver mondiale de plusieurs année et que le température frise les -5C°,faut il mieux être un diplodocus de 30 tonnes ou un petit mammifère de quelques grammes???



Simple hypothèse ! Entre « ils ont pu » et « ils ont », il y a encore un énorme fossé pas facile à combler.


Hypothèse non:fait vérifiable!
La sélection K/r s'applique a tous les domaines y compris l'économie et la géopolitique.
Ex en éco:En période trouble la sélection r favorise les entreprises ayant les capacités de réadaptation les plus rapides,en l’occurrence il ne s'agit pas de Carrefour ou de Total,mais des petits artisans.



Tu vois, tu déformes ce que j’ai exprimé « il suffit que les profondeurs fussent moindre » ne veut pas dire plate


Pas plate mais presque!
Donc, si tous les glaciers continentaux fondaient, les 30 millions de km3 de glaces élèveraient le niveau de la mer de 30 / 357 = 0,084 km, soit 84 mètres. En réalité, ce serait un peu moins, parce qu'une partie des glaciers de la partie Ouest de l'Antarctique n'adhère pas partout au socle continental, qui est ici sous le niveau de la mer, et la fonte des glaces de mer (banquises) n'influence pas le niveau marin (voir l'article-réponse sur la fonte de la banquise pour davantage de précisions).

http://planet-terre.ens-lyon.fr/article/fonte-des-glaces.xml

Il aurait donc fallut que les monts les plus élevés mesures moins de 80m pour que toute la surface du globe soit recouverte d'eau,vu du ciel, cela ferait une planète bien plate tout de même!
Encore une fois il est impossible qu'en un temps si court des surrections montagneuses telles que les Vosges(pour être gentils) puissent se former!
Je fait l'impasse sur la fosse des Marianne et l'Himalaya....


Pas besoin ! il suffit de prendre les chiffres actuels de surrection, de sédimentation, de volcanisme, de stockage des glaces, d’effondrement des plaques par surcharge brutale, pour que ces réactions en chaine aient pu se produire


-Les chiffres actuelle mentionne au plus quelques mm par an pour les surrections montagneuses...
-La sédimentation est directement lié à l'érosion des massifs montagneux et à l'hydrologie,donc bien difficile à tenir dans un monde dont le plus haut sommet ferait à peine 80m!
-Le volcanisme laisse des traces bien évidentes telles que des caldeiras, et bien évidemment des dépôts caractéristique de basalte...
-Effondrement de plaque...suite à quel processus? Combien d'années??? 6000 ans ? :lol:



Sauf en cas de zonation !


Le mots magique:"zonation",peut tu seulement en donner précisément une définitions?

Comme dirait Darwin, c’est une question d’adaptation ! La suroxygénation (par rapport au vivant actuel) est une caractéristique des gros consommateurs d’énergie et que l’on retrouve chez les sportifs de haut niveau et donc nécessaire aux échanges organiques : consommation du glucose, élimination des déchets.


Cela ne réponds pas à la question:Pourquoi ne retrouve t-on pas dans le corps de Mammouths congelés (et très bien conservés!) des glaces de Sibérie des différences tangibles liés à ta soi disante "adaptation" à la sur-oxygénation???

Pas besoin ! Un taux plus élevé ne nécessite pas pour autant des modifications organiques importantes, mais seulement des échanges plus ou moins actifs.


Le taux érythropoïétine est très parlant de ce type d'adaptation,peut tu me donner les informations concernant les dites modifications?
Pour quelles raison les gaz piégés dans ses mêmes glaces font ils états d'une composition atmosphérique quasi-identique à la notre?(Si ce n'est un niveau de C02 moindre...)


Pour retrouver des traces biologiques conservées il faut des conditions spécifiques particulières comme un enfouissement rapide sans oxygène et les micro organismes deviennent inactifs. Pour le désert (en supposant que ce fut un désert à ce moment) toute forme organique est détruite par les prédateurs, micro organismes et ne restent que les os qui disparaissent aussi en quelques dizaines d’années.


Dans ce cas,pourquoi retrouve t-on des Mammouths congelés et pas des Dinosaures???
...Sachant que l'on a retrouvés des ossements de dinosaures dans les mêmes zones,mais qui n’était bien évidemment pas de la même époque...

Par La Voix de la Russie | Le fossile de stégosaure découvert en Sibérie est la principale attraction de l’exposition anniversaire du musée ethnographique de Krasnoïarsk.
(...)
Dans le cadre du concours de noms lancé par la ville de Krasnoïarsk, c’est le nom de Jurachka qui l’a emporté. Le stégosaure est une créature de la période jurassique – d’où les deux premières lettres de son nom. Il a été trouvé dans le district de Charypov dans la région de Krasnoïarsk, d’où la deuxième partie du nom choisi. Ce fossile est le premier stégosaure découvert en Russie, et le plus ancien du monde, a indiqué à La Voix de la Russie, Tatiana Zykova, directrice adjointe du musée ethnographique de Krasnoïarsk :

http://french.ruvr.ru/2014_03_11/Bapteme-du-stegosaure-de-Siberie-8677/



Tout dépend de la taille des espèces !


Le plus grand sauropodes découvert mesurait près de...40 mètres de long pour près de 100 tonnes et il étaient nombreux comme cela!
Parmis quelque star de l'époque:Argentinosaure,Brontosaure,Brachiosaure,Diplodocus,Camarasaure etc...tu veut la liste complète?


Pour cela il faudrait avoir des témoins fossilisés de la totalité de ces formes de vie : or malgré les milliards de fossiles retrouvés ceux-ci ne dénombrent pas toutes les espèces possibles. Certains doivent donc hypothèqués sur d’éventuels chainons manquants introuvables.


On ne dispose pas de la répertorisation de la totalité des espèces vivantes actuellement qui sont estimé à plusieurs millions,alors si l'on devaient comptabiliser les anciennes...on peut facilement multiplier le chiffre par dix(pour être très très gentils)!

L'hypothèse d'une croissance démographique constante à l'époque préhistorique sous-estime peut-être l'importance moyenne de la population à cette époque-là.


C'est pourtant tirer de ton extrait!
Mais même avec une population mondiale totale de seulement 25 milliards individus le raisonnement tiens parfaitement:la terre est trop petite pour accueillir toutes les espèces en même temps.

Source car je n’ai rien trouvé de crédible sur le net ! et ou commence et s'arrête la définition d'espèce?


Par espèces il faut considérer les sous espèces donc la différence entre un requin marteau et un requin tigre.

Mais comme le rappelle David Raup dans son livre De l'extinction des espèces, il est vraisemblable que le nombre des espèces qui ont vécu un moment sur Terre et qui se sont succédé depuis près de quatre milliards d'années se situe entre cinq et cinquante milliards (figure). On table en gros sur 1 espèce sur 1000 qui soit encore vivante, ce qui signifie qu'il y a déjà eu 99,9 % de disparitions.

http://www.astrosurf.com/macombes/chapitre%2015-me.htm

Même dans une hypothèse ultra basse de 500 millions d'espèces,ton "hypothèse" ne tiens pas...comme tout le reste par ailleurs:
-Théologiquement cela ne tiens pas...
-Thermodynamiquement cela ne tiens pas...
-Géologiquement cela ne tiens pas...
-Historiquement cela ne tiens pas...
-Paléontologiquement cela ne tiens pas...
-Du point de vu de la simple logique cela ne tiens pas non plus et relève de l'aberration!
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par janic » 04/06/14, 10:18

Sen no sen bonjour
janic a écrit:
Et comme par hasard, ce seraient les espèces les plus fragiles qui auraient survécues ?!

Fragiles non,adaptables oui!
C'est le fameux principe de la sélection K et de la sélection r.
Lorsque l'environnement est instable,par exemple lors d'un cataclysme naturel,les organismes facilement adaptables sont avantagés,c'est à dire des organismes de petites tailles,c'est la sélection r.

C’est typique de l’effet de zonation. Les formes sont adaptées au milieu de vie. Par exemple les très gros animaux en parties basses, les tailles moyennes en parties vallonnées comme nos mammifères, les petites tailles en parties hautes où le poids est un désavantage. Une catastrophe liquide enfouira les animaux aquatiques en premier, puis les sédimentations importantes enfouiront les gros animaux, proches du niveau bas des mers, puis éventuellement les zones adaptées à des formes moins massives, etc… et peu ou pas pour les formes en parties hautes. ce qui correspond aux parties fossilisées en général.
Maintenant réponds à cette question: Lorsqu'il n'y a plus rien a manger suite à un hiver mondiale de plusieurs année et que le température frise les -5C°,faut il mieux être un diplodocus de 30 tonnes ou un petit mammifère de quelques grammes???

C’est la même chose ! Chaque variété animale ayant une alimentation spécifique, en cas de catastrophe, aucun n’est avantagé par rapport aux autres que ce soit des bœufs, des lions ou des souris. Et encore moins des humains. C’est ce que veulent nous faire découvrir les SVT, l’écologie.
Citation:
Simple hypothèse ! Entre « ils ont pu » et « ils ont », il y a encore un énorme fossé pas facile à combler.

Hypothèse non:fait vérifiable!
La sélection K/r s'applique a tous les domaines y compris l'économie et la géopolitique.

Sauf encore une fois que ce qui est peut-être adaptable à des systèmes « humains »simplissimes, ne l’est pas pour des systèmes vivants bien plus complexes.
Ex en éco:En période trouble la sélection r favorise les entreprises ayant les capacités de réadaptation les plus rapides,en l’occurrence il ne s'agit pas de Carrefour ou de Total,mais des petits artisans.

Sauf que dans mon discours, il s'agit du vivant :
Le modèle évolutif r/K est une théorie qui explique que l'évolution de la stratégie de reproduction des espèces est reliée aux fluctuations de l'environnement.wikipedia
La théorie s’appuie sur une modèle actuel en équilibre écologique non catastrophiste ou s’équilibrent prédateurs et prédatés où les diplodocus n’influent pas sur les grenouilles, ni les puces ou les abeilles, chacun ayant une niche écologique bien spécifique. La disparition des gros n’influe donc en rien une grande partie des animaux (et plantes ) moins grosses ou grandes.
Citation:
Tu vois, tu déformes ce que j’ai exprimé « il suffit que les profondeurs fussent moindre » ne veut pas dire plate

Pas plate mais presque!

Non ! Moindre ne veut pas dire presque plate, les profondeurs abyssales et autres ne diminueraient que de moitié (il y a 71% d’eau sur terre), on serait loin d’être presque plat, suffiraient pour recouvrir les terres actuelles dans sa quasi-totalité et sur plus de 80m.
Citation:
Donc, si tous les glaciers continentaux fondaient, les 30 millions de km3 de glaces élèveraient le niveau de la mer de 30 / 357 = 0,084 km, soit 84 mètres. En réalité, ce serait un peu moins, parce qu'une partie des glaciers de la partie Ouest de l'Antarctique n'adhère pas partout au socle continental, qui est ici sous le niveau de la mer, et la fonte des glaces de mer (banquises) n'influence pas le niveau marin (voir l'article-réponse sur la fonte de la banquise pour davantage de précisions).


http://planet-terre.ens-lyon.fr/article ... glaces.xml
Citation:
Pas besoin ! il suffit de prendre les chiffres actuels de surrection, de sédimentation, de volcanisme, de stockage des glaces, d’effondrement des plaques par surcharge brutale, pour que ces réactions en chaine aient pu se produire

-Les chiffres actuelle mentionne au plus quelques mm par an pour les surrections montagneuses...

Ce qui sur SEULEMENT100 millions d’années donneraient pour un seul mm de surrection : 100km de hauteur, ce que l’on ne retrouve pas et donc il faut changer une partie de l’équation sachant que les sédimentations contenant des fossiles vieux de "centaines de millions" d’années sont restés intacts : il y a un mystère !
-La sédimentation est directement lié à l'érosion des massifs montagneux et à l'hydrologie,

Tout ça a déjà été largement débattu. Les chiffres de sédimentation, de surrection, de volcanismes donnent des chiffres vertigineux et donc impossibles en cas des durées proposées par l’évolution.(considérés donc comme impossibles par des évolutionnistes cités)
-Le volcanisme laisse des traces bien évidentes telles que des caldeiras, et bien évidemment des dépôts caractéristique de basalte...

C’est toujours vrai ! donc comment expliquer qu’avec une activité volcanique réduite, comme actuellement, et appliquée aux durées de l’évolution on ne retrouve pas tous ses rejets.
Citation:
Sauf en cas de zonation !

Le mots magique:"zonation",peut tu seulement en donner précisément une définitions?

Ouf ! Cela à fini par arriver !
Il ne s’agit pas d’un mot magique, mais d’une réalité écologique qui nous entoure. On ne retrouve pas au même endroit, des lions et des ours blancs, ni des éléphants et des chamois, les déserts et les marécages, les forêts équatoriales et les toundras, etc… Chaque lieu a ses niches écologiques que l’on ne retrouve pas ailleurs. La destruction d’un niche n’influe en rien sur l’existence ou l’inexistence d’autres niches.
Citation:
Comme dirait Darwin, c’est une question d’adaptation ! La suroxygénation (par rapport au vivant actuel) est une caractéristique des gros consommateurs d’énergie et que l’on retrouve chez les sportifs de haut niveau et donc nécessaire aux échanges organiques : consommation du glucose, élimination des déchets.

Cela ne réponds pas à la question:Pourquoi ne retrouve t-on pas dans le corps de Mammouths congelés (et très bien conservés!) des glaces de Sibérie des différences tangibles liés à ta soi disante "adaptation" à la sur-oxygénation???

Pour la simple raison que la différence est mineure et que la part d’oxygène fixé, selon les besoins physiologiques, peut s’effectuer avec un rythme cardiaque moindre, pas nécessairement une modification d’un volume respiratoire. Le cœur d’une baleine bleue bat de 6 à 9 fois par mn comparé à nos 60 au repos et jusqu’à 200 en plein effort (il faudrait des poumons et un coeur 3 fois plus gros pour continuer à battre à 60/mn), la souris de 500 à 600 par mn.
Citation:
Pas besoin ! Un taux plus élevé ne nécessite pas pour autant des modifications organiques importantes, mais seulement des échanges plus ou moins actifs.

Le taux érythropoïétine est très parlant de ce type d'adaptation,peut tu me donner les informations concernant les dites modifications?

On ne peut isoler un produit pour en tirer des conclusions globales puisque chaque élément est dans une synergie avec d’autres éléments biologiques (par centaines, voire des milliers ?)
Donc l’adaptation passée ne peut être comparée à l’adaptation actuelle.
Pour quelles raison les gaz piégés dans ses mêmes glaces font ils états d'une composition atmosphérique quasi-identique à la notre?(Si ce n'est un niveau de C02 moindre...)

Tout dépend de l’âge estimé des glaces en question.
Une université russe : l’institut physico-technique de l’académie des sciences de l’URSS et de l’ institut du radium V. Khlopine « s’intéressèrent aux isotopes contenus dans les sources thermales des zones volcaniques modernes. Ils constatèrent que la composition des gaz montant des entrailles de la terre tels que l’argon, l’hélium et le néon ne correspondent ni aux indices terrestres, ni à ceux du cosmos. Ces savants en conclurent que les entrailles de la terre devaient contenir les gaz captés par la planète à l’époque de sa formation depuis un nuage de gaz et de poussières. Il fut décidé de poursuivre les recherches dans le fond des océans, afin de confirmer cette hypothèse. Comme le magma refroidit vite, les gaz des profondeurs de la terre restent dans la masse solidifiée…les gaz abyssaux étaient partout à peu près égaux..ces calculs faits par des savants soviétiques ont abouti à un chiffre difficilement croyable : la terre, parait-il, s’est formée en l’espace de quelques cent mille ans. L’hypothèse de la formation « quasi instantanée » de notre système planétaire, serait-elle juste ?.... » par ailleurs un nuage gazeux interstellaire a été mesuré par un observatoire astronomique vieux de 100 milliards d'années, très récemment.
Citation:
Pour retrouver des traces biologiques conservées il faut des conditions spécifiques particulières comme un enfouissement rapide sans oxygène et les micro organismes deviennent inactifs. Pour le désert (en supposant que ce fut un désert à ce moment) toute forme organique est détruite par les prédateurs, micro organismes et ne restent que les os qui disparaissent aussi en quelques dizaines d’années.

Dans ce cas,pourquoi retrouve t-on des Mammouths congelés et pas des Dinosaures???
...Sachant que l'on a retrouvés des ossements de dinosaures dans les mêmes zones,mais qui n’était bien évidemment pas de la même époque...

Tout à fait ! de la même façon on a retrouvé de la végétation tropicale autour de ces mammouths ce qui signifie des conditions différentes, des époques différentes et donc des zonations différentes.

Citation:
Pour cela il faudrait avoir des témoins fossilisés de la totalité de ces formes de vie : or malgré les milliards de fossiles retrouvés ceux-ci ne dénombrent pas toutes les espèces possibles. Certains doivent donc hypothèquer sur d’éventuels chaînons manquants introuvables.

On ne dispose pas de la répertorisation de la totalité des espèces vivantes actuellement qui sont estimé à plusieurs millions,alors si l'on devaient comptabiliser les anciennes...on peut facilement multiplier le chiffre par dix(pour être très très gentils)!

Au contraire ! le premier cas tient d’une certitude scientifique et en multipliant le chiffre actuellement connu par dix cela donnerait environ 70 millions d’espèces et on est loin du milliard ! Alors que le reste n’est qu’hypothèses, suppositions, sans preuves quantitatives, ni d’espèces, ni d’individus.
Citation:
L'hypothèse d'une croissance démographique constante à l'époque préhistorique sous-estime peut-être l'importance moyenne de la population à cette époque-là.

C'est pourtant tirer de ton extrait!

Mes extraits soulignent les incertitudes (d’un coté comme de l’autre d’ailleurs) et ne se posent pas en références absolues, ni relatives d’ailleurs.
Mais même avec une population mondiale totale de seulement 25 milliards individus le raisonnement tiens parfaitement: la terre est trop petite pour accueillir toutes les espèces en même temps.

Non tout dépend de la taille des espèces ! les poux, puces, tics, moustiques,etc..(ce chiffre est donc peut-être largement dépassé!) sont des espèces en quantités très nombreuses, les baleines bleus en quantités réduites par équilibre écologique K/s.
Citation:
Source car je n’ai rien trouvé de crédible sur le net ! et ou commence et s'arrête la définition d'espèce?

Par espèces il faut considérer les sous espèces donc la différence entre un requin marteau et un requin tigre.

Cela ne changerait rien à l’équilibre écologique avec son auto limitation.
Citation:
Mais comme le rappelle David Raup dans son livre De l'extinction des espèces, il est vraisemblable que le nombre des espèces qui ont vécu un moment sur Terre et qui se sont succédé depuis près de quatre milliards d'années se situe entre cinq et cinquante milliards (figure). On table en gros sur 1 espèce sur 1000 qui soit encore vivante, ce qui signifie qu'il y a déjà eu 99,9 % de disparitions.


http://www.astrosurf.com/macombes/chapitre%2015-me.htm
sauf que le discours de Raup est une simple supposition par abstraction d’une apparition de la vie depuis 4 milliards d’années, ce qui fait partie UNIQUEMENT (et l’on retrouve le discours unique et totalitaire) d’une théorie synthétique de l’évolution, pas de la réalité concrète du terrain où ces espèces disparues ne se retrouvent pas. Une théorie, c’est une chose, les preuves en sont une autre.
D’où ses Si, si, si en pagaille. C’est ce mélange entre suppositions et faits réels mesurables et mesurés qui maintient cette confusion indiscernable lorsque l’on n’y est pas habitué. Ces auteurs sont enfermés dans leurs discours,leurs croyances et ne se rendent même plus compte qu’il y a une barrière entre des suppositions et des faits.
Donc tout le reste, ci-dessous, ne tient pas, non plus. On se demande donc : où est l’aberration en question ?

Même dans une hypothèse ultra basse de 500 millions d'espèces,ton "hypothèse" ne tiens pas...comme tout le reste par ailleurs:

-Thermodynamiquement cela ne tiens pas...
-Géologiquement cela ne tiens pas...
-Historiquement cela ne tiens pas...
-Paléontologiquement cela ne tiens pas...
-Du point de vu de la simple logique cela ne tiens pas non plus et relève de l'aberration!
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par sen-no-sen » 04/06/14, 12:14

janic a écrit :C’est typique de l’effet de zonation. Les formes sont adaptées au milieu de vie. Par exemple les très gros animaux en parties basses, les tailles moyennes en parties vallonnées comme nos mammifères, les petites tailles en parties hautes où le poids est un désavantage.


Tes arguments ne sont même pas cohérent entres eux!
Plus haut tu postule que le monde pré-déluge était relativement plat,dans ce cas comment expliquer une zonation qui demanderait l'existence de gigantesque massif montagneux?
Dans ce dernier cas cela ne colle plus avec le récit littéraliste du déluge...


Une catastrophe liquide enfouira les animaux aquatiques en premier, puis les sédimentations importantes enfouiront les gros animaux, proches du niveau bas des mers, puis éventuellement les zones adaptées à des formes moins massives, etc… et peu ou pas pour les formes en parties hautes. ce qui correspond aux parties fossilisées en général.


Pour quels raisons les animaux aquatiques auraient ils été anéantit lors d'un déluge?
Au pire quelques espèces succomberaient-elles aux changements de salinité,mais cela n'explique pas la disparition des sauriens aquatique...nouvelle incohérence!


C’est la même chose ! Chaque variété animale ayant une alimentation spécifique, en cas de catastrophe, aucun n’est avantagé par rapport aux autres que ce soit des bœufs, des lions ou des souris. Et encore moins des humains. C’est ce que veulent nous faire découvrir les SVT, l’écologie.


Totalement faux!
La sélection K/r est constaté de nos jours avec l'envahissement des activités humaines sur le milieu naturel,sous nos contrées, les Bisons d'Europe ont disparut,puis les Ours,les loups,les aigles etc...laissant la part belle aux musaraignes,surmulot et autre rats et cafards qui pullulent dans les zones habités.


Sauf encore une fois que ce qui est peut-être adaptable à des systèmes « humains »simplissimes, ne l’est pas pour des systèmes vivants bien plus complexes.


La sélection K/r est justement basé sur les sciences du vivant,sont adaptation aux sciences humaines ne c'est fait que très récemment.


La théorie s’appuie sur une modèle actuel en équilibre écologique non catastrophiste ou s’équilibrent prédateurs et prédatés où les diplodocus n’influent pas sur les grenouilles, ni les puces ou les abeilles, chacun ayant une niche écologique bien spécifique. La disparition des gros n’influe donc en rien une grande partie des animaux (et plantes ) moins grosses ou grandes.


Encore faux,la sélection K/r à été largement développé pour expliquer la disparition des grands saurien lors de leurs disparition à la fin du crétacé...suite à une catastrophe de grande ampleur.


Non ! Moindre ne veut pas dire presque plate, les profondeurs abyssales et autres ne diminueraient que de moitié (il y a 71% d’eau sur terre), on serait loin d’être presque plat, suffiraient pour recouvrir les terres actuelles dans sa quasi-totalité et sur plus de 80m.


Encore une fois cela ne tiens pas...
Comment explique tu une augmentation/diminution des reliefs?
Ou seraient parti/ou venu les surplus de roches nécessaires à ton modèle???


Ce qui sur SEULEMENT100 millions d’années donneraient pour un seul mm de surrection : 100km de hauteur, ce que l’on ne retrouve pas et donc il faut changer une partie de l’équation sachant que les sédimentations contenant des fossiles vieux de "centaines de millions" d’années sont restés intacts : il y a un mystère !


J'ai déjà répondu plus de 5 fois à cette remarque absurde qui ferait bondir n'importe quel géologue!
Dans ton hypothèse tu élude totalement le phénomène d'érosion qui vient contrebalancer la surrection montagneuse,elle même limité par les facteurs gravitationnels de notre planète!
:lol:



Tout ça a déjà été largement débattu. Les chiffres de sédimentation, de surrection, de volcanismes donnent des chiffres vertigineux et donc impossibles en cas des durées proposées par l’évolution.(considérés donc comme impossibles par des évolutionnistes cités)


Archifaux et je l'ai démontré!
Ce raisonnement et complétement ridicule,il omet complétement les différentes synergie entre érosions,surrection,hydrologie etc...etc..


C’est toujours vrai ! donc comment expliquer qu’avec une activité volcanique réduite, comme actuellement, et appliquée aux durées de l’évolution on ne retrouve pas tous ses rejets.


Tout simplement parce que l'on retrouve ses témoignages du passé! :lol:


Il ne s’agit pas d’un mot magique, mais d’une réalité écologique qui nous entoure. On ne retrouve pas au même endroit, des lions et des ours blancs, ni des éléphants et des chamois, les déserts et les marécages, les forêts équatoriales et les toundras, etc…


Donc maintenant regarde la vérité en face et fait un bond intellectuel en passant à la zonation temporel, et tu verra que cela sera beaucoup plus cohérent!


La destruction d’un niche n’influe en rien sur l’existence ou l’inexistence d’autres niches.


En totale contradiction avec la notion d'écosystème!!!



Pour la simple raison que la différence est mineure et que la part d’oxygène fixé, selon les besoins physiologiques, peut s’effectuer avec un rythme cardiaque moindre, pas nécessairement une modification d’un volume respiratoire. Le cœur d’une baleine bleue bat de 6 à 9 fois par mn comparé à nos 60 au repos et jusqu’à 200 en plein effort (il faudrait des poumons et un coeur 3 fois plus gros pour continuer à battre à 60/mn), la souris de 500 à 600 par mn.


Encore une fois ton raisonnement ne tiens pas...
Les relevés démontre que le taux d'oxygène lors de la dernière glaciations était sensiblement identique à celui de nos jours,mais qu'a contrario il était de 10% supérieurs au Crétacé.
Comment explique tu de tel différence?



Non tout dépend de la taille des espèces ! les poux, puces, tics, moustiques,etc..(ce chiffre est donc peut-être largement dépassé!) sont des espèces en quantités très nombreuses, les baleines bleus en quantités réduites par équilibre écologique K/s.


Tu élude complétement les grands mammifères,sans parler des dinosaures et de leurs ancêtres...
La taille des micro-organismes est inversement proportionnel avec leurs nombres,l'essentiel de la biomasse vivantes est faites de ses même micro-organismes.

Ton raisonnement mets complétement de coté les cas d'épizootie et des diverses bactérie et virus etc..etc..
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par janic » 04/06/14, 20:14

Sen no sen
janic a écrit:
C’est typique de l’effet de zonation. Les formes sont adaptées au milieu de vie. Par exemple les très gros animaux en parties basses, les tailles moyennes en parties vallonnées comme nos mammifères, les petites tailles en parties hautes où le poids est un désavantage.

Tes arguments ne sont même pas cohérent entres eux!

Ah, bon !
Plus haut tu postule que le monde pré-déluge était relativement plat, dans ce cas comment expliquer une zonation qui demanderait l'existence de gigantesque massif montagneux?

a) Je n’ai pas fait mention de déluge mais de « Une catastrophe liquide », ensuite « Moindre ne veut pas dire presque plate, les profondeurs abyssales et autres ne diminueraient que de moitié (il y a 71% d’eau sur terre), et on serait loin d’être presque plat » Que je sache cela n’indique RIEN sur d’éventuelles hauteurs montagneuses et même en équilibrant les deux facteurs (moindre profondeur abyssale+ moindre hauteur montagneuse) cela ne diminuerait (avec des tas de SI là aussi) les montagnes de moitié, donc très haut encore.
Dans ce dernier cas cela ne colle plus avec le récit littéraliste du déluge...

b) Ainsi qu’indiqué précédemment :
ou le sujet est sur le thème biblique et aucun argument scientifique n’y est nécessaire ;
ou le sujet est sur les éléments scientifiquement perceptibles et dans ce cas aucune référence au thème biblique. Donc je ne réponds pas à cette question qui mélange tout.
Par contre comme indiqué plus en arrière, 142 traditions sur cette terre font mention de « déluges », et elles n’ont rien de biblique.
Citation:
Une catastrophe liquide enfouira les animaux aquatiques en premier, puis les sédimentations importantes enfouiront les gros animaux, proches du niveau bas des mers, puis éventuellement les zones adaptées à des formes moins massives, etc… et peu ou pas pour les formes en parties hautes. ce qui correspond aux parties fossilisées en général.

Pour quels raisons les animaux aquatiques auraient ils été anéantit lors d'un ........?
Cela s’appelle des glissements de boue liés aux grandes quantités d’eau en œuvre, aux charges et séismes consécutifs et pas besoin de remonter à des millions d’années en arrière.
"En 1929 un séisme du nom de Grand Banks Earthquake entraina une grosse quantité de sédiments das l’océan au bord de la plaque continentale et vers les zones plus profondes de l’Atlantique du Nord. Une partie des sédiments se déplaça sur 700 km. Mais contrairement à ce qui pourrait être attendu, c'est-à-dire un mélange, cette boue s’est écoulée sur le fond avec un peu de mélange en surface et 12 cables transatlantiques furent rompus en plusieurs endroits avec une vitesse estimée à plus de 100km et s’étendit sur plus de 100.000km2." Et là, il n’est même pas question de sédiments véhiculés en masse lors de grandes quantités catastrophiques d’eaux pluviales. « des dizaines de milliers de strates à granoclassement entassés les unes sur les autres ont été interprétées comme des dépôts de courants de turbidité » et sont maintenant considérés comme « l’un des types les plus communs de roches sédimentaires »
Citation:
C’est la même chose ! Chaque variété animale ayant une alimentation spécifique, en cas de catastrophe, aucun n’est avantagé par rapport aux autres que ce soit des bœufs, des lions ou des souris. Et encore moins des humains. C’est ce que veulent nous faire découvrir les SVT, l’écologie.

Totalement faux!
La sélection K/r est constaté de nos jours avec l'envahissement des activités humaines sur le milieu naturel,sous nos contrées, les Bisons d'Europe ont disparut,puis les Ours,les loups,les aigles etc...laissant la part belle aux musaraignes,surmulot et autre rats et cafards qui pullulent dans les zones habités.

Seulement la race humaine ne fait pas partie de la sélection naturelle , ils sont même capables de s’autodétruire massivement pour des raisons autres que leur seule survie.
Citation:
Sauf encore une fois que ce qui est peut-être adaptable à des systèmes « humains »simplissimes, ne l’est pas pour des systèmes vivants bien plus complexes.

La sélection K/r est justement basé sur les sciences du vivant,sont adaptation aux sciences humaines ne c'est fait que très récemment.

C’est à peu près comme comparer de l’intelligence humaine avec un ordinateur. Les deux ont des similitudes, mais aucune ressemblance fondamentale.
Citation:
La théorie s’appuie sur une modèle actuel en équilibre écologique non catastrophiste ou s’équilibrent prédateurs et prédatés où les diplodocus n’influent pas sur les grenouilles, ni les puces ou les abeilles, chacun ayant une niche écologique bien spécifique. La disparition des gros n’influe donc en rien une grande partie des animaux (et plantes ) moins grosses ou grandes.

Encore faux,la sélection K/r à été largement développé pour expliquer la disparition des grands saurien lors de leurs disparition à la fin du crétacé...suite à une catastrophe de grande ampleur.

Relis ton site indiqué. L’auteur, qui cite Raud, se perd en conjonctures, suppositions et considère Gould comme la référence explicative alors même qu’elle n’est qu’une hypothèse invérifiée (même avec son pouce du Panda) Aucun système actuel ne fait de saut sur quelques milliers d’années (selon Gould) alors que biologiquement et anatomiquement un nouvel élément de changement nécessite que l’ensemble des fonctions se modifie en même temps et dans le même sens, ce qui défie toutes les lois connues en biologie.
Citation:
Non ! Moindre ne veut pas dire presque plate, les profondeurs abyssales et autres ne diminueraient que de moitié (il y a 71% d’eau sur terre), on serait loin d’être presque plat, suffiraient pour recouvrir les terres actuelles dans sa quasi-totalité et sur plus de 80m.

Comment explique tu une augmentation/diminution des reliefs?

La tectonique des plaques, séismes, par exemple !
Ou seraient parti/ou venu les surplus de roches nécessaires à ton modèle???

Toujours par tectonique! Il est plus facile de provoquer un plissement ou une subduction que de provoquer un aplanissement.
Citation:
Ce qui sur SEULEMENT100 millions d’années donneraient pour un seul mm de surrection : 100km de hauteur, ce que l’on ne retrouve pas et donc il faut changer une partie de l’équation sachant que les sédimentations contenant des fossiles vieux de "centaines de millions" d’années sont restés intacts : il y a un mystère !

J'ai déjà répondu plus de 5 fois à cette remarque absurde qui ferait bondir n'importe quel géologue!
C’est exactement ce qu’à dit ce géologue cité bien plus loin : « c’est impossible ». Donc, en mathématique, lorsque le résultat final est aberrant, c’est que les paramètres de l’équation sont mal posés. Or qu’est-ce qui est mal posé ? Le résultat? Non ! les mesures géologiques sont reconnues par tous donc le résultat final est juste. Est-ce la quantité de surrection mesurée ? Non! puisque les mesures actuelles dépassent largement ce 1 mm minimal !S’agit-il de très, très, très longues périodes où il n’y aurait pas eu de surrection ? Géologiquement c’est peu, voir pas crédible. Il ne reste donc que….Eh ,oui !
Dans ton hypothèse tu élude totalement le phénomène d'érosion qui vient contrebalancer la surrection montagneuse, elle même limité par les facteurs gravitationnels de notre planète!

Ce n'est pas MON hypothèse!
Cela a aussi déjà été vu. L’érosion ferait disparaitre les couches fossilisées datées de l’origine de la sédimentation ; or elles sont intactes selon ces géologues, voir même on ne constate aucune trace visible d’érosion (ce qui a été vu lors du sujet ayant porté sur l’Himalaya et les Alpes)
C’est bien pourquoi l’on tombe sur des chiffres absurdes en conservant une durée supposée alors que la géologie, elle-même, ne peut la créditer. Sinon au taux d’érosion actuel, les continents auraient été arasés 125 fois depuis 2.5 milliards d’années (or aucune trace de multiples arasements) ; les montagnes auraient plus de 500 km d’altitude avec une érosion moyenne sur SEULEMENT 100 millions d’années, alors sur 2.5 milliards d’années, cela devient de la folie, sauf si l’on réduit drastiquement les durées et non l’érosion elle-même. Quand aux éruptions volcaniques, en 2.5 milliards d’années elles auraient produit plus de 74 fois la quantité de matériaux connus . Cela ne peut toujours pas coller aux longues durées supposées. Donc il faut raison garder et ramener ces durées au niveau du raisonnable et scientifiquement acceptable.
Citation:
Tout ça a déjà été largement débattu. Les chiffres de sédimentation, de surrection, de volcanismes donnent des chiffres vertigineux et donc impossibles en cas des durées proposées par l’évolution.(considérés donc comme impossibles par des évolutionnistes cités)

Archifaux et je l'ai démontré!

Tu n’as rien démontré, tu t’es contenté de nier
Ce raisonnement et complétement ridicule,il omet complétement les différentes synergie entre érosions,surrection,hydrologie etc...etc..

Au contraire, c’est cette synergie qui démontre l’impossibilité des longues périodes de l’évolution.
Citation:
C’est toujours vrai ! donc comment expliquer qu’avec une activité volcanique réduite, comme actuellement, et appliquée aux durées de l’évolution on ne retrouve pas tous ses rejets.

Tout simplement parce que l'on retrouve ses témoignages du passé!

Témoignages du passé qui ne rendent compte que d’une portion congrue de l’activité volcanique qui aurait eut lieu pendant des milliards d'années.
Citation:
Il ne s’agit pas d’un mot magique, mais d’une réalité écologique qui nous entoure. On ne retrouve pas au même endroit, des lions et des ours blancs, ni des éléphants et des chamois, les déserts et les marécages, les forêts équatoriales et les toundras, etc…

Donc maintenant regarde la vérité en face et fait un bond intellectuel en passant à la zonation temporel, et tu verra que cela sera beaucoup plus cohérent!

merci pour me prendre encore une fois pour un imbécile et plus encore les scientifiques traitant des zonations. Fais donc un bond intellectuel pour te rendre compte que l’une n’existe pas sans l’autre. Après la définition des temps utilisés fait la différence.
Citation:
La destruction d’un niche n’influe en rien sur l’existence ou l’inexistence d’autres niches.

En totale contradiction avec la notion d'écosystème!!!

Et pourtant ! Si les scorpions viennent à disparaitre dans un désert cela n’influencera en rien les morses, pingouins, éléphants de mer et ours polaires.
Citation:
Pour la simple raison que la différence est mineure et que la part d’oxygène fixé, selon les besoins physiologiques, peut s’effectuer avec un rythme cardiaque moindre, pas nécessairement une modification d’un volume respiratoire. Le cœur d’une baleine bleue bat de 6 à 9 fois par mn comparé à nos 60 au repos et jusqu’à 200 en plein effort (il faudrait des poumons et un coeur 3 fois plus gros pour continuer à battre à 60/mn), la souris de 500 à 600 par mn.

Encore une fois ton raisonnement ne tiens pas...
Les relevés démontre que le taux d'oxygène lors de la dernière glaciations était sensiblement identique à celui de nos jours, mais qu'a contrario il était de 10% supérieurs au Crétacé.

Comment explique tu de tel différence?
Ce n’est pas ma partie, je laisse aux spécialistes d’en tirer des éléments. Je raisonne juste biologiquement et anatomiquement ou un surplus d’oxygène (par rapport à notre taux actuel) n’empêche aucunement des fonctions physiologiques actuelles comme chez les insuffisants respiratoires. Mais, comme dit précédemment, les mécanismes sont très complexes et ne peuvent se résumer à une vision superficielle.
Citation:
Non tout dépend de la taille des espèces ! les poux, puces, tics, moustiques,etc..(ce chiffre est donc peut-être largement dépassé!) sont des espèces en quantités très nombreuses, les baleines bleus en quantités réduites par équilibre écologique K/s.

Tu élude complétement les grands mammifères,sans parler des dinosaures et de leurs ancêtres...
je n’élude rien ! Personne ne connait le nombre réel de ces formes animales ; tout n’est que supposition, hypothèses, croyances.
La taille des micro-organismes est inversement proportionnel avec leurs nombres,l'essentiel de la biomasse vivantes est faites de ses même micro-organismes.
Ton raisonnement mets complétement de coté les cas d'épizootie et des diverses bactérie et virus etc..etc..

Au contraire, ils font partie des espèces en question !je ne cherchais pas une limitation, mais de souligner que les espèces englobent des formes très petites et pas seulement des grosses bêbêtes!
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par sen-no-sen » 09/06/14, 18:26

janic a écrit :a) Je n’ai pas fait mention de déluge mais de « Une catastrophe liquide », ensuite « Moindre ne veut pas dire presque plate, les profondeurs abyssales et autres ne diminueraient que de moitié (il y a 71% d’eau sur terre), et on serait loin d’être presque plat » Que je sache cela n’indique RIEN sur d’éventuelles hauteurs montagneuses et même en équilibrant les deux facteurs (moindre profondeur abyssale+ moindre hauteur montagneuse) cela ne diminuerait (avec des tas de SI là aussi) les montagnes de moitié, donc très haut encore.


Une "catastrophe liquide" et pas un déluge...même J-F Copé n'use pas de tant de langue de bois! :lol:

En tant que créationniste tu te dois au moins d'assumer tes positions!
Maintenant il serait convenable que tu présente de façon sérieuse et pas à coup de faux semblants les preuves qui démontre que les plus hautes terres ont pu être émergées sur une "presque" planète plate mais pas trop(chiffres?)!!! :lol:



b) Ainsi qu’indiqué précédemment :
ou le sujet est sur le thème biblique et aucun argument scientifique n’y est nécessaire ;
ou le sujet est sur les éléments scientifiquement perceptibles et dans ce cas aucune référence au thème biblique. Donc je ne réponds pas à cette question qui mélange tout.


C'est une stratégie vaine de ta part,la vision créationniste est basé sur la lecture littérale des textes Bibliques,ai au moins le courage d'admettre tes positions idéologique...


Par contre comme indiqué plus en arrière, 142 traditions sur cette terre font mention de « déluges », et elles n’ont rien de biblique.

Exact et ses dernières sont à mettre en rapport avec la fin de la dernières glaciations.
Le déluge Biblique tire ses origines du mythe fondateur de
Gilgamesh.

Mais tout cela nous éloigne de l'évolution biologique...

Cela s’appelle des glissements de boue liés aux grandes quantités d’eau en œuvre, aux charges et séismes consécutifs et pas besoin de remonter à des millions d’années en arrière


Cela ne réponds toujours pas à la question:
our quels raisons les animaux aquatiques auraient ils été anéantit(...)

Comment explique tu que les sauriens aquatiques est disparut alors que les baleines,requin et autres crocodiles marins ait survécus?



Aucun système actuel ne fait de saut sur quelques milliers d’années (selon Gould) alors que biologiquement et anatomiquement un nouvel élément de changement nécessite que l’ensemble des fonctions se modifie en même temps et dans le même sens, ce qui défie toutes les lois connues en biologie.


Et depuis combien de temps la biologie évolutionniste étudie t-elle les espèces? 100 ans ou plusieurs millénaires?
Ta réponse est quelque peu péremptoire!


La tectonique des plaques, séismes, par exemple !
(en réponse à:Comment explique tu une augmentation/diminution des reliefs?

La modification brutale de relief auquel tu fait référence n'est pas possible en terme de géophysique;
Les tremblements de terre violents ne sont possibles qu'en raison d'une accumulation d'énergie de plusieurs mois/années/décennies.
Passé d'un relief presque plat à un relief actuel demanderait un dégagement d'énergie qui n'est tout simplement pas possible en terme de thermodynamique terrestre.
J'attends donc ton explication sur ce point.



Toujours par tectonique! Il est plus facile de provoquer un plissement ou une subduction que de provoquer un aplanissement.
(en réponse à :Ou seraient parti/ou venu les surplus de roches nécessaires à ton modèle???).

C'est inexact.
L'aplanissement des reliefs est une conséquence de l'hydrologie et de la corrasion,par contre les plissements et subduction demande une activité tectonique,ce qui n'est pas toujours le cas sur autres astres du système solaire(ex avec le Lune).
C'est donc aplanissement(pénéplaine) qui est le phénomène le plus "facile" à obtenir en terme de d'activité énergétique.


C’est exactement ce qu’à dit ce géologue cité bien plus loin : « c’est impossible ». Donc, en mathématique, lorsque le résultat final est aberrant, c’est que les paramètres de l’équation sont mal posés.


J'ai répondu point par point sur la question de la surrection montagneuse(remonte en arrière),ton raisonnement est TOTALEMENT erroné.
Ton raisonnement ne prends pas en compte l'érosion,ni la corrasion et encore moins l'ajustement isostatique...


Cela a aussi déjà été vu. L’érosion ferait disparaitre les couches fossilisées datées de l’origine de la sédimentation


Totalement faux!

; or elles sont intactes selon ces géologues, voir même on ne constate aucune trace visible d’érosion (ce qui a été vu lors du sujet ayant porté sur l’Himalaya et les Alpes)


Encore faux!
C'est une blague?Tu plaisante?
Tu ne va apparemment jamais te balader en montagne,les traces d'érosions sont omniprésente! :lol:


Sinon au taux d’érosion actuel, les continents auraient été arasés 125 fois depuis 2.5 milliards d’années (or aucune trace de multiples arasements) ; les montagnes auraient plus de 500 km d’altitude avec une érosion moyenne sur SEULEMENT 100 millions d’années, alors sur 2.5 milliards d’années, cela devient de la folie, sauf si l’on réduit drastiquement les durées et non l’érosion elle-même.


Ton raisonnement est complétement erroné....
Déjà abordé ici:

sciences-et-technologies/l-evolution-des-especes-biologiques-et-le-hasard-t11282-1620.html



Tu n’as rien démontré, tu t’es contenté de nier


Relis donc les discussions antérieurs...


Et pourtant ! Si les scorpions viennent à disparaitre dans un désert cela n’influencera en rien les morses, pingouins, éléphants de mer et ours polaires.


Peut tu le démontrer scientifiquement?
La disparitions des abeilles,mouches,fourmis,lombric n'auraient aucun impact sur les autres espèces,en est tu sur?



Ce n’est pas ma partie, je laisse aux spécialistes d’en tirer des éléments. Je raisonne juste biologiquement et anatomiquement ou un surplus d’oxygène (par rapport à notre taux actuel) n’empêche aucunement des fonctions physiologiques actuelles comme chez les insuffisants respiratoires.


Sauf qu'aucun spécialistes ne prendra la défense de ta thèse,car elle est complétement fausse!
Comment explique tuque l'on ne retrouve pas de différence notoire en matière de taux d'oxygène entre notre époque et la haute antiquité?
Si Dinosaures,grands mammifère et humains ont vécu en même temps(!!!) pourquoi apparait ils des relevés d'oxygénation si différents entre les époques censés avoir eu lieux en "même temps"?
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par janic » 10/06/14, 09:21

Sen no sen bonjour
Une "catastrophe liquide" et pas un déluge...

Eh, oui ! C’est là toute la subtilité de la linguistique. J’ai volontairement éludé la forme déluge pour éviter cette assimilation quasi automatique entre déluge= déluge biblique= croyance= non scientifique. Un tsunami, la fonte des glaces, un astéroïde impactant l’océan, etc.. sont des catastrophes liquides comme les déluges.
En tant que créationniste tu te dois au moins d'assumer tes positions!

J’assume, j’assume ! Mais pas selon des schémas imposés.
Maintenant il serait convenable que tu présente de façon sérieuse et pas à coup de faux semblants les preuves qui démontre que les plus hautes terres ont pu être émergées sur une "presque" planète plate mais pas trop(chiffres?)!!!

Maintenant il serait convenable que tu présente de façon sérieuse et pas à coup de faux semblants les preuves qui démontre que les plus hautes terres n’ont pas pu être émergées sur une "presque" planète plate mais pas trop(chiffres?)!!!
Citation:
b) Ainsi qu’indiqué précédemment :
ou le sujet est sur le thème biblique et aucun argument scientifique n’y est nécessaire ;
ou le sujet est sur les éléments scientifiquement perceptibles et dans ce cas aucune référence au thème biblique. Donc je ne réponds pas à cette question qui mélange tout.

C'est une stratégie vaine de ta part,la vision créationniste est basé sur la lecture littérale des textes Bibliques,ai au moins le courage d'admettre tes positions idéologique...

C’est bien là toute la superstition anti biblique. Personnellement, je ne mélange pas les deux pour éviter les confusions habituelles.
Citation:
Par contre comme indiqué plus en arrière, 142 traditions sur cette terre font mention de « déluges », et elles n’ont rien de biblique.

Exact et ses dernières sont à mettre en rapport avec la fin de la dernières glaciations.

C’est avancer avec imprudence sur des suppositions.

Mais tout cela nous éloigne de l'évolution biologique...

Citation:
Cela s’appelle des glissements de boue liés aux grandes quantités d’eau en œuvre, aux charges et séismes consécutifs et pas besoin de remonter à des millions d’années en arrière

Cela ne réponds toujours pas à la question:

Toujours la même chose, on ne met pas la charrue avant les bœufs en jouant au yo-yo.
Concernant l’apparition et l’évolution de la vie : tous les scientifiques ignorent comment est apparue la première parcelle de vie ; donc c’est à ceux-ci de passer de la théorie aux preuves, ce qu’ils sont (tous l’avouent) incapables de prouver.
Comment explique tu que les sauriens aquatiques est disparut alors que les baleines,requin et autres crocodiles marins ait survécus?

Même chose ! Les phénomènes de zonation et de facilité de déplacement. Les baleines requins et autres ne sont pas directement touchés par des glissement de fond (là où les fossiles se trouvent en grande quantité au cambrien). Pour les autres sauriens, vivant en eau douce la plupart du temps, et donc dans des mers intérieures ou des lacs importants ou pas, un recouvrement brutal a pu avoir engendré leur disparition.
Mais attention, il s’agit d’une autre hypothèse (rejetée et qui revient en force)qui rend compte au moins aussi bien, voire mieux, de la fossilisation, de la disparition des dinosaures,etc… que l’évolutionnisme.
Citation:
Aucun système actuel ne fait de saut sur quelques milliers d’années (selon Gould) alors que biologiquement et anatomiquement un nouvel élément de changement nécessite que l’ensemble des fonctions se modifie en même temps et dans le même sens, ce qui défie toutes les lois connues en biologie.

Et depuis combien de temps la biologie évolutionniste étudie t-elle les espèces? 100 ans ou plusieurs millénaires?

Justement, nos connaissances en biologie ne permettent pas de créditer, ni les sauts de Gould, ni le changement lent et progressif façon Darwin et consorts.L’humilité consiste à reconnaître la fragilité de la théorie de l’évolution (fragilité reconnue par des évolutionnistes eux-mêmes) et donc, ELLE ne doit pas être péremptoire et totalitaire.
L’hypothèse de Gould (pour séduisante qu’elle soit pour l’évolutionnisme qui se heurte à des difficultés avec sa théorie) pêche autant que la grande théorie car hormis faire des suppositions (le pouce du Panda) elle ne prouve rien. Donc une hypothèse, une théorie, un postulat jouent dans la même cour de la supposition, de l’ignorance et donc du manque de preuves indiscutables.
Citation:
La tectonique des plaques, séismes, par exemple !

(en réponse à:Comment explique tu une augmentation/diminution des reliefs?
La modification brutale de relief auquel tu fait référence n'est pas possible en terme de géophysique;

Relis ma proposition ! J’ai parlé de la « possibilité » de configuration différente des sols (moins haut, moins profond) et donc un recouvrement plus important qu’actuellement des terres par les eaux. D’où les zones fossilisées marines sur les montagnes actuelles. Donc le raisonnement officiel se fait sur l’actualisme (ce qui donne les chiffres bizarres évoqués précédemment) alors que rien n’indique qu’il en fut ainsi (plus ou moins)

Citation:
Toujours par tectonique! Il est plus facile de provoquer un plissement ou une subduction que de provoquer un aplanissement.

(en réponse à :Ou seraient parti/ou venu les surplus de roches nécessaires à ton modèle???).
C'est inexact.
L'aplanissement des reliefs est une conséquence de l'hydrologie et de la corrasion,par contre les plissements et subduction demande une activité tectonique,ce qui n'est pas toujours le cas sur autres astres du système solaire(ex avec le Lune).

Sauf là encore que les témoins de cette érosion manquent lamentablement pour les durées évoquées puisqu’il y a un mélange de diverses réactions du sol. Le grand Canyon montre ce double phénomène de planéité et en même temps d’érosion hydraulique et que constate-t-on ? Pas d’érosion visible entre chaque strate ; l’ensemble depuis le cambrien étant estimé à quelques centaines de millions d’années. Or une sédimentation lente n’aurait pas permis de conserver des corps mous et l’érosion aurait complété cet effacement. Ca ne colle pas avec le dogme !
Pour le reste quelques chiffres :
http://www.geologie.ens.fr/~vigny/tecto-f.html
Citation:
C’est exactement ce qu’à dit ce géologue cité bien plus loin : « c’est impossible ». Donc, en mathématique, lorsque le résultat final est aberrant, c’est que les paramètres de l’équation sont mal posés.

J'ai répondu point par point sur la question de la surrection montagneuse(remonte en arrière),ton raisonnement est TOTALEMENT erroné.

Il ne s’agit pas de MON raisonnement, mais de citations de scientifiques ! je n’ai fait que montrer par quelques règles de trois (niveau CM1) que la théorie, ne collait pas à la réalité.
Ton raisonnement ne prends pas en compte l'érosion, ni la corrasion et encore moins l'ajustement isostatique...

En ce cas c’est le raisonnement de ces scientifiques qui ne tient pas la route. Je n’ai fait que les citer avec références à la clé. Or aussi bien l’érosion que le reste sont pris en compte par ces scientifiques. Il faut cesser de prendre les autres pour des imbéciles.
Citation:
Cela a aussi déjà été vu. L’érosion ferait disparaitre les couches fossilisées datées de l’origine de la sédimentation

Totalement faux!

Prouves-le ! L'érosion a-t-elle effacé les states du grand Canyon?
Citation:
; or elles sont intactes selon ces géologues, voir même on ne constate aucune trace visible d’érosion (ce qui a été vu lors du sujet ayant porté sur l’Himalaya et les Alpes)

Tu ne va apparemment jamais te balader en montagne,les traces d'érosions sont omniprésente!

Evidemment ! Il s’agit d’érosion pouvant effacer des strates, pas d’effleurer le sol.
Citation:
Sinon au taux d’érosion actuel, les continents auraient été arasés 125 fois depuis 2.5 milliards d’années (or aucune trace de multiples arasements) ; les montagnes auraient plus de 500 km d’altitude avec une érosion moyenne sur SEULEMENT 100 millions d’années, alors sur 2.5 milliards d’années, cela devient de la folie, sauf si l’on réduit drastiquement les durées et non l’érosion elle-même.

Ton raisonnement est complétement erroné....

Ilne suffit pas de dire que le raisonnement est erroné il faut faire des contre propositions crédibles et démontrer que ce raisonnement est erroné autrement que par des anathèmes.

justement relis TOUTE la prose !
Citation:
Tu n’as rien démontré, tu t’es contenté de nier

Relis donc les discussions antérieurs...

Fais de même ! Tu contestes mais ne fais aucune proposition concrète.
Citation:
Et pourtant ! Si les scorpions viennent à disparaitre dans un désert cela n’influencera en rien les morses, pingouins, éléphants de mer et ours polaires.

Peut tu le démontrer scientifiquement?
La disparitions des abeilles,mouches,fourmis,lombric n'auraient aucun impact sur les autres espèces,en est tu sur?

Relis ce que j’ai écrit. Cela s’inscrit dans un cadre particulier de zonation. Les lombrics, comme les abeilles,etc… ne se trouvent pas en zones glacées, ni en plein désert et donc leur disparition n’auraient aucun impact sur ces zones en question.
Citation:
Ce n’est pas ma partie, je laisse aux spécialistes d’en tirer des éléments. Je raisonne juste biologiquement et anatomiquement ou un surplus d’oxygène (par rapport à notre taux actuel) n’empêche aucunement des fonctions physiologiques actuelles comme chez les insuffisants respiratoires.

Sauf qu'aucun spécialistes ne prendra la défense de ta thèse,car elle est complétement fausse!
Comment explique tuque l'on ne retrouve pas de différence notoire en matière de taux d'oxygène entre notre époque et la haute antiquité?

Là aussi c’est aux spécialistes d’ y répondre. On ne retrouve pas seulement des époques de suroxygénation, mais aussi de sous oxygénation sans que cela ait eut, semble-t-il, d’influence majeure sur la faune et la flore.
http://www.insu.cnrs.fr/node/4516
i Dinosaures,grands mammifère et humains ont vécu en même temps(!!!) pourquoi apparait ils des relevés d'oxygénation si différents entre les époques censés avoir eu lieux en "même temps"?


Au temps des dinosaures, l'atmosphère était bien moins riche en oxygène
Un taux d'oxygène inférieur à 15% Les résultats suggèrent que l'oxygène atmosphérique était considérablement plus rare dans le passé géologique de la Terre qu'on ne le pensait. Plus précisément, ils indiquent que, presque tout au long de cette période de 220 Ma, l’oxygène était loin de représenter 21% de l’atmosphère comme c’est le cas aujourd’hui. "Nous proposons des chiffres compris entre 10 et 15%", explique Tappert. "Nous avons constaté que les niveaux d'oxygène particulièrement faibles coïncidaient avec des épisodes de températures globales élevées et des concentrations élevées de dioxyde de carbone", précise t-il encore. Les chercheurs en déduisent que l'augmentation des niveaux de dioxyde de carbone causée par un très fort volcanisme s’est accompagnée d’une diminution de l'oxygène atmosphérique.

En savoir plus: http://www.maxisciences.com/oxyg%E8ne/a ... 31370.html
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par sen-no-sen » 10/06/14, 13:49

janic a écrit :Maintenant il serait convenable que tu présente de façon sérieuse et pas à coup de faux semblants les preuves qui démontre que les plus hautes terres n’ont pas pu être émergées sur une "presque" planète plate mais pas trop(chiffres?)!!!


Elles ont déjà été démontré:

1)Si l'ensemble des glaces du monde venaient à fondre,le niveau des océans seraient supérieurs de 80 mètres.
2)les plus hauts sommets actuels se trouve en Himalaya (Everest 8848m).
:arrow: Ainsi la quantité d'eau disponible sur terre ne permet absolument pas de recouvrir les plus hauts sommets,avec une marge de 8760m...Quoi d'autre?

Étant donné que tu ne donne aucun âge,et aucun chiffre sur l'époque diluvienne ,et ceux dans le but de te cacher dans l'imprécision je dois donc m'en tenir à la géologie.
Tu défends l'idée d'une planète avec moins de reliefs et cela dans un temps (lequel?) beaucoup plus court que celui proposé par les scientifiques:

(...)"l'altitude moyenne des continents(AMC) est étroitement lié au niveau marin.L'AMC varie donc elle aussi à différentes échelle du temps.L'enregistrement sédimentaire Phanérozoique des500 derniers millions d'années est riche et relativement bien connu.Cet enregistrement permet de limiter les variations eustatiques de plus ou moins 500 mètres".

Également: Un tiers de la surface de la terre est actuellement au dessus du niveau moyen des mers.Les variations du niveau marins modifient cette surface. Ainsi une augmentation de 500m du niveau moyen des mers réduit de moitié la surfaces des terres émergés,la ramenant à un sixième.
Nicolas Flament(ENS Lyon).


Même chose ! Les phénomènes de zonation et de facilité de déplacement. Les baleines requins et autres ne sont pas directement touchés par des glissement de fond (là où les fossiles se trouvent en grande quantité au cambrien).


Incohérent!
Les grands sauriens marins nichaient dans les mêmes zones que les actuels cétacés:c'est à dire en surface,car ils ne disposaient pas de branchies...

Pour les autres sauriens, vivant en eau douce la plupart du temps, et donc dans des mers intérieures ou des lacs importants ou pas, un recouvrement brutal a pu avoir engendré leur disparition.

Encore plus incohérent!
Comment explique tu la survivance des tortues et des crocodiliens dans ce cas???



Mais attention, il s’agit d’une autre hypothèse (rejetée et qui revient en force)qui rend compte au moins aussi bien, voire mieux, de la fossilisation, de la disparition des dinosaures,etc… que l’évolutionnisme.


Complétement faux! Voir les incohérence ci dessus!


Justement, nos connaissances en biologie ne permettent pas de créditer, ni les sauts de Gould, ni le changement lent et progressif façon Darwin et consorts.


Au contraire elles sont parfaitement en accord avec la logique universelle de boom et de crash qui caractérisent tout notre univers,la vie y compris, à travers ses très nombreuses phases d'extinctions et d'expansions.


Relis ma proposition ! J’ai parlé de la « possibilité » de configuration différente des sols (moins haut, moins profond) et donc un recouvrement plus important qu’actuellement des terres par les eaux.


Effectivement cela est compatible avec la géologie,mais sur une période de plusieurs centaines de millions d'années...

Par contre cela n'est absolument pas compatible avec l'idée de zonation et de cohabitation entre toutes les espèces en même temps(sic!) sur terre...


Le grand Canyon montre ce double phénomène de planéité et en même temps d’érosion hydraulique et que constate-t-on ? Pas d’érosion visible entre chaque strate ; l’ensemble depuis le cambrien étant estimé à quelques centaines de millions d’années.


Pourquoi devraient il y avoir une érosion généralisé en plaine?
Est-ce que ton jardin "baisse" de 1mm par an???
Tu fait un amalgame entre érosion en haute montagne et érosion en plaine!


Il ne s’agit pas de MON raisonnement, mais de citations de scientifiques !


Tu ne fait que tirer des citations hors contexte pour les faire coller à ton discours créationnistes,c'est grotesque!

je n’ai fait que montrer par quelques règles de trois (niveau CM1) que la théorie, ne collait pas à la réalité.


Tu a surtout démontrer une incompréhension profonde de la mécanique du globe! Même un élève de CM1 comprends pourtant cela! :lol:


Prouves-le ! L'érosion a-t-elle effacé les states du grand Canyon?


Pour quelle raison l'érosion aurait elle arasé toutes les roches du grand Canyon?
Seul la partie exposé au passage du flux d'eau et de sédiments du fleuve Colorado ont été creusés.

Ilne suffit pas de dire que le raisonnement est erroné il faut faire des contre propositions crédibles et démontrer que ce raisonnement est erroné autrement que par des anathèmes.


J'ai déjà démontré que ton raisonnement était faux,mais bon vu que tu préfère ne rien voir je résume ici:

1)la surrection montagneuse n'a rien avoir avec la pousse d'un bambou, les montagnes "poussent" vers le bas pendant une longue période avant de s’élever au dessus du niveau du sol,ainsi la racine crustale des montagne peut mesurer près de 30 000 mètres pour une montagne de seulement 2000 mètres d'altitudes:


Image

2)La période de surrection dure en moyenne entre 2 à 5 millions d'années et pas sur 2,5 milliards d'année comme tu le souligne...(a mourir de rire!)
3) A cette surrection s'ajoute l'ajustement isostatique qui remonte le massif et l'érosion qui la "dévore".
Ainsi l'ensemble de ses paramètres pris en compte nous avons des chiffres qui correspondent parfaitement au constatations actuelles!



Relis ce que j’ai écrit. Cela s’inscrit dans un cadre particulier de zonation. Les lombrics, comme les abeilles,etc… ne se trouvent pas en zones glacées, ni en plein désert et donc leur disparition n’auraient aucun impact sur ces zones en question.


La disparition des scorpions aura toujours une répercution sur l'écosystème qui est le leurs.
Quant à leurs impact sur des niche écologique lointaine il serait péremptoire de l'affirmer compte tenu des mécanismes ayant court sur le long terme.
Ta citations de base était la suivante:
La destruction d’un niche n’influe en rien sur l’existence ou l’inexistence d’autres niches.

J'ai répondu que cela est faux et je maintient mes dires,ex:
La niche du phytoplancton n'est en rien comparable avec celle des Bouquetins,pourtant la disparition des premiers aura un impact sur ses derniers et sur tout le reste de la faune/flore planétaire...




Là aussi c’est aux spécialistes d’ y répondre. On ne retrouve pas seulement des époques de suroxygénation, mais aussi de sous oxygénation sans que cela ait eut, semble-t-il, d’influence majeure sur la faune et la flore.


En effet,et cela ne colle pas du tout avec ta vision d'un monde pré-déluge ou toutes les espèces animales/végétales cohabitaient en même temps!
Tu arrive toi même a l'impasse logique supputé par ton ""hypothèse""!


Au temps des dinosaures, l'atmosphère était bien moins riche en oxygène


Et cela ne colle toujours pas avec ton ""hypothèse""! :lol:
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"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.

 


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